Eva à 60 ans.Blog d'une journaliste-écrivain.Analyse des faits marquants de l'Actualité,non-alignée,originale,prophétique,irrévérencieuse. Buts: Alerter sur les menaces,interpeller,dénoncer l'intolérable,inciter à résister. Alternance articles Eva et liens infos non officielles. Ici,pensée et parole libres. Blog dénaturé par over-blog le 1.2.15,il sera transféré sur Eklablog
Par eva R-sistons
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Petit dessin de presse à l'aquarelle avec DSK, Dassault et LaGardère pour illustrer l'enquête spéciale sur la montée en puissance de DSK dans les médias et des réels intérêts cachés derrière sa possible candidature.
En prime l'illustration de la "Une" de Fakir sur une idée de Fabian Lemaire (un autre cari-dessineux et membre éminent du journal).
L’Accord multilatéral sur l’investissement (AMI), en anglais Multilateral Agreement on Investment (MAI), a été négocié secrètement au sein des vingt-neuf pays membres de L'OCDE entre 1995 et avril 1997.
Proposant une libéralisation accrue des échanges (interdiction des discriminations par la nationalité entre investisseurs), il entraîna de vives protestations de la part des partisans de l'exception culturelle, des mouvements de défense de l’environnement et de quelques mouvements syndicaux lors de sa divulgation au grand public par des mouvements de citoyens américains[1].
Des organisations non gouvernementales parviennent à se procurer le projet d'accord, et à alerter le public sur ce projet. Selon un de leurs leaders, « l'AMI est comme Dracula : il meurt à être exposé en plein jour ». Finalement, devant l'opposition française et la tiédeur des États-Unis[2], et suite au rapport commandé par Lionel Jospin à Catherine Lalumière, qui déclare le projet « non réformable », l’AMI est abandonné en octobre 1998[3].
Critiques des opposants
Elles sont en fait relativement nombreuses. Ci-dessous, la liste non-exhaustive des critiques faites à ce projet qui permettait :
Il remet en cause :
L'AMI introduit diverses obligations pour les gouvernements mais aucune pour les investisseurs.
Note
Liens externes
L'AMI, l'Accord Multilatéral Investissement :
Elaboré au sein de l’OCDE, à l’insu des citoyens
Le nouveau manifeste du capitalisme mondial
IL faut remonter aux traités coloniaux les plus léonins pour trouver exposés avec autant d’arrogance dominatrice que dans l’Accord multilatéral sur l’investissement (AMI) les droits imprescriptibles du plus fort - ici, les sociétés transnationales - et les obligations draconiennes imposées aux peuples. A tel point que les négociateurs gardent le secret sur un texte, élaboré au sein de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), que le gouvernement français s’apprête à signer, si l’on en croit le communiqué des services du premier ministre du 7 janvier selon lequel « les règles de l’AMI contribueront à assurer la solidité du cadre juridique des échanges ».
Imaginez un traité de commerce autorisant les entreprises multinationales et les investisseurs à poursuivre directement en justice les gouvernements pour obtenir des dommages et intérêts en compensation de toute politique ou action publique qui aurait pour effet de diminuer leurs profits. Cela n’est pas l’intrigue d’un roman de science-fiction sur l’avenir totalitaire du capitalisme. Seulement l’une des clauses d’un traité sur le point d’être signé, mais méconnu : l’Accord multilatéral sur l’investissement (AMI). Le directeur général de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), M. Renato Ruggiero, a assez justement décrit la nature de cet accord : « Nous écrivons la Constitution d’une économie mondiale unifiée. »
Peu de gens savent que l’AMI est en négociation depuis 1995 au sein de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), à Paris. Les 29 pays membres, dont tous les plus riches du monde, veulent d’abord s’entendre avant de présenter aux pays en développement un traité à prendre où à laisser. L’objectif de l’accord est d’étendre le programme de déréglementation systématique de l’OMC aux quelques secteurs vitaux non encore concernés : la localisation et les conditions de l’investissement dans l’industrie et les services, les transactions sur les devises et les autres instruments financiers tels que les actions et les obligations, la propriété foncière et les ressources naturelles...
Alors même que, au cours des précédentes décennies, le monde a été bouleversé par la véritable explosion des mouvements planétaires de capitaux, l’investissement a moins attiré l’attention de l’opinion publique, de la presse et du pouvoir politique que l’activité commerciale. Cependant, les entreprises transnationales et les grands établissements financiers y sont particulièrement attentifs. Avec patience et agressivité, ils ont fait en sorte que les règles générales en la matière satisfassent leurs intérêts particuliers et assurent l’extension et la consolidation de leur pouvoir sur les Etats.
