Eva à 60 ans.Blog d'une journaliste-écrivain.Analyse des faits marquants de l'Actualité,non-alignée,originale,prophétique,irrévérencieuse. Buts: Alerter sur les menaces,interpeller,dénoncer l'intolérable,inciter à résister. Alternance articles Eva et liens infos non officielles. Ici,pensée et parole libres. Blog dénaturé par over-blog le 1.2.15,il sera transféré sur Eklablog
Pour résumer : l'OMS contribue à créer et ensuite à propager une pandémie virale mortelle. Celle-ci permet à OMS de prendre le contrôle des gouvernements d’Amérique du Nord et d’Europe, et d’ordonner aussi la vaccination obligatoire des populations, par ces mêmes compagnies qui ont d’abord créé et propagé le virus mortel. Et tout ça sous le prétexte de protéger les populations contre la pandémie qu’ils ont créée.
Les principaux médias, possédés par ce même groupe d’« élite » qui finance l'OMS, cachent systématiquement au grand public la nature du danger réel de ces injections de H1N1, en retenant les informations essentielles concernant l'interdépendance des agissements à leur propre profit de ce groupe d'organisations.
En conséquence, la plupart des gens croient encore que le virus H1N1 est une grippe porcine naturelle, alors que même l'OMS a officiellement abandonné le terme « porcin » dans une tactique de reconnaissance de son origine artificielle.
La plupart des gens pensent encore que les compagnies pharmaceutiques peuvent fournir un remède, alors qu’elles sont en train de préparer une série de piqûres létales, contenant le virus vivant atténué, des métaux toxiques et d'autres poisons.
Les deux piqûres de H1N1 sont conçues pour endommager le système immunitaire et ensuite l’attaquer avec un virus vivant, dans un processus qui reflète celui décrit par deux mémoires de 1972 de l'OMS, où ont été définis les moyens techniques pour transformer les vaccins en tueurs.
Le Mémorandum Strecker révèle aussi que l'OMS a recherché activement des moyens pour affaiblir le système immunitaire.
La meilleure protection contre le virus H1N1, qui a été libéré et qui deviendra inévitablement de plus en plus mortel puisqu’il mutera en automne, est l'argent colloïdal et aussi les vitamines pour renforcer le système immunitaire, les masques et les autres mesures de ce genre [le chlorure de magnésium améliore beaucoup le « terrain, » ce qui renforce la résistance aux micro-organismes, ndt].
Mais aucun des gouvernements d’Amérique du Nord ou d’Europe n’a fait des provisions d'argent colloïdal ni préconisé des mesures de santé judicieuses pour contenir la prochaine vague meurtrière.
Il y a à la place de plus en plus de signes montrant qu’ils utiliseront la panique pour effrayer les gens afin qu’ils acceptent les vaccins toxiques, qui sont sûrs de provoquer des lésions ou des dommages uniquement grâce à la présence de métaux lourds.
Cette campagne de vaccination de masse permettra même l’émergence d’une souche plus mortelle et fournira une couverture pour la libération des virus de la grippe aviaire ou d'autres agents pathogènes.
C’est pourquoi des mesures doivent être prises maintenant pour arrêter la vaccination de masse prévue cet automne, en intentant une action en justice pour bloquer la distribution des vaccins et/ou les lois gouvernementales forçant les gens à accepter la vaccination.
Une enquête sur cette association criminelle internationale corporatiste doit être conduite dans chaque pays, car ses tentacules sont partout. Pour essayer de lancer cela aux États-Unis, j’ai déposé en juin des charges auprès du FBI contre l'OMS et l'ONU, entre autres accusés. J’ai inclus le Président Obama parmi les accusés car je pense que le moment est venu d'identifier et d'isoler les principaux membres de ce groupe criminel international corporatiste, qui a annexé de hautes fonctions dans le gouvernement des Etats-Unis, et de les mettre en prison une fois pour toutes, et il existe des rapports, qui doivent être étudiés par les autorités, selon lesquels Obama a des liens financiers directs avec Baxter.
Il existe des preuves selon lesquelles la ministre autrichienne de la Santé et d'autres fonctionnaires ont aidé Baxter à dissimuler ses traces.
