L'Union Européenne est l'ennemie des peuples !
Par eva R-sistons
Les Citoyens ne voulaient pas du Traité de Lisbonne, en France comme ailleurs. Instinctivement, ils se méfiaient. On le leur a imposé de force !
Coup de force de Sarkozy, avec un traité édulcoré, soi-disant, alors que rien n'avait vraiment changé, tout était en place pour sacrifier les citoyens au Nouvel Ordre Mondial (dictature planétaire des Grandes banques).
Bref, les godillots de l'Assemblé Nationale, trahissant la volonté de leurs électeurs, l'ont voté. C'est une catastrophe historique !
La démocratie, ou ce qu'il en restait, est morte.
Sur le plan local, voyez ici :
Cantonales (les dernières), alertes pour la démocratie et pour le social
Sur le plan national, nos Elus ne servent plus à rien, qu'à faire de la figuration, à nous coûter très cher (ils se votent des salaires et des prébendes en hausse. Qu'en pensent les citoyens toujours plus pressurés tout en étant toujours moins payés ?).
Les Etats souverains n'existent plus. Tout est décidé, désormais, à Bruxelles. De façon anti-démocratique. D'autant plus qu'au final, ce sont les valets du Nouvel Ordre Mondial d'essence nazie qui décident !
Contre les intérêts des citoyens, contre leurs besoins et contre leurs désirs, des mesures sont imposées qui vont toutes dans le même sens : Un pouvoir toujours plus concentré, entre les mains de non-élus, et de non-élus au service des Grandes banques qui mettent en coupe réglée le monde.
Les mesures ? Non seulement anti-démocratiques, mais anti-sociales, toujours au nom de la "modernité" (c'est à dire dans le sens de la compétition qui étrangle les PME, les citoyens, les peuples, les Etats. Bref, une compétition qui favorise seulement les plus nantis, les plus forts, les plus puissants, et une compétition dont les citoyens ne veulent pas, car ils en sont toujours victimes). Toutes les protections sociales sautent les unes après les autres, tout le Droit du Travail, tous les services publics, tout est nivelé par le bas, le plombier polonais est revenu par la petite porte, les derniers emplois encore disponibles seront confiés aux moins payés et aux plus taillables et corvéables à merci, importés des pays les plus pauvres, et flexibilisés. Esclavage pas mort ! On voudrait conduire au désespoir ou au suicide les citoyens, qu'on ne s'y prendrait pas autrement !
Il faut sortir de cette U.E. le plus vite possible, elle est au service des étrangleurs de peuples, au service du Nouvel Ordre Mondial, au service des intérêts d'une poignée d'individus milliardaires et malfaisants !!
Il s'agit là d'une urgence incontournable: Pour retrouver la liberté, les emplois, nos protections sociales ! En n'oubliant jamais que l'U.E. d'aujourd'hui est le TREMPLIN du Nouvel Ordre Mondial assassin !
Votre eva R-sistons
NB : Les milliardaires ne se sont jamais aussi bien portés ! Dans quel monde vivons-nous ?
http://r-sistons.over-blog.com
Tags: Nouvel Ordre Mondial, UE, esclavage, Droit du Travail, protections sociales, plombier polonais, PME, démocratie, nazis, Sarkozy, Traité de Lisbonne
Il y a quelques jours, Bruxelles a rappelé à l'ordre la France pour quatre de ses dispositifs fiscaux en faveur des investissements locatifs dans le neuf, les jugeant non conformes aux lois européennes. Aujourd'hui, la Commission européenne se penche sur un autre produit de défiscalisation immobilière, la loi Scellier.
Battre le fer tant qu'il est chaud. Ainsi peut-on résumer l'offensive que lance la Commission Européenne à l'égard de la France.
Le gouvernement français n'a pas courbé l'échine et a contesté la position prise par Bruxelles sur cette question, se voulant tuotefois rassurante à l'égard des contribuables : "On ne vous demandera pas de rembourser les réductions d'impôt dont vous avez bénéficié" a alors expliqué Bercy.
Le Scellier dans le collimateur
La loi Scellier, autre dispositif fiscal permettant une réduction d'impôt dans le cadre d'un investissement locatif, et toujours d'actualité, est à son tour dans le viseur de la Commission qui en étudie la conformité avec la législation de l'UE. Dans une interview accordée au quotiden Les Echos, le commissaire européen à la fiscalité, Algirdas Semeta, vient d'expliquer que la Commission examine actuellement de près le dispositif Scellier, précisant que si son examen "démontre qu'il viole aussi les règles européennes, nous ne pourrons qu'ouvrir une procédure à son encontre".
La perspective d'une nouvelle injonction de Bruxelles vis à vis du Scellier a de quoi inquiéter promoteurs et investisseurs. On ne peut en effet minorer l'impact sur les ventes de ce dispositif qui représentait 63% des ventes de logements neufs en 2010, et sa modification serait sans aucun doute un frein à ce type d'investissement.
