Eva à 60 ans.Blog d'une journaliste-écrivain.Analyse des faits marquants de l'Actualité,non-alignée,originale,prophétique,irrévérencieuse. Buts: Alerter sur les menaces,interpeller,dénoncer l'intolérable,inciter à résister. Alternance articles Eva et liens infos non officielles. Ici,pensée et parole libres. Blog dénaturé par over-blog le 1.2.15,il sera transféré sur Eklablog
http://www.renovatiotv.com/rubrique,u-e-planifiee-par-les-nazis,1221642.html
Bonjour
Je vous prépare plusieurs articles, en attendant je vous envoie des informations dont une qui confirme ce que je pressentais depuis deux ans déjà, en parlant de pan-germanisme. L'Allemagne veut dominer l'Europe, définitivement, comme les USA le monde. Et voici une grande nouvelle: Les Nazis ont programme le 4e Reich, qui n'est autre, tout simplement, évidemment, que... l'Union Européenne imposée aux citoyens contre leur gré et contre leurs intérêts, par des hommes comme Sarkozy. Le coup de force permanent ! Jolie démocratie "irréprochable" !
L'horreur est à nos portes. Tous les morceaux du puzzle se mettent en place. Alerte, ils sont devenus fous ! Les citoyens doivent tous payer pour pallier les erreurs des banques et les engraisser toujour plus, sans fin, à la fois en perdant des emplois, en voyant leurs revenus fondre par déremboursements, diminution de salaires etc, et en même temps en payant toujours plus d'impôts, déguisés en prélèvements ou pas ! Jusqu'où cela ira-t-il ? Car une crise CACHE la suivante, et comme les banques ne doivent pas rendre des comptes sur l'utilisation de l'argent donné par les citoyens, elles recommenceront les mêmes folies et il faudra encore et toujours payer pour leurs frasques ! En un mot, les pertes sont publiques, et les gains privatisés ! Ca suffit ! Les BANQUES coulent tous les Etats les uns après les autres, et les peuples, via une Institution de plus en plus puissante comme le FMI sous la férule de Dracula-DSK, sont sacrifiés aux intérêts de QUELQUES grandes banqués carnassières ! Le monde est tombé sur la tête ! Et tout cela nous est soigneusement caché par nos élus et par des médias traîtres !
Ne nous laissons pas faire, comme les Irlandais, et comme les Portugais (grève générale) !
eva R-sistons aux banquiers et aux actionnaires, aux psychopathes (anonymes, retranchés derrière leurs Conseils d'Administration) aux commandes ! Le 7 décembre, tirons leur la langue, et cessons d'acheter inutilement, coulons de l'intérieur ce Système inique en ne l'engraissant plus par une consommation insensée ! Austérité VOLONTAIRE pour tous ! Notre vie en sera améliorée, plus libre, plus légère... Privilégions le qualitatif au quantitatif, la vie de famille, les loisirs, la culture, la solidarité - le jardinage, surtout ! Vite, débarrassons-nous du superflu et ne gaspillons plus ! Et la terre nous dira merci !
N.B. : Méfions-nous de nos "défenseurs": Ainsi, l'ex syndicaliste Nicole Notat a pris la tête du Club le Siècle, à quand la direction du Bilderberg ? C'est une haute trahison !
Les Nazis avaient planifié un 4ème Reich: l’Union Européenne
Les comploteurs: le chef SS Heinrich Himmler avec Max Faust, ingénieur de la compagnie bénéficiant du soutien des Nazis I. G. Farben
Par Adam Lebor
9 mai 2009
Les industriels et économistes les plus influents avaient donné l’ordre de préserver le régime Nazi, en créant un marché commun européen.
Les chefs Nazis cherchaient à préserver leur puissance à la fin de la seconde guerre mondiale. Ils ont conspiré à la création d’un 4ème Reich sous les auspices de l’Union Européenne. Les documents découverts récemment indiquent que ce complot était réel!
Dans un article du journal Britannique Daily Mail, Adam Lebor révèle comment il a découvert un rapport des services de renseignements américains (EW-Pa 128) connu sous le nom de Red House Report, lequel détaille comment les hauts chefs Nazis se sont rencontrés secrètement le 10 aout 1944, à Strasbourg dans L’Hotel Maison Rouge, (tout en sachant que l’Allemagne était au bord d’une défaite militaire) dans le but de créer un 4ème Reich, un empire économique pan-européen, fondé sur un marché commun européen.
