http://www.nanarland.com/Chroniques/2020texasgladiator/2020f.jpg
Sommaire :
Un monde livré aux requins
par eva R-sistons
Apocalypse financière
Chronique Agora
Le grand théâtre de la "démocratie" sioniste
Aline de Diéguez
Monde fou (suite) !
http://www1.alliancefr.com/bqimages/john-galliano.jpg - http://jeandurieux.elunet.fr/public/jeandurieux.elunet.fr/huma/gosse_gaza.jpg - http://www.ihavenet.com/images/Housing-Market-Crisis-William-Brown.jpg (Vers le désastre : Dette souveraine, politique de la FED et immobilier http://fortune.fdesouche.com/21854-vers-le-desastre-dette-souveraine-politique-de-la-fed-et-immobilier)
Un monde livré aux requins
par eva R-sistons
A l'heure où les Médias se lamentent sur les injures raciales de John Galliano, et donc qu'on nous entretient partout des débordements du sieur en question (qui n'en est pas à sa première provocation), au lieu de continuer à m'indigner, du racisme, de la désinformation, des folies de notre monde, des injustices, je choisis... de me taire. Pour laisser parler Aline de Dieguez, qui vient de publier son dernier texte. Ce qu'elle dit nous change de la Pensée unique. En particulier, elle nous rappelle que pendant qu'on est en train, une fois de plus, d'exonérer Israël de ses crimes, et de se préparer à justifier ses futures exactions dans les eaux internationales envers des humanitaires désarmés, l'Entité sioniste se livre à un pillage très dicret mais bien réel, des gisements d'hydro-carbures et de gaz naturel propriété des Palestiniens. Naturellement, le forfait toléré par l'immonde "Communauté internationale" s'accomplit avec la complicité d'autres spécialistes de la prédation, anglo-saxons.
Galliano dans l'oubli... - http://laplote.blogs.courrierinternational.com
Et voilà : Les Médias aux ordres sont plus prompts à s'émouvoir des paroles déplacées d'une créature extravagante éméchée (sans doute pour nous rappeler qu'à l'heure où il est de bon ton de se livrer à l'islamophobie la plus répugnante, il convient de ne tolérer aucune remarque à tonalité antisémite envers la vache sacrée hébreue) que de dénoncer crimes et vols des apôtres du sionisme international, militaire, financier, impérial, colonial, sans foi ni loi.
L'Occident ne se contente pas de nous mener tous droit dans le mur, en dévastant la planète, en déversant ses poisons partout, en ravageant la vie des peuples, il ferme les yeux sur les pires atrocités en détournant notre attention, en dirigeant nos pensées, via les projecteurs des Médias, sur les turpitudes de notre bas monde. Voici Dominique qui nique nique, ou Galliano qui balance ses insanités entre deux extravagances. Pendant que le bon peuple se divertit, les prédateurs raflent les richesses, installent leurs marionnettes dociles, balkanisent la planète pour mieux l'étouffer, déversent leur uranium enrichi, rackettent les citoyens... et tout va pour le mieux dans le pire des mondes !
Au fait, Israël, toujours à la pointe du progrès, s'apprête à lapider un chien :
" Un tribunal rabbinique ultra-orthodoxe de Jérusalem a récemment condamné à mort par lapidation un chien errant accusé d'être la réincarnation d'un avocat laïque qui avait insulté les juges religieux il y a 20 ans, a rapporté aujourd'hui le site d'information Ynet." http://sos-crise.over-blog.com/article-et-maintenant-meme-un-chien-est-condamne-a-la-lapidation-77056936.html
Nous avions une célèbre BD "Le chat du Rabbin", maintenant nous avons "Le chien du Rabbin". L'Actualité est pleine d'humour !
http://fr.altermedia.info/images/prosperite-300x261.jpg
Et pendant ce temps, la Chroniqe Agora nous promet pour bientôt l'apocalypse financière : "En 2008, ce sont les subprime qui ont servi de déclencheur à la crise. En 2011, un autre coupable est tout trouvé... des centaines de fois plus important que les prêts subprime : la dette des Etats. (..) Faillite de la première puissance économique du monde, ou explosion de la zone Euro ? (..) Je vais plutôt me concentrer sur la menace bien concrète que la Grèce fait peser sur l'argent que vous, moi et chaque Français a sur son compte en banque. C'est très simple : la Grèce a emprunté, et ne peut pas rembourser. Il y a donc de très fortes chances qu'elle fasse défaut - en termes polis, on parlera de "rééchelonnement".. de "reprofilage".. ou de "restructuration".. mais la réalité, c'est qu'elle laissera ses créanciers le bec dans l'eau. Or qui sont ces créanciers ? Les banques européennes, qui détiennent 95 milliards d'euros de dettes grecques publiques ou privées. Et sur ces 95 milliards - accrochez-vous - près de la moitié appartiennent à des banques françaises : 42,3 milliards d'euros pour être exacte. Parmi elles, trois sont particulièrement exposées à la dette grecque. Le 16 juin, l'agence Moody's a menacé de dégrader les notes de la Société Générale, du Crédit Agricole et de la BNP Paribas. Vous imaginez le danger qui pèse sur des établissements financiers possédant des milliards d'euros de créances irrécouvrables. Après tout, il ne suffirait pas de grand'chose pour déclencher une réaction en chaîne qui plongerait l'Europe tout entière dans le chaos : l'Union européenne pourrait ne pas trouver d'accord pour continuer à financer la Grèce, par exemple... ou bien le pays pourrait basculer dans le chaos politique, suite à une aggravation des manifestations qui se déroulent déjà depuis plusieurs jours. Et n'oubliez pas que les banques françaises se retrouveraient en première ligne".
Il est vraiment temps que les peuples mettent hors d'état de nuire les fumiers qui conduisent l'humanité à sa perte, ou, au moins, à la barbarie.
Eva R-sistons
http://r-sistons.over-blog.com
Tags : John Calliano, racisme, antisémitisme, islamophobie, Israël, Palestiniens, hydro-carbures, Médias, gaz naturel, Grèce, Etats-Unis, Europe, faillite, Aline de Dieguez, chat du rabbin, zone euro, Jérusalem, agence Moody's, Europe, BNP Paribas, Crédit Agricole, Société Générale, Chronique Agora...
whois.pho.to
Les marchés ont toutes les chances de basculer
dans quelques jours...
Cher Lecteur,
Pardonnez-moi si je suis un peu abrupte, mais il y a urgence.
Il faut faire vite, parce que ça pue, si vous me passez l'expression. Les marchés ont dévissé ces derniers jours... et je pense que cela ne fait que marquer le début d'un orage financier majeur.
Je m'appelle Simone Wapler ; je suis les marchés financiers depuis de nombreuses années. J'ai vu passer les krachs de 1987... 2001... 2008... et tous les désastres -- mais aussi les opportunités -- qui les accompagnent.
Depuis un an maintenant, je surveille trois grandes tendances macro-économiques, et plusieurs secteurs bien particuliers des marchés, notamment en Europe et aux Etats-Unis.
Mes observations pointent toutes vers la conclusion suivante : nous sommes assis sur une poudrière financière.
