Tribulations d'eva, suivies
de liens d'actualité que vous ne trouverez pas dans les Médias.
Bonjour mes amis !
Curieux titre, n'est-ce pas ? Il excite votre curiosité ? Je vais vous la satisfaire tout de suite. Et par exemple, vous avez dû remarquer que des liens publiés ne sont plus cliquables... Je vais tout vous expliquer ! Le contexte, d'abord.
Un de mes Lecteurs qui n'a pas d'héritier et qui a un grand terrain, a pensé à moi après avoir lu un article dans lequel je vantais les mérites de Marinaleda, en Andalousie, cité utopique, et un autre disant que si j'avais un grand terrain, j'aimerais le partager avec ceux qui n'ont rien, l'un avec sa caravane, l'autre avec sa maison préfabriquée, etc, un mode de vie convivial avec au centre un lieu bâti par les intéressés eux-mêmes, pour se rencontrer, échanger, avoir des activités communes, ping-pong, télé, ce qu'on veut... Notre mode de vie est si individualiste qu'il en est repoussant. Vivre dans son coin, mourir seul comme un chien ou à l'hôpital, on est loin de la fatrie familiale d'antan dans une même demeure, autour d'une grande cheminée, les anciens partageant leur savoir et leur disponibilité, les plus jeunes entourant leurs aînés. La maison de retraite, non ! Et le troc de l'amitié et des services, oui ! Et puis, si une guerre éclate, une terre à cultiver, une source d'eau potable, les échanges, etc, voilà qui ne se refuse pas !
Alors, je suis allée voir le terrain, pas loin de la frontière espagnole. Juste avant de partir, je rédige vite fait un post pour mes lecteurs, et en pleine rédaction, boum ! L'indication "ne fermez pas votre ordi, mise à jour de fichiers récents..." apparaît; pour prendre la route plus vite, j'abrège... et mon ordi portable dysfonctionne ! Je ne peux plus cliquer avec ma souris ! Bref, plus possible de travailler... Mon Lecteur me propose de venir avec l'ordi...
Ce n'est que le début de mes déconvenues ! Je suis allergique à trois choses: La technique, les précipices, et les aliments de la mer (trop forcée par ma mère à les manger quand j'étais petite !). On me promet une route plate pour rencontrer le Lecteur et sa terre, patatra ! Je dois franchir la route des cols, la plus haute du coin. Avec à la clef de jolis précipices sans parapet, et parfois la montagne pas de mon côté. Bref, frissons garantis pour la pauvre eva allergique au vide... Au retour, j'ai pris l'autoroute, plus longue !
Je vous passe les détails. Enfin vient le moment de voir l'ami informaticien du Lecteur. Las ! Pour atteindre sa cour, il faut franchir un minuscule tournant avec un mur en encorbeillement. Il ne m'a pas ratée ! Portière latérale de mon camping-car avec une belle écorchure, et surtout impossible à ouvrir.
Quoi d'autre ? L'informaticien me change le navigateur. Mozilla firefox ou je ne sais quoi, et patatra ! Je dois modifier toutes mes habitudes laborieusement acquises. Les fonctions copier-couper-coller ne sont plus valables; Picasa 3 s'impose, que je n'ai pas demandé; je dois utiliser pour tout, désormais, le clic gauche plus long et moins accessible; les liens que je publie ne sont plus cliquables; je ne peux plus enregistrer mes photos comme avant; plus d'onglets comme avant, non plus, ce qui allonge considérablement le travail; mes favoris ont disparu ! Et sans doute d'autres déconvenues à venir...
Résultat, au mieux moins de liens cliquables pour mes Lecteurs, directement utilisables. A moins que ?
Amis Lecteurs, qui parmi vous m'aidera à solutionner mes problèmes techniques ? Je suis rentrée chez moi, et je ne sais comment me sortir du pétrin mozilla firefox, navigateur que beaucoup apprécient, pas moi ! Voilà, vous savez tout, au secours ! Une petite eva est en perdition, quel bon informaticien se lèvera pour la conseiller, soit en la sortant de ce navigateur non demandé, soit en lui disant comment résoudre ces ennuis techniques ? Vous voyez, j'écris un article en quelques instants; ce qui me prend du temps, c'est la technique. Qui me la rendra plus accessible ?
Ci-joint des infos non officielles, et surtout n'oubliez pas de retourner au précédent post: Comme d'habitude, j'essaie de remplir tout l'espace over-blog qui m'est imparti; en clair, un post publié n'est jamais fini vraiment... donc, vite allez voir les dernières infos non-alignées, elles sont... explosives !
Bonne lecture, et ne vous laissez pas dominer par les événements: Dominez-les !
Votre eva
NB: Ce que je ne comprends pas, c'est qu'un informaticien puisse changer un navigateur sans demander l'accord de l'intéressé ! On voit les conséquences - comme perdre ses favoris !!! Et j'ai découvert de nouveaux changements, rendant ma tâche plus diificile, ou moins nette: Par exemple, les liens, d'ailleurs non cliquables, sont désormais verts, au détriment de la présentation...
La guerre à venir ?