Législateurs et citoyens ont été tenus dans l’ignorance des tractations, alors même que le texte de l’OCDE (190 pages) est bouclé à 90 %. C’est seulement lors de l’offensive des mouvements de citoyens américains contre la procédure de négociation commerciale dite de la voie express (fast track) (1), en avril 1997, que le Congrès a pris conscience des négociations de l’AMI menées depuis trois ans par le département d’Etat et celui du Trésor.
Le mur de silence déborde les Etats-Unis. En France, le président de la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale, M. Jack Lang, pourtant directement concerné, déclarait en décembre 1997 : « Nous ignorons qui négocie quoi au nom de qui (2). » Les officiels américains ont nié l’existence du texte jusqu’au jour où une coalition internationale de mouvements de citoyens s’en procura une copie. Au grand dam du département d’Etat, de ses partenaires et de l’OCDE, celle-ci est accessible sur Internet (3).
Si, comme la plupart des traités internationaux, l’AMI établit une série de droits et d’obligations, il se différencie fondamentalement des autres accords : les droits y sont réservés aux entreprises et investisseurs internationaux, tandis que les gouvernements assument toutes les obligations. De plus, innovation sans précédent, une fois les Etats entrés dans l’AMI, ils sont irrévocablement engagés pour vingt ans. Une disposition leur interdit en effet de manifester le désir de sortir du traité avant cinq ans. Après quoi, celui-ci reste obligatoire durant quinze années supplémentaires !
Le chapitre clé du traité s’intitule « Droits des investisseurs ». Y figure le droit absolu d’investir - acheter des terrains, des ressources naturelles, des services de télécommunications ou autres, des devises - dans les conditions de déréglementation prévues par le traité, c’est-à-dire sans aucune restriction. Les gouvernements, eux, sont dans l’obligation de garantir la « pleine jouissance » de ces investissements. De nombreuses clauses prévoient l’indemnisation des investisseurs et des entreprises en cas d’interventions gouvernementales susceptibles de restreindre leur capacité à tirer profit de leur investissement. En particulier lorsque celles-ci auraient un « effet équivalent » à une « expropriation, même indirecte ». Ainsi, aux termes de l’accord, « la perte d’une opportunité de profit sur investissement serait un type de préjudice suffisant pour donner droit à indemnisation de l’investisseur ».
Les règles relatives aux « expropriation et indemnisation » sont les dispositions les plus dangereuses de l’AMI. Elles donnent à chaque entreprise ou investisseur étranger le droit de contester à peu près n’importe quelle politique ou action gouvernementale - des mesures fiscales aux dispositions en matière d’environnement, de la législation du travail aux règles de protection du consommateur - comme autant de menaces potentielles sur les profits. Ainsi, alors que les Etats pratiquent partout des coupes claires dans les programmes sociaux, il leur est demandé d’approuver un programme mondial d’assistance aux firmes transnationales.
Prémonitoire est le cas de la société Ethyl. Cette entreprise, domiciliée aux Etats-Unis, s’appuie sur les dispositions, beaucoup moins favorables que celles de l’AMI, de l’Accord de libre-échange nord- américain (Alena) pour réclamer 251 millions de dollars (environ 1,5 milliard de francs) au gouvernement du Canada. En avril 1997, Ottawa avait en effet interdit un additif à l’essence appelé MMT, une neurotoxine suspecte qui endommage les dispositifs antipollution des automobiles. Ethyl, seul producteur, a intenté une action contre le gouvernement canadien, arguant qu’une interdiction du MMT équivalait à une expropriation des avoirs de la compagnie. Si incroyable que cela puisse paraître, l’affaire va être jugée. Si Ethyl gagne, les contribuables canadiens devront verser 251 millions de dollars à la firme privée. On imagine qu’un tel mécanisme aura pour effet de paralyser toute action gouvernementale visant à protéger l’environnement, préserver les ressources naturelles, garantir la sécurité et l’équité des conditions de travail ou orienter les investissements au service de l’intérêt collectif.