Il existe aussi des preuves évidentes montrant qu’une partie des médias autrichiens sont activement impliqués dans la propagation de mensonges et de désinformation pour bercer les gens dans un faux sentiment de sécurité concernant la fabrication et la distribution par Baxter d'un matériel pandémique ce février en Autriche.
C’est une nécessité vitale pour les individus et les collectivités locales de prendre des mesures efficaces pour se protéger contre la prochaine vague mortelle de virus H1N1 afin de minimiser son impact.
Pour trouver des informations sur les accusations que j'ai déposées à ce jour en allemand et en anglais, en Autriche et auprès du FBI, vous pouvez vérifier le site wakenews.
http://oulala.centerblog.net/164-h1n1-projet-de-vaccination-obligatoire
Refusez la vaccination, dans le cas contraire faire signer
un formulaire de responsabilité du vaccinater
L'idée est proposée par un commentaire posté par Habakuk sur Alter Info. Elle semble être une bonne alternative en cas d'impossibilité d'échapper à la vaccination...
(voir l'article concerné: H1N1, projet de vaccination obligatoire )
Le code de la santé imposant le consentement éclairé du patient, je suggère cette attestation qui nous vient du Canada et que j'ai un peu remaniée. Elle ne pourra bien évidemment pas être signée par le professionnel de santé et vous serez légalement quitte de cette vaccination, ou de toute autre...
Formulaire de responsabilité du vaccinateur et de garantie de la sécurité de la vaccination par le professionnel de santé.
Je, docteur :
Mon numéro d’enregistrement auprès de l’Ordre des médecins est :
Ma spécialité médicale est :
Ou Bien
Je suis infirmier/infirmière au nom de :
Mon numéro d’enregistrement professionnel est :
Mon engagement en tant que vaccinateur
et professionnel de la santé
Je connais tous les bénéfices et les risques du vaccin que j’administre et j’atteste qu’il est absolument exempt de tout produit, élément ou substance susceptible de présenter un caractère toxique pour le patient, tel que l’aluminium, le Thimérosal (sel de mercure contenant du mercure dans la proportion de 49,6 %), le squalène, la gélatine hydrolysée animale issue de débris d’abattoirs (ovins, porcins, bovins), le sérum bovin ou fœtal de veau ou d’autres animaux, le phénoxyéthanol , les cellules cancérisées, les enzymes porcins, la formaline (à 37 % formaldéhyde, ou formol) albumine de sang humain, phénol, sorbitol, ou le gp120 et, de fait, je deviens responsable de tous les effets secondaires qui pourraient survenir à la personne au nom de :
domiciliée à l’adresse suivante :
suite à l’administration du vaccin (nom et n° du lot) :
J’ai bien examiné la personne ci-dessus mentionnée et je peux confirmer que son état de santé est adéquat et qu’elle peut recevoir le vaccin. Je considère que le vaccin protégera cette personne de la maladie pour laquelle je la vaccine.
Signé à : Le :
Signature du vaccinateur :
Signature de la personne vaccinée ou tuteur :
Témoin :
Identification du lieu de vaccination :
http://oulala.centerblog.net/170-refusez-la-vaccination-dans-le-cas-contraire
Trois crises en une : la durabilité, la sociale, la climatique- Le drame de l’éco-myopie- Le chaos actuel est créatif et générateur- Seule, la société civile internationale peut sauver la planète
La crise de l’environnement est largement médiatisée à l’approche de la Conférence sur le climat, qui se tiendra en décembre 2009 à Copenhague (Danemark). Faute de consensus préalable sur un accord définitif, les prévisions ne sont pas optimistes. « Malgré de sombres pronostics, j’ai la confiance que l’espérance vaincra la peur et que la vie est plus forte que la mort », assure le théologien brésilien Leonardo Boff, au début de cet entretien réalisé à l’occasion de sa récente visite en Suisse. Boff – l’un des pères fondateurs de la théologie de la libération, a reçu le 7 novembre le doctorat honoris causa de l’Université de Neuchâtel. Auparavant, durant cette même semaine, il a animé un débat public organisé par les ONG de coopération solidaires E-CHANGER et Mission Bethléem Immensee, à la Maison de solidarité Romero (Romerohaus) de Lucerne, à laquelle ont participé 200 personnes.
