Rien ne va plus entre Sarkozy et l'Armée :

En 2e partie, Tsahal et Ingrid.
Eva, la première à vous annoncer la collusion Services secrets Colombie-US-Israël !
La mésentente glaciale
Lu cet article remarquable sur le blog de l'Aviseur International Sarkozy n'aime pas l'Armée, et réciproquement, il lui préfère la police !!!! "Le roi n’a pas à répondre de la fin de chacun de ses soldats, ni le père de celle de son fils, ni le maître de celle de son serviteur", dit le Henry V de Shakespeare. Il n’empêche : Bruno Cuche, ce soir, est toujours général, mais il ne dirige plus l’armée de terre, qu’il dirigeait depuis juillet 2006. Il a remis sa démission, qui aurait donc été immédiatement acceptée, après l’accident gravissime qui s’est produit ce week-end au 3e Régiment de parachutistes d’infanterie de marine (RPIma), présenté partout jusqu’ici comme le régiment modèle, celui de l’élite de l’Armée de Terre. Evidemment, des rumeurs vont bon train sur le fait qu’en dehors de l’accident le général aurait sévèrement critiqué le livre blanc gouvernemental. L’homme étant manifestement chiraquien, voilà l’occasion rêvée pour une bonne purge en bonne et due forme. Et on ne se prive pas, chez les militaires, passablement remontés contre les rodomontades sarkoziennes, de laisser traîner l’idée dans les rédactions d’un limogeage accéléré pour crise de lèse-majesté surcoufienne. En réalité, Cuche a proposé de lui-même sa démission après tout simplement s’être fait... agresser verbalement par le chef de l’Etat : "Vous êtes des amateurs ! Vous n’êtes pas des professionnels", rapporte le site de notre confrère Secret Défense, comme étant les propos entendus lors de l’arrivée furibarde de Nicolas Sarkozy à Carcassonne. Des propos que s’est empressé de démentir Henri Guaino, qui a vite senti le danger à les rendre publics. Et qui "ne voit pas" lui, le président "parler de l’Armée de cette manière-là", alors que plusieurs témoins les ont bien entendus, ces mots blessants. Guaino n’était pas sur place, mais le ministre des Armées si, qui a recours à un autre type de défense tout aussi maladroite, pour minimiser la violence verbale présidentielle. Certes, cela ne lui coûtait guère, question carrière, au général, de remettre sa démission : il devait quitter ses fonctions en août, atteint par la limite d’âge ! Mais l’assaut présidentiel a été la coupe qui a fait déborder le vase, et sa démission faite pour marquer le coup : Cuche est loin d’être un imbécile, et il l’a montré récemment dans un remarquable discours au Sénat tenu le 11 février dernier, dans lequel perçait en filigrane toutes les craintes d’un alignement aveugle sur les Etats-Unis et ses réticences à engager des troupes en Afghanistan... Reprenons si vous le voulez bien quelques extraits de ces propos... Ils méritent amplement d’être commentés. Son analyse est excellente et perspicace... mais va totalement à l’opposé des désirs élyséens. On comprend mieux aujourd’hui son limogeage... car c’est bien cela qui a été... obtenu. Sur le modèle du limogeage fait récemment par Robert Gates aux Etats-Unis. A croire que notre président ne peut s’empêcher de calquer tout ce qu’il fait sur l’exemple américain. Chez les généraux français, restés gaullistes dans l’âme, l’exaspération est à son comble. Depuis les démissions de Jean Lagarde, en septembre 1980, sous Giscard, et de Jean Delaunay en 1983, on n’avait pas eu ce cas de figure dans le pays. Sur l’Afghanistan, tout d’abord : Le résumé de la présence américaine est une merveille de concision : "Les forces disponibles ne sont pas assez nombreuses, insuffisamment préparées et mal équipées pour affronter des insurgés. Le CEMAT américain de l’époque Shinseki soulève la question de l’insuffisance des effectifs pour contrôler tout le pays. Il doit démissionner. Les faits lui donnent raison. En 2007, le général Petraeus, avec le soutien du Congrès, rétablit partiellement la situation grâce au Surge, c’est-à-dire grâce au déploiement à terre d’effectifs supplémentaires