19 décembre 2010 7 19 /12 /décembre /2010 02:49

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http://forum.extraneens.free.fr/index.php?topic=87.30

(sur ce site, on lit, déjà pour le précédent Noël: Le cadeau de Noël offert aux banquiers par le Trésor américain accélérera l’hyperinflation mondiale et prouve que les institutions « too-big-to-fail » (trop grand pour faire faillite) peuvent continuer à croire qu’elles seront toujours renflouées, peu importe leurs errements. LaRouche souligne également que l’annonce du Trésor démontre que l’Administration Obama compte de plus en plus gouverner par décret. « Cette administration emploie des méthodes d’"exécutif unitaire", empruntées à Dick Cheney et au juriste officiel du régime Nazi Carl Schmitt, pour imposer par la force une escroquerie hyperinflationniste qui détruira les Etats-Unis. Une telle action équivaut à de la haute trahison ! » 

 

 

LETTRE D’INFORMATIONS
ECONOMIQUES STRATEGIQUES
INTERNATIONALES
Numéro 220 15 décembre 2010
Les principes fondamentaux du complot mondialiste

La Commission Trilatérale fut créée en 1973 par David
Rockefeller, alors président de l’ultra-puissante Chase
Manhattan Bank et administrateur de plusieurs
multinationales et fondations. C’est aussi l’une des
figures dominantes du CFR (Council on Foreign
Relations) qui décide de la politique étrangère de
n’importe quelle administration américaine depuis de
nombreuses décennies. Pour créer la Commission
Trilatérale, les Rockefeller ont fait appel à Zbigniew
Brzezinski, un homme de confiance et d’influence qui
fut professeur à l’Université de Columbia. Zbigniew
Brzezinski écrira plusieurs ouvrages qui formeront la
ligne directrice de la politique de la Commission
Trilatérale. En 1974, Zbigniew Brzezinski fut interrogé :
« Qu’est-ce que le Nouvel Ordre Mondial ? » Réponse
de l’intéressé :
« Nous devons changer le système international
en un système mondial dans lequel de
nouvelles forces, actives et créatives
(récemment mises au point) doivent être
intégrées ».
Plus clairement, la Commission Trilatérale fut créée à
une époque où le cartel bancaire voulait introduire un
« nouvel ordre économique international ». Bien
évidemment, ce nouvel ordre économique s’opposait à
celui régi par des Etats-nations souverains. Ce qui
devait être privilégié, c’était la défense des intérêts
d’une coterie de mondialistes contre ceux des Etats
souverainistes. La création de la Commission
Trilatérale intervenait, rappelons-le, trois ans après
cette déclaration de Lord Rothschild : « Le verrou qui
doit sauter, c’est la nation ». L’objectif de la
Commission Trilatérale était de dynamiter les structures
des Etats-nations avec les règles de la
« mondialisation ».


Ayant fréquenté de près ces cercles mondialistes des
années soixante-dix, le sénateur Barry Goldwater écrira
dans son livre With No Apologies, publié en 1979 : « La
Commission Trilatérale est internationale et a vocation
à devenir le moyen de consolider les intérêts
commerciaux des multinationales et des banques à
partir de la prise de contrôle de la politique
gouvernementale des Etats-Unis. Comprenez bien que
leur projet est de coordonner leurs efforts pour
s’emparer du contrôle de quatre centres de pouvoir : le
monétaire, la culture, le religieux et la politique ».
Pour preuve que l’establishment de la Commission
Trilatérale est aujourd’hui plus influent que jamais, il
suffira de rappeler que Zbigniew Brzezinski est le
mentor de Barack Obama… et ce depuis des lustres.

 

 

La crise de 2007-2012 ne sert que des intérêts privés

 

Suite à une récente réunion des membres du Groupe
Bilderberg, une copie volée fut obtenue par Daniel
Estulin. Ce document affirme que la question de l’euro
était au centre des discussions. C’est la raison pour
laquelle ce numéro de LIESI aborde ce sujet sur le
fondement d’informations sérieuses et peu connues.
 

 

Durant de nombreuses années, l’establishment a
travaillé au projet d’Union européenne. Sa
décomposition ne les réjouit donc absolument pas !

 

Cela dit, le plan de l’exécutif du Groupe Bilderberg –
le même que celui de la Commission Trilatérale –
n’est pas de créer une gouvernance mondiale mais
une « aristocratie d’intention » intégrant l’élite nordaméricaine
et celle de l’Europe. Aujourd’hui, comme
dans les années soixante-dix, l’objectif est toujours la
création d’une One World Company Limited.