Sergio Ferrari (SF) : Tout le monde parle aujourd’hui de la problématique écologique planétaire. Dans les années 1980, vous étiez un précurseur pour sonner l’alarme sur ce thème. Comment analysez-vous la situation actuelle de l’environnement ?
Leonardo Boff (LB) : De nombreuses indications scientifiques signalent l’arrivée d’une tragédie écologique et humanitaire. Rien d’essentiel n’a changé depuis la rédaction de la « Charte de la Terre » élaborée en 2003 par un groupe de personnalités en provenance du monde entier. Nous disions dans ce merveilleux document : « Nous vivons un moment critique pour la Terre, où l’humanité doit choisir son futur. Le choix est le suivant : ou l’on promeut une alliance globale pour veiller sur les autres et sur la Terre, ou nous risquons notre destruction et la dévastation de la diversité de la vie ».
« On consomme plus que la Terre supporte »
SF : Comment justifiez-vous une affirmation si tranchante, sans moyen terme ?
LB : Par la convergence actuelle de trois crises structurelles : la crise causée par le manque de durabilité de la planète Terre, la crise sociale mondiale et la crise du réchauffement climatique.
SF : Pouvez-vous nous donner des exemples ?
LB : Socialement, la moitié de l’humanité vit au-dessous du niveau de misère. Les chiffres sont terrifiants : 20 % des plus riches consomment 82,49 % de toutes les richesses de la Terre, les 20 % les plus pauvres doivent se contenter d’un minuscule 1,6 %.
Quant au réchauffement climatique, la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation) a prévenu que, dans les prochaines années, il y aura 150-200 millions de réfugiés climatiques. Les prévisions les plus dramatiques parlent d’une augmentation de 4°C d’ici 2035 ; pour la fin du 21e siècle, on prévoit une augmentation de 7° C.. Si cela devait réellement se produire, aucun type de vie connu aujourd’hui ne pourrait survivre. Quand à la crise de durabilité, un exemple éloquent : l’humanité consomme aujourd’hui 30 % de plus de ce qu’elle est capable de reproduire, c’est-à-dire 30 % de plus que les capacités de la Terre.
SF : Pourtant, cette tendance à consommer la planète n’est pas nouvelle…
LB : Non. La nouveauté, ce sont les niveaux rapides de cette détérioration. Selon des études crédibles, en 1961 nous avions besoin de la moitié de la Terre pour répondre aux demandes humaines. En 1981, nous avions besoin de la Terre entière. En 1995, nous avons dépassé de 10 % la capacité de reproduction, bien que ce soit supportable. En 2008, nous en sommes à 30 % : La Terre donne des signes sans équivoque qu’elle ne le supporte plus.
Dans quelques années, il faudrait deux Terres.
SF : Les perspectives sont encore plus préoccupantes ?
LB : Si le produit intérieur brut (PIB) poursuit sa croissance de 2-3 % par année, comme prévu, en 2050 nous aurions besoin de deux planètes Terre pour répondre à la demande de consommation : c’est impossible, parce que nous n’en avons qu’une.
SF : Cela nous oblige à penser à un autre paradigme de civilisation ?
LB : Effectivement. Nous ne pouvons plus produire, comme nous l’avons fait jusqu’ici. L’actuel modèle de production, capitaliste, part du faux présupposé que la terre est une grande malle, d’où on peut tirer des ressources indéfiniment pour faire des bénéfices avec l’investissement le plus minime dans le temps le plus court. Aujourd’hui, il est clair que la Terre est une planète petite, vieille et limitée qui ne supporte pas une exploitation illimitée. Nous devons nous orienter vers une autre forme de production et adopter d’autres types de consommation. Produire pour répondre aux besoins humains en harmonie avec la Terre, en respectant ses limites, dans un esprit d’égalité et de solidarité avec les générations futures : voilà le nouveau paradigme de civilisation.
Copenhague : l’influence du pouvoir économique
SF : Pour revenir à maintenant… Dans quelques semaines, se tient à Copenhague la Conférence sur le climat. Peut-on envisager un accord ?
