Orwell dénonçait le totalitarisme et les atteintes aux libertés, notamment à la liberté d’expression. Aujourd’hui, le politiquement correct incarne ce Big Brother, grand surveillant des paroles et grand vigilant.La Gayssot attitude, initiée dès 1986 par des députés socialistes au nom de la défense de la vérité, bloque la marche du savoir, selon l’expression de l’historien François Furet
[1], car elle
empêche la confrontation des arguments.
Ce que l’on appelle « loi Gayssot », en son article 9 est l’article 24 bis de la loi de juillet 1881 sur la liberté de la presse. En voici le premier alinéa :
"Seront punis des peines prévues par le sixième alinéa de l’article 24 ceux qui auront contesté, par un des moyens énoncés à l’article 23, l’existence d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité tels qu’ils sont définis par l’article 6 du statut du tribunal militaire international annexé à l’accord de Londres du 8 août 1945 et qui ont été commis soit par les membres d’une organisation déclarée criminelle en application de l’article 9 dudit statut, soit par une personne reconnue coupable de tels crimes par une juridiction française ou internationale."
Article 6 (c) de ce statut : 'Les Crimes contre l’Humanité’ : c’est-à-dire l’assassinat, l’extermination, la réduction en esclavage, la déportation, et tout autre acte inhumain commis contre toutes populations civiles, avant ou pendant la guerre, ou bien les persécutions pour des motifs politiques, raciaux ou religieux, lorsque ces actes ou persécutions, qu’ils aient constitué ou non une violation du droit interne du pays où ils ont été perpétrés, ont été commis à la suite de tout crime rentrant dans la compétence du Tribunal, ou en liaison avec ce crime.
On notera que l’expression « chambres à gaz » ne figure dans aucun de ces textes. Une société de connaissance ouverte peut difficilement accepter une telle disposition qui soumet le débat public aux décisions d’un tribunal militaire. La loi du 26 janvier 1884, article 3, alinéa 1, énonçait un « principe fondamental reconnu par les lois de la République (PFRLR) : "Le service public de l’enseignement supérieur est laïc et indépendant de toute emprise politique, économique, religieuse ou idéologique ; il tend à l’objectivité du savoir ; il respecte la diversité des opinions. Il doit garantir à l’enseignement et à la recherche leurs possibilités de libre développement scientifique, créateur et critique." La mécanique du politiquement correct va-t-elle si vite que ces mots ne veuillent plus rien dire aujourd’hui ? Dans la culture occidentale, on doit, pour la qualité de l’instruction publique, pouvoir fournir en permanence les éléments objectifs établissant les faits scientifiques ou historiques, justifiant les diverses théories ou politiques élaborées à partir de ces faits. On ne peut s’en tenir à la position irréfléchie de 34 historiens français qui eurent ce que Paul Thibaud a appelé par la suite "un réflexe de cordon sanitaire" ; ils annoncèrent publiquement leur refus de débattre :
"Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a été possible. Il a été techniquement possible puisqu’il a eu lieu. [...] Il n’y a pas, il ne peut pas y avoir de débat sur l’existence des chambres à gaz." (Le Monde, 21 février 1979).
Plusieurs d’entre eux furent d’ailleurs par la suite opposés à la loi Gayssot, et aucun historien spécialiste de la deuxième guerre mondiale (Henri Amouroux, Henri Michel, René Rémond) ne figurait parmi les signataires.
Comme l’écrivait le philosophe Jean-François Lyotard,
"Comment savoir que l’adversaire est de mauvaise foi tant qu’on n’a pas cherché à le convaincre et qu’il n’a pas manifesté par sa conduite son mépris des règles scientifiques ?".