 

Pour réussir ce projet mondialiste, il ne faut plus d’Etats nations
mais aboutir exclusivement à la reconnaissance de « blocs économiques ».
 

 

L’Europe étant un bloc économique majeur, l’euro doit
à tout prix être maintenu ! Mais comment faire quand
cet euro tombe en miettes, quand des pays européens,
totalement ruinés, menacent de quitter l’euro ? Ceux
qui ne sont pas ruinés, comme l’Allemagne, 
accepteront-ils de porter le fardeau des 750 milliards
d’euros de renflouement ? Et que dire de l’obstacle
représenté par la Russie de Poutine et de certains
cercles pro-Moscou très influents en Allemagne ?
Enfin, comment gérer les défis monétaires,
géopolitiques et géostratégiques lancés par la Chine ?

 

Pas de crise et de fin de l'Etat-Nation sans

préparer l'encadrement policier des populations

 

Les banquiers internationaux doivent engager une crise
suffisamment saignante pour annihiler les oppositions
souverainistes, c’est-à-dire briser les Etats-nations par
la bulle ultime des emprunts d’Etat et leur implosion.


D’un autre côté, il faut ruiner la classe moyenne tout en
contrôlant les populations afin d’éviter des
débordements de masse « incontrôlables ». C’est
précisément ce vers quoi nous nous engageons
maintenant.

 

Cela fait pas mal de temps que les médias ont habitué
le citoyen à l’expression PIGS (Portugal, Italie, Grèce et
Espagne). Les traders ont trouvé un nouveau mot pour
identifier la future menace : les FUSE : France, Etats-
Unis et Angleterre. C’est la nouvelle cible du cartel
bancaire.

 

A l’image des Etats-Unis1 et de l’Angleterre,
la France est dans une posture trompeuse. Les
officines auprès desquelles LIESI obtient parfois des
informations de première main disent que l’on parle
déjà de « restructuration de la dette » pour les
FUSE. Le club des pays riches devient celui des pays
pauvres et d’aucun pensent qu’il ne faut plus parler de
Club de Paris mais de Club de Pékin.


Lorsque frappera le prochain krach de l’obligataire
souverain, la seule solution sera de réduire encore plus
le niveau de vie du citoyen. Et comme tout cela fait
partie d’un plan bien huilé, les gouvernements doivent
engager le processus d’encadrement des
populations.

 

L'Union monétaire européenne encaisse les coups  

 

Le 21 novembre 2010, le gouvernement irlandais a
hissé le drapeau blanc de la capitulation. Les autorités
irlandaises ont demandé à l’Union européenne de
renflouer la dette du pays. Ainsi sera activé le krach

de l’obligataire municipal « intra américain » qui a
frappé en novembre 2010 (voir le précédent numéro), et qui présage
d’un futur krach obligataire souverain du pays. Les fonds de
retraite, les fonds de pension et les Américains assis sur des
obligations municipales ont toutes les raisons de s’inquiéter.

Dans le quotidien financier Il Sole 24 Ore du 18 novembre, le
ministre italien de l’Economie, Giulio Tremonti, s’exprime ainsi
 

 

Le mécanisme du Fonds européen de stabilité, par lequel
les Etats de l’Union européenne emprunteront de
l’argent sur les marchés (lire : le cartel bancaire) pour le
prêter à Dublin :  La triste vérité est que l’Irlande a
besoin de cet argent uniquement pour sauver trois
banques en faillite : Anglo-Irish Bank, Allied Irish Bank
et Bank of Ireland. Ces banques sont des lieux de
destination offshore pour les paris financiers à haut
risque pris par des banques britanniques et
allemandes, dont l’exposition se monte à 270 milliards
d’euros ! Voilà pourquoi la décision du gouvernement
irlandais a tant satisfait les banquiers allemands. Ces
autorités irlandaises ont trahi leurs citoyens. La Grèce
a servi de caution à la création du Fonds européen
de stabilité, l’Irlande prouve qu’il marche.

 

Maintenant le Portugal est dans la lunette de tir des
initiés et que dire de l’Espagne dont le sauvetage
se chiffre pour l’instant, selon l’analyste Cornelia
Meyer, de MRL Corporation, à 500 milliards d’euros.
Intéressant commentaire de Marc Forentino sur BFMRadio,
le 19 novembre 2010 : « Les fonds vont prendre
leur temps car ils savent qu’ils tiennent là une source
de profits énorme pour 2011. Le gouvernement
(espagnol) ne pourrait pas faire adopter un nouveau
programme d’austérité » (Note d'eva :

Même le minimum social de 400 euros est retiré

aux chômeurs, désormais. Fou !)