LB : Il y a une prémisse claire. Nous devons faire tout ce qui est possible pour stabiliser le climat, en évitant le réchauffement de la Terre de 2 ou 3 degrés supplémentaires, afin que la vie puisse continuer. En comprenant que ce réchauffement impliquerait une dévastation de la biodiversité et l’holocauste de millions de personnes, dont les territoires ne seront plus habitables, particulièrement en Afrique et dans le Sud-est asiatique. Dans ce scénario, je suis préoccupé par l’irresponsabilité de nombreux gouvernements, notamment ceux des pays riches, qui ne veulent pas prendre des mesures consistantes pour réduire les émissions de gaz à effets de serre et sauver la climat. Une véritable éco-myopie !
SF : Cela provient d’un manque de volonté politique pour parvenir à des accords ?
LB : Surtout d’un conflit d’intérêts. Les grandes entreprises – notamment celles du pétrole - ne veulent pas de changement parce qu’elles perdraient leurs bénéfices actuels. Il faut comprendre l’interdépendance des pouvoirs politique et économique. Le grand pouvoir, c’est le pouvoir économique. Le politique en dérive. Dans de nombreux cas, les Etats ne représentent pas les intérêts populaires, mais plutôt ceux des grandes acteurs économiques
SF : En cas d’échec à Copenhague, quel serait le scénario postérieur par rapport à la (déjà) grave situation climatique ?
LB : A mon avis, la frustration politique peut signifier un défi énorme pour la société civile, pour qu’elle se mobilise, fasse pression et promeuve des changements venus d’en bas. Je crois que la raison, la prudence et la sagesse viendront de la société civile. Cette dernière sera, aussi pour le climat, le principal sujet historique. Aucun changement réel ne vient d’en haut, il viendra d’en bas.
Et malgré ce présent difficile, je crois qu’il ne s’agit pas d’une tragédie qui finira mal, mais d’une crise purificatrice, qui nous permette de faire un saut en direction d’une futur meilleur..
SF : Avec un programme commun pour sauver la Terre ?
LB : Une nouvelle bio-civilisation devrait reposer sur quatre axes essentiels :l’usage durable, responsable et solidaire des ressources et des services limités de la nature ;le contrôle démocratique des rapports sociaux, spécialement celui des marchés et des capitaux spéculatifs ; un ethos minimum mondial qui doit naître de l’échange mutuel multiculturel, basé sur la compassion, la coopération et la responsabilité universelles ; la spiritualité comme dimension anthropologique et non comme un monopole des religions. Elle doit se développer comme expression d’une conscience qui se sent partie d’un Tout majeur, qui perçoit une énergie puissante et qui représente le sens suprême de tout.
Leonardo Boff : une vie d’engagement
Leonardo Boff est né à Concordia (dans l’Etat brésilien de Santa Catarina), le 14 décembre 1938. En décembre 2008, il avait donc atteint l’âge de 70 ans. En hommage à son travail pastoral et d’accompagnement des mouvements populaires et sociaux d’Amérique latine et en reconnaissance de sa production littéraire – 82 livres, dont beaucoup traduits dans des dizaines de langues -, un livre intitulé « Leonardo Boff, avocat des pauvres » est paru l’an passé en Suisse (1).
Dans les années 1970, Leonardo Boff fut l’un des « pères » fondateurs de la Théologie de la libération. Cela lui valut d’être sanctionné une première fois par le Vatican (2). Face à la menace de nouvelles sanctions, Boff renonça à ses activités ecclésiastiques en 1992 et s’autoproclama retourné à l’état laïc.
Hormis le doctorat honoris causa décerné en novembre 2009 par l’Université de Neuchâtel, il a reçu le même titre de la part, notamment, des universités de Lund (Suède), Londres (Grande-Bretagne), Turin (Italie) et São Leopoldo (Brésil). En décembre 2001, il a reçu le prix Nobel alternatif de la paix pour ses apports à la lutte pour la défense du climat et son engagement social.
Actuellement, il poursuit sa réflexion théologique, avec un accent particulier sur la thématique écologique. Il est conseiller du Mouvement des travailleurs ruraux sans-terre (MST) et des communautés ecclésiales de base (CEBs) du Brésil. (SFI).