Autre droit à indemnisation des investisseurs : la « protection contre les troubles ». Les gouvernements sont responsables, à l’égard des investisseurs, des « troubles civils », pour ne rien dire des « révolution, état d’urgence ou autres événements similaires ». Cela signifie qu’ils ont l’obligation de garantir les investissements étrangers contre toutes les perturbations qui pourraient diminuer leur rentabilité, telles que mouvements de protestation, boycottages ou grèves. De quoi encourager les gouvernements, sous couvert de l’AMI, à restreindre les libertés sociales.
En revanche, l’AMI ne prévoit ni obligations ni responsabilité des investisseurs. Les gouvernements ne peuvent traiter différemment les investisseurs étrangers et nationaux. Et, selon le projet de traité, c’est l’impact d’une politique, non les intentions et le sens littéral des textes de loi, qui doit être pris en considération. Ainsi, des lois apparemment neutres mais dont on pourra démontrer qu’elles ont un effet discriminatoire non intentionnel sur le capital étranger devront être abrogées. Des textes fixant des limites au développement des industries extractives, telles que les industries minières ou forestières, pourront être dénoncés pour leur effet discriminatoire à l’égard des investisseurs étrangers tentant d’avoir accès à ces ressources, par rapport aux investisseurs nationaux qui y ont déjà eu accès !
De même, les politiques communément pratiquées d’aide aux petites entreprises ou de traitement préférentiel en faveur de certaines catégories d’investissements ou d’investisseurs, tels que les programmes de l’Union européenne en faveur des régions en retard de développement, pourraient être attaquées. Même risque pour les programmes de redistribution des terres aux paysans dans les pays en développement. Pour être admis dans l’Alena, modèle de l’AMI, le Mexique a dû supprimer les dispositions de sa Constitution relatives à la réforme agraire instituée après la révolution. Cela afin que les investisseurs américains et canadiens puissent acheter la terre réservée aux nationaux. Bilan des quatre premières années d’application du traité : la destruction massive de la petite paysannerie, tandis que les multinationales de l’agroalimentaire mettaient la main sur d’immenses exploitations
Les règles du traitement national concernent également les privatisations. Ainsi, si une municipalité française décide de privatiser le service de l’eau - ce que la plupart ont d’ailleurs déjà fait -, les postulants du monde entier doivent se voir offrir les mêmes conditions d’accès qu’un investisseur français. Même s’il s’agit d’une société d’économie mixte sous contrôle démocratique. A quand la privatisation de l’éducation ou des services de santé ?
L’AMI interdit également les mesures prises par beaucoup de pays pour orienter les investissements dans le sens de l’intérêt public, par exemple en exigeant l’emploi de la main-d’oeuvre locale ou de certaines catégories de personnes, tels les handicapés. De même, nombre de lois et normes sur l’environnement pourront être contestées. Tomberont en particulier sous le coup de l’AMI les mesures prises par plusieurs Etats des Etats-Unis exigeant que les emballages en verre ou en plastique contiennent un pourcentage minimum de produits recyclés, et les tarifs préférentiels pratiqués pour les matériels fabriqués avec ces produits.
La menace pèse sur la législation de certains pays du Sud visant à promouvoir un développement économique national, par exemple en exigeant des investisseurs étrangers un partenariat avec les entreprises locales ou le recrutement et la formation de cadres nationaux.
L’accord grave également dans le marbre la clause de la nation la plus favorisée, qui requiert un traitement égal entre tous les investisseurs étrangers. Il sera désormais interdit aux gouvernements de pratiquer des discriminations à l’égard des investisseurs étrangers en fonction de l’attitude de leur gouvernement en matière de droits de l’homme, de droit du travail ou d’autres critères. Interdiction également du traitement préférentiel accordé par l’Union européenne aux anciennes colonies d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique par les accords de Lomé. Si l’AMI avait été en vigueur dans les années 80, M. Nelson Mandela serait toujours en prison, car l’accord interdit le boycottage des investissements ou leur restriction, tels qu’ils ont été pratiqués à l’encontre de Pretoria du temps de l’apartheid, sauf pour des motifs de « sécurité fondamentale ».
Enfin, l’AMI va transformer l’exercice du pouvoir partout dans le monde en soumettant aux directives des multinationales un grand nombre de fonctions actuellement exercées par les Etats, y compris l’application des traités internationaux. L’accord donnera en effet aux entreprises et investisseurs privés les mêmes droits et le même statut que les gouvernements nationaux pour faire appliquer ses clauses. En particulier celui de poursuivre les gouvernements devant les tribunaux de leur choix. Parmi ceux-ci figure le jury arbitral de la Chambre de commerce internationale ! Devant des arbitres aussi partiaux, les investisseurs sont assurés d’obtenir les indemnités compensatoires réclamées pour ne pas avoir tiré tous les profits escomptés du traité.