 

La trahison des dirigeants nationaux

 

Contrairement à certains petits génies de journalistes
en herbe qui prétendent tout savoir, cela fait des
années, depuis octobre 1994, que LIESI a annoncé
cette crise. Plusieurs numéros ont rapporté les
déclarations, citations d’hommes de pouvoir, d’hommes
d’influence, même des propos de banquiers
internationaux contemporains, etc., et tous ces gens
ont dit la même chose : nous allons créer une crise
à propos du sauvetage de l’Irlande : « Je serais intervenu
d’une autre manière. Il aurait fallu adopter une solution
plus radicale : sauver la partie commerciale et industrielle
des banques et laisser sombrer la spéculation ». Bien
évidemment, Giulio Tremonti parle en souverainiste et non pas
en homme de paille d’une coterie de banquiers internationaux
apatrides.
 

 

Il est intéressant de voir que Paul Volker, ancien président de
la Banque centrale américaine et l’un des conseillers
économiques de B. Obama, est depuis de nombreux mois
favorable à une séparation de l’activité commerciale des
banques de leur activité spéculative. Ainsi les départements
des banques intéressées par la spéculation seraient déclarés
en faillite, comme pour toute société normale. En outre, une
banque comme BNP, qui détient une partie considérable des
dettes publiques et privées de certains Etats, mais qui a créé
des structures de trusts dans des paradis fiscaux afin
d’échapper à tout contrôle des Etats, ne pourrait plus faire la
pluie et le beau temps.
 
Pour détruire les Etats-nations, imposer un Nouvel
Ordre Mondial, un nouveau système monétaire
international, une nouvelle religion (dont le
syncrétisme religieux engagé par la Rome apostate et
même luciférienne actuelle, est l’introduction), réduire
la population mondiale de 90 %. Ils l’ont dit et ils le
font, sous nos yeux, dans la plus grande indifférence de
nos contemporains, qui ne veulent surtout pas savoir…
qu’ils vont mourir sans avoir combattu, par lâcheté, par
cupidité. Nos contemporains n’ont eu de cesse de voter
pour des tyrans qui n’ont cherché que la manière la
plus adroite de s’enrichir tout en feignant l’amour du
pays. Par conséquent, il ne faut plus s’étonner de ce
qui va advenir en 2011-12.
 

 

Rappelons ce que disait Henri Ford : « L’unique
objectif de ces financiers est le contrôle du monde
par la création de dettes inextinguibles »

 

Depuis la Grèce et aujourd’hui avec l’Irlande, les gouvernements
européens endettent leurs pays respectifs uniquement
pour sauver le système bancaire pourri de l’Union
européenne qui ne fonctionne que pour des ripoux, une
coterie de financiers sans foi ni loi, amis des hommes
qui se croient au « pouvoir ».

 

Voici une anecdote sur ces « hommes au pouvoir ».

En 1995 (au moment où la rédaction

de LIESI conseillait d’investir dans les métaux
précieux), pour boucler son budget, N. Sarkozy décide
de vendre 550 tonnes d’or appartenant à la France à
un cours bradé de 400 dollars l’once. Aujourd’hui,
l’or vaut plus de 1 400 dollars. Et bien cette même
quantité d’or suffirait à résoudre le problème de
l’équilibre des retraites ! A l’époque, N. Sarkozy et ses
conseillers ne comprenaient-ils rien au monde dans
lequel ils vivent ? Souhaitons que ce soit la seule
explication. 

 

Avant que David Cameron, l’ami des Rothschild, soit
élevé au poste de Premier ministre d’Angleterre, le
cartel bancaire y avait placé G. Brown. Or, quand ce
dernier était Ministre des Finances, il a vendu tout l’or
de son pays… quasiment au cours le plus bas des
trente dernières années… au moment où LIESI
conseillait de convertir ses avoirs dans cette « relique
barbare » qui allait briller de tous ses feux quand les
monnaies fiduciaires seraient en voie de désintégration.
Incompétence ou trahison ? L’histoire jugera… De
toutes les façons, les peuples ont toujours les
dirigeants qu’ils méritent.

 

Maintenant, ces hommes de pouvoir

expliquent qu’il faut renflouer les banques
de leurs amis banquiers avec l’argent du contribuable,
sans quoi nous allons à la catastrophe. Mensonge !
Ces mensonges ne servent qu’un plan de
désintégration de l’Etat-nation au profit d’un nouvel
Empire européen. Le directeur du FMI, Dominique Strauss-Kahn (..)