1) [Pas (encore) traduit en français à ce jour]
2) Les sanctions prises contre les théologiens jugés non-conformes – sur la base d’un acte d’accusation préparée à l’insu des sanctionnés par la « Congrégation pour la doctrine de la foi » (dénomination modernisée du « Saint Office de l’Inquisition », chargé - depuis sa fondation par Dominique de Guzman, canonisé pour avoir été l’apôtre de la Croisade contre les Albigeois (XIIIe siècle) du Languedoc et de Provence – de réprimer les hérétiques) – prennent d’abord la forme d’une réduction au silence, ce qui implique pour le théologien sanctionné l’interdiction de tout enseignement ou expression publique pour la durée impartie par les inquisiteurs. Signalons que l’avant-dernier préfet de la susdite Congrégation est le pape actuel, Josef Ratzinger, Benoît XVI.
http://alainindependant.canalblog.com/archives/2009/11/12/15743243.html12.11.2009
Les chrétiens socialement engagés sont une des composantes les plus actives et importantes du mouvement altermondialiste, notamment - mais pas seulement - en Amérique Latine et tout particulièrement au Brésil, le pays qui a reçu les premières réunions du Forum Social Mondial. Un des initiateurs du FSM (Forum social mondial), Chico Whitaker, membre de la Commission Justice et Paix de la CNBB (Conférence nationale des Evêques brésiliens) appartient à cette mouvance, de même que le prêtre belge François Houtart - ami et professeur de Camilo Torres et initiateur de la revue Alternatives Sud, fondateur du CETRI (Centre Tricontinental) - une des figures intellectuelles les plus influentes du Forum.
On peut dater la naissance de ce courant, que l’on pourrait désigner comme « christianisme de la libération », du début des années 1960, quand la Jeunesse universitaire chrétienne (JUC) brésilienne - nourrie de culture catholique française progressiste (Emmanuel Mounier et la revue Esprit, le père Lebret et le mouvement « Economie et Humanisme », le Karl Marx du jésuite J. Y. Calvez) - formule pour la première fois, au nom du christianisme, une proposition radicale de transformation sociale. Ce mouvement va s’étendre ensuite dans les autres pays du continent et il va trouver, à partir des années 1970, une expression culturelle, politique et spirituelle dans la théologie de la libération.
Suite ici : http://risal.collectifs.net/article.php3?id_article=2065
http://www.culture-et-foi.com/dossiers/theologie_liberation/camara_kenneth_p_serbin.htm
http://www.culture-et-foi.com/dossiers/theologie_liberation/leonardo_boff.htm
http://www.culture-et-foi.com/texteliberateur/aguire/aguire.html
http://www.webzinemaker.com/admi/m10/page.php3?num_web=37772&rubr=3&id=265763
Mgr Romero, assassiné.
Il a troqué le Palais doré pour la rue et le bidonville...
Evêque des pauvres
Il nous avertit qu’il ne sert à rien à l’homme de gagner le monde s’il se perd lui-même. Néanmoins, l’attente d’une Terre nouvelle ne doit pas l’amortir mais au contraire aviver davantage en lui la préoccupation de parfaire cette Terre où croît le corps de la nouvelle famille humaine, lequel peut, d’une certaine manière, anticiper l’aube du siècle nouveau. Même s’il faut savoir distinguer attentivement le progrès temporel et la croissance du Règne du Christ, le premier, en tant qu’il peut contribuer à mieux ordonner la société humaine, intéresse en grande mesure le Règne de Dieu.
Avec la foi chrétienne, il semble en ce moment que la voix diatribe se convertit en corps du Seigneur qui s’offrit pour la Rédemption du monde et qu’en ce calice, le vin se transforme en ce Sang qui fut le prix du Salut. Que ce Corps immolé et ce Sang sacrifié pour les hommes, nous alimentent également pour offrir notre corps et notre sang à la souffrance et à la douleur, comme le Christ, non pour soi-même, sinon pour apporter des concepts de justice et de paix à notre peuple. Unissons-nous donc intimement, en foi et en espérance, à ce moment de prière pour Dona Sarita et pour nous.
(À ce moment précis, se fit entendre une détonation…) » 24/03/80, p.382-384, VIII.