Tous les éléments sont réunis pour qu'elle provoque des bouleversements tels que le monde n'en a encore jamais vus. Des deux côtés de l'Atlantique, le danger se précise.
Et l'étincelle nécessaire pour mettre le feu aux poudres pourrait se produire le 30 juin prochain.
Vous voyez pourquoi je vous disais qu'il y a urgence ?
Si cette catastrophe se produit, vous devez être préparé pour y survivre. Il vous faut des informations de professionnel pour vous protéger, vous et votre argent. C'est aussi simple que ça.
C'est aussi la raison de ce message : j'aimerais que vous en sortiez indemne. Je voudrais que vous et votre épargne puissiez survivre à cette tempête.
C'est pour cela que je vous écris aujourd'hui.
Je vous révèlerai dans ce message les deux scénarios "impensables" qui pourraient renverser le système économique et financier mondial dans les mois -- non, les semaines qui viennent.
Nous verrons aussi ensemble que deux placements -- que j'ai soigneusement sélectionnés -- pourraient vous aider à vous protéger contre cet orage. Grâce à eux, pendant que la tempête balaie les marchés, vous pourriez être à l'abri, votre portefeuille couvert contre la chute des indices boursiers.
Mais -- permettez-moi de le répéter -- il est urgent d'agir. Parce que...
Le 30 juin, c'est bientôt !
A vrai dire, plusieurs signes me mettent mal à l'aise -- très mal à l'aise -- ces derniers temps. Parce qu'on retrouvait exactement les mêmes juste avant le krach de 2008 :
- Un recul des marchés émergents : -10% pour l'Inde depuis le début 2011, par exemple. En 2008, c'est l'indice Hang Seng de Hong Kong qui avait servi de signal d'alerte : il avait atteint un sommet en 2007 puis dévissé de 30% dans les cinq mois suivants...
- Des émeutes de la faim ont agité le Moyen-Orient et engendré les révolutions qu'on connaît depuis le mois de février 2011. En 2008, dès le mois d'avril, des émeutes de la faim avaient secoué l'Egypte, le Maroc, l'Indonésie, les Philippines...
- Un krach des matières premières, après avoir connu des records : l'indice matières premières CRB a dépassé les 560 points le 8 février dernier -- il est à 556,91 au moment où j'écris ces lignes. En juillet 2008, il était passé à un sommet de 492, tandis que le pétrole brûlait à 146 $.
En 2008, ce sont les subprime qui ont servi de déclencheur à la crise. En 2011, un autre coupable est tout trouvé... des centaines de fois plus important que les prêts subprime : la dette des Etats.
SCENARIO "IMPENSABLE" N°1
La faillite de la première économie du monde
Je ne vais pas revenir sur la situation cataclysmique des Etats-Unis. Un petit rappel suffit : ils croulent actuellement sous 14 300 milliards de dollars de dette -- au minimum. D'après Bill Gross, investisseur légendaire et président du fonds obligataire PIMCO, le total des programmes de relance, dettes, déficits et obligations non-provisionnées américains pourrait se monter en fait à... 100 000 milliards de dollars.
Evidemment, il est strictement impossible de rembourser une telle somme. Pour financer les gigantesques besoins financiers des Etats-Unis, la Fed a préféré faire marcher la planche à billets... notamment par le biais de l'assouplissement quantitatif, le fameux "QE2", qui lui a permis d'émettre 600 milliards de dollars de liquidités depuis novembre dernier en rachetant les propres obligations du Trésor US.
Cet argent venait bien à propos pour alimenter les marchés boursiers. Sauf que...
Le QE2 prend fin le 30 juin prochain.
La Fed n'a pour l'instant pas laissé entendre que l'opération serait renouvelée... et cela pourrait être le premier domino d'un enchaînement potentiellement catastrophique pour l'économie mondiale.
Rappelez-vous ce qui s'est passé après la fin de la première opération d'assouplissement quantitatif mise en place par la Fed : il n'a fallu que quelques semaines pour voir les économies et les bourses repartir à la baisse, faute d'injection monétaire quotidienne.
La question, maintenant, est de savoir qui va racheter la dette américaine, si la Fed cesse de le faire ? Qui va financer les déficits américains ?
L'Europe ? Au cas où vous auriez vécu sur la planète Mars ces dernières semaines, elle a ses propres soucis et bien peu d'argent à consacrer au renflouage des Etats-Unis.
Le Japon, traditionnellement grand acquéreur de titres US ? Là encore, entre marasme économique et catastrophes naturelles, les Nippons ont fort à faire. Ils rapatrient leur argent pour reconstruire leur pays.
La Chine, plus grand détenteur étranger d'obligations américaines ? Hélas, là-bas aussi, le ciel s'assombrit : la bulle immobilière semble commencer à se dégonfler... tandis que l'inflation galopante fait descendre les Chinois dans la rue. La Chine a d'autres chats à fouetter que de renflouer les Américains
Non... il n'y a personne. Et c'est précisément ce manque de recours extérieur qui m'inquiète le plus. Les marchés pourraient juger que sans l'oxygène financier du QE2, les Etats-Unis sont littéralement en "mort économique cérébrale".
La première puissance économique au monde ne vaudrait alors guère mieux que la Grèce. Le chaos s'ensuivrait. La perte de confiance dans le dollar -- qui est la monnaie étalon mondiale -- provoquerait un effondrement massif des marchés actions ET obligataires.
Dans la panique qui suivrait la réalisation d'une telle hypothèse, tout serait vendu. Des milliers de milliards d'euros d'actifs en tous genres s'évaporeraient dans le monde entier. Ce serait la GAF -- la Grande Apocalypse Financière que je prévois de longue date.
"Allons donc ! Les Etats-Unis, en faillite ? La première économie au monde ? Impossible", vous dites-vous peut-être. "Ils sont trop gros pour couler".
C'est sans doute aussi ce que ce sont dit les investisseurs de Lehman Brothers avant son effondrement à l'automne 2008 : "allons donc ! Lehman, en faillite ? Une maison centenaire ? Impossible. Ils sont trop gros pour couler".
Sauf que l'impensable s'est produit. Et la situation actuelle est si tendue... la surchauffe est telle pour le système financier mondial... que l'explosion tant redoutée pourrait se produire.
Et dans ce cas, comment vous protéger ?
La réponse est en réalité assez simple...
Misez sur ce qui va baisser !
Et surtout, misez sur ce qui va le plus baisser.
En cas de krach, "les derniers sont les premiers". L'actif qui a monté le plus récemment -- et le plus fort -- est généralement celui qui s'effondre le premier -- et le plus violemment.
Il ne reste plus qu'à déterminer quels actifs sont les plus en vogue juste avant que le marché ne se retourne... et pour les vendre dès quand la baisse se matérialise.
Dans le cas présent, j'ai isolé un secteur bien particulier du marché américain qui fait énormément parler de lui ces dernières semaines. Je pense qu'une véritable "bulle dans la bulle" est en train de s'y créer.(..)
Vous verrez que les Etats-Unis ne sont de loin pas la seule menace à peser sur votre patrimoine, et pourquoi il est vraiment urgent de mettre en place des mesures de protection.