 

En 2011, aux Etats-Unis, près de onze millions de
personnes sont encore menacées de saisie immobilière et
100 à 250 000 enfants n’auront aucun domicile et vivront
dans des voitures, des tentes ou sous les ponts ! Voilà
l’Amérique d’aujourd’hui.

 

Stauss-Kahn, a reconnu sans ambages que le but des
banquiers est d’obtenir l’élimination totale des
gouvernements. Lors d’une conférence organisée par
la BCE à Francfort, le 20 novembre dernier, Dominique
Stauss-Kahn fit valoir que « la gouvernance
inadéquate dans la zone euro » avait aggravé la
crise. Comme les intérêts nationaux constituent un
obstacle à ce qu’il appelle les décisions
« nécessaires », il veut plus de pouvoir pour le
« centre », à savoir la Commission européenne et la
BCE. « Il est temps de changer d’orientation. Le centre
doit s’emparer des initiatives dans tous les
domaines, notamment en matière de politique
financière, économique et sociale4. Les pays
membres doivent accepter de conférer une plus
grande autorité aux institutions centrales. (…) »


(Note d'Eva: Pratique si ce DSK est élu pour la Gauche,

le peuple de Gauche acceptera tout de la "Gôche" !

Au fait, quand j'ai dit à DSK: "Il faut à tout prix éviter l'AMI"

- l'Accord Multilatéral Investissement donnant TOUT pouvoir

aux Multinationales -, lui qui savait déjà ce qui se passerait,

m'a ri au nez : "C'est la tarte à la crème, l'AMI !".

Plus arrogant et ennemi des peuples que lui, tu meurs !)


DSK appelle donc les responsables officiels des pays
membres de l’Union européenne – qui ne peuvent
même pas décider par eux-mêmes du type d’ampoules
électriques à utiliser ! – à abandonner leur dernier droit,
celui du budget national : « La solution la plus
ambitieuse serait de créer une autorité budgétaire
centralisée avec une indépendance politique
comparable à celle de la BCE. Cette autorité
établirait pour chaque pays sa politique budgétaire
et allouerait des ressources à partir d’un budget
central ». Cela pourrait se faire en affaiblissant le
Conseil européen, qui réunit les gouvernements
respectifs et qui est censé prendre les décisions
ultimes. De cette manière, d’« étroits intérêts
nationaux » ne viendraient pas s’ingérer dans « la mise
en oeuvre des règles communes ». La Commission ou
une entité indépendante pourrait s’en charger à la
place. Laissons ces beaux songeurs clamer leur haine
de l’humanité et rêver au paradis rouge des fourriers du
communisme.

 

La réalité est autre: Les plans mondialistes

n'ont jamais été si proches du fiasco

 

Lors d’un court entretien avec notre rédaction, une
source qui depuis les années 80 a apporté de
nombreux éléments du plan, avoue que la réforme
monétaire « a été décalée dans le temps »…


L’avertissement de George Soros :

 

L’euro s’effondre, comme le dollar et de nombreuses
monnaies. La guerre des monnaies dont nous parlions
il y a quelques semaines devient plus âpre. La Russie
et la Chine viennent de s’entendre pour couler le dollar
d’une manière « intelligente ».
 

 

Voilà le véritable visage du socialiste (DSK) de l’internationale : il
avoue sa fraternité avec la clique des banquiers internationaux
qui nourrissent son auge quotidienne et qui ferment les yeux
sur ses frasques diverses tant qu’il sert bien ses maîtres.
Après de tels propos, n’est-il pas pitoyable de lire ici ou là,
dans la presse parisienne, que DSK a « une stature de
présidentiable » pour les petites gens ?  (China Daily)

à recouper avec les propos du milliardaire

George Soros qui a dit, en octobre 2009,
que la Chine supplanterait les Etats-Unis en tant que
leader du Nouvel Ordre Mondial. Il a même affirmé que
la résistance des leaders américains à cette décision se
traduirait par une chute du dollar, un effondrement du
niveau de vie et l’introduction d’une nouvelle devise
mondiale. Pour George Soros, le déclin orchestré du
dollar est « souhaitable » pour « reconstituer le
système entier autour d’une devise mondiale ». Le
milliardaire devenu proche des Rothschild a tout de
même confié que le monde allait nécessairement
passer par « un ajustement douloureux ».

 

Il ne l’a pas dit, mais d’autres nous l’ont confié : l’objectif, à travers
les dévaluations des devises et des niveaux de vie en
Europe de l’Ouest et aux Etats-Unis, est de parvenir à
une harmonisation salariale entre l’ouvrier chinois et
l’ouvrier occidental. Cette confidence en dit long sur
l’ampleur de la crise qui attend les pays de l’Europe de
l’Ouest.