Ce qu'en pense Artemisia:
Nous vous conseillons de faire des réserves diverses...
Téhéran a envoyé à sa frontière nord des unités des Gardiens de la révolution pour contrer «une attaque».
L'affaire de la flottille humanitaire vers Gaza, et la Coupe du monde de football occultent les informations alarmistes en provenance du Moyen-Orient et notamment d'Iran. Des sources iraniennes font état d'une mobilisation au nord-ouest du pays, au bord de la mer Caspienne, parce que le régime des Mollahs a peur de ce qui se trame en Azerbaïdjan.
Dans un précédent article, nous avions souligné l'activisme du ministre israélien des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman, qui avait fait part, le premier publiquement, de ses doutes sur la solidité de l'alliance turque et dans ce contexte, il avait tenté de la combler par une ouverture vers les pays du Caucase, l'Azerbaïdjan musulman en particulier. Cette région avait été arrachée à l'Iran par la Russie tsariste, puis remodelée par les soviétiques qui ont sécularisé sa population. Les dirigeants de l'Azerbaïdjan, comptant parmi les élites politico-intellectuelles sensibles aux valeurs de l'occident, ont été très inquiets de l'avènement du régime islamique en Iran. Les péripéties nucléaires du régime ont rendu exécrables les relations entre ces deux pays. La frontière commune, qui s'étend sur 560 kilomètres, est devenue une barrière idéologique dont s'est servi Israël pour ouvrir de nouvelles alliances et un nouveau front, réplique aux alliances de Téhéran avec le Hezbollah au Liban et le Hamas à Gaza.
En réponse, le régime de Téhéran a envoyé ses meilleures troupes, les plus fidèles, les Gardiens de la Révolution, pour s'opposer, selon les dires iraniens, aux forces américaines et israéliennes qui seraient concentrées à sa frontière nord. Il s'inquiète des bases de l'Otan installées depuis janvier 1999. Depuis 2008 et la signature de contrats d'armement israélien de plusieurs centaines de millions de dollars, cet ancien satellite soviétique est totalement sous influence occidentale. Israël dispose ainsi de facilités dans ce pays limitrophe de l'Iran lui permettant d'avoir un œil électronique permanent sur tout ce qui s'y passe. Des indiscrétions israéliennes permettent d'affirmer que des avions militaires de l'Etat juif s'entraînent dans l'espace aérien de l'Azerbaïdjan pour tester la réaction des systèmes de défense iraniens.
Le Brigadier-Général Mehdi Moini a annoncé le 22 juin qu'il avait pris des mesures pour contrer «une attaque de forces conjointes américaines et israéliennes basées en Azerbaïdjan, qui se prépareraient à lancer une offensive contre des installations nucléaires sur le territoire iranien». Les services de renseignement iraniens laissent entendre qu'Israël a transféré vers l'Azerbaïdjan, via la Géorgie, autre nouvel allié de l'Etat juif, plusieurs escadrilles de bombardiers tandis que des troupes spéciales américaines viennent de s'installer à la frontière dans l'intention, selon eux, d'aider à une éventuelle frappe.
Des témoins dignes de foi précisent que des convois iraniens de chars, d'artillerie, d'unités anti-aériennes et d'infanterie ont été vus se dirigeant sur les axes menant à la frontière nord. Les Iraniens prennent au sérieux Uzi Arad, chef du Conseil israélien de sécurité nationale, qui a déclaré le 22 juin que: «La dernière série de sanctions du Conseil de sécurité sur l'Iran est insuffisante pour s'opposer à ses progrès nucléaires. Une attaque préventive militaire pourrait donc éventuellement être nécessaire.»
Une présence physique israélienne à la frontière entre l'Iran et l'Azerbaïdjan n'a jamais été reconnue officiellement, mais les services de renseignement occidentaux attestent de l'augmentation du nombre de «conseillers techniques militaires juifs». L'arrivée déjà annoncée du porte-avions nucléaire américain USS Harry S. Truman dans le golfe Persique et la mer d'Oman inquiète aussi les autorités de Téhéran. Ce porte-avions comprend même des avions français, des Rafales, capables de missions anti-aériennes et d'attaque au sol, sont embarqués sur le Harry S. Truman dans le cadre d'une collaboration technique. Une armada de dix navires dont un israélien et un allemand, la frégate FGS F221 Hessen, a par ailleurs traversé le Canal de Suez le 18 juin et se trouve à présent dans le Golfe Persique.
Des sources du renseignement israélien révèlent que le porte-avions avait mouillé au large des côtes sud-ouest d'Israël, du 6 au 10 juin, à des fins prétendues d'interception d'éventuels tirs de missiles ou de roquettes contre des cibles américaines ou israéliennes au Moyen-Orient. En fait, durant ces cinq jours, 60 bombardiers super-Hornet F18 se sont exercés à simuler des missions de bombardement contre des objectifs proposés par l'aviation israélienne dans sa base Nevatim-2 en plein désert du Néguev. Cet exercice a été doublé par une autre simulation des forces aériennes israéliennes qui ont fait décoller 60 F-16 depuis des bases en Allemagne et en Roumanie pour tester le ravitaillement en vol sur une longue distance.