SCENARIO "IMPENSABLE" N°2
L'explosion de la Zone euro
Là encore, les signes se multiplient.
La presse grand public commence à aborder le sujet. L'économiste Nouriel Roubini, qui avait prévu la crise des subprime, envisage la disparition de la Zone euro d'ici cinq ans... Bref, cela pourrait bientôt sentir le roussi pour la monnaie unique.
Permettez-moi de faire un bref récapitulatif de la situation.
Je ne vous apprends rien en vous disant que la Grèce est au coeur du problème. Profondément endettée, avec une croissance en panne, elle sombre -- et menace d'entraîner toute la Zone euro dans sa chute.
En mai dernier, elle a reçu 110 milliards de dollars d'aide de la part de l'Union européenne et du FMI. Aujourd'hui, il lui faudrait une nouvelle rallonge monétaire... et ne parlons même pas de commencer à rembourser tout ce qu'elle doit.
Il y aurait beaucoup à dire sur les enjeux économiques et monétaires qui entourent la Grèce, mais je ne vais pas vous faire toute une tartine sur le sujet ; il suffit d'ouvrir votre journal pour en avoir tout votre content.
Je vais plutôt me concentrer sur la menace bien concrète que la Grèce fait peser sur l'argent que vous, moi et chaque Français a sur son compte en banque.
C'est très simple : la Grèce a emprunté, et ne peut pas rembourser. Il y a donc de très fortes chances qu'elle fasse défaut -- en termes polis, on parlera de "rééchelonnement"... de "reprofilage"... ou de "restructuration"... mais la réalité, c'est qu'elle laissera ses créanciers le bec dans l'eau.
Or qui sont ces créanciers ?
Les banques européennes, qui détiennent 95 milliards d'euros de dettes grecques publiques ou privées.
Et sur ces 95 milliards -- accrochez-vous -- près de la moitié appartiennent à des banques françaises : 42,3 milliards d'euros pour être exacte. Parmi elles, trois sont particulièrement exposées à la dette grecque. Le 16 juin, l'agence Moody's a menacé de dégrader les notes de la Société Générale, du Crédit Agricole et de la BNP Paribas.
Vous imaginez le danger qui pèse sur des établissements financiers possédant des milliards d'euros de créances irrécouvrables. Après tout, il ne suffirait pas de grand'chose pour déclencher une réaction en chaîne qui plongerait l'Europe tout entière dans le chaos : l'Union européenne pourrait ne pas trouver d'accord pour continuer à financer la Grèce, par exemple... ou bien le pays pourrait basculer dans le chaos politique, suite à une aggravation des manifestations qui se déroulent déjà depuis plusieurs jours.
Et n'oubliez pas que les banques françaises se retrouveraient en première ligne.
Le sommet extraordinaire qui devait se tenir à Bruxelles les 23 et 24 juin pour tenter d'apporter des réponses au problème grec a été reporté au 3 juillet. Selon l'issue de cette réunion... la situation pourrait être très différente dès le 4 juillet
C'est AVANT qui faut vous y préparer
Je ne dis pas ça à la légère.
"Personne ne s'est jamais tordu les mains
de désespoir pour avoir pris trop de précautions"
Cette phrase me vient de mon grand'père. Je l'ai toujours gardée en tête -- et elle ne m'a jamais desservie.
(..) En matière d'investissement, il faut savoir prendre des risques... mais aussi assurer ses arrières en prenant des précautions. Tout le monde peut faire fortune quand les marchés grimpent. C'est quand ils baissent que les vrais investisseurs se révèlent. (..)
M. le Marché adore les surprises. Tous les facteurs semblent réunis pour une baisse fracassante dans les semaines qui viennent... mais ce ne serait pas la première fois que les choses ne se déroulent pas comme le prévoit le consensus.
Ensuite, les autorités économiques et politiques mondiales sont prêtes à tout pour empêcher les événements de suivre leur cours. Elles nous ont habitués à toutes sortes de manoeuvres et tours de passe-passe, et pourraient tout à fait réussir -- comme en 2008 -- à éviter un effondrement boursier.
Et même si tout se passe comme je le prévois, l'orage finira par passer -- et de nombreuses valeurs boursières s'en remettront.(..)
- Réexaminez en profondeur toutes les actions que vous avez. Etes-vous sûr de leur solidité ? S'agit-il de leaders mondiaux ou de valeurs de croissance qui ont tout pour devenir les leaders mondiaux ? Rapportent-elles du rendement de manière stable et régulière ? Qu'en est-il de leurs dividendes ?
- Assurez-vous d'avoir des liquidités en prenant notamment vos bénéfices sur vos plus belles plus-values. Je sais que le rendement des liquidités est négatif actuellement, mais elles représentent une sorte de forteresse anti-baisse boursière très utile pour s'y retrancher en attendant la fin de la tempête. En plus, grâce à elles, vous pourrez revenir sur les marchés en ramassant de belles valeurs à bon compte une fois l'orage passé.
- Et surtout, j'espère que vous avez de l'or et/ou de l'argent-métal sous forme physique -- ce sont là d'excellents remparts contre les crises boursières, économiques et monétaires.
Le 30 juin n'est pas la seule date à surveiller...
Même si la Fed nous annonce un QE3 en dernière minute, d'autres échéances arrivent bientôt.
Il y a le 2 août pour être précise. Si les républicains et les démocrates ne parviennent pas à se mettre d'accord sur un budget d'ici là... l'Amérique pourrait -- tout comme la Grèce -- être officiellement en faillite. Les fonctionnaires fédéraux ne seraient plus payés, le pays ne pourrait plus assumer ses obligations, le gouvernement serait paralysé, etc.
Il n'y a pas beaucoup de chances que cela arrive, ceci dit. Le plafond de la dette américaine a été relevé à de nombreuses reprises -- 74 fois ces 10 dernières années. Mais les débats autour de la dette US pourraient faire naître de nombreuses tensions sur les marchés... sans parler d'une possible dégradation de la notation de la dette américaine par une agence comme Moody's ou Standard & Poor's si les discussions s'éternisent.
Côté européen,
je ne sais pas par où commencer, tant les facteurs susceptibles de faire basculer les marchés abondent : échec des discussions sur la Grèce avec l'Allemagne... aggravation des troubles sociaux en Grèce même... faillite "surprise" d'un autre pays comme l'Espagne ou l'Irlande... (..)
Simone Wapler
Publications Agora
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AUX SOURCES DU CHAOS MONDIAL ACTUEL
2ème Partie
Aux sources du sionisme
Le grand théâtre de la "démocratie" sioniste
Aline de Diéguez
23 juin 2011
Acte I : Deux célèbres acteurs du théâtre sioniste en tournée mondiale
Lors de sa rencontre du 2 février 2011 avec la Chancelière d'Allemagne, M. Shimon Peres, l'actuel Président de la République d'Israël, jouant les pères nobles, a finement déclaré à la Chancelière d'Allemagne, Mme Angela Merkel, qu'un régime démocratique ne se réduit pas à des élections. M. Peres sous-entendait par là que les sous-hommes arabes n'avaient pas atteint le niveau de développement intellectuel qui permettrait à leurs sociétés de comprendre les subtilités du fonctionnement d'une démocratie. Heureusement qu'Israël est là pour représenter la pointe avancée de l'Occident au milieu d'un océan de barbares, semblait-il jubiler en sous-conversation.
