Le procureur et le président
Vincent Bugliosi veut voir George W. Bush mis en examen pour meurtre. D’autres sont complices du crime, notamment le vice-président et Condoleezza Rice, mais Bush est la cible principale de ce célèbre procureur de Los Angeles (affaire Charles Manson) et auteur à succès (Helter Skelter et The Betrayal of America, par exemple). Sa détermination reste intacte devant le silence quasi total des grands médias. C’est directement auprès du public et via les médias alternatifs et l’internet qu’il se bat.
Bugliosi présente un dossier dévastateur dans son livre « The Prosecution of George W. Bush for Murder (la mise en examen de George W. Bush pour meurtre - ndt) ». Alors que j’écris ces lignes, j’ai encore du mal à me remettre du choc ressenti à la lecture du titre et du nom de l’auteur. Procureur légendaire avec un passé presque parfait dans de grandes affaires criminelles, Bugliosi développe une des idées les plus révolutionnaires qu’on puisse imaginer dans le contexte présent où la pensée politique est devenue quasi-nulle. Mais parlons du livre et examinons le raisonnement du procureur.
Dés les premières lignes, il aborde la question du titre choc. On peut lire :
« le livre que vous avez entre les mains traite de ce que je crois être le crime le plus grave jamais commis dans l’histoire des Etats-Unis – le président de la nation, George W. Bush, en toute connaissance de cause et délibérément, a entrainé le pays dans une guerre en Irak sous de prétextes fallacieux, une guerre qui a condamné plus de 100.000 personnes, dont 4000 soldats étatsuniens, à une mort horrible et violente. »
Le président a « en toute connaissance de cause et délibérément » provoqué la mort de soldats US et de civils Irakiens et cela s’appelle un meurtre, c’est aussi simple que ça. I
l ne s’agit pas d’une situation hypothétique qui pourrait se produire sous une juridiction d’exception. Lorsque le président quittera ses fonctions, il sera soumis aux mêmes lois que tout un chacun.
Bugliosi explique la possibilité d’une mise en examen de George W. Bush par un procureur de district ou d’état dans n’importe quelle juridiction où quelqu’un aurait perdu la vie dans la guerre en Irak. Les procureurs fédéraux ont aussi cette possibilité. L’analyse détaillée de cet aspect représente la meilleure partie du livre avec ses notes et ses références diverses.
Dans le premier chapitre, « Ouvrir les yeux », Bugliosi explique comment il est arrivé à cette conclusion et encourage le lecteur à faire de même. Il attribue son très grand succés en tant que procureur et auteur à sa capacité de « voir ce que j’ai en face de moi sans me laisser influencer par les habits (ou la réputation, ou les rumeurs, etc) que d’autres ont enfilés. »
Après cet appel à garder l’esprit ouvert, l’auteur offre à ses lecteurs une série de citations de Bush, Cheney, Rice et autres. Avant l’invasion, ces déclarations ont eu le pouvoir de faire basculer l’opinion publique en faveur de la guerre. Comment pouvons-nous tolérer une dictature, demanda Bush, qui « menace le monde avec des maladies et des poisons horribles, avec des armes chimiques et atomiques » ? L’Irak possédait des « appareils volants sans pilotes » et « cherchait à les utiliser contre les Etats-Unis ». Ces déclarations, et d’autres, étaient non seulement totalement fausses, mais en plus il le savait, sans aucun doute.
Après les deux premiers chapitres, méticuleusement construits, le procureur, connu pour ses plaidoyers de plusieurs centaines d’heures devant un jury, a préparé le lecteur à admettre la recevabilité de ses accusations. Ensuite il ouvre une parenthèse, avant d’en arriver au fait, pour nous rappeler le coût de ces mensonges. Plus de cent mille personnes sont mortes dans une guerre basée sur les mensonges délibérées du président.
Ce ne sont pas n’importe quelles morts, nous dit-il. Nous sommes en présence du meurtre d’états-uniens jeunes, influençables, patriotiques qui se sont engagés dans l’armée pour toute une série de raisons honorables. Un même lien les unit, une loyauté envers leur pays pour lequel ils étaient prêts à mourir dans une guerre. Bugliosi n’oublie pas les civils irakiens morts dans le chaos provoqué par l’invasion de Bush, mais précise qu’il n’a trouvé aucune loi qui permette une mise en accusation pour ces morts là.