Le texte contient une disposition qui impose aux Etats « d’accepter sans condition de soumettre les litiges à l’arbitrage international », obligation dont ils étaient jusqu’alors préservés en vertu de leur privilège de souveraineté. Ces actions sont ouvertes aux entreprises et aux investisseurs, mais non aux citoyens ou aux associations. L’accord prévoit la résolution de conflits d’Etat à Etat par des juridictions internationales sur le modèle de celles de l’OMC. Des procédures opaques, sans garanties judiciaires.
Sur les termes de l’accord, les porte-parole des gouvernements et des milieux d’affaires s’en tiennent à des généralités : « Ne vous inquiétez pas, disent-ils en substance, il n’y a rien de nouveau dans ce traité. Il s’agit uniquement de rationaliser des pratiques existantes. » Mais l’AMI, tel un Dracula politique, ne peut vivre à la lumière. Au Canada, la révélation de son existence a soulevé une plus grande tempête politique que le traité de libre- échange avec les Etats-Unis, il y a dix ans. Aux Etats-Unis, il a été vivement attaqué au Congrès.
CURIEUSEMENT, ceux qui devraient être le plus mobilisés, les mouvements syndicaux, représentés au sein de l’OCDE par les confédérations internationales, se sont bornés à proposer, sans succès, l’adjonction à l’AMI d’une « clause sociale » au lieu de remettre en cause les fondements mêmes de l’accord. Une position dénoncée par les mouvements de consommateurs, les associations de défense des droits de l’homme, celles de protection de l’environnement, ainsi que par un nombre croissant de syndicats qui jugent la proposition similaire au dépôt d’une friandise sucrée sur un gâteau à la strychnine.
Ni les représentants des gouvernements ni ceux des milieux d’affaires n’ont l’intention d’introduire des dispositions contraignantes dans l’AMI. Leur tactique consiste à prévoir de nombreuses exceptions et réserves, révélant ainsi l’ampleur de la menace. Il n’est guère rassurant qu’on promette d’envelopper nos objets de valeur dans du papier, tandis qu’on arrose d’essence notre maison en feu. Ainsi les gouvernements canadien et français s’emploient à obtenir des « exceptions culturelles », alors que les négociateurs américains prennent leurs ordres à Hollywood, qui entend bien, grâce à l’AMI, exercer une hégémonie sans partage sur toutes les industries de la culture.
Les années d’expérience du GATT, puis de l’OMC, aussi bien que d’autres traités commerciaux internationaux, ont amplement démontré que les exceptions n’offrent la plupart du temps aucune garantie. Ainsi, les planteurs de bananes des Caraïbes viennent de constater que les clauses d’accès préférentiel au marché européen contenues dans la convention de Lomé avaient été balayées par l’offensive américaine devant l’OMC : l’Union européenne a été définitivement condamnée. L’AMI contient des dispositions interdisant aux Etats d’intervenir à l’avenir dans les secteurs qu’il couvre, avec obligation d’abroger systématiquement toutes les lois non conformes.
Qui a intérêt à aller plus avant dans la déréglementation des investissements et le désengagement de l’Etat, alors que les résultats de la mondialisation se révèlent désastreux ? Déjà, tout gouvernement s’efforçant de répondre à la demande publique de solutions aux grands problèmes économiques et sociaux doit le faire dans un contexte international d’instabilité monétaire, de spéculation, de mouvements massifs et erratiques de capitaux et d’investissements sans frontières. Une situation qui ne saurait durer. Sauf pour la petite minorité qui a intérêt à ce qu’elle empire.
http://www.monde-diplomatique.fr/1998/02/WALLACH/10055.html#nb3
* Où on comprend pourquoi DSK n’a pas fait traduire son discours en français
* et pourquoi Bush et Sarkozy ont voté pour lui !