Les industriels Nazis, ont donné l’ordre au Dr Scheid(SS Obergruppenfuhrer) de créer des sociétés écrans à l’étranger et de se faire passer pour des démocrates dans le but de pénétrer les économies étrangères et de jeter les fondements pour la re-emergence du parti nazi.
Adam Lebord indique “que le Troisième Reich était vaincu militairement, mais les banquiers, industriels et les fonctionnaires nazis sont devenus des démocrates aussi tôt que l’économie de l’Allemagne de l’Ouest s’est mise à prosperer. Là, ils se sont mis à travailler pour une nouvelle cause : l’intégration politique et économique européenne.
De riches industriels tels qu’Alfried Krupp (Krupp Industries) et Friedrich Flick, ainsi que des sociétés comme BMW, Siemens et Volkswagen se sont mis à la tache pour créer un nouvel empire économique pan-européen. Selon, l’Historien Dr Michael Pinto-Duschinsky, un conseiller de l’ancien parti ouvrier juif, “Pour de nombreuses personnalités du monde industriel proche du régime Nazi, l’Europe est devenue une sorte de couverture pour la poursuite des intérêts nationaux allemands après la défaite d’Hitler… La continuité de l’économie de l’Allemagne et les économies Européennes d’après-guerre est frappante. Certaines des grandes figures de l’économie nazie sont devenues les principaux batisseurs de l’Union européenne.”
Hermann Abs, titan financier, qui s’est joint au conseil d’administration de la Deutsche Bank lors de la montée des nazis, a également siégé au conseil de surveillance de la IG Farben, l’entreprise qui a fabriqué le gaz Zyklon B utilisé pour tuer les victimes des camps de concentration.
Adam Lebor indique qu’en 1948 Hermann Abs était en charge des fonds de reconstruction de l’industrie allemande, et il était en charge du redressement économique de l’Allemagne.
“Abs était aussi un membre de la Ligue européenne pour la coopération économique, regroupant l’élite intellectuelle disposant de moyens de pression. Ce groupe a été mis en place 1946. La ligue dédiait ses activités à la mise en place d’un marché commun, précurseur de l’Union Européenne.
La Ligue européenne pour la coopération économique avait développé des mesures pour l’intégration européenne qui n’étaient autre que ceux proposés par les Nazis, quelques années auparavant.
Un comparatif des mesures développés par la Ligue européenne pour la coopération économique et par les Nazis figure dans le livre de Rodney Atkinson “Europe’s Full Circle”
Europaische Wirtshaftsgemeinschaft = Communauté Européenne Economique
Système monétaire européen = Mécanisme de change européen
Europabank (Berlin) = Banque Centrale Européenne à Francfort.
Principe d’une Europe Régionale = Le Comité des Régions.
Politique commune du travail = Chapitre Social
Accords économiques et commerciaux = Marché Unique
“Est-il possible que le quatrième Reich que ces industriels nazis avaient prévu, soit dans une certaine partie devenue une réalité?” s’interroge Adam Lebor
“Ces trois pages tapées à la machine rappellent que l’orientation actuelle vers un État fédéral européen est inexorablement entaché par les plans des SS et des industriels allemands pour le quatrième Reich – un ordre économique plutôt que militaire.”
Révélations extraordinaires: Le Red House Report de 1944, détaillant les 'plans des industriels allemands
pour s'engager dans une activité clandestine'
La fondation de l’Union Européenne et à terme la mise en place de l’Euro faisaient déjà l’objet de débats dans le Groupe Bilderberg dans les années 50. Des documents prouvent que le plan visant créer un marché commun européen et une monnaie unique était formulé par le groupe Bilderberg en 1955. L’un des fondateurs du groupe Bilderberg, Le Prince Bernhard des Pays Bas était lui-même un ancien officier Nazi, appartenant aux corps des SS.
Mais le cadre idéologique de l’Union européenne remonte encore plus loin, au début des années 1940 lorsque les économistes et les universitaires nazis décrivent un plan pour une seule communauté économique européenne, un programme qui a été dûment suivie après la fin de la seconde guerre mondiale.