Shimon Peres à Angela Merkel : "Cadeau de la démocratie ..."
Le célèbre chantre de la démocratie sioniste a pris le relais devant son public favori. Œil froid de poisson des grandes profondeurs, le torse bombé, le verbe haut et la lippe dédaigneuse, il s'est planté devant les spectateurs et a entonné avec assurance le grand air de la démocratie sioniste incarnée en sa personne. Le 24 mai 2011, devant un Congrès américain dont l'enthousiasme frisait l'hystérie, l'actuel chef de gouvernement israélien, M. Benjamin Netanyahou a confirmé la haute idée d'eux-mêmes que se font les Israéliens. A cette occasion, il s'est longuement auto-congratulé de ce que son pays "représente ce qui est juste au Moyen Orient"…
Benjamin Netanyahou dans son meilleur rôle
Il a rappelé avec la modestie qu'on lui connaît, combien l'écrivain anglais George Eliot avait vu juste lorsqu'il avait prophétisé, il y a un siècle, qu'une fois établi, "l'État Juif brillera comme une étoile brillante de la liberté au milieu des despotismes de l'Orient". Tel le Dorian Gray du roman d'Oscar Wilde contemplant, pétrifié d'admiration, la splendeur de sa propre personne sur la toile que venait d'achever le peintre Basil Hallward, le rayonnement de la beauté d'Israël irradiait l'orateur et les honorables congressistes américains en furent illuminés comme d'une révélation. Ils ne purent se retenir d'applaudir debout et à cinquante cinq reprises, un discours dont ils saisissaient, dans une clarté fulgurante, la beauté radieuse et la vérité. Quelle belle journée ce fut pour le sionisme international!
Le spectacle avait commencé dans les coulisses, avant la montée sur le podium de l'amphithéâtre qui réunissait les membres de la chambre des représentants et ceux du sénat. Lors de sa progression en direction de la scène, nombreux furent ceux qui firent cercle autour du prophète israélien. Saisis d'une émulation d'obséquiosité, ils se pressaient, se bousculaient, chacun cherchait à le toucher, à humer l'enivrant parfum démocratique qu'exhalait sa personne. S'ils ne s'étaient pas retenus, ils l'auraient plaqué au sol et, comme dans le génial roman de Patrick Suskind, Le Parfum, auraient fini, par amour et "pleins d'une volupté goulue", par planter leurs dents dans sa chair afin de s'approprier "une petite plume, une petite aile" de l'ange de la démocratie sioniste.
Il faut savoir que les dirigeants israéliens bénéficient d'alliés solidement pourvus en arguments sonnants et trébuchants et les honorables parlementaires américains portent tous à la ceinture un sac, toujours grand ouvert, destiné à recueillir une manne miraculeuse de billets verts capable d'effacer des consciences les taches ou même les ombres que les crimes du héros fêté en ce 24 mai de l'an de grâce 2011 auraient pu y imprimer. Cet "effet téflon" est universellement connu et permet aux heureux bénéficiaires de la rosée financière d'oublier que tous les grands assassins, de Staline à Hitler en passant par Mao-Dzedong et tant d'autres, ont suscité un enthousiasme débordant des foules, avant de terminer leur carrière dans les "poubelles de l'histoire" sans que leurs anciens admirateurs éprouvent le plus petit sentiment de honte ou même le moindre trouble de mauvaise conscience de leur tourner le dos du jour au lendemain. Tout juste certains ont-ils l'estomac un peu lourd d'avoir avalé si longtemps une nourriture avariée.
Tout à son triomphe, M. Benjamin Netanyahou ne voit pas que les lourds nuages qui annoncent l'entrée en scène de Némesis s'amoncellent déjà à l'horizon . "Netanyahu nie l'existence d'une crise, mais les Américains sont toujours furieux" titrait le Ha'aretz du 23 mai 2011. Pire que cela, une confidence d'un officiel israélien aurait révélé au journaliste israélien Barak Ravid, que les sentiments de la secrétaire d'État, Hillary Clinton, à l'égard de Netanyahu "allaient de la répugnance à la haine".
On sent que le drame est en train de se nouer, mais comme dans toute grande tragédie classique, les héros, aveuglés par leur propre hubris, ne voient rien venir. Assuré d'avoir envoyé au tapis d'un petit coup de pied vicieux sous la ceinture, un Président Obama, qui s'est réfugié auprès de la reine d'Angleterre, pendant que lui-même et ses acolytes de l'AIPAC se rendaient maîtres de la politique étrangère américaine, notre héros ne touche plus terre. L'auto-satisfaction lui donnant des ailes, il oublie que l'histoire galope plus vite qu'un éventuel Zorro américain sauveur, en attente d'un second mandat libérateur, et qui risque fort d'arriver trop tard. [1]
Acte II : Où l'on découvre qu'un miracle est à l'origine du théâtre sioniste
Comme il est touchant, en effet, le portrait idéal de "la seule démocratie du Moyen Orient" que les Israéliens tentent, depuis un demi-siècle, d'imposer au reste du monde: une "villa dans la jungle", un îlot de civilisés entouré d'une horde de sauvages! Non seulement cet Etat se vit comme un modèle de démocratie, mais il se glorifie d'être un phénomène unique dans l'histoire de l'humanité, un miracle politique.
Or, Israël est bien le fruit d'un miracle, le miracle du déferlement dans l'histoire contemporaine d'un imaginaire religieux demeuré intact depuis la préhistoire, et aussi puissamment clos sur lui-même qu'une casemate en béton armé de la Wehrmacht surgie au milieu des frêles châteaux de sable des idéologies démocratiques contemporaines. Avec l'idéologie sioniste, une fiction qui s'est successivement métamorphosée en théologie, puis en histoire et enfin en politique a brutalement envahi l'espace mental de la réalité mondiale et tel un dinosaure sauropode, écrasant de ses grosses pattes écailleuses toutes les lois internationales, il a débarqué au milieu d'un troupeau de moutons, provoquant la stupeur et la panique au sein d'une masse d'ovins bêlant la délicate mélodie des principes démocratiques, mais bien décidés à ne pas bouger une patte pour les faire respecter sur ce petit morceau de terre.
Un des exemples les plus récents de l'efficacité remarquable du sauropode sioniste est fournie par la manière dont il est capable de réduire en bouillie les vertueuses proclamations morales de la "communauté internationale" représentée par son Vatican sis à New-York. Il suffit, pour cela, d'écouter la dernière déclaration de son pape actuel, un asiatique dénommé Ban Ki-Moon. Il faut savoir que celui-ci lorgnait la prolongation de sa présence à la direction d'une institution qui offre à son chef le généreux pot de miel de trois cent mille dollars par an. Pour jouir de cette savoureuse gelée royale, il suffit à notre butineur de faire semblant de défendre le droit et la liberté dans le monde. Notre papal Coréen, qui vient d'être réélu à son poste pour un nouveau mandat de cinq ans, avait compris quelles sont les forces à ne pas mécontenter afin de continuer de jouir des trésors de la caverne d'Ali Baba onusienne.