[2]La « Gayssot attitude » s’était heurtée à l’opposition du Sénat ; cette loi du 13 juillet 1990 ne fut pas contrôlée par le Conseil constitutionnel
[3] ; elle fut déplorée par la majorité des historiens et de juristes, de même que l’ensemble des lois mémorielles (colonisation, esclavage, Arménie). Prise sous le coup de l’émotion de la profanation de Carpentras, Jacques Toubon la jugeait en ces termes : « Je suis contre le délit de révisionnisme, parce que je suis pour le droit et pour l’histoire, et que le délit de révisionnisme fait reculer le droit et affaiblit l’histoire
[4] ». Le 7 octobre 1996, l’Académie des Sciences Morales et Politiques, à l’unanimité, avait souhaité que l’on revienne sur cette disposition (Le Figaro, 18 octobre 1996). Plusieurs juristes français avaient rapidement exprimé leurs réticences, leurs inquiétudes face à cette disposition d’inspiration totalitaire. Selon François Terré, professeur agrégé de philosophie du droit à Paris-II,
« En érigeant le révisionnisme – lequel est aberrant – en infraction pénale, on porte atteinte : a) à la Déclaration de 1789 : "Nul ne doit être inquiété pour ses opinions [...]" b) à la libre recherche scientifique, consacrée par les lois de la République, et dont la liberté d’expression est une illustration. » (Le Figaro, 29 juin 1990, p. 2) Des affaires récentes (invitation de Dieudonné, Mgr Williamson, « point de détail » de Le Pen) ont montré que cette disposition est devenue, au nom de la lutte contre l’antisémitisme,
la clef de voûte de la police de la parole. Or la liberté d’expression est constitutionnellement la première des libertés[5] . La démocratie, ce n’est ni « Ferme ta gueule », ni « Cause toujours », mais cette esprit voltairien qui fait suivre le désaccord d’une argumentation, d’une réfutation si nécessaire :
« En général, il est de droit naturel de se servir de sa plume comme de sa langue, à ses périls, risques et fortune. Je connais beaucoup de livres qui ont ennuyé, je n’en connais point qui aient fait de mal réel. […] Mais paraît-il parmi vous quelque livre nouveau dont les idées choquent un peu les vôtres (supposé que vous ayez des idées), ou dont l’auteur soit d’un parti contraire à votre faction, ou, qui pis est, dont l’auteur ne soit d’aucun parti : alors vous criez au feu ; c’est un bruit, un scandale, un vacarme universel dans votre petit coin de terre. Voilà un homme abominable, qui a imprimé que si nous n’avions point de mains, nous ne pourrions faire des bas ni des souliers [Helvétius, De l’Esprit, I, 1] : quel blasphème ! Les dévotes crient, les docteurs fourrés s’assemblent, les alarmes se multiplient de collège en collège, de maison en maison ; des corps entiers sont en mouvement et pourquoi ? pour cinq ou six pages dont il n’est plus question au bout de trois mois. Un livre vous déplaît-il, réfutez-le ; vous ennuie-t-il, ne le lisez pas. » Voltaire, Questions sur l’Encyclopédie, article « Liberté d’imprimer ».
À la question de Montaigne : « Est-il chose qu’on vous propose pour l’avouer ou refuser, laquelle il ne soit pas loisible de considérer comme ambiguë ? » (Essais, II, xii, p. 503 de l’édition Villey), Kant répondait : « Chacun est, qu’il le veuille ou non, forcé de croire à un fait tout autant qu’à une démonstration mathématique, pourvu que ce fait soit suffisamment avéré
[6]. » D’où
la nécessité de pouvoir examiner librement si le fait est, ou non, avéré. À défaut de ce libre examen, on porte tort, comme le notait John Stuart Mill
[7] , au développement mental que ceux que l’on intimide par la crainte de l’hérésie. Il y a là un interdit public, de type religieux, défavorable à la fonction intellectuelle, et contraire, par son aspect religieux, à la laïcité prise sous l’angle de la liberté de conscience. Je souhaite donc l’abrogation de cette disposition.