Après les trois premiers chapitres, nous connaissons la tragédie qui demande que justice soit faite et nous sommes conscients de la détermination de l’auteur à chercher à obtenir cette justice pour tous ceux qui sont tombés. Il est en colère devant ce crime et veut obtenir justice.
Bugliosi est indifférent devant le silence quasi-total des médias résultant de l’état comateux dans lesquels sont plongés les milieux dirigeants, état illustré par la censure calculée de tous les réseaux d’information et les pisse-copie de l’administration Bush au sein du New York Times et du Washington Post.
Bugliosi présente trois dates
dans son dossier à charge :
Le 1er octobre 2002, Bush reçut un rapport rédigé par tous les services de renseignement du pays. Le danger que représentait l’Irak pour les Etats-Unis était résumé par cette simple phrase : « il n’y a pas d’indication de drones pouvant lancer des armes chimiques, ni de ventes d’armes à Al Qaeda qui pourraient être retournées contre nous, ni d’autres dangers imminents. Bagdad pour le moment ne semble pas disposé à mener des attaques terroristes par des armes conventionnelles ou chimiques contre les Etats-Unis, par crainte de fournir aux Etats-Unis un prétexte pour attaquer. L’Irak pourrait probablement tenter des attaques clandestines sur le sol des Etats-Unis si Bagdad craignait qu’une attaque mettant en danger le régime était imminente ou inévitable, ou possiblement par vengeance. De telles attaques – probablement avec des armes bactériologiques plutot que chimiques – seraient probablement menées par des forces spéciales ou des services de renseignement ». NIE, 10/2002 et (V. Bugliosi, pp. 104-105)
Le 4 octobre 2002, Bush présenta au Congrès une version manipulée du rapport, appelé le Rapport Blanc (White Paper). Il avait retiré l’information essentielle, à savoir que l’Irak n’était considérée comme un danger imminent que si la survie du régime était menacée par une attaque US. Les « jugements » et autres suppositions avaient été transformés en affirmations afin de faire passer le rapport pour un aval des services de renseignements pour passer à l’attaque.
En fait, le rapport présenté au Congrès disait exactement le contraire que celui qui avait été rédigé par les services de renseignement le 1er octobre. L’élément qui pouvait déclencher une menace irakienne était exactement ce que Bush se proposait de faire : lancer une attaque qui menacerait la survie du régime de Saddam Hussein. Plutôt que de penser à la sécurité du pays, en toute logique et selon les avis de ses propres services de renseignement, Bush a risqué la sécurité de la nation tout en occultant des informations cruciales.
Le 7 octobre 2002, Bush s’exprima devant un public à Cincinnati, Ohio, et affirma que Saddam Hussein représentait un danger pour les Etats-Unis avec ses « drones volants » équipés d’armes de destruction massive « visant des objectifs aux Etats-Unis ».
Il s’agit d’éléments importants. Sans ambiguité. Bush savait que l’Irak ne représentait pas une menace pour le pays, mais a prétendu le contraire pour obtenir un soutien à sa guerre. Tout ceci ne représente qu’une petite partie des arguments qui sont présentés dans ce livre d’une manière déterminée, complète et prenante et où Vincent Bugliosi tient ses promesses.
Il présente un dossier accablant contre George W. Bush, explique les bases juridiques qui rendraient une mise en examen possible, et explique que cette mise en examen du président était un élément fondamental pour restaurer le prestige de cette « grande nation » que sont les Etats-Unis.
Mais la mise en examen aurait des répercussions plus larges, si elle devait avoir lieu.
Le procès et la condamnation de George W. Bush pour meurtre serait un événement d’une importante gigantesque, mais ne serait encore rien devant la jurisprudence que cela représenterait. Les présidents ne pourraient plus jouer avec les vies des soldats et des civils dans des guerres autres que celles qui seraient spécifiquement menées dans le cadre de la défense nationale ou en riposte à un danger imminent pour le pays.
Bien que le président ait plusieurs fois changé de version dans ses justifications d’une invasion, son déclenchement et l’occupation n’avaient pas grand-chose à voir avec la sécurité des Etats-Unis. Comme Bugliosi l’a dit lors d’une interview avec l’auteur de ces lignes, plus de 4000 soldats sont morts « pas dans votre guerre, pas dans ma guerre ni dans celle des Etats-Unis, mais dans la guerre de Bush ». Toutes les explications offertes par Bush ont été rejetés par tous sauf par les auteurs du crime et aucune des motivations financières ou politiques avancées par d’autres ne sont acceptables devant les morts et les destructions provoquées.