Dans le livre La Communauté Européenne, écrit par Walther Funk en 1940, (ancien ministre de l’économie Nazi et criminel de guerre.), il déclare la necessité de créer une “Union de l’Europe Centrale”, et un “Espace Economique Européen.” afin d’assurer un taux de change fixe. L’auteur du livre déclare aussi “qu’aucune nation ne peut parvenir seule au plus haut niveau de liberté économique qui nécéssite des exigences sociales. La formation d’un grand espace économique suit la loi naturelle du developpement, les accords entre états européens régiront les forces économiques… Il doit y avoir une volonté de subordonner ses propres intérêts, à celles de la Communauté Européenne.
Le coauteur de Walther Funk, L’académicien Nazi Heinrich Hunke, avait écrit “Les économies nationales traditionnelles sont mortes… le destin de ces économies sera l’économie Européenne. Le destin et l’extension de la coopération Européenne, dépend d’une nouveau plan pour l’unité économique”.
Le Nazi Gustav Koenig déclarait : “nous avons une réelle tache: l’émergence d’une communauté européenne… et je suis convaincu que cet effort perdurera même après la fin de la guerre”
En 1940, Joeseph Goebbels, ministre de la propagande, avait ordonné la création d’une “grande unification économique européenne” estimant que “dans cinquante ans, les gens ne penseront plus en terme de pays ou de nations” 53 ans plus tard, l’union européenne est établie.
Les autres Nazis (Ribbentrop, Quisling and Seyss-Inquart) qui avaient appelé à la création d’un super état fédéral européen, évoquaient déjà en leur temps “la nouvelle europe des solidarités et de la coopération entre tous ses habitants connaitra rapidement la prospérité économique dès que les frontières économiques nationales seront supprimées.”
La plupart des personnes qui détiennent les rênes du pouvoir dans l’Union européenne ne sont pas des nazis, en effet, ils ne sont certainement que de simples libéraux qui travaillent pour le “plus grand bien”. Cependant, l’Union européenne de par sa nature même est totalitaire, car elle vise à supprimer le pouvoir des gouvernements nationaux au profit d’entités supra-nationales qui ne rendent compte à personne.
Elle vise également à supprimer le droit à la liberté d’expression à toute personne en mesure d’exercer une influence et qui critique l’Union Européenne.
Source: dailymail
Clonage humain
On retrouve le même procédé avec le clônage humain qui semble être interdit par l'article II-63:
article II-3
1. Toute personne a droit à son intégrité physique et mentale.
2. Dans le cadre de la médecine et de la biologie, doivent notamment être respectés (...) l'interdiction du clonage reproductif des êtres humains.
paragraphe 2 de l'article 3 de l'annexe 12
"Les principes contenus dans l'article 3 de la Charte figurent déjà dans la convention sur les droits de l'homme et la biomédecine, adoptée dans le cadre du Conseil de l'Europe (STE 164 et protocole additionnel STE 168) [encore des renvois à des documents extérieurs pour brouiller les pistes!] . La présente Charte ne vise pas à déroger à ces dispositions et ne prohibe en conséquence que le seul clonage reproductif. Elle n'autorise ni ne prohibe les autres formes de clonage [toutes les autres utilisations possibles du clonage humain sont donc possibles]. Elle n'empêche donc aucunement le législateur d'interdire les autres formes de clonage." [elle n'empêche donc pas non plus le législateur de les autoriser ! ].
http://www.syti.net/ConstitutionAnnexes.html
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Un article d'eva R-sistons
Grande braderie de travailleurs:
Grande braderie des travailleurs... Alerte !...
(cliquer sur le lien)
C’est avec un vif intérêt que j’ai pris connaissance du dernier article du journaliste britannique Ambrose Evans-Pritchard - dans le journal Daily Telegraph du 16 novembre - sur la crise irlandaise et européenne.
Et c’est pourquoi je prends l’initiative de vous en recommander la lecture ci-infra. F. Asselineau
ARTICLE DU DAILY TELEGRAPH DU 16 NOVEMBRE 2010
L’HORRIBLE VÉRITÉ COMMENCE À SE FAIRE JOUR SUR LES DIRIGEANTS EUROPÉENS
C’est désormais le projet européen en entier qui risque de se désintégrer, avec des conséquences stratégiques et économiques qui sont très difficiles à prévoir.
Dans un discours prononcé ce matin, le président de l’Union européenne Hermann Van Rompuy (par ailleurs poète et versificateur en japonais et en latin) a mis en garde : si les dirigeants européens ne traitent pas correctement la crise actuelle et laissent la zone euro se fracturer, ils détruiront l’Union européenne elle-même.