[1] Dans Commentaire, n° 80, hiver l997-98, Ernst Nolte et François Furet s’accordaient sur la légitimité du débat sur ce sujet. Leur correspondance a depuis été publiée en volume (Plon, 1998 ; Hachette Littératures, coll. Pluriel, n° 971, 2000). Le 5 septembre 1996, Ernst Nolte écrivait à François Furet :
« Il faut répondre aux arguments révisionnistes par des arguments et non en engageant des procès. [...] Je me sens provoqué par [le révisionnisme], et je ne me vois pourtant pas m’associer à ceux qui veulent mobiliser les procureurs et la police contre lui. [...] Je considère comme fondamentalement fausse l’affirmation selon laquelle, si l’essentiel est incontestable, aucune affirmation particulière n’aurait plus besoin d’examen, et tous les doutes ne pourraient provenir que d’intentions mauvaises. Je crois qu’on menace au contraire le noyau de la chose lorsque on veut soustraire l’écorce à la discussion, non pas certes le caractère factuel de ce noyau mais le rang et l’importance qu’on lui accorde. »
Ce à quoi François Furet répondait le 30 septembre 1996 :
« Rien n’est pire que de vouloir bloquer la marche du savoir, sous quelque prétexte que ce soit, même avec les meilleures intentions du monde. C’est d’ailleurs une attitude qui n’est pas tenable à la longue, et qui risquerait d’aboutir à des résultats inverses de ceux qu’elle prétend rechercher. C’est pourquoi je partage votre hostilité au traitement législatif ou autoritaire des questions historiques. L’Holocauste fait hélas partie de l’histoire du XXe siècle européen. Il doit d’autant moins faire l’objet d’un interdit préalable que bien des éléments en restent mystérieux et que l’historiographie sur le sujet n’en est qu’à son commencement. »
[2] Jean-François Lyotard, Le Différend, Paris : Minuit, 1983, paragraphe 34.
[3] Les professeurs de droit public P. Avril, O. Duhamel et J. Gicquel se sont étonnés que cette "loi Gayssot" n’ait pas subi de contrôle de constitutionnalité. (Le Monde, 15-16 juillet 1990 ; Pouvoirs, n° 56, 1991. Certains parlementaires ont fait état d’une intimidation qui les aurait dissadé de déposer un recours.
[4] Assemblée Nationale, 3e séance du 21 juin 1991.
[5] « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi. » Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, article 10, proposé par Louis de Castellane et Jean-Baptiste Gobel.
« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. » Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, article 11, proposé par le duc de La Rochefoucauld d’Enville.
[6] Kant, Qu’est-ce que s’orienter dans la pensée ? (1786) ; traduction Pierre Jalabert, in Œuvres philosophiques, tome 2, Gallimard, 1985, coll. Pléiade.
[7] John Stuart Mill, On Liberty, chap. II, « Of the Liberty of Thought and Discussion » (1859).
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ni-big-brother-ni-gayssot-attitude-54425http://www.soueich.info/article-ni-big-brother-ni-gayssot-attitude-mais-voltaire-38007573.htmlEva: Je suis pour l'expression de la liberté d'opinion - la liberté ne se divise pas. Elle ne doit souffrir aucune exception. Personnellement, je ne mets nullement en doute la réalité de la Shoah des Tsiganes (la moitié des Tsiganes), des Juifs européens (un tiers), des handicapés mentaux, des homosexuels etc. Mais j'estime que le débat, la confrontation, doivent avoir lieu. Coûte que coûte.
Je vais publier prochainement sur ce blog, une Lettre ouverte aux censeurs de Dieudonné. Cette lettre prolongera cet article que je viens de trouver ... en cherchant des informations sur la Turquie (site soueich) !
L
Laplote
Sélection des liens:
23 octobre, par Olivier Bonnet
"Victime de la barbarie nazie" ? Plutôt martyr politique aux bourreaux bien Français.
La taxation des banques ne passera pas !
24 octobre, par Olivier Bonnet
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Banques : les députés votent une surtaxe "par erreur" titre France Info : "Cela pourrait s’appeler une grosse gaffe : les députés ont adopté une taxe additionnelle de 10% sur les bénéfices des banques en 2010, un amendement dont ne voulait surtout pas le gouvernement. Simplement, parce que l’UMP Jean-François Lamour se serait trompé de bouton... Mais, mal voté ne veut pas dire adopté : il devrait y avoir un nouveau vote. Le gouvernement pourrait en effet obtenir gain de (...)