Si un procès devait se tenir, et l’accusé condamné, tout futur président devra réfléchir à deux fois avant de servir des propres intérêts ou ceux de ses financiers et de quelques autres heureux élus, peu importe leurs promesses ou leurs cadeaux.
Le président et ses conseilleurs principaux seraient responsables du droit fondamental de chaque individu, évident pour nous mais pas pour eux, de ne pas risquer sa vie au nom des desiderata égoïstes, politiques ou financiers du président. Les présidents ne pourraient plus couvrir le péché de meurtre avec préméditation en le drapant d’une fiction sur les pertes nécessaires au nom d’un intérêt national supérieur. Les véritables fondements d’une décision présidentielle seraient publics et soumis à l’examen du peuple via leurs procureurs locaux.
L’éternel conflit entre les droits individuels et les droits collectifs serait résolu aussi. Dans l’impossibilité de recourir à des guerres inutiles, le chef de l’exécutif agirait dans l’intérêt de chaque citoyen et l’industrie militaire surdimensionnée serait réduite au minimum au lieu de servir d’outil à une présence impérialiste partout dans le monde. La diplomatie servirait les intérêts communs, et se substituerait à la force imposée sur les états plus faibles. Et ceci ne concernerait pas que les grandes guerres.
Depuis la deuxième guerre mondiale, Les Etats-Unis ont effectué plus de 40 interventions militaires. Alors à moins que le président puisse être certain qu’aucun soldat ne mourrait, il serait bien avisé de trouver une justification solide pour engager toute opération militaire afin de ne pas se retrouver inculpé et risquer une peine sévère [ndt - lors d’une interview filmé du procureur, celui-ci parle ouvertement de "peine de mort" ou "prison à vie" - NDT]. Le président aurait aussi devant lui l’exemple d’un vice-président qui s’est livré à des mensonges incessants sur les justifications d’une guerre.
La Défense Nationale était cruellement défaillante le jour du 11 Septembre, malgré l’incroyable puissance militaire déployée dans le monde.
L’administration a réussi à s’exempter d’avoir des comptes à rendre devant les tribunaux internationaux, alors qu’il existe une possibilité de poursuites à l’intérieur du pays, souligne Bugliosi. La menace est plus sérieuse et concrète pour tous ces dirigeants qui jouent avec la vie de leurs concitoyens pour servir quelques intérêts financiers qui refusent toute véritable concurrence.
Traduction VD pour le Grand Soir
Article Original
http://www.dissidentvoice.org/2008/...
The Prosecution of George W. Bush for Murder
By Vincent Bugliosi
Vanguard Press (May 26, 2008 )
ISBN-10 : 159315481X
ISBN-13 : 978-1593154813
Hardcover : 352 pages
http://www.legrandsoir.info/spip.php?article7037
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Conglomérats : Ils nous menacent tous !
Débloquer en catastrophe 85 milliards de
dollars pour maintenir à flots l’assureur American International Group
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vie économique, si bien que son naufrage eût entraîné une
débâcle non seulement fatale aux Etats-Unis mais aussi d’une
amplitude planétaire.
http://fr.novopress.info/?p=13291#more-13291 (envoyé par Tonkin)
Les vrais décideurs de l'O.M.C.
Cartels aux commandes
Pouvoir invisible
Un organisme dont nos médias parlent très peu : l'OMC. Cet organisme qui était au départ un simple accord sur des tarifs douaniers (Gatt) est devenu un monstre technocratique qui gère désormais les politiques de 128 pays. Le plus amusant, si l'on peut dire, est de constater que nos élus politiques sont, depuis un certain nombre d'années, des acteurs très bien payés, pour faire accepter aux populations des orientations politiques décidées par l'OMC et ses organisations sœurs : OMS, FMI, FAO, Codex Alimentarius et Banque Mondiale.