« Nous sommes dans une crise de survie. Nous devons tous travailler ensemble pour faire survivre la zone euro, parce que si nous n’arrivons pas à faire survivre la zone euro, nous n’arriverons pas non plus à faire survivre l’Union européenne » a-t-il lancé.
Bien, bien. Quoi qu’il s’agisse d’un thème on ne peut plus familier aux lecteurs du Daily Telegraph, cela n’en fait pas moins un choc que d’entendre une telle confession, après toutes ces années, dans la bouche même du président de l’Europe.
Il admet que le pari d’avoir lancé une monnaie prématurée et dysfonctionnelle, ne disposant ni d’un Trésor centralisé, ni d’une fusion des dettes nationales, ni d’un gouvernement économique pour la soutenir, - et d’avoir, qui plus est, opéré ce lancement avant que les économies, les systèmes légaux, les pratiques de négociation salariales, la croissance de la productivité, et l’élasticité des économies aux taux d’intérêt, soient parvenus à un degré de convergence suffisant du nord au sud de l’Europe – eh bien ce pari est maintenant susceptible de provoquer un horrible retour de flammes.
Jacques Delors et ses compères fondateurs de l’union économique et monétaire (UEM) avaient pourtant été mis en garde par des économistes de la Commission, au début des années 90, que cette aventure insouciante ne pourrait pas fonctionner et qu’elle mènerait à une crise traumatique. Ils ont écarté les avertissements.
Ils avaient également été prévenus que les unions monétaires n’éliminent nullement les risques : elles ne font que les transformer de risques sur les devises en risques sur les défauts de paiement. C’est pour cette raison qu’il était de la plus haute importance de disposer, dès le début, d’un mécanisme en état de fonctionnement pour résoudre les défauts sur les dettes souveraines ou les coupes obligataires, avec des règles claires pour établir la tarification appropriée à ce type de risque.
Mais non, les maîtres de l’UE n’ont rien voulu entendre. Ils ont considéré qu’il ne pourrait y avoir aucun défaut de paiement, et aucune mesure préparatoire n’a été prise, ni même autorisée, pour traiter une situation pourtant parfaitement prévisible. À leurs yeux, la foi politique seule suffisait.
Les investisseurs qui auraient dû être mieux informés sont tombés directement de plain pied dans le piège, en achetant de la dette souveraine grecque, portugaise et irlandaise à seulement 25-35 points de base au-dessus des Obligations de l’État allemand à 10 ans [Bunds]. Au plus haut du boom, les fonds achetaient des bons espagnols avec un écart d’à peine 4 points de base. Maintenant, nous voyons ce qu’il se produit quand on introduit un tel aléa dans le système, et que vous fermez en outre le thermostat d’alerte.
M. Delors avait raconté à ses collègues que n’importe quelle crise serait une « crise bénéfique », qu’elle permettrait à l’Union européenne de vaincre la résistance au fédéralisme fiscal et d’accumuler ainsi de nouveaux pouvoirs. Le but de l’union économique et monétaire était un but politique et non pas économique, et c’est pourquoi les objections des économistes pouvaient heureusement être passées par pertes et profits. Une fois que le monnaie unique existerait, les États membres de l’Union européenne abandonneraient leur souveraineté nationale pour lui permettre de fonctionner sur la durée. Elle conduirait ainsi inéluctablement au rêve de Jean Monnet d’un véritable État fédéral européen.
Faites donc entrer la crise !
Derrière ce pari, bien sûr, il était fait l’hypothèse que n’importe quelle crise pourrait être contenue à un coût supportable, une fois que les déséquilibres du système « une même taille qui ne convient à personne » typique de l’union monétaire européenne aurait déjà atteint des niveaux catastrophiques, et une fois que les bulles de crédit des pays du sud de l’Europe [baptisés le « Club Med »] et de l’Irlande se seraient effondrées. L’hypothèse était faite aussi que l’Allemagne, les Pays Bas, et la Finlande finiraient - sous l’avalanche des protestations – à se résoudre à payer la facture pour une « Transferunion ». [Union européenne fondée sur le transfert des richesses entre États membres].
Il se pourrait bien que nous soyons amenés à vérifier bientôt si ces deux hypothèses étaient correctes. Loin de lier tous ensemble les pays d’Europe, l’union monétaire mène à l’acrimonie et aux récriminations mutuelles. Nous avons assisté à une première éruption en début d’année, lorsque le vice Premier ministre grec a accusé les Allemands d’avoir volé l’or grec des chambres fortes de sa banque centrale et d’avoir tué 300.000 personnes sous l’Occupation nazie.