Trois ans de prison pour un lycéen "bloqueur" ? C’est L’Humanité qui sonne l’alerte le 21 octobre : "La criminalisation du mouvement social continue. A l’instar de Tristan Sadeghi, exclu de son lycée pour avoir participé au blocage de son lycée dans le cadre des réformes Darcos, Lou Jatteau avait également été mis au ban de l’école en 2008. En excluant pour l’exemple Lou du lycée Jules Ferry, l’administration affichait une nouvelle fois sa volonté de faire d’un mouvement collectif l’agitation d’une (...)

Rapport Goldstone :
Goldstone, Israël et le punching ball onusien. Gilles Paris
C’est peu dire que les relations entre Israël et les Nations unies sont stables dans la détestation, comme l’illustrent les réactions israéliennes à l’adoption par le Conseil des droits de l’homme du rapport de la commission présidée par le juge sud-africain Richard Goldstone (dans une formulation critiquée par le juge lui-même) à propos de la guerre de Gaza (27 décembre-17 janvier.)
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http://www.france-palestine.org/article12941.htmlRapport Goldstone ; « Beaucoup reste à faire pour transformer les recommandations en mécanisme d’action ». Entretien avec Hassan Nafaa Hassan Nafaa, conseiller auprès du Centre des Etudes Politiques et Stratégiques (CEPS) d’Al-Ahram, explique que seul un recours à l’Assemblée générale pourrait conduire à une saisie de la CPI.
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http://www.france-palestine.org/article12968.htmlA ne pas oublier... K. Selim Le rapport Goldstone, adopté par le Conseil des droits de l’homme des Nations unies malgré d’intenses pressions israéliennes et occidentales, ne passera pas l’écueil du veto étasunien au Conseil de sécurité. Ce n’est pas une surprise.
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http://www.france-palestine.org/article12950.html
Rapport Goldstone ; Texte des conclusions et recommandations de la MissionLire la suite :
http://www.france-palestine.org/article13010.htmlLe rapport Goldstone divise l’exécutif israélien. Serge Dumont Ehoud Barak, est le principal opposant à l’ouverture d’une enquête israélo-israélienne.
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http://www.france-palestine.org/article13009.html
Quand Israël pensait que les islamistes étaient ses alliés. Pierre Haski
C’est l’histoire d’un « grand aveuglement » historique lourd de conséquences. Le journaliste Charles Enderlin raconte dans un nouveau livre l’histoire des liaisons dangereuses entre Israël et « l’irrésistible ascension de l’islam radical » palestinien : un fait connu, mais auquel il apporte des témoignages et des documents montrant comment l’Etat hébreu a laissé grandir son pire ennemi d’aujourd’hui. Edifiant.
Lire la suite :
http://www.france-palestine.org/article13015.htmlAmnesty accuse Israël de priver d’eau les Palestiniens.
Nouvelobs.com avec AFP Israël limite sévèrement l’accès à l’eau dans les Territoires palestiniens "en maintenant un contrôle total sur des ressources communes et en poursuivant des politiques discriminatoires", déplore l’organisation de défense des droits de l’homme.
Lire la suite :
http://www.france-palestine.org/article13021.htmlLe rapt des réserves naturelles de Gaza par Israël (partie 1). Peter Eyre En l’an 2000 on a découvert du gaz près des côtes de Gaza. La grande majorité de cette ressource vitale se trouve dans l’aire marine de Gaza. D’emblée Israël a décidé qu’il voulait le champ tout entier pour ses propres objectifs, ayant décidé de passer au gaz naturel comme combustible principal pour ses centrales d’énergie et son industrie.
Lire la suite :
http://www.france-palestine.org/article13011.html .
Touche pas à ma banque !
En annulant le vote de l'amendement, proposé par le député socialiste Didier Migaud, sur une surtaxation exceptionnelle sur les banques de 10% en 2010 ; le gouvernement s'explose de plus en plus comme simple sous fifre de la finance aux yeux du peuple français.