M. Ban Ki-Moon: "Je condamne la flottille ou je la soutiens that is the question!"
Fort de cette connaissance essentielle pour le confort de son propre avenir, et comme tout pape qui se respecte, Ban Ki-Moon 1er a donc proclamé sa liste personnelle d'interdits .
Primo, il déclare illégale la seconde flottille humanitaire conduite par les volontaires désarmés en provenance du monde entier et qui devait prendre la mer à la fin du mois de juin en direction des assiégés et des affamés de Gaza et afin de rompre un blocus militaire illégal d'une province et d'une population d'un million sept cent mille personnes prises en otage par un état colonisateur. Or, un Etat ne peut imposer un blocus à un autre Etat que s'il existe une déclaration de guerre formelle entre eux ou s'il bénéficie de l'aval de l'ONU. Le blocus de Gaza est d'autant plus illégal en droit international que les territoires palestiniens ne sont pas des Etats, mais sont considérés comme des "territoires occupés". C'est donc en violation de la charte des Nations-Unies dont M. Ban Ki-Moon est, en principe, le gardien, que l'Etat colonisateur a établi un sévère blocus punitif terrestre, naval et aérien contre une population civile.
Secundo, un M. Ban à la mémoire courte et à la morale sélective demande donc aux pays d'où sont originaires les héroïques citoyens contraints de suppléer sa propre défaillance, de les empêcher de prendre la mer.
Tertio: Explicitant sans complexe sa position, notre papal Coréen affirme sans sourciller que les humanitaires désarmés porteurs de nourriture, de matériel médical et de matériaux de construction afin de permettre aux prisonniers du goulag de Gaza de réparer les maisons volontairement détruites par les saints missiles du "peuple élu", sont en réalité une armée agressive menant "une action militaire contre Israël".
En conséquence, le représentant officiel du droit international vient non moins officiellement d'autoriser un Etat baignant en toute quiétude dans l'illégalité depuis sa création et qui traite la centaine de résolutions condamnant sa politique coloniale de chiffons de papier, de poursuivre un blocus criminel. En vertu du bon plaisir du pape de service chargé de veiller à l'application des idéaux de la démocratie, l'Etat sioniste se verrait autorisé à empêcher la flottille d'arriver à Gaza, serait justifié d'arraisonner les bateaux, y compris par la force et même dans les eaux internationales. De plus, il serait excusé s'il assassinait les volontaires désarmés qui aurait pris place sur ces navires, le tout en vertu de l'application d'un "droit de la guerre" qui autorise un Etat "militairement attaqué" à se défendre.
Qu'aurait pensé la vertueuse "communauté internationale" si, lors du blocus de la ville Berlin par l'Union soviétique le pont aérien américain qui avait permis à la ville de continuer de vivre avait été déclaré illégal? Mais ce n'est pas la même chose, me dira-t-on, Berlin et les Berlinois étaient précieux. impossible de les laisser mourir de faim. Aucun dirigeant occidental ne se risquera à proclamer haut et fort que le destin des Palestiniens est aussi important que celui des Berlinois. Et surtout pas une Allemagne confite dans les remords de son passé nazi et qui n'arrête pas d'expier ses crimes sur le dos des Palestiniens. L'Allemagne nazie a été responsable du martyre des juifs, l'Allemagne démocratique, le plus fidèle soutien du régime sioniste, est complice du martyre des Palestiniens.
Mais l'affaire se situe probablement à un étage beaucoup plus secret que celui de humanitaire. M. Ban Ki-Moon n'ignore pas qu'Israël s'active frénétiquement dans les eaux territoriales de Gaza et du Liban afin de mettre la main, avec la complicité des sociétés pétrolières anglo-saxonnes, sur la totalité des immenses gisements d'hydrocarbures et surtout de gaz naturel, dont le plus important appartient en propre au territoire palestinien occupé.
Il est vital pour l'occupant d'interdire à tout navire, palestinien ou étranger, de venir rôder autour des forages-pirates auxquels il est en train de procéder et de constater le pillage à grande échelle qui se prépare au détriment des prisonniers de Gaza. En vertu du mécanisme bien connu des poupées russes, les vilenies de l'occupant s'emboîtent les unes dans les autres. Chaque boîte en renferme une nouvelle et la pire se cache dans la dernière boîte. Ce sont ces spoliations en chaîne que les flottilles humanitaires risquent de démasquer et on comprend mieux pourquoi le diplomate coréen qui préside aux destinées des Nations Unies a parlé d' "action militaire contre Israël". On sort, en effet, de l'action strictement humanitaire pour pénétrer sur un terrain familier aux amis de M. Ban Ki-Moon: la guerre secrète que mène l'Etat sioniste afin de s'approprier la totalité des ressources en gaz naturel découvertes au large de la bande de Gaza .
J'écrivais déjà le 13 janvier 2009, au moment même où Israël illuminait le ciel de Gaza avec ses bombes au phosphore blanc que "la vérité est le pire ennemi des tyrans. Le monde découvrira enfin que sous les innombrables pelures de mensonges assénés par la propagande sioniste et répercutés tels quels par une presse docile, la guerre israélienne soutenue par les compagnies gazières européennes et par leurs gouvernements est la soeur jumelle de la guerre d'Irak menée par l'empire américain: il s'agit de dépouiller les Palestiniens d'une ressource naturelle très importante: le gaz."
Voir : 14 - L'axe de l'apocalypse se rue à l'assaut du camp de concentration de Gaza...
Et après cela qui osera encore prétendre qu'Israël n'est pas un "miracle politique", alors que tout le monde peut voir comment une poignée de quelques centaines de milliers d'individus est capable de piétiner la conscience et le sens moral de milliards d'hommes et de femmes indignés dans le monde entier, de ridiculiser le représentant officiel du droit international, de prouver urbi et orbi que ce groupe humain jouit du pouvoir de retourner à son profit toute personnalité officielle comme une vieille chaussette, de la mettre à son service et de lui faire déclarer le contraire de ce pour quoi elle est mandatée?
C'est un peu comme si, un dimanche matin, du haut de son balcon, le pape Benoît XVI proclamait que dorénavant, il est interdit aux honnêtes chrétiens d'empêcher les voleurs et les assassins de commettre leurs forfaits, car ce serait entreprendre une "action militaire" contre les malfaiteurs.
Naturellement, le pape chrétien ne proclamera rien de tel. En fait, il ne proclamera pas non plus son soutien aux héroïques volontaires qui embarqueront sur les coquilles de noix de la flottille et feront face, poitrine nue, aux commandos de marine sionistes armés jusqu'aux dents et qu'on a vus à l'oeuvre lors de la tentative de la première flottille de briser le blocus de Gaza. Le christianisme est vieux, très vieux, trop vieux. Il n'a plus la sève qui donne la force de l'insurrection morale portée par une rude et franche parole officielle qui mettrait les corps en mouvement. Il n'est plus capable que de sussurer des platitudes bien-pensantes sous la forme d'homélies gémissantes et chevrotantes qui frôlent les oreilles des auditeurs sans toucher leurs âmes. Néanmoins trois courageux évêques catholiques et l'ancien président de la Fédération protestante de France se sont prononcés en faveur de la flottille. [2] Saluons-les.