Par exemple, toutes les privatisations des services publics depuis 20 ans ont été décidées par l'OMC et la Commission européenne. La décision récente d'autoriser les OGM en France, n'est que l'application de la volonté de l'OMC. La loi sur l'autonomie des universités n'est qu'une première étape, avant la privatisation complète des universités. Les faux déficits de la Sécurité Sociale, qui est en réalité créditrice si l'État lui versait les sommes dues, permettent de progressivement privatiser la Sécurité Sociale, etc.
La mascarade de la démocratie commence à se savoir de plus en plus chez les Européens, ce qui explique le divorce de plus en plus complet entre les médias qui vendent la pensée unique et le «progrès» à coup de faux débats et d'experts autorisés, et les informations alternatives, non financées par les multinationales.
Afin d'être sûr de ne pas rencontrer de résistance, l'idéal pour nos élites dirigeantes est de diviser pour mieux régner :
suite à http://illusions-de-mouvements.over-blog.com/article-23072758.html
A lire aussi :
- Thierry Meyssan attend que la Russie arrête les Etats-Unis
- OMC : les cartels aux commandes
- Les causes de la crise alimentaire mondiale
- Flambée historique du pétrole à New York
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- La postérité du siècle des Lumières et l'avenir de la pensée mondiale
- sur http://illusions-de-mouvements.over-blog.com
Et, ainsi que la Boetie l'a si bien exprimé : ..."s'ils sont Grands c'est parce que nous sommes à genoux"
Occupation israélienne en poursuite judiciaire :
En Juillet 2008, Bil'in a entamé une procédure judiciaire à la Cour Supérieure du Québec contre deux enreprises Montréalaises : Green Mount International Inc. et Green Park International Inc. Ces deux entreprises ont été accusées de contruire des appartements sur des terres Palestiniennes étant sous occupation militaire Israélienne : ces actes sont illégaux tant en droit international, que Canadien et Québécois. Ce cas, qui n'a aucun précédent au Canada, sera présenté en cour cet automne
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=10327
Causes de la crise alimentaire mondiale
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=10314
L'humain n'a pas de prix.
Le NOM le sacrifie ! :
L’idéologie pro-NWO ne s’arrête pas au domaine de la finance, de l’économie, de la politique ou de l’armement : en réalité, tous les domaines stratégiques sont infiltrés par les intérêts des tenants de la Nouvelle Société Mondiale (aboutissement du projet nouvel-ordre-mondialiste). C’est le cas notamment des domaines de l’éducation, de la sécurité civile, des loisirs mais aussi de l’agriculture et de l’alimentation.(...)
Lire la suite de l'article sur: http://911nwo.info/2008/09/23/nourriture-pro-nwo-et-comportement-chez-les-jeunes/
Vidéo : http://bridge.over-blog.org/article-23094610.html
NOM, la Chine et le plan
de sauvetage USA.
Effondrement du dollar ?
Absence d'éthique des USA
sacrifiant les citoyens à la caste financière
La Chine réagit au plan de sauvetage en considérant que ce plan va provoquer une dévaluation du dollar, et qu'elle est prête à liquider ses positions en bons du trésor US, si le dollar continue à baisser..!
çà promet pour les mois à venir...çà va barder...lire Alterinfo.
Pour la Chine l'effondrement de Wall Street est dû à la sur-émission de monnaie de la FED.
Le sauvetage des institutions financières avec l'argent des contribuables fait parti d'un vaste plan visant à augmenter le contrôle sur l'économie mondiale, écrit un média contrôlé par l'Etat Chinois
Aujourd'hui , les médias officiels de la Chine font des repartages sur la vraie cause de l'effondrement de Wall-street, une cause dont les grands médias américains n'osent pas parler : la sur-émission de monnaie de la Réserve Fédérale- et dont les chinois disent qu'elle fait partie d'un vaste plan pour justifier un contrôle encore plus grand sur l'économie mondiale.
De nombreux médias contrôlés par l'Etat chinois déclaraient que la ferveur sans limite de la FED à soutenir le marché en injectant des liquidités illusoires, fait partie d'un plan pour gagner la confiance et accroître l'intervention du gouvernement sur les marchés financiers.