Cela dit, les Etats sont confrontés à un exercice difficile
avec leurs populations. Depuis des lustres, les gens ont
été habitués au mode de vie des sociétés matérialistes,
athées, et depuis la génération de la Seconde Guerre
mondiale, il n’y a pas eu de véritable électrochoc. La
plupart des Etats ne s’entendent plus vraiment entre
eux ; tel est particulièrement le cas de l’Allemagne dont
les dirigeants expriment leur désaccord avec les règles
actuelles de l’Union européenne.


Des rumeurs se font insistantes selon lesquelles
l’Allemagne s’apprêterait à quitter l’euro. D’aucuns
situent ce scénario entre le printemps et l’été 2011.
On parle de création d’un Euro du Nord ou alors
d’un retour au mark. Quel scénario pourrait être
privilégié ? Nous l’ignorons pour le moment, mais il
n’y a jamais de fumée sans feu ! Voilà qui rappelle les
informations relatives à la commande passée en 2009
par l’Allemagne à la société Ruhlamat, basée à
Marksuhl, de quatorze nouvelles machines à
imprimer des billets à puces rfid. Cette information
de 2009 et celles d’aujourd’hui se complètent
incontestablement et consolident la thèse d’un
changement monétaire à venir au sein même de
l’Union européenne… Certaines sources de Francfort
affirment que les billets sont déjà imprimés.

 

Sur ce point, notre rédaction est de plus en plus sceptique,
les désaccords entre les « grands » laissant place à un jeu
d’alliances qui peut se voir comme monétaire, mais aussi
militaire !

 

Si la France parvient à être intégrée dans ce groupe, ce
serait un « miracle », car, de l’avis même d’analystes de
Goldman Sachs (qui l’ont confié à l’une de nos sources), elle
est ruinée : « La France n’est pas abattue par nos agences de
notation uniquement parce que nous avons besoin de
l’atlantiste N. Sarkozy pour équilibrer les plans des
Allemands », nous a seriné une source très bien placée au-dessus
du « Système ».

 

Curieusement, il y a un an, l’auteur d’une lettre
confidentielle américaine très pointue, annonçait ce
projet en attente parce qu’il y avait des
« marchandages en cours » et une gestion difficile à
évaluer entre les dettes européennes, l’équilibre
économique internationale et la géopolitique, les parités
salariales dans le monde, etc. L’auteur confiait que
l’un des points sans doute le plus important dans la
décision de l’establishment bancaire allemand
résulterait de l’état des relations secrètes entre
l’Allemagne et la Russie ! Or, de ce point de vue, en
un an tout a RADICALEMENT changé. Angela
Merkel n’est plus l’agent docile du courant
atlantiste, elle s’affiche de plus en plus comme un
élément politique stratégique pour le bloc de
commandement de l’Est. La Chancelière a même la
bénédiction du patronat allemand, de plus en plus
favorable à un axe Moscou/Berlin pour lequel a toujours
travaillé l’ancien chancelier Schröder, ami du Colonel
KGBiste Vladimir Poutine (en poste en RDA, à Dresde,
durant 5 ans).
Dans le même temps, une partie dominante du cartel
bancaire ne se gêne pas pour envoyer ses porte-parole
afficher le mot d’ordre : l’Amérique doit financièrement
être abattue avec son dollar. Or la réalisation de cet
événement historique (la relance du Deutsche Mark)
contribuerait incontestablement à précipiter le dollar
dans le trou. En outre, comme nous le laissons
entendre, ce scénario renforcerait le tandem
Allemagne/Russie dans la poursuite d’une réforme
monétaire internationale. Cette analyse explique sans
doute pourquoi, jusqu’ici, comme nous l’ont confié deux
sources (l’une française et l’autre du FMI), l’Allemagne
ET la Russie freinent le projet de refonte monétaire. 

 

La gestion de la crise :  Vers une intervention

justifiée de l'armée ?

 

A la suite de manifestations très importantes survenues
à la mi-novembre en Allemagne, à Stuttgart et à
Gorleben, le gouvernement a tenté d’exploiter une
prétendue menace contre le Reichstag de Berlin par
des terroristes islamistes, dans le but de mettre
totalement sous contrôle la vie économique, politique et
sociale du pays. Cela rappelle bien évidemment de
fâcheux souvenir aux Allemands !
Sur ce point particulier, il est impératif de lire ce que nous
publions dans les Brèves de LIESI de septembre/octobre 2010
– 7 € franco de port.
 