Mais ni les héroïques bénévoles décidés à braver la violence et les menaces de l'Etat sioniste, ni les jeunes Palestiniens caressés par les grands vents qui soufflent "sur toutes faces des vivants" ne prêtent plus la moindre attention aux radotages des représentants momifiés d'une "communauté internationale" dépourvue de conscience. "Malgré la prétendue communauté internationale, et contre la colonie sioniste, nous retournerons en Palestine" crient-ils aux frontières de leur patrie. Et c'est avec leur sang, le sang des victimes de la violente répression de la soldatesque sioniste, qu'ils scellent leur serment. [3]
Comme l'écrivait magnifiquement le poète tunisien Abou el Kacem Chebbi (1909- 1934),
Lorsque le peuple un jour veut la vie
Force est au destin de répondre
Aux ténèbres de se dissiper
Aux chaînes de se briser...
Acte III - Où l'on s'aperçoit que l'idéologie sioniste plonge profondément ses racines dans le Talmud
La théologie - donc l'idéologie - de l'Etat sioniste interprétée dans le sens le plus matériel et le plus grossièrement réaliste demeure donc son ADM, son increvable Arme de Destruction Massive de la Raison. Inentamable et indestructible, ce bouclier, miroir du fonctionnement du cerveau des tenants de cette fiction, est devenu l'alibi religieux d'une politique agressivement coloniale dont la brutalité se nourrit de son impunité depuis un demi siècle. Efficacement étayé par la puissance financière de membres de cette communauté qui occupent des postes-clés dans les instances financières et internationales, le récit fictif auto-justificatif permet au sionisme de donner libre cours à sa volonté de puissance, de se lancer à la conquête du Moyen Orient et de faire fi, avec un mépris non dissimulé, des timides admonestations des Etats dits démocratiques.
Mais la Thora n'est pas la seule source de l'idéologie sioniste. En effet, c'est le Talmud qui est l’objet principal des études dans les nombreuses écoles rabbiniques. C'est lui qui, depuis des siècles, modèle en profondeur la psychologie du groupe et ce d'autant plus efficacement que de nombreux rabbins le considèrent comme un code spirituel supérieur même à la Thora. C'est dans le Talmud commenté par des rabbins fanatiques que les étudiants des nombreuses yeshiva, notamment dans les colonies juives de Cisjordanie, apprennent que seul " le peuple élu est digne de la vie éternelle et que les autres peuples sont semblables aux ânes" ( Comm. du Hos. IV, Fol. 230, col. 4.) ou que "les maisons des goïm sont des maisons d'animaux " ( Sepher Leb Tob, Fol. 46a.).
Les cahiers du Talmud dit de Jérusalem furent édités en un volume vers l'an 230, alors que celui, dit de Babylone fut rédigé par des rabbins restés en Mésopotamie après la déportation des notables judéens par Nabuchodonosor. Il compte quatorze in-folios et ne fut achevé que vers l'an 500. C'est le plus important des deux.
Le Talmud
A partir du Talmud il est enseigné qu' "il est permis de tromper un goy et de pratiquer l'usure à son égard, mais si vous vendez quelque chose à votre prochain (c'est-à-dire à un juif) ou si vous achetez quelque chose de lui, il ne vous est pas permis de le tromper". ( Tract. Baba Mez., Fol. 61a. v. Tosaphoth a. l., et Tract. Bechoroth, Fol. 13b). Et il est expressément précisé qu' "il est permis à un israélite, de faire du tort à un goy" (Tract. Sanhedrin, Fol. 57a.), de le voler ou de faire des faux témoignages. Il est même interdit de "rendre au goy ce qu'il a perdu ", car "celui qui rend au goy ce que celui-ci a perdu, ne trouvera pas grâce auprès de Dieu". (Tract. Sanhedrin, Fol 76b, et Tract. Baba Qamma, Fol. 113b.)
Comment s'étonner que des esprits formés à un apprentissage du mépris et de la haine à l'encontre tout ce qui n'est pas juif, se transforment en prédateurs sans foi ni loi et qu'une soldatesque de plus en plus sensible aux discours des rabbins les plus fanatiques s'amuse à tout détruire dès qu'elle pose un pied dans une maison palestinienne et maltraite même les enfants. Bien souvent, elle y ajoute des souillures nauséabondes. Les pires exactions semblent toutes naturelles aux colons fanatiques, encouragés par leurs rabbins, puisque le Talmud a prévu qu' "envers un animal on ne pratique pas la charité du prochain".(11 - V. Tract. Ab. Zar., Fol. 26b.)
Lorsqu'on lit que "le Messie rendra aux juifs le sceptre royal du monde, que tous les peuples le serviront et que tous les royaumes lui seront soumis" (Tract. Sanhedrin, Fol. 88b et 99a.), ou que "le Messie recevra les dons de tous les peuples et qu'il ne refusera que ceux des chrétiens. Les juifs seront alors immensément riches" (Tract. Pesachim, Fol. 118b.), on se dit qu'un Etat sioniste qui laisse enseigner ce genre de prescription ne pourra jamais vivre en paix avec des voisins. Un autre passage précise que "tous les trésors des peuples passeront dans leurs mains" et que "leur trésorerie sera si grande, qu'on aura besoin de trois cents ânesses pour porter les clefs des portes et des serrures." (Tract. Pesachim, Fol. 119, et Tract. Sanhedrin, Fol. 110b) En conséquence, "tous les peuples se convertiront à la religion judaïque".
Des textes comme ceux du Talmud constituent une véritable spectrographie de l'inconscient d'une société. Tout ce qui est habituellement refoulé dans les groupes humains policés se déverse dans ces commentaires en un noir flot tumultueux, grouillant de fantasmes érotiques, de désirs de mort, de haine, de rêves de puissance, de mesquineries à l'égard d'autres groupes humains. Dans ce magma surnagent parfois quelques pépites qui empêchent de désespérer des hommes.
On ne peut pas comprendre l'attitude de M. Netanyahou lors de son discours au congrès ou son mépris visible pour le Président Obama si l'on ne voit pas qu'ils sont un reflet de préceptes talmudiques. Même les Israéliens qui ne sont pas des lecteurs assidus des textes religieux baignent dès l'enfance dans une atmosphère qui prédétermine une attitude méprisante à l'égard des Palestiniens en l'occurrence, mais également à l'égard de tous les non-juifs, stigmatisés sous le nom générique de goims. C'est pourquoi seule l'étude de l'arrière-monde religieux d'une société ou d'une civilisation permet de saisir à quel point les mythes religieux sont une projection du mode de fonctionnement des cerveaux qui les ont conçus, et comment, en retour, dans une sorte de trajectoire du boomerang, ou de mouvement circulaire, ils influencent les mentalités, donc les comportements sociaux et politiques du groupe humain concerné et en prédéterminent les décisions ou les comportements.[4]
voir Les analyses de " Théopolitique " du philosophe Manuel de Diéguez
On comprend pourquoi, dès les premiers jours qui ont suivi la déclaration d'indépendance du 14 mai 1948, David Grün-Ben-Gourion a déployé une farouche et inlassable énergie afin que la Bible devînt la source unique de l'histoire d'Israël et que la fiction fût définitivement métamorphosée en vérité historique. Les généalogies imaginaires, les récits d'accrochages entre tribus devenant d'homériques batailles de géants, les cajoleries, les admonestations et les "cadeaux" territoriaux de la divinité privée de cette ethnie étaient censés se substituer aux réalités historiques, aux règles internationales, au droit public et privé ainsi qu'à tous les principes moraux universels sur lesquels se sont édifiées les sociétés policées depuis deux millénaires.