Alors que la crise des « Subprimes » venait des USA et n’aurait pas dû toucher beaucoup l’Union européenne solide grâce à l’Euro ? ! On constate le contraire ! Que le gavage des banques privées européennes de milliers de milliards d’euros (4.589 milliards selon Delors) et l’existence même de l’Euro ont tout aggravé. Masquant la spéculation financière, et ce qu’il a fait lui-même en Grèce, DSK part de bases très discutables voir complètement fausses pour imposer sa solution unique indiscutable : de plus en plus d’intégration européenne. Par exemple, il fait croire que c’est grâce à l’union européenne qu’il y a eu la croissance en Europe après guerre, alors cette croissance avait démarré bien avant d’une part, et que d’autre part, les effets de l’Union Européenne ont commencé tout doucement à se faire sentir, principalement après le traité CECA (18 avril 1951) et la fermeture des mines de charbon puis les cadeaux aux barons de la sidérurgie [de Wandel, Ernest-Antoine Seillière de Laborde (CNPF-MEDEF)] avec d’un côté destruction et misère pour les régions touchées et de l’autre les milliards de cadeaux pour les richissimes patrons.
Pour DSK la catastrophe actuelle nécessite de faire pire : Une seule et unique solution, il ne laisse pas le choix : L’intégration européenne doit être poussée. Caché derrière une action dite « pour l’emploi », il préconise la casse sociale, une austérité renforcée gérée au niveau de la Commission européenne contre les peuples, contre la démocratie ! Un mélange de Bolkestien et de Sarkozy ! Effrayant ! Le tout dissimulé derrière l’anglais et des phrases de gauche :
* Création d’emploi = Création de chômage
* Transparence des décisions = opacité des décisions
* Démocratie = empêcher les peuples d’intervenir dans leurs affaires, décider le plus loin possible par des institutions « indépendantes » des élections démocratiques ; il prône la fin de la démocratie ;
----- d’ailleurs DSK parle de la démocratie en terme de croyance, c’est bien le cas : « les croyances défaillante dans les institutions et la démocratie ».
* Les citoyens n’ont pas atteint leur plein potentiel = travaillez plus pour gagner plus
Une plus grande coopération = une plus grande intégration-soumission à Bruxelles
* Il réclame plus d’immigration « pour rendre le modèle social plus durable » ! Ben voyons ! Alors qu’il sait que le chômage permet de casser le code du travail, les conditions de travail et les salaires ! Rien que çà !
* « Pensez à des réformes du marché du travail et de service, notamment à travers l'agenda de Lisbonne ». (C’est à Bolkestein que DSK fait appel en se cachant)
- Les défis de la croissance de l'Europe
Discours de Dominique Strauss-Kahn, Directeur général, Fonds monétaire international
Francfort le 19 Novembre 2010
Source FMI :
http://www.imf.org/external/np/speeches/2010/111910.htm
Good afternoon.
Bon après-midi.
I would like to talk to you about one of the greatest challenges facing European policymakers today—how to ignite and sustain economic growth across the continent.
- Je voudrais vous parler de l'un des plus grands défis auxquels les décideurs européens ont à faire face aujourd'hui : comment déclencher et soutenir la croissance économique à travers le continent.
-The postwar European model was built upon three pillars—peace, growth, and social cohesion.
- Le modèle europ
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http://www.decitre.fr/livres/Petit-guide-de-survie.aspx/9782702906620
Survivre aujourd'hui :
Reçu également ce courrier d'une Lectrice:
Bonjour Madame,
Je suis vos écrits régulièrement depuis quelque temps.
Le "hasard" m'avait conduit jusqu'à vous.
Scientifique et fille d'enseignants, j'ai été dressée dans des valeurs aujourd'hui désuètes.
Femme sensible, je sens bien que la situation ne s'arrange pas depuis 4-5 ans surtout. Jusque là, c'était un ressenti sans pouvoir l'expliquer et mettre de mots.
Un proche, mon compagnon, a dépassé sa peur de me parler et finalement il m'a fait voir les choses d'une autre façon. Au début, malgré nos liens, je l'ai pris pour un illuminé et un peu fou....en observant depuis 3 ans, je vois bien qu'il n'a pas vraiment tort.
Ses propos rejoignent votre blog. Je prends désormais plus de temps à apprendre et décortiquer vos articles.
Il y a tout un chemin de compréhension à avoir, après les premiers chocs de se rendre sur l'envers du décor auquel nous sommes habitués depuis l'enfance.
Enfin ancienne coopérante scientifique en Cote d'Ivoire, je suis révoltée et plus qu' atteinte par la situation en Cote d'Ivoire.. tout cela est tellement étrange.
Maintenant l'objet de ce message est le suivant . et peut etre ceci peut devenir un sujet d'article prochain ?