considérables". L’analyse est encore une fois la bonne : pour gagner en Irak, il faut les 500 000 soldats que réclame aujourd’hui Bremer, évincé du rôle d’ambassadeur. En face, ce n’est pas une armée mais des "insurgés" (et non des terroristes !), et le contrôle actuel ne se fait qu’avec appoint d’hommes ou par sectorisation de la capitale par murs de béton érigés. Plus encore qu’ailleurs, c’est l’Armée de terre seule qui peut se charger du travail : à Bagdad, l’aviation est inutile ou inadaptée : on l’a bien vu avec l’absence criante d’avions de type COIN dans l’armée américaine. La France en a... fort peu, ils servent d’avions d’entraînement, ce sont des EMB 312F Tucanos. "En 2006, l’armée israélienne domine les airs et la mer. Mais cette fois-ci, elle ne domine pas le champ de bataille terrestre. La résistance du Hezbollah, symbolisée par l’échec de l’attaque israélienne contre Bint Jubayl, révèle l’aveuglement quant au supposé rôle décisif de la campagne aérienne. Elle souligne également l’insuffisance de la préparation opérationnelle des forces terrestres en regard d’un adversaire qui s’est durci en quelques années et du prisme déformant des opérations de police contre les Palestiniens. Ce qu’un général de Tsahal traduira comme la « perversion » de la force par la focalisation sur un seul type d’opérations." Une fois encore, Cuche, à juste raison, plaide pour sa paroisse, certes, mais il est patent qu’au Liban les frappes massives et à l’aveuglette de l’aviation israélienne ont été une catastrophe, et l’épandage massif de sous-munitions une belle horreur. A Bint Jubayl, 8 soldats de Tsahal vont mourir, et 22 seront blessés dans une embuscade préparée avec minutie par le Hezbollah. La veille, 4 autres avaient été tués et 18 blessés. Pour Tsahal, c’est un fiasco comme rarement elle en avait connu : l’attaque du bunker du Hezbollah restera comme la pire de ses opérations militaires. A partir de ces trois exemples, notre général tire les (bonnes) conclusions : "Tout d’abord, les guerres actuelles sont certes des guerres limitées en intensité, mais pas dans la durée. La Seconde Guerre mondiale avait duré six ans. C’est la durée à ce jour des opérations en Afghanistan et les perspectives ne sont pas au désengagement mais au renforcement du dispositif. Au Tchad, les opérations n’ont pas cessé depuis 1986. Nous sommes au Liban depuis plus de trente ans, dans les Balkans depuis plus de quinze ans... En Irak, la guerre se poursuit toujours." Bref, à demi-mot, Cuche parle d’enlisement inéluctable : en Afghanistan, ça pourrait durer des dizaines d’années : le jeu n’en vaut donc pas la chandelle. Cuche termine son exposé sur la composante principale pour ce type de guerre : ce n’est ni l’aviation ni la marine. Envoyer des Mirages ou des Rafales supplémentaires ne sert à rien. C’est une guerre de guérilla, que seuls des fantassins peuvent gagner. A condition d’un nombre suffisant, disposant d’un excellent entraînement, que la France, c’est simple, n’a pas à sa disposition. Pour Cuche, allez en Afghanistan, ça se résume à faire la guerre pendant des années, sans aucun espoir de paix : "Enfin, les opérations sont de plus en plus dures pour les forces terrestres indéniablement les plus exposées, face à des adversaires très différents, réguliers ou plus souvent irréguliers, disposant d’armements toujours plus performants, capables de mutations rapides et résolus à nous imposer leur volonté. L’horizon visible n’est pas celui de la paix tant espérée, mais demeure celui de la guerre et donc de l’utilité de la force militaire."
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http://www.marcfievet.com/article-20959433.html
http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=41758
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BREAKING NEWS -
Ce soir, la télévision israélienne (Chaîne 10)
vient de le confirmer : Des anciens de Tsahal
ont bien contribué au sauvetage d' Ingrid Betancourt.
LM télévision israélienne parle de dizaines de soldats..