Le Talmud et la Thora qui logent dans les méandres les plus secrets des cervelles sont les véritables moteurs de la politique sioniste.
Voir David Grün, alias Ben Gourion, et la naissance de l'"Etat juif"
Acte IV : Où l'on découvre que le hasard s'est invité dans le scénario : " C'était un jour imprégné de l'odeur de l'histoire et de l'éternité " (Abdelwahab Elmessiri)
L'arrogance et le mépris à l'égard des peuples voisins, conséquence logique de la croyance à une "élection divine" particulière, confortée par les commentaires du Talmud, caractérisent si profondément la mentalité israélienne que l'explosion du "printemps arabe" a pétrifié de stupeur tout ce qui détient un milligramme de pouvoir dans un Etat dont la politique étrangère officielle n'est que la partie émergée d'un iceberg composé, sous la ligne de flottaison, d'un empilement de services secrets connus pour espionner la planète entière, pour disposer dans tous les pays du monde de milliers de relais dans la presse et les médias, mobilisés dans la minute en faveur de la patrie de leur cœur, ainsi que d'équipes de tueurs prêts à opérer impunément partout dans le monde. Mme Tzippi Livni, ancienne ministre des affaires étrangères et actuelle responsable d'un parti d'opposition, a commencé sa carrière dans une équipe de ce genre.
De plus, les escadrons de la mort israéliens ont été expressément autorisés à opérer dans des pays "amis" afin d'y assassiner les "ennemis de l'Etat d'Israël". Les lamentations d'Israël sur le "terrorisme palestinien" doivent donc être interprétées comme la forme suprême de la chutzpah ou de l'humour noir. On sait que durant toute la première moitié du XXe siècle, un terrorisme juif d'une efficacité remarquable fut utilisé comme seule stratégie militaire contre les autorités britanniques d'abord qui, à partir de la signature du traité de Sèvres en 1920 et jusqu'en 1947 prirent la place de l'empire ottoman vaincu. Ce n'est pas le lieu de rappeler la liste des crimes terroristes commis par les nombreux groupes terroristes sionistes puissamment armés et entraînés ont semé la terreur dans les villes et les villages palestiniens.
Voir Israël du mythe à l'histoire
Aux dernières nouvelles, la cour suprême israélienne vient d'autoriser officiellement les attentats de Tsahal ou du Mossad - des "assassinats ciblés" - contre les Palestiniens ou les étrangers catalogués "ennemis d'Israël ". [5]
Provoquer la panique et pousser les habitants légitimes à s'enfuir afin d'échapper à la mort était le but recherché, le vide étant immédiatement comblé par les cohortes d'immigrants appâtés par des avantages financiers offerts par les généreux donateurs sis dans les pays anglo-saxons. Pour parfaire le nettoyage ethnique, des villages entiers ont été totalement rasés. Il fallait effacer jusqu'au souvenir de leur existence.
L'exemple du village d'Emmaüs touchera particulièrement le coeur des chrétiens. Selon l'Evangile de Luc (24, 13-35), "le troisième jour après la mort de Jésus, deux disciples faisaient route vers un village appelé Emmaüs, à deux heures de marche de Jérusalem, et ils parlaient ensemble de tout ce qui s’était passé. Or, tandis qu’ils parlaient et discutaient, Jésus lui-même s’approcha, et il marchait avec eux. Mais leurs yeux étaient aveuglés, et ils ne le reconnaissaient pas."
Aucun pélerin ne fera plus jamais route vers un village appelé Emmaüs
Le village d'Emmaüs que les pélerins dont parle l'évangéliste auraient pu reconnaître ('Imwas -General view of our beautiful village in 1958 - before destruction Photo, Pierre Medebielle ) |
Alerte ! Mouvement de troupes militaires aux Etats-Unis
Les camionneurs rapportent des mouvements de troupes militaires a travers tous les Etats Unis, la FEMA est impliquee.
Le Hub Intel
Alex Thomas
20 juin 2011
Lire ici :
http://noxmail.us/Syl20Jonathan/?p=24495
http://farm2.static.flickr.com/1138/1393701568_2cc3019d96.jpg
Génocide ! A la demande de l’Allemagne et de la Suède, l’UE réduit l’aide alimentaire aux plus démunis !
Alors qu’en quelques heures on trouve des milliards d’euros pour renflouer sans conditions les banques du cartel Inter Alpha, le budget annuel du PEAD (Programme européen d’aide aux plus démunis) est amputé brutalement en passant d’environ 500 millions d’euros à 113, une baisse de 80% !
Lire ici :
http://www.solidariteetprogres.org/Genocide-A-la-demande-de-l-Allemagne-et-de-la-Suede-l-UE-reduit-l-aide_07839
UE: Argent pour les riches, pas pour les pauvres (réduction aide alimentaire)
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Le futur grand marché transatlantique
par Jean-Claude Paye
Alors que les opinions publiques européennes s’esbaudissent devant le nouveau président des États-Unis, le fringant Barack Obama, le processus d’absorption de l’Union européenne dans l’espace économique et juridique états-unien se poursuit. Le sociologue Jean-Claude Paye observe la construction progressive de l’empire transatlantique et la volonté de ses promoteurs de marchandiser les libertés individuelles.
Le grand marché transatlantique
Commentaire reçu sur ce post, et réponse d'eva R-sistons sur son blog sos-crise:
Bonjour Eva,
Bien évidemment je comdamne aussi cet acte. Mais avec tous ce qui se passe en ce moment, avec ce risque de Guerre Mondiale. Je me demande si ceci n'est pas fait exprès ? D'abord 3 militaires d'origines étrangères et maintenant, des enfants Juifs tués en si peu de temp ! C'est très bizarre que ce genre de chose arrive en plein élection présidentielle.
22 h 30 :
Bonjour Henry
J'étais justement en train de me dire la même chose, après réflexion. Voyons les faits. Un individu déterminé et calme tue de sang-froid, il n'y a personne pour l'empêcher, nous sommes en présence de 2 crimes (le lien est établi) que le Média aux ordres de l'Oligarchie militaro-financière C dans l'Air commence à relier aux nazis ou aux Islamistes, et puis un même mode opératoire avec une seule personne, une arme identique, et aussi une organisation parfaite et en pleine campagne électorale. Une campagne qui, d'ailleurs, devrait voir Sarkozy battu au 2e tour. Question : A qui profite le crime ? Acte antisémite ? Racisme ? Terrorisme ? Ou quoi d'autre ?