La perspective d'une nouvelle injonction de Bruxelles vis à vis du Scellier à de quoi faire trembler promoteurs et investisseurs quand on connaît l'impact sur les ventes de ce dispositif ces deux dernières années.
- http://mobile.dijonscope.com/010560-dijon-un-rassemblement-pour-denoncer-la-precarite-dans-la-fonction-publique-jeudi-20-janvier
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- L’Etat, ce grand pourvoyeur de pauvres
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Le Ministre du Budget a présenté le 7 mars ses conclusions dans le cadre de la résorption de la précarité dans la fonction publique. L’occasion de mettre en lumière l’abus de contrats précaires par les services de l’Etat.
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Les statistiques sont honteuses. Plus de 870 000 personnes, étaient employées par les différentes fonctions publiques sous des contrats précaires. EVS / AVS ou profs contractuels dans l’Education Nationale, agents de services ou personnels techniques dans les hôpitaux, on les retrouve à tous les postes dans la fonction publique territoriale.
Outre la précarité leur point commun est qu’ils occupent généralement des postes représentant un besoin des institutions. Alors qu’un contrat à durée déterminée doit dans le privé correspondre à un besoin temporaire, l’administration se complait à maintenir en contrats précaires des emplois correspondant à des postes de titulaires.
Face à cette situation le gouvernement avait promis de mettre en place des dispositifs de « résorption de l’emploi précaire ». Pourtant, alors que 23% des postes de la fonction publique sont occupés par des précaires et qu’une bonne partie d’entre eux reçoit un salaire inférieur au seuil de pauvreté, le gouvernement ne propose aucune avancée concrète. La promesse de 40 000 titularisations (sous conditions) ne garantit en rien la résorption de la précarité. En effet, le refus de remplacer les départs en retraites par des titularisations aura tôt fait de ramener les effectifs de précaires au stade actuel, si ce n’est pire !
A l’opposé de toute politique de création de postes de titulaires, le gouvernement prévoit de mettre en place un véritable parcours du combattant avec à l’issue de nombreuses années de CDD, un passage par 6 années de CDI avant une possible titularisation suite à des concours généralement déconnectés de la réalité des emplois occupés.
Encore pire, alors que ces contrats continuent à paupériser des pans entiers de la population, le gouvernement teste le Contrat d’Activité (CDA). Ce nouveaux contrat est limité dans le temps à la réalisation de la mission confiée au salarié sans aucune possibilité de déboucher sur une titularisation. C’est une véritable mise en place d’une précarité à vie.
La CNT condamne cette précarisation des travailleurs
et réclame :
l’arrêt du Contrat d’Activité
la création de nouveaux corps pour les emplois correspondant à des besoins (AVS / EVS dans l’Education Nationale...)
la titularisation des CDI de la fonction publique
la titularisation sans condition de tous les contrats précaires de la fonction publique -
CNT - secrétariat média
http://www.cnt-f.org/spip.php?article1517
http://www.lesmotsontunsens.com/l-etat-ce-grand-pourvoyeur-de-pauvres-10029
- Plus de 100.000 emplois ont été créés en 2010... en intérim !
- 100 000 emplois créés sur un an dont... 97% en interim
- Chômage : le mystère statistique continue
- Internet a créé 25% des emplois en France depuis 1995
- Le bénévolat ne serait pas un atout pour trouver un emploi
- Les Français de moins en moins satisfaits du service public de l'emploi et de l'Education
De plus en plus d'emplois très mal payés, avec à la clef flexibilité, précarité, et durée limitée. Sans parler de la souffrance au travail, aujourd'hui, au nom de la rentabilité. L'esclavage moderne, voici le vrai visage de l'UMP, de l'UE et du Nouvel Ordre Mondial. Basta ! eva R-sistons
Xavier Mathieu et la crise. Décapant !
Le projet principal de la coalition des Nazis et du Cartel :
un plan directeur pour mener à « l’Union européenne de Bruxelles »
Eminent juriste nazi – Et architecte principal de l’Union européenne de Bruxelles
EXTRAITS :
Walter Hallstein (1901-1982)
Walter Hallstein fut un éminent juriste impliqué dans la planification légale et administrative d’une Europe d’après-guerre placée sous le contrôle des
Nazis et de leurs alliés de l’industrie, le cartel du pétrole et des médicaments IG Farben.
Hallstein représentait la nouvelle génération des membres de la coalition nazie et du cartel. Il avait été formé par des professeurs en droit, dont le but principal était de saboter le ‘Traité de Versailles’ définissant les paiements pour réparation imposés à l’Allemagne après que celle-ci ait perdu la première guerre mondiale.