REVELATIONS -
INGRID BETANCOURT
DOIT-ELLE REMERCIER ISRAEL ?
Ce n’est pas par hasard si Nicolas Sarkozy a déclaré hier soir après la libération de l’otage franco-colombienne Ingrid Betancourt, que “la France n’oubliait pas le soldat franco-israélien Gilad Shalit, détenu comme otage par le mouvement palestinien Hamas à Gaza depuis deux ans”.
“Je voudrais que mes derniers mots soient pour le soldat (Gilad) Shalit et pour ses parents. Nous ne l’oublions pas. La France est toujours prête à se mobiliser quand quelqu’un est injustement retenu”, a affirmé M. Sarkozy.
Les israéliens ont aidé la France et la Colombie. Un juste retour devrait apparaître dans un proche avenir selon nos sources à Jérusalem.
Les israéliens ont depuis plus de dix ans construit une spécialité reconnue par tous dans le monde : la vente d’un savoir-faire opérationnel dans le domaine de la sécurité (protection de stades et jeux olympiques, services de sécurité dans les aéroports, lutte anti-guérillas…).
Il suffit d’observer le grand nombre de visiteurs dans les salons de la Sécurité dans le monde pour s’en rendre compte : Israël est considéré comme un pays ayant véritablement une expertise dans la lutte anti-terroriste. Le Maroc en a bénéficié pendant très longtemps.
Dans ce contexte de nombreux anciens du Mossad vendent leur savoir-faire après être sortis de l’ombre. Des ex-généraux de Tsahal se reconstruisent une carrière dans le civil comme consultants spécialisés. La Colombie et l’Amérique Latine en général est un continent très lucratif pour les israéliens. La demande est réelle.
En ISRAEL, ce n’est pas un hasard si beaucoup d’experts ont vu l’action essentielle des hommes du renseignement israélien dans la libération des otages en Colombie.
La signature des ex-du MOSSAD et/ou des ex-SERVICES d’intelligence de TSAHAL existe bien et semble tout a fait “lisible”. Dans les prochains jours les journalistes du Yedioth et MAARIV vont certainement livrer des pages d’informations confidentielles.
Voilà un article du Monde qui parle du rôle des Israéliens dans la libération d’Ingrid Betancourt : “En annonçant la libération des otages, le ministre de la Défense de Colombie a fait le récit d’une opération de renseignement et d’infiltration de très haut niveau.
Selon le ministre, cette opération a été réalisée avec l’appui logistique d’une “organisation fictive” disposant d’un hélicoptère qui était en réalité un appareil de l’armée colombienne. Les forces armées colombiennes avaient également infiltré, toujours selon le ministre, le front numéro 1 des Farc, dirigé par Gerardo Antonio Aguilar, dit “Cesar”, qui détenait une partie des otages. Ce responsable a été arrêté alors qu’il acheminait, à l’aide de l’hélicoptère de l’armée, des otages vers le point choisi pour rassembler les trois groupes et les remettre à Alfonso Cano.
A la demande du président Uribe, un travail de renseignement d’une ampleur jusque là inconnue, incluant le paiement d’informations et la protection des témoins, a été développé au cours de la dernière année par les forces armées et la DAS (département administratif de sécurité) avec l’aide de consultants israéliens, pour la plupart officiers en retraite de l’armée d’Israël.
http://www.juif.org/go-news-58680.php
Eva, la mieux informée.
La première à évoquer
l'implication étrangère, US et Israël..
DRZZ se vante d'être le premier à avoir parlé du rôle des US et d'Israël pour la libération
d' Ingrid. Non, c'est vôtre Eva qui a abordé la question la première ! Cocorico ! Voir http://r-sistons.over-blog.com/article-20941379.html, publié vers I heure jeudi matin. Et envoyé aux lecteurs quelques heures plus tard, le matin... Vers 9 h ou 10 h. Or, c'est vers 15 h 30 que Drzz a lancé son info, jeudi....
"Pourquoi lisez-vous le blog drzz ?
Parce que cet article annonçant l'implication de la CIA et du Mossad dans la libération d'Ingrid Bétancourt a été écrit à 15h00.