L'analyste cité par Chaobao Financial News a souligné que "lorsque le marché est en faillite, l'objectif premier de l'intervention du gouvernement devrait consister à soutenir la marché au profit du peuple: d'abord par une aide d'urgence, ensuite par la stabilisation et enfin par une réforme" et que
"la protection des droits des personnes qui souffrent des conséquences du marché immobilier ou des prix élevés du pérole devrait être traitée en priorité"
L'analyste a ajouté que, "en se concentrant sur le sauvetage d'un ppetit nombre de grandes sociétés financières, la FED est en train de créer un chaos financier beaucoup plus grand et qu'elle suscite la colère et de la suspicion en "protégeant et en encourageant seulement les grandes entreprise dont l'éthique est questionnable".
Des propos similaires ont été repris par l'économiste Zuo Xiaolie, qui a déclaré que le montant d'argent injecté dans le marché aura peu d'impact réel, mais que ces mesures sont une "approche limitée utilisée par la FED pour répartir la pression des ajustements monétaires sur d'autres pays, ce qui entrainera la dévaluation du dollar en provoquant un déséquilibre dans l'économie mondiale"
La Chine a déjà menacé de liquider ses énormes avoirs en bon du Trésor US, si jamais Washington devait imposer des sanctions commerciales pour forcer une réévaluation du Yuan.
Si la Chine devait se débarraser du dollar, il s'en suivrait une série d'événements qui conduirait à l'effondrement du billet vert...!
L'administration BUSH et la FED en créant toujours plus d'argent comme par magie,^permettent à leurs amis de Wall-Street de s'en sortir lors que l'avenir économique de centaines de millions de citoyens américains n'est pas pris en considération..!
Les américains et les anglais doivent souffrir d'amnésie chronique, car durant tout l'été 2007 les européens a toutes les réunions du G7 ont réclamé une enquête sur les agissements des hedges funds.(voir les articles : Les Banques Centrales du 13/08/07 et du 13/04/07..). Les grands experts s'imaginent enrayer la chute en interdisant les ventes à découvert, alors qu'ils ne font qu'emplifier la chute des titres et décourager "les porteurs sains" l'exemple de Général Electric (qui chute de 4,59%) en est la preuve.
Pourquoi l'establishment fait-il porter le fardeaux des pratiques douteuses à ses citoyens, et qu'aucune mesure ne soit prise contre les racines du mal ?
Quand les requins de la finance ruinent les Etats, on leur offre des milliards..!
http://millesime.over-blog.com/article-23091648.html
A noter : Consommons de la
Vitamine C , le meilleur médicament
La vitaminothérapie le moyen idéal de prévention des maladies et de résistances au vieillissement."
On nous bourre de médicaments au profit des multinationales. Revenons aux remèdes qui ont fait leurs preuves !
http://www.noslibertes.org/dotclear/index.php?
Finkielkraut sarkophobe ? Portrait de Sarkozy :
le comportement présidentiel est l'exact inverse de ce qu'il professe. Offense à la «bienséance» («Il consulte ses textos en présentant des journalistes au pape»), cynisme néo-soixante-huitard («A Rome, il condamne la démesure consumériste, et dès qu'il revient il se comporte comme un enfant gâté»), triste divertissement («Quand on est président, on ne va pas à Disneyland, on fait semblant d'aimer le Louvre») , vision économiste du monde («Les propositions de la commission Attali sont effrayantes») . Et enfin «triomphe de la raison calculante» : «Ce qui est demandé à Hortefeux est scandaleux. L'honneur de l'humanité est d'agir au cas par cas, pas de faire du chiffre») . Un «sarkophobe» qui s'ignore, Alain Finkielkraut ?
http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p2255/dossier/a365144-les_moralistes.html
Le peuple et la guerre, Hermann Goering,
sur le blog d'Arthenice
“Naturellement, l’homme du peuple ne désire pas la guerre, mais après tout, c’est aux décideurs du pays de déterminer les directions. Et il est toujours très facile d’y entraîner le peuple, qu’il s’agisse d’une démocratie, d’une dictature fasciste, d’un parlement, ou d’une dictature communiste. Qu’il ait droit de paroles, ou non, le peuple peut-être facilement plié à la volonté des décideurs. Vous n’avez qu’à lui dire qu’il est attaqué, et vous accusez ensuite les pacifistes d’exposer leurs pays au danger, par leur manque de patriotisme. Ça fonctionne de la même façon dans tous les pays.”
Hermann Goering Reich-Maréchal
Armée allemande, Procès Nuremberghttp://lecarnavaldarthenice.blog.fr/2008/09/24/hermann-goering-4773864
C O M M E N T A I R E S : I C I