Comment agir dans le quotidien ? comment se préparer ? Comment s'accommoder du monde moderne et "résister" ?
Dossier médical partagé, surveillance partout, bassesse des niveaux hiérarchiques, infiltration des spectacles, de la musique, hyperconsommation...
Je travaille dans un groupe pharmaceutique et je vois déjà la mentalité qui n'a rien de désintéressée et guérisseuse... très peu d'industries en France et Europe.. même les ingrédients sont fabriqués en Chine avec un niveau de qualité discutable.
Il est difficile voire impossible de se délier de tout cela, de tout ce système... nous sommes fichés partout, nos maigres biens à la banque....
Cuisiner soi meme, coudre, fabriquer ses produits ménagers/cosmétiques, se soigner avec les méthodes alternatives.. se distraire simplement en dehors du circuit, etre informés .. mais ca ne suffit pas.
Bien difficile de se libérer de tout cela ..et dans un sens, à notre esprit défendant, nous subissons.
Ma question de ce jour est comment vivre avec tout ceci afin d'être plus fort que tout cela; de protéger les proches et amis aimés qui ne se rendent pas ou pas encore compte ?
Les femmes dit-on, ont un sens pratique exacerbé. Il neige..je me suis préparée à force de laines, crampons et chaufferettes. Mais face à cela, comment se préparer et se protéger au mieux possible ?
Voilà, je tenais ce matin à vous écrire pour vous confier ce souci et même cette peur que peut etre d'autres de vos lecteurs partagent.
Je vous remercie déjà pour votre attention et vous encourage pour la suite de votre travail d'information.
En vous remerciant par avance,
Vous souhaitant de belles fetes de fin d'année,
G (..)
Ma réponse :
Chère Lectrice
Bien sûr, face à une actualité si lourde, si menaçante, à cause de la folie de quelques-uns mais ayant plein pouvoir, il est inévitable de se poser des questions... de survie.
J'ai le projet d'ici quelques semaines d'aborder en profondeur ces questions.
D'ores et déjà, je vous invite à voir mon blog http://sos-crise.over-blog.com,
A droite, en présentation, il y a toutes sortes de liens utiles, cliquer dessus,
regarder aussi les catégories d'articles,
par exemple : "Alternatives, conseils pratiques... " etc
Un prochain article s'intitulera : "Retour à la terre, ou mourir"
La terre, seul investissement sûr aujourd'hui,
une terre à chérir, à cultiver,
et comme vous l'avez pressenti judicieusement,
changeons nos valeurs, nos priorités, nos modes d'existence,
en adoptant la simplicité de vie.
Pensons, au lieu de dépenser !
Vous aurez bientôt plus de réponses,
en attendant, voyez le blog de crise, de survie,
que j'ai mis en place, complétant celui-ci.
Et informons, informons, partout, soyons tous journalistes !
Initions aussi nos anciens à Internet,
afin qu'ils puissent accéder à une information digne de ce nom !
Cordialement à vous, petite soeur,
eva
Autarcies : le livre.
http://www.autarcies.com/Pourquoi-/Pourquoi.html
4.00 €
http://www.autarcies.com/
Citations du Nouvel Ordre Mondial
« Il est aussi dans l interet d un tyran de garder son peuple pauvre, pour qu il ne puisse pas se proteger par les armes, et qu il soit si occupe à ses taches quotidiennes qu il n aie pas le temps pour la rebellion. » Aristote
« Il y a deux histoires: l histoire officielle, menteuse, puis l histoire secrete, ou se trouvent les véritables causes des evenements. » Honore de Balzac
« L opinion publique est la cle. Avec l opinion publique, rien ne peut faillir. Sans lui, rien ne peut reussir. Celui qui manipule les opinions est plus important que celui qui applique les lois » Abraham Lincoln
« En politique, rien n arrive par accident. Si quelque chose se produit, vous pouvez parier que cela a ete planifie de cette facon » Franklin Delano Roosevelt
« Le but du Concil On Foreign Relations est la dilution de la souverainete americaine et de l independance nationale dans un tout puissant gouvernement mondial unique. » Chester Ward
« Pour obtenir le controle total, deux ingredients sont essentiels : une banque centrale, et un impôt progressif, pour que les gens ne s en rendent pas compte. » Karl Marx
http://neelguillaumeleviking.blogspot.com/2010/10/quelques-annees-de-droit-mais-tout-le.html
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