Alors que les malades seront taxés plus, alors que les accidentés du travail seront taxés plus, alors que les fumeurs seront taxés plus, Alors que la population va subir une nouvelle taxe ! Le gouvernement décide d'annuler la taxe sur les banques !
Au vu de l'accélération de l'effondrement du système financier, cette mesure n'était pas suffisante, mais elle va dans le bon sens ! Nous sommes encore très loin du Glass Steagall et du Nouveau Bretton Woords.
Face à la colère qui vient !
Cette décision d'annuler la taxe, est une décision dangereuse !
Le peuple est en colère, le peuple est las de tant de mépris de la part de ses dirigeants ! Nous devons aujourd'hui nous lever et mettre une forte pression sans violence à nos représentants, à nos élus, à nos députés ! Nous devons leur faire comprendre que le peuple c'est nous ! et qu'ils doivent travailler pour nous !
Nous devons leur écrire, leur téléphoner, nous donner rendez vous devant leurs permanences ! Nous devons exiger de nos élus du courage dans leur mission, sinon qu'ils partent !
De plus en plus de Français sont en colère, nous devons proposer un intérêt commun à tous les citoyens en colère! Il existe un intérêt commun entre tous les français, sortir de l'enfer du système libéral, monétaire et destructeur!
Afin de définir un plan d’attaque pour l’avenir, je vous invite à lire et à partager le dernier tract de Solidarité et Progrès : A la colère qui vient !
Nous sommes le peuple!
David C.
http://david.cabas.over-blog.fr/article-touche-pas-a-ma-banque-38318144.html
Vaccination, Puces RFID, GSM/HAARP, Chemtrails - Relier les points
un outil de gestion des masses par le gouvernement du nouvel ordures mondiales ?
article en francais : http://www.newsoftomorrow.org/spip.php?article6426<br />
La reprise économique est une illusion
La BIS nous met en garde contre de futures crises
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=15818 
La Coordination de défense de la Révolution cubaine,
et le Comité pour la libération des Cinq Cubains prisonniers politiques aux Etats-Unis
Vous invitent
à une rencontre exceptionnelle
Avec le journaliste cubano-américain, Directeur de la revue Areito digital, Fondateur de la Brigade Antonio Maceo
Membre du Comité international pour la libération des Cinq aux Etats-Unis
Andrés Gómez, Un homme d’honneur
Le jeudi 29 octobre à 19h 30
94 rue Jean Pierre Timbaud Paris – 11ème
Métro Couronnes ou Parmentier
Andrés Gomez est un Cubain résident aux Etats-Unis qui a consacré sa vie à lutter contre les agressions terroristes organisées contre Cuba par des groupes mafieux cubano-américains, installés dans le sud de la Floride , avec la bénédiction et le soutien matériel et financier du gouvernement nord-américain.
Il a livré bataille dans un milieu extrêmement violent, la ville de Miami, où des assassins notoires comme Posada Carriles et Orlando Bosch sont en liberté et où les Cinq Cubains qui combattaient ces terroristes ont été arrêtés et condamnés à des peines de prisons sans précédent.
Fondateur de la Brigade Antonio Maceo, il a travaillé sans relâche à défendre la souveraineté, la l’indépendance et le processus révolutionnaire cubain, dans le même lieu où ses ennemis régnaient en toute impunité par la menace et les assassinats.
Le 19 décembre 2007, il écrivait:
« La Brigade Antonio Maceo vient de fêter ses trente ans de travail au sein de l’émigration cubaine. Trente ans de dure bataille contre les forces politiques représentant le pire de l’humanité – ceux-là mêmes qui dirigent la contre-révolution cubaine– et qui sont animés des sentiments les plus réactionnaires, violents et immoraux sur l’individu, la société et la vie en général.
[…] C’est le 21 décembre 1977 qu’un groupe de 55 jeunes Cubains, nous sommes revenus à la terre qui nous avait vus naître, après avoir quitté Cuba, enfants, avec nos familles qui refusaient le processus révolutionnaire cubain, dans les années 60 et 70.