 

L’accent mis sur le Reichstag à Berlin est hautement
significatif : le 28 février 1933, ce bâtiment a été le lieu d’un
incendie criminel provoqué par les proches d’Hitler afin
d’obtenir un prétexte pour consolider l’emprise des nazis sur le
pouvoir juste avant les élections de mars 1933.  (..)
 
De Serajevo, on sait bien ce que signifient ces « menaces
terroristes ». Les sociétés secrètes qui commanditent
des groupuscules fanatiques sont ces mêmes pieuvres
qui enserrent dans leurs loges la totalité des
gouvernements européens. Cela dit, pour l’Allemagne,
les incidents de novembre 2010 ont servi de prétexte
aux autorités pour ordonner à 33 000 policiers armés
de patrouiller dans les aéroports et les gares
d’Allemagne, avec un nombre inconnu d’agents de
sécurité privés. Constitutionnellement, le déploiement
de l’armée est interdit sur le territoire allemand. Cela
n’empêche pas nombre de réseaux d’influence de faire
pression sur le gouvernement afin qu’il prenne les
mesures nécessaires pour contraindre les
contribuables à régler les dettes des pays de l’Union
européenne les plus faibles, ainsi que celles de
l’Allemagne (qui représentent 77 % de son PIB). Au
sein de l’exécutif allemand, plusieurs représentants du
cartel bancaire pensent que le déploiement illégal des
forces armées allemandes permettra aux banques de
poursuivre le pillage des citoyens allemands. A cet
effet, les autorités allemandes travaillent sur une
grande réorganisation des services de renseignement
et des forces de sécurité.

 

Klaus Jansen, le président de la Fédération des
officiers de police allemands (BDK), a déclaré que la
police ne dispose pas de personnels suffisants pour
maintenir le niveau accru de déploiement suite à l’alerte
terroriste émise par Thomas de Maizière, ministre de
l’Intérieur. « Nous devons supposer que l’état d’urgence
policier causé par la menace terroriste aiguë durera au
moins jusqu’à l’année prochaine ». Aussi convient-il de
faire appel à la police militaire (de l’armée) en raison de
leur formation policière.

 

Le chef de la police allemande, Matthias Seeger, a
déclaré au Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung
(FAS), que la police avait reçu des instructions pour
faire usage de ses armes, et qu’il encourageait
activement les gens à tirer et à tuer toute personne
soupçonnée d’être un terroriste. En fait, la véritable
menace terroriste est économique et vient des
banquiers internationaux. Cette démonstration

de force des autorités allemandes
coïncide avec l’adoption d’un budget draconien
permettant un transfert considérable d’argent du
contribuable aux banques, sous prétexte d’avoir à
payer des dettes de réserve fractionnelle frauduleuses.
On sait aussi que le gouvernement de la Chancelière
Merkel est sous pression, car la CDU/CSU risque de
perdre le pouvoir au printemps lors d’une prochaine
élection régionale en raison de la frustration des
électeurs concernant le projet Stuttgart 21.
(Protection du peuple et de l’Etat. Cela a abouti à la suspension
des libertés de réunion et d’expression, à l’autorisation des
écoutes téléphoniques, aux fouilles des maisons et à la
détention illimitée et sans mandat ; cela a aussi ouvert la voie
à des arrestations de masse d’opposants.)

 

Le 15 novembre 2010, le ministre de la Défense Karl Theodor
zu Guttenberg, que certains voient comme futur
chancelier, a fait passer des plans visant à transformer
l’armée allemande d’une force de défense en une force
offensive pouvant même servir au sein d’armées
privées. Celles-ci seront bien nécessaires pour
patrouiller dans les provinces rebelles du nouvel empire
financier allemand, alors que les pays s’effondrent les
uns après les autres sous le fardeau d’une dette
artificielle, et que d’autres tombent sous la coupe du
FMI et de l’UE/Bilderberg dans le piège de l’euro.
 

 

Si notre analyse se confirme quant à un abandon de
l’euro par l’Allemagne, nous entrerons
incontestablement dans une période de gestion très
serrée de la crise.