Oscar Romero s'écroule abattu d'une balle explosive en plein coeur. Nous sommes le lundi 24 mars 1980, il est environ 17:30 heure du Salvador.
http://www.webzinemaker.com/admi/m10/page.php3?num_web=37772&rubr=3&id=265763
Théologie de la Libération et marxisme
Mais ce corpus de textes est l'expression d'un vaste mouvement social, qui est apparu au début des années 1960 - bien avant les nouveaux ouvrages de théologie. Ce mouvement comprenait des secteurs significatifs de l'Eglise - prêtres, ordres religieux, évêques- des mouvements religieux laïcs - Action catholique, Jeunesse universitaire chrétienne, Jeunes ouvriers chrétiens - des commissions pastorales à base populaire -pastorale ouvrière, pastorale de la terre, pastorale urbaine - et les communautés ecclésiastiques de base. Sans la pratique de ce mouvement social - qu'on pourrait appeller christianisme de la libération - on ne peut pas comprendre des phénomènes sociaux et historiques aussi importants dans l'Amérique Latine des 30 dernières années que la montée de la révolution en Amérique centrale - Nicaragua, El Salvador - ou l'émergence d'un nouveau mouvement ouvrier et paysan au Brésil (le Parti des Travailleurs, le Mouvement des Paysans Sans Terre, etc). (Cf. Löwy, 1998).
La découverte du marxisme par les chrétiens progressistes et par la théologie de la libération ne fut pas un processus purement intellectuel ou universitaire. Son point de départ fut un fait social incontournable, une réalité massive et brutale en Amérique latine : la pauvreté. Nombre de croyants choisirent le marxisme parce qu'il semblait offrir l'explication la plus systématique, cohérente et globale des causes de cette pauvreté, et parce qu'il etait la seule proposition qui fût suffisamment radicale pour l'abolir. Pour lutter efficacement contre la pauvreté, il faut en comprendre les causes. Comme l'a dit le cardinal brésilien dom Helder Câmara: "Aussi longtemps que je demandais aux gens d'aider les pauvres, on m'appelait un saint. Mais lorsque j'ai posé la question: pourquoi y a-t-il tant de pauvreté ? on m'a traité de communiste ..."
Il n'est pas facile de présenter une vue d'ensemble de la position de la théologie de la libération relative au marxisme. D'une part, on y trouve une très grande diversité d'attitudes - allant de l'utilisation prudente de quelques éléments à la synthèse intégrale (par exemple, dans le courant "Chrétiens pour le Socialisme") -, de l'autre, un certain changement s'est opéré entre la position des années 1968-1980, plus radicale, et celle d'aujourd'hui, plus réservée, suite aux critiques de Rome mais aussi aux développements en Europe de l'Est depuis 1989..
extraits de http://www.espacoacademico.com.br/017/17clowy.htm
Pourquoi une autorité mondiale serait une escroquerie et une grave menace
Nos "élites" n'ont plus que cet adjectif à la bouche : mondial.
Gouvernance mondiale, autorité mondiale, nouvel ordre mondial, et même gouvernement mondial : il serait indispensable, dans notre intérêt bien sûr, qu'émerge une forme d'organisation mondiale du pouvoir capable de résoudre les grands défis de notre temps. C'est parce que ces derniers, le changement climatique, les épidémies, le capitalisme financier, le terrorisme, ont une dimension planétaire que cette perspective serait inéluctable.
Les médias relaient généralement cette analyse sans se poser de questions. Tout semble si logique. Effectivement, qui dit problème mondial dit autorité mondiale pour le solutionner.
suite ici : http://www.levraidebat.com/article-pourquoi-une-autorite-mondiale-serait-une-escroquerie-et-une-grave-menace-39246600.html
Olivier Bonnet, le blogueur de Plume de Presse, sera jugé le vendredi 4 décembre à 13 h 30 devant la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris pour “injures publiques”, poursuivi par le magistrat Marc Bourragué. Déjà, 859 internautes ont signé la pétition en sa faveur et il a reçu, outre celui du député Jean-Louis Bianco, premier à se manifester publiquement à mes côtés, plusieurs soutiens à forte valeur symbolique. L’ancien gendarme Michel Roussel, confronté dans le passé à la même situation, a pris l’initiative de lancer un appel à la solidarité en sa faveur pour financer ses frais d’avocat. Vendredi soutient cette initiative.
Qui lit vendredi ?
Merci de prendre contact avec moi, evaresis@yahoo.fr