Venez nombreux pour en savoir plus sur la mafia cubano-américaine et son engagement aux côtés des forces les plus extrémistes de la droite étasunienne, la solidarité avec Cuba aux Etats-Unis, le silence honteux de la presse nord-américaine sur le procès des Cinq…
http://cbparis.over-blog.com/article-jeudi-29-octobre-rencontre-exceptionnelle-38268778.html
Grippe, Crèvecoeur, suite -
Et en France, obligation de vaccination et lois d'urgence ?
(..) Aux Etats-Unis, on observe depuis quelques jours, une augmentation du nombre de morts de la grippe, que les autorités attribuent, évidemment, à la mutation du virus H1N1 sous une forme beaucoup plus dangereuse et mortelle que la souche qui a circulé jusqu’à présent (étape n° 10). Évidemment, personne ne pensera à attribuer la cause de la mortalité à la vaccination. Bien sûr que non. De toute façon, le peuple hypnotisé par six mois de propagande médiatique ne réfléchit plus. Pour eux, c’est trop tard, et personne ne pourra rien faire.
C’est là que la logique voudrait qu’on arrête de vacciner, même quand on croit à l’efficacité du vaccin. Car si le virus mute, le vaccin préparé depuis fin mai 2009, ne sera plus d’aucune utilité. Mais ça, c’est un détail qui ne dérangera même pas les experts prostitués du Monde entier à la solde des consortiums pharmaceutiques.
C’est la raison pour laquelle il a été très facile pour le très méritant prix Nobel de la Paix, Barak Hussein Obama (c’est son vrai nom), de décréter l’état d’urgence sanitaire (étape n° 11), qui est l’étape préalable à l’instauration d’un état totalitaire et dictatorial. Je rappelle quand même que la FEMA (Federal Emergency Management Agency) aura la gestion de toute cette campagne de vaccination massive que j’annonce comme obligatoire depuis fin août. Quand on sait, par ailleurs, que c’est à la FEMA qu’on a confié la gestion des 800 camps de concentration vides disséminés sur tout le territoire des Etats-Unis, ça donne des frissons. Mais on n’en est pas encore là, mes amis. Ça, c’est l’étape n° 12 que je vous prédisais le 10 septembre dernier.
Dans les autres pays :
À noter que la France sera, d’après moi, le premier pays européen à déclarer l’état d’urgence sanitaire. En effet, son Führer Nicola SS arkozy ne voudrait quand même pas être à la traîne de son modèle américain, le dictateur Obama. Comme le FluMist n’est pas autorisé en Europe, la stratégie est différente, mais le principe est le même. Il faut savoir qu’un premier lot de vaccins a été livré à la France le 27 août dernier, en provenance de l’entreprise pharmaceutique la plus criminelle du monde : Baxter (je vous rappelle que c’est Baxter qui avait contaminé 72 kg de matériel vaccinal en février 2009, en mélangeant « par accident » le virus de la grippe H3N2 à celui de la grippe H5N1 – je ne recommence pas mon explication sur les commutations. C’est la même chose que ci-dessus). Ces vaccins livrés fin août à la France sont très certainement des vaccins contenant le virus de la grippe aviaire H5N1, issus de ce qui avait été produit antérieurement par Baxter en préparation de la pandémie de grippe aviaire (il faut bien recycler les invendus, non ?). D’ailleurs, il est impossible que ce soit des vaccins contenant le H1N1 – les délais de fabrication étant trop courts, par rapport à la date de livraison de la souche Californienne qui a servi à la production des vaccins. Ces vaccins ont été gardés sous haute surveillance militaire à Miramas, en Provence (Sud de la France). Et ce sont eux qui sortent les premiers...Donc, attendez-vous, chers amis Français, que la France décrète, elle aussi l’état d’urgence sanitaire dans quelques jours, car c’est dans ce pays que la deuxième vague va frapper dur ! Entraînant, à sa suite, la déclaration de l’état d’urgence sanitaire dans tous les pays européens. Et que mes amis belges ne se croient pas protégés par l’amendement obtenu il y a quinze jours, garantissant la liberté de vaccination ! Si l’OMS déclare l’obligation, pour tous les pays signataires de sa charte, de procéder à des vaccinations de masse, le gouvernement belge et Madame Onkelinx auront beau jeu de déclarer que ce n’est plus sous leur contrôle...