  

La France et l'option guerre des banlieues

 

Hacène Belmessous, présenté comme journaliste et
chercheur indépendant, sort un livre qui s’appelle
Opérations banlieues, comment l’Etat prépare la guerre
urbaine dans les cités françaises (éditions La
Découverte). Il y assure que « l’Etat prépare la guerre
dans les cités françaises ». Une source élyséenne à qui
nous parlions de cet ouvrage informe notre rédaction
qu’une instruction ministérielle, datée du 3 mai 2010,
confirme cette sombre analyse. Dans son dernier
numéro, le magazine Armées, l’une des publications
officielles du ministère de la Défense, affirme que cette
instruction a été rédigée avec le concours des
ministères de l’Intérieur et de la Défense, par le
Secrétariat général de la défense et de la sécurité
nationale (SGDSN). Ce service du Premier ministre a
confirmé à l’AFP l’existence de ce texte en précisant
qu’il était classifié « confidentiel défense ». Le SGDSN
est notamment chargé de la planification des plans de
réponses aux crises. Interrogé par Armées, le préfet
François Lucas, alors directeur de la protection et de la
sécurité de l’Etat au SGDSN, a défini une crise majeure
comme « un évènement – pandémie, attaque terroriste,
catastrophe, crise d’ordre public – dont la gravité et la
portée conduisent les autorités gouvernementales à
activer le dispositif interministériel de crise ».
 

 

Hacène Belmessous assure notamment que les
opérations de rénovation urbaine visent à faciliter les
interventions policières, voire militaires, à venir dans les
quartiers difficiles. Selon lui, le « contrat 10 000
hommes », dont il dit avoir eu connaissance au mois de
juin, sans pour autant citer le texte du 3 mai, vise « un
seul territoire qui absorbe l’entière attention de Nicolas
Sarkozy depuis les émeutes de l’automne 2005 : les
quartiers sensibles ». Dans ce livre, l’auteur va jusqu’à
dénoncer une « inquiétante dérive vers la préparation
d’une guerre totale contre les territoires perdus de la
République ». A l’appui de ses affirmations, Hacène
Belmessous cite une étude confiée, après les émeutes 
de 2005, à la société privée Eurocrise par la Délégation
aux affaires stratégiques (Das) du ministère de la
Défense. Selon lui, cette étude, qui s’appuie sur
l’analyse de la crise des banlieues de 2005, souligne
que « l’idée du caractère quasi inéluctable d’un
engagement des forces terrestres sur le territoire
national dans des circonstances exceptionnelles
semble gagner du terrain ».

 

Dans son numéro du 5 novembre 2010, notre confrère
Rivarol a publié des informations recoupant ce que
LIESI pressent comme scénario de secours pour
justifier l’intervention de l’armée en temps de crise et
gérer les étapes évolutives du scénario de chaos (il faut
y inclure, encore et toujours, une perspective de
flambée des prix alimentaires) que pourrait engendrer
une transition vers l’abandon de l’euro actuel… Rivarol
écrit : « Une source unique, mais incontestable, nous
signale qu’un régiment de la Légion situé dans le
Sud de la France vient de percevoir du matériel
lourd pour partir en opération. En Afrique, en
Afghanistan ? Non : on aurait dit aux légionnaires
de se tenir prêts à intervenir… en France ». Il est
vrai que depuis plusieurs semaines les reportages de
différentes chaînes de télévision sont curieusement
focalisés sur les problèmes des forces de l’ordre dans
les banlieues. On y découvre que les banlieues
abritent un important réseau de drogues diverses, mais
on garde bien de bloquer le problème en amont… pour
éviter de gêner certains services secrets étrangers. En
outre, lorsque des journalistes montrent les forces de
l’ordre en action dans les banlieues, il faut bien en
déduire qu’ils ont reçu des « autorisations » en haut
lieu. Rivarol conclut logiquement : « L’Etat veut que les
Français sachent l’état de quasi-guerre civile qui se
déroule dans les banlieues. Cela légitimera l’action de
Sarkozy, le jour où il décidera d’envoyer la Légion, le
but étant bien entendu d’assurer sa réélection. Mais
alors, pourquoi avoir doté les légionnaires du matériel
lourd, fin octobre, alors que l’élection présidentielle aura
lieu dans dix-huit mois ? Pour la raison suivante : on
peut imaginer, dans les semaines à venir, à la faveur
d’événements plus graves qu’à l’accoutumée – un ou
plusieurs morts chez les forces de l’ordre – une
première intervention des bérets verts, limitée à une
cité. Sarkozy jouerait les Monsieur Muscle à l’intention
des électeurs du Front National, chez qui la Légion jouit

d’un prestige particulier – et la gauche glapirait
d’indignation. (…). 