"Le blog drzz" était alors le seul à annoncer une implication des services secrets américains et israéliens. Etonné, et un peu agacé, un lecteur demandait un supplément d'informations :
drzz a écrit : Notons par ailleurs qu'il est >probable que d'autres agences de renseignement (le >Mossad et la CIA) >ont pris part à la planification de cette >opération.
Quelles sont vos sources ??? Rédigée comme cela votre phrase fait penser à celle d'un gauchiste qui voit la main de la CIA et du Mossad partout. Et qui se base sur des "theories" plûtot que sur la réalité.
commentaire n° : 1 posté par : Roak le: 03/07/2008 15:14:24
En réponse à ce lecteur, un article développé sur cette question, titré "comment la Colombie, la CIA et le Mossad ont libéré Ingrid Bétancourt" a été publié sur "le blog drzz" à 15h30.
A 16h30, près d'une heure plus tard, "Libération", s'appuyant sur les dires d'un spécialiste des forces spéciales, venait
confirmer l'analyse du "blog drzz" ! "
Eva : Je ne confirme pas. Désolée, néo-con Drzz, je suis passée avant, et pourtant je n'ai pas vos petits amis !
http://leblogdrzz.over-blog.com/article-20958253.html
"L'opération a été "à 100% colombienne", a déclaré plus tôt dans la journée à Bogota le ministre de la Défense Juan Manuel Santos.
Interrogé par une télévision sur une contribution éventuelle des Etats-Unis, Juan Manuel Santos a répondu qu'ils n'ont "joué aucun rôle", ajoutant qu'"il s'est agi d'une opération à 100% colombienne". Sur le nouvelobs.com
La Colombie prise en flagrant délit de mensonge !!
US et Iran - Pétrole :
"De son côté, sur fond de rumeurs selon lesquelles Israël envisage d'attaquer l'Iran, le chef d'état-major interarmées américain, l'amiral Michael Mullen, a estimé qu'"ouvrir un troisième front" en Iran "serait extrêmement stressant du point de vue militaire américain".
Les Etats-Unis se sont également employés à rassurer les monarchies pétrolières arabes sur la sécurité dans le Golfe, qui fournit environ 40% du brut mondial transitant par le détroit d'Ormuz que contrôle l'Iran.
Les Etats-Unis et leurs alliés au sein d'une coalition d'une vingtaine de pays opérant dans les eaux du Golfe "ne permettront pas à l'Iran de fermer" le détroit d'Ormuz, vital pour l'économie mondiale, a répété le responsable militaire américain.
"Ils (les Iraniens) ne le fermeront pas (...) Ils ne seront pas autorisés à le fermer", avait-il déclaré lundi à la presse à Manama, en réaction à de récentes déclarations du chef des Gardiens de la révolution iraniens, le général Mohammad Ali Jafari, laissant entendre que la République islamique pourrait fermer le détroit d'Ormuz en représailles à une attaque contre ses installations nucléaires.
"La sécurité maritime au Moyen-Orient est une condition sine qua non de la stabilité économique mondiale et de la prospérité régionale", a-t-il affirmé, rappelant que la région détient environ 60% des réserves pétrolières prouvées dans le monde ainsi que plus de 40% des réserves prouvées en gaz."
sur nouvelobs.com
Danielle Bleitrach, 2 articles :
L' Américanisation de la France et de l' Europe
Vers la fascisation ?
Eva : un article qui rejoint ce que je dis sans cesse : La France est vassale de l' Empire, l'Europe est dirigée par les USA, et l'on se rapproche du fascisme, nous avons des Pétain, Mussolini, Franco un peu partout en Europe, désormais ! Et j'ajoute : La France et l'Europe sont désormais dirigées conjointement par la GB, les USA et Israël.
Et je pose la question : Cette Europe-là, les Pères fondateurs la voulaient-ils ? Et cette France-là, est-elle celle du Général de Gaulle et du Conseil de la résistance ?
http://www.legrandsoir.info/spip.php?article6875
Intégration de la "Défense" française dans l' Europe et l' OTAN.
Soutien à une intervention en Iran ?
http://www.legrandsoir.info/spip.php?article6809
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