La Grèce est maintenant sous protectorat de l’Union européenne, ou plus pudiquement de « Mémorandum » puisque c’est ainsi qu’on l’appelle. Ce qui a donné naissance à des attaques terroristes piqûres d’épingle contre quiconque est lié de près ou de loin aux pouvoirs européens. L’Irlande et le Portugal sont un peu plus loin en arrière sur cette route qui conduit à la servitude mais ils sont déjà confrontés à des politiques dictées directement depuis Bruxelles et ils seront bientôt placés à leur tour sous des protectorats formels, et ce dans tous les cas.
L’Espagne a plus ou moins été forcée de réduire les salaires de la fonction publique de 5% pour se conformer aux exigences de l’Union européenne faites en mai. Tous doivent se plier au programme européen d’austérité, sans pouvoir compter sur le soulagement compensateur d’une dévaluation ou d’une politique monétaire plus accommodante.
Si tout cela continue l’année prochaine, avec un chômage à un niveau record de dépression ou même continuant à grimper encore plus haut, il va commencer à devenir important de s’interroger sur qui a la « propriété » politique sur l’ensemble de ces politiques. Est-ce vraiment le fruit d’un consentement pleinement démocratique ? Ou bien ces souffrances sont-elles imposées par des chefs suprêmes étrangers dans un but purement idéologique ? Il ne faut pas beaucoup d’imagination pour prévoir les effets de tout cela sur l’entente en Europe.
Mon opinion personnelle est que l’Union européenne est devenue illégitime lorsqu’elle a refusé d’accepter le rejet de la Constitution européenne par les électeurs français et néerlandais en 2005. Il ne peut y avoir aucune justification pour faire revivre ce texte sous l’appellation de traité de Lisbonne et le faire adopter de force par une procédure parlementaire sans référendums, dans ce qui n’était au fond rien d’autre qu’un putsch autoritaire. (Oui, les parlements nationaux ont eux-mêmes été élus – il n’est pas utile de m’adresser des commentaires indignés pour le souligner -; mais quel fut le motif pour que les gouvernements français et néerlandais refusent à leurs propres peuples de revoter dans ce cas précis ? Les chefs élus peuvent aussi violer la démocratie. Il y avait une fois un caporal autrichien…. mais n’entrons pas là dedans).
L’Irlande était le seul pays obligé par sa Constitution à organiser un référendum. Quand cet électorat seul a également voté Non, l’Union européenne a de nouveau négligé le résultat et a intimidé l’Irlande pour qu’elle vote une deuxième fois afin d’obtenir le « bon vote ».
C’est le comportement d’une organisation proto-Fasciste. Ainsi, si l’Irlande maintenant - par une ironie de l’histoire et au nom de représailles méritées – enclenche la réaction en chaîne qui va détruire la zone euro et l’Union européenne (..)
Ambrose EVANS PRITCHARD
Daily Telegraph
16 novembre 2010
http://www.u-p-r.fr/un-spectaculaire-article-du-daily-telegraph-l%E2%80%99horrible-verite-commence-a-se-faire-jour-sur-les-dirigeants-europeens/
J. P. Chevènement sur les Actions Extérieures de l'Etat
(..) J’attire votre attention pour finir, Madame la Ministre d’Etat (Mme Alliot-Marie) , sur la nécessité de refuser la politique d’austérité toujours renforcée que le gouvernement allemand cherche à imposer en Europe. Cette voie qui est aussi celle que dictent les marchés financiers dont la vue myope n’a plus besoin d’être démontrée, est une voie sans issue. Elle conduit à la récession et à l’aggravation de la situation des finances publiques.(..)
http://www.chevenement.fr/Quand-les-moyens-manquent-c-est-le-message-qui-compte_a1020.html?TOKEN_RETURN
N.B. Eva: Attention, il faut maintenir l'influence de la France à l'Etranger, notamment par l'usage de la Langue Française (avec Sarkozy, Lagarde, Pécresse... c'est l'imposition de l'Anglais et la perte d'influence. Par ailleurs, Sarkozy brade les joyaux de la France à l'Etranger : "la cession de l’immeuble des services culturels à New York, du Palais Lenzi à Florence ou de la Résidence de l’Ambassadeur à Buenos Aires seront autant de mauvais coups portés au prestige de la France à l’étranger" (Chevènement)