Concernant le Québec, sachez que je suis extrêmement inquiet de la tournure des événements. Nous assistons à une monopolisation des médias par les irresponsables de Maladie Publique et à un durcissement du ton de la part de plusieurs ministres de la Maladie. Quand j’entends que les infirmiers et infirmières refusant la vaccination sont menacés d’être mis à pied sans compensation salariale, quand j’entends le Ministre Bolduc interdire les médecins de donner leur avis à leurs patients en matière de vaccination sous peine de sanction (suspension ou radiation de l’ordre des médecins), quand j’entends le même Ministre menacer d’instaurer l’état d’urgence sanitaire (en faisant appel à la loi votée en décembre 2001), quand j’entends que les Etats-Unis viennent de décréter l’état d’urgence, et vu notre proximité géographique, je suis certain que la vaccination sera obligatoire au Québec avant la fin de l’année 2009. De toute façon, la ministre fédérale de la Maladie, Leona Aglukkaq a déclaré, à deux jours d’intervalle que la vaccination ne serait pas obligatoire, d’une part, et que son objectif était de vacciner 100 % de la population !
Autres armes utilisées contre nous :
Dans les propos que je vous ai tenus, j’ai omis de vous parler de deux facteurs potentiellement favorables à l’hécatombe.
Je n’ai pas le temps de les développer. - Le premier, je l’avais déjà mentionné dans un de mes précédents courriels (d’ailleurs, vous pouvez les relire tous sur mon site Internet, dans la section articles) : c’est le rôle néfaste et mortel du Tamiflu. En effet, j’avais remarqué que la plupart des personnes jeunes et en bonne santé qui mouraient de Détresse Respiratoire Aiguë ou de surinfection bactérienne pulmonaire avaient pratiquement toutes été traitées au Tamiflu, dans les heures précédant leur décès. Voir, entre autres (mais j’en ai des dizaines) : http://www.flutrackers.com/forum/showthread.php?t=126123 . Ce qui m’avait fait dire, d’ailleurs : « Lorsqu’on vous parlera de quelqu’un mort de la grippe, vérifiez s’il a été vacciné juste avant ou s’il a reçu du Tamiflu. Depuis que cette information s’est répandue, la presse ne mentionne plus cette information lorsqu’elle relate la mort d’une personne en bonne condition (sauf la grippe).
- Le deuxième, c’est qu’il y a eu, depuis mars 2009, une très grande intensification de Chemtrails dans le ciel, aussi bien en Europe qu’en Amérique du Nord (je n’ai pas d’informations pour les autres continents). Une référence, parmi des milliers d’autres : http://www.chemtrails-france.com/ . Pour ceux qui ne le savent pas, il s’agit de traînées répandues dans le ciel par des avions volant à haute altitude, qui imitent les traînées de condensation que font les avions de ligne. Vous savez, ces traînées blanches qu’on voit à l’arrière des avions. Les vraies traînées demeurent dans le ciel maximum une minute, car ce n’est que de l’eau et les gouttelettes se dispersent rapidement (quand j’étais petit, j’avais du plaisir à observer cela). Les Chemtrails (littéralement, traînées chimiques) sont disséminés dans le ciel par une série d’avions volant dans deux directions perpendiculaires, créant ainsi un quadrillage. À la différence des traînées de condensation, non seulement ces traînées ne disparaissent pas en une minute, mais au contraire, elles grossissent et finissent par se rejoindre, plombant le ciel bleu d’une lourde chape de nuages gris en quelques heures. Un biochimiste britannique participant à ces opérations a révélé, l’été dernier, que ces traînées chimiques contenaient des aérosols précurseurs à b