 

Tout le monde sait, et ce, depuis bien longtemps, que
certains imams prêchent la guerre sainte, la haine de
l’Occident et l’extermination des infidèles. Tout a pris de
l’ampleur depuis l’ère mitterrandienne : « les serviteurs de la
république maçonnique, vouée au culte de la déesse raison et
à l'exécration des superstitions, se montrent plein
d'obséquiosité et de bassesses pour l'islam ». Avec le pouvoir
actuel, elle est prête à financer des « séminaires musulmans »
aux frais du contribuable. Mais il ne faut jamais oublier que la
dialectique mondialiste procède en développant les
contradictions, donc en épaulant en même temps les deux
opposés destinés à entrer en conflit.
  

 

Mais l’opération de la Légion ne
serait que le premier étage de la fusée : disséquée en
très haut lieu, cette opération dans une cité ne serait
que le brouillon de la véritable intervention qui, elle,
pourrait avoir lieu fin mars ou début avril 2012, soit peu
avant l’élection présidentielle ». Si nous avons
volontairement cité l’argumentation finale de Rivarol,
nous rapprochons l’attitude des autorités françaises du
schéma allemand, anticipant un contexte de
désintégration de l’euro, d’aggravation de la crise
économique (bancaire) et sociale. Ce n’est donc pas
anodin si la présidence française, atlantiste,
mondialiste, anti-souverainiste a, dans son récent
remaniement gouvernemental, rappelé des caciques du
gaullisme pour obtenir le soutien indispensable de sa
base électorale dans ce scénario probable et
dangereux. A cela s’ajoute le fait que le Front National
effectue une percée importante dans les sondages.
 

 

LIESI rappelle avoir annoncé un hiver très froid (à la
suite de ce qui se passe dans le Golfe du Mexique et
des innombrables activités volcaniques dont les médias
ont ordre de taire le fait gravissime) ainsi qu’une
flambée du prix des denrées alimentaires. Des
ingrédients explosifs pour l’ordre public…
 

 

LIESI, qui s’interdit le pessimisme et maintient sa grille
réaliste de la situation générale, n’entre pas dans le jeu
de ceux qui annoncent déjà la guerre civile dans les
prochains mois ! Non, il faut tout d’abord attendre de ce
qui émergera de l’axe Berlin-Moscou. (..)

 

Note: Dans une interview au Talk Orange Le Figaro, diffusée le 2
décembre 2010, la vice-présidente du Front National, Marine
Le Pen, estime que son parti a « la capacité d’être au second
tour de l’élection présidentielle » en 2012 et ironise sur « la
possibilité d’un 21 avril à l’envers ». « Ce qui m'intéresse, c'est
de voir que l'ensemble de la classe politique évoque la
possibilité d'un 21 avril à l'envers, les analystes politiques
également. J'ai cru comprendre que même le président de la
République avait évoqué cette hypothèse auprès d'un certain
nombre de ses conseillers et de journalistes », a-t-elle déclaré. 

 

.

 

220px-Marcellus_Shale_Gas_Drilling_Tower

Plateforme de forage d'un puits de gaz de schiste dans le Marcellus Shale, en Pennsylvanie (États-Unis).
Wikipedia

GAZ DE SCHISTES : UNE BATAILLE MONDIALE D´AMPLEUR INÉDITE ET UNE FUTURE MÉGA CATASTROPHE POUR L'ENVIRONNEMENT

  

Les gaz de schistes connaissent présentement un essor extraordinaire aux États-Unis. En Europe, les compagnies pétrolières commencent à s'intéresser sérieusement à cette ressource de gaz non conventionnels. Leur exploitation causant une dégradation environnementale incommensurable, les écologistes et environnementalistes sont en alerte. C´est dans une certaine discrétion complice que la course aux gaz de schistes vient de commencer en France. (..)

.

chomeurs_15.jpg

Origines du chômage de masse - Asservissement et aliénation des peuples

.

Eva R-sistons :

Sarkozy fera sa guerre contre les banlieues. Manipulée par les Médias, la France profonde, soulagée, le ré-élira, et il achèvera de liquider le pays

 

.

Plume de Presse :
Alerte ! Accès filtré par le ministère de l'Intérieur  
http://alterinfo.net/Acces-filtre-par-le-ministere-de-l-Interieur_a52824.html
 
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  • : Le blog d' Eva, R-sistons à l'intolérable
  • : Eva à 60 ans.Blog d'une journaliste-écrivain.Analyse des faits marquants de l'Actualité,non-alignée,originale,prophétique,irrévérencieuse. Buts: Alerter sur les menaces,interpeller,dénoncer l'intolérable,inciter à résister. Alternance articles Eva et liens infos non officielles. Ici,pensée et parole libres. Blog dénaturé par over-blog le 1.2.15,il sera transféré sur Eklablog
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