Concrètement, puisque mathématiquement Sarkozy devrait être battu, il a intérêt à orienter la campagne électorale. On s'y attendait, d'ailleurs. Détourner le débat des questions économico-sociales prioritaires ? Réduire le temps de parole des candidats donc des alternatifs alors que justement il commençait à être équitable ? Mettre la question de l'insécurité au centre des préoccupations - et donc c'est tout bénéfice pour l'Occupant de l'Elysée ("Un sentiment d'inquiétude commence à se faire jour" - sur FR2 la télé orchestrée par de fervents sionistes -, et Pujadas déclare : Piste islamiste, ou ultra-droite ? Une fois de plus, on accuse les Musulmans, c'est payant sur le plan électoral) ? L'enjeu est important : Pour Ségolène Royal, si N. Sarkozy perd l'Election présidentielle, il perd aussi son immunité parlementaire et donc il devra s'expliquer devant la Justice sur "un certain nombre de problèmes de corruption" comme l'Affaire Karachi, les accusations du fils de Kadhafi (son père aurait financé la campagne de Sarkozy), sur l'affaire Woerth-Bettencourt, et d'autres casseroles... Une pétition circule d'ailleurs contre Sarkozy afin qu'il soit traduit devant la Cour Pénale Internationale (Pétition Plainte contre M. Nicolas Sarkozy devant la Cour Pénale Internationale).
A l'instant, je vois un titre dans la presse : "Tout le monde s'identifie"... aux militaires, ou aux enfants juifs donc aux Juifs ?
Pour moi, les crimes sont trop "parfaits", trop bien exécutés, pour être l'oeuvre d'un malade, d'un isolé, d'un raciste. Non, c'est l'oeuvre d'un professionnel. Quel professionnel ? Terrorisme d'Etat profitant au candidat Sarkozy pour les raisons qui précèdent ? Ou autre chose ?
Si l'on se réfère à la très sérieuse étude de la philosophe-écrivain Aline de Dieguez (http://aline.dedieguez.pagesperso-orange.fr/mariali/chaos/house.html) sur les sources du chaos mondial, il y a le sionisme international. Il faut bien différencier les Juifs bibliques (fidèles à la Thora) et les Juifs talmudistes (avec des idées centrales, celles de peuple Elu, de Grand Israël, de domination du monde, d'extermination des Goys ou de leur mise en esclavage, autrement dit une idéologie très dangereuse, un racisme monstrueux, inégalé, inégalable). Dans ces conditions, on voit mieux la source de l'antisémitisme planétaire, prenant ses racines dans le comportement même des Juifs talmudistes (et non de ceux de la Thora), élitistes, fanatiques, racistes, haineux, etc, toujours plus repliés sur eux-mêmes et pervers pour les autres (déstabilisation de tous les Etats non-alignés, assassinats ciblés, guerres tous azimuts mais non revendiquées, mafias diverses, armes de destruction massive, terrorisme d'Etat - comme le 11/9, clairement attribué aux agents du MOSSAD -, excroissance financière dévastatrice, et bien d'autres choses comme la pratique du 2 poids 2 mesures, la main-mise sur tous les moyens d'information : Médias, cinéma, livres d'Histoire etc). Donc, cet antisémitisme latent, et motivé par le comportement des victimes elles-mêmes, peut expliquer le crime clairement antisémite contre les petits écoliers juifs. Mais quid de l'assassinat des militaires ? Faut-il parler à l'opinion française en faveur des Juifs, et souder la communauté des militaires autour d'un péril commun (islamiste, évidemment) ?
Là, on peut supposer plusieurs choses. A l'instant même, dans "Ca vous regarde (LCP), on évoque l'événement en disant qu'il peut modifier la campagne électorale. Il peut donc s'agir de terrorisme d'Etat pour provoquer le chaos, le sentiment d'insécurité et par conséquent le recours à l'homme prétendument fort, prétendument providentiel - et donc voici N. Sarkozy réélu. Mais plus subtilement, il peut aussi s'agir de l'instrumentalisation d'un événement (au moment où se prépare la guerre mondiale voulue par Israël et où, dans le même temps, le pseudo Prix Nobel Perès lance une campagne - ne riez pas - "Israël, c'est la paix !") pour à travers des enfants, justement, susciter la compassion envers l'ensemble du peuple juif alors qu'une partie (la "talmudo-sioniste") prépare l'attaque de l'Iran, après la Syrie, entraînant la guerre mondiale de dépopulation - avec à la clef une poignée de rescapés avides de domination, d'accaparement des ressources etc.
En clair, en laissant l'opinion, encore et toujours, s'identifier aux malheurs du peuple juif (la victimisation servant en fait des intérêts loin d'être nobles puisque le culte du Veau d'Or qui pourtant, on se le rappelle, avait suscité la grande colère de Dieu, est plus que jamais vivace), le Pouvoir prépare les Français à accepter la guerre contre l'Iran, et donc - mais on se garde de le dire -, la guerre mondiale de nettoyage ethnique et social, et cela grâce à la compassion pour les enfants, finalement, d'Israël ! Explication certes subtile, mais certainement plus crédible qu'on pourrait l'imaginer... D'autant qu'on ferait ainsi coup double, et même triple ou quadruple : Peur (et donc élection de celui qui se proclame indument "l'homme fort", Sarkozy, échappant ainsi aux poursuites judiciaires) et compassion-identification (pour les citoyens juifs dont une partie va provoquer la solution finale pour l'humanité, la guerre d'extermination des peuples en surnombre). Et au passage, en écartant un possible obstacle à cette guerre, car il est évident que le sioniste F. Hollande, malgré tout moins belliqueux que le va-t-en guerre sioniste Sarkozy, pourrait freiner les projets militaires de dépopulation planétaire et d'appropriation des ressources vitales par quelques Elus de Tel-Aviv, de la City, de Washington.
Et dans cette perspective, un événement comme celui-ci, mine de rien, nous rapprocherait de l'holocauste planétaire, de la tragédie finale....
Eva R-sistons
En écoutant le 22 h de Public Sénat, j'entends ceci : "Libération de la parole raciste en cause". De là à faire un amalgame bien commode entre antisémitisme et antisionisme permettant de taire les crimes sionistes à un moment crucial, de pré-guerre mondiale provoquée... par les sionistes ! La boucle serait alors bouclée... (eva)
NB : Je viens de retirer le mot "petits" (enfants juifs), pour moi amical (comme pauvre petit chou etc) faisant allusion à la jeunesse des enfants, parce que j'ai reçu un commentaire évidemment censuré (agressif, dégoulinant de communautarisme, de sectarisme, de mauvaise foi, d'arrogance, de haine) me reprochant de parler de "petits Juifs", comme si j'employais ce mot de façon péjorative au lieu de faire allusion à l'extrême jeunesse des enfants ! Avec, sous-jacente dans le commentaire, l'idée que le Juif est nécessairement grand, très grand, plus grand que les autres, et donc l'intervenant était vexé par la qualificatif ! Le communautarisme est décidément répugnant, et l'arrogance aussi !