Au début de sa carrière, Hallstein reçut une formation spéciale au ‘Kaiser Wilhelm Institute’, à Berlin. Cet institut privé était largement financé par le cartel d’IG Farben afin d’augmenter ses cadres scientifiques et légaux, dans l’objectif de servir les tentatives ultérieures du Cartel visant à conquérir et à contrôler l’Europe et le monde.
Alors que le règne des Nazis avait pris fin en 1945, le règne de leurs complices, le Cartel IG Farben et ses successeurs, BAYER, BASF, et HOECHST, venait seulement de commencer. Dans le cadre stratégique de leur projet visant à lancer la troisième tentative pour conquérir l’Europe, ils placèrent – une décennie à peine après que leur tentative précédente eut échoué – un des leurs à la tête du nouveau ‘politburo’ du Cartel, à Bruxelles: Walter Hallstein.
Ce chapitre documente le fait que la construction fondamentalement non-démocratique de ‘l’Union européenne de Bruxelles’ n’est pas une coïncidence. Hallstein, un éminent juriste nazi – et expert des affaires d’IG Farben – avait été choisi par ces intérêts industriels afin de devenir le premier président de la Commission de l’Union européenne, tout en ayant une mission spécifique: modeler ‘l’Union européenne de Bruxelles’ d’après les plans originels de la coalition des Nazis et d’IG Farben afin de régner sur l’Europe via un « Bureau Central du Cartel ».
L’objectif des intérêts pétroliers et de l’industrie des médicaments, aussi bien alors qu’aujourd’hui, était la création d’un ‘Bureau Européen du Cartel’ [c’est-à-dire, ‘l’Union européenne de Bruxelles’] avec une junte de bureaucrates non-élus du cartel [c’est-à-dire, la ‘Commission européenne’] pour régner sur les populations européennes au nom des intérêts mondiaux de l’industrie, à savoir, le cartel de l’industrie des produits chimiques, pétrolifères et médicamenteux.
Un maître dans l’art de la tromperie
De ce plan, il faut également retenir qu’en vertu de l’article 123 du traité de Lisbonne, obligeant les pays, les collectivités locales, territoriales à emprunter auprès des banques privées, cette incitation aux dérapages budgétaires est une manne de plus pour les banksters. Les Hedge Funds auraient tort de ne pas jouer encore une fois sur les CDS des pays proches de ces taux, libérateurs de contraintes !
Comment des chefs d’États, entourés d’une cohorte d’experts, de ministres, peuvent-ils accoucher de plans aussi débiles ? Est-il possible que ce genre de décision ne soit délibéré ?
Le temps des nations semble tenir à la solvabilité de ses dettes souveraines, autant dire à un fil.
Cette crise ne tire pas ses racines d’hier, mais de bien avant ; ce n’est pas être prophète de l’avoir prévenu de longue date, il suffisait d’écouter nos dirigeants nous vendre a hue et a dia cette nouvelle gouvernance mondiale. Une crise de cette ampleur conduisait inévitablement a la ruine des particuliers et des États, cherchez a qui le crime profite. Souvenez-vous des propos lénifiants de nos ministres des finances, des dirigeants du G-20, quand ils jetaient des milliers de milliards par les fenêtres pour sauver les banquiers privés, empêtrés dans leurs spéculations.
C’est la main sur le cœur, qu’ils nous imposeront comme ultime solution une nouvelle Banque Mondiale, comme jadis fut imposée la création des banques centrales… privées ! La Réserve Fédérale Américaine (institution privée) a été fondée, pour ne pas dire imposée, suite a la panique bancaire de 1907, par un cartel de 7 banques privées, au prétexte spécieux d’empêcher les faillites bancaires… Depuis sa création, ce ne sont pas moins de 16.000 banques qui ont fait faillite.
La création de la Banque d’Angleterre (privée), est encore plus scabreuse, car le pacte à signer en plus de la ruine des uns, incluait le sang des autres.
Vous avez aimé la loi scélérate du tandem Giscard/Pompidou, qui a ce jour a coûté près de 1500 milliards d’intérêts depuis 1973 aux français, et cela au seul profit des banquiers ?
Vous avez aimé l’article 104 du traité de Maastricht, transformé 123 du traité de Lisbonne, incroyable privilège concédé au banques privées ? Vous souvenez-vous que ce traité de Lisbonne rejeté par les urnes, a été imposé contre la volonté populaire ?
Vous avez apprécié la crise des subprimes qui a jeté à la soupe populaire plus de 35 millions d’américains, dormez braves gens, la vague arrive en Europe… Elle a pris naissance en Grèce, au plus grand profit de certains banquiers véreux.
La crise des dettes souveraines, ne fait que commencer. L’Europe pourra jeter autant de milliards qu’elle le peut par les fenêtres, pour sauver ses banquiers, inventer autant de plans qu’elle le veut, leurs éponymes parlent d’eux-mêmes : vous avez aimé les plans de relance, vous raffolerez des plans de sauvetage… jusqu’au plan sauve qui peut.