Le président Obama avait donné ordre de garder secrète l'information sur cet exercice aérien américano-israélien, baptisé Juniper Stallion 2010. L'objectif de cet exercice de grande ampleur mettait en scène une simulation d'une attaque de missiles en provenance d'Iran ou du Hezbollah en raison d'informations nouvelles confirmant que l'arsenal opérationnel de missiles à moyenne portée, détenus par l'Iran, la Syrie et le Hezbollah, a doublé. Ces nouvelles données expliquent la mise en garde du Secrétaire à la Défense Robert Gates devant le Sénat le 18 juin affirmant que «l'Iran pouvait lancer contre l'Europe des missiles à court et moyen rayon d'action. Je pense que nous n'accepterons pas l'idée d'un Iran nucléaire».
Ces informations ont transpiré pour parvenir aux Iraniens qui ont déclenché une alerte générale. Téhéran a par ailleurs décidé d'un coup de semonce à destination des minorités vivant au nord du pays. L'exécution le 20 juin, d'Abdolmalek Rigi, chef de l'organisation sunnite rebelle baloutche, a pour but de dissuader les autres minorités d'Iran, en particulier les séparatistes azéris agissant en Iran, de tenter de fomenter des troubles dans le pays avec l'aide de leurs frères en Azerbaïdjan.
Le lancement par les Israéliens du nouveau satellite espion Ofek-9, doté d'une caméra de très haute résolution, signifie aussi pour les Iraniens que l'armée israélienne accroît significativement ses possibilités de recueillir des informations sur les infrastructures nucléaires et militaires du pays. Le chef de l'agence spatiale israélienne a estimé qu'à «partir d'aujourd'hui un pays ne pourra plus mener d'activités secrètes au Proche-Orient. Les Iraniens ne pourront plus transférer des substances sans que nous le sachions». Il est reconnu qu'Israël utilise trois satellites pour notamment observer l'Iran et les traces de son programme nucléaire.
Des bruits de bottes se sont déjà fait entendre dans la région, mais cette fois, les Iraniens ont pris l'initiative de la mobilisation. Elle peut faire partie d'une manœuvre à l'intention des occidentaux pour leur faire comprendre que l'Iran est prêt à toutes les éventualités militaires. Il peut s'agir aussi d'une réelle crainte d'Ahmadinejad qui mesure à présent le risque qu'il a pris en refusant le dialogue avec les occidentaux et avec la France en particulier. Cette démonstration militaire, de grande envergure, pourrait préfigurer l'occasion pour lui d'ouvrir des négociations en donnant l'impression qu'il s'assoit à la table des discussions en position de force. Ce serait la meilleure hypothèse.
Jacques Benillouche
Photo : ravitaillement en vol de F-15 israéliens. Amir Cohen / Reuters
Rappel : Un événement comme le Mondial, ne peut pas ne pas être utilisé pour endormir le bon peuple et préparer un sale coup.
Effectivement, une armada et un stock considérable d'armes sont disposés à cet effet.
(..) Voir précédent post
Bientôt la fin de l'espèce humaine ?
Au cours du Moyen Âge et jusqu’à la Révolution française, la population mondiale a augmenté progressivement. Il lui a fallu dix siècles pour tripler. En moins d’un siècle, de
1940 à aujourd’hui, elle a de nouveau triplé. On doit cette explosion démographique à un progrès scientifique et technique sans précédent qui a permis à la production agricole de s’accroître dans les mêmes proportions. Les ressources de la planète étant finies, la croissance actuelle ne saurait se prolonger indéfiniment. Que va-t-il se passer
?Les démographes constatent que la population des pays développés s’est stabilisée. Celle des pays sous-développés va suivre la même évolution
: c’est ce que l’on appelle la «
transition démographique
».Pour les économistes, la croissance économique doit être maintenue à tout prix grâce à un progrès permanent. Cependant, l’accroissement de la production n’a été possible que grâce à l’utilisation de sources d’énergies non renouvelables, notamment le pétrole. Celui-ci va peu à peu s’épuiser ainsi que nos autres sources de matières premières comme les métaux. L’étendue des terres cultivables ne cesse de diminuer. L’eau, l’air, la terre sont de plus en plus pollués, la couche d’ozone est en danger, le climat se réchauffe. Sera-t-on encore longtemps capable d’alimenter tout le monde
?L’espèce humaine n’est pas la première à modifier son environnement. (..) De nos jours, c’est l’espèce humaine qui a envahi la Terre. Va-t-elle, à son tour, disparaître pour laisser la place à de nouvelles espèces
?Les scientifiques de ma génération s’interrogent, notamment ceux qui ont, comme moi, travaillé dans le domaine des sciences de l’Univers. Dans leur ouvrage commun, Roger-Maurice Bonnet et Lodewyk Wolter [i] posent la question
: notre espèce peut-elle encore survivre mille siècles
? Certains sont très pessimistes. Dans son Introduction au siècle des menaces, Jacques Blamont[ii] analyse en détail les raisons pour lesquelles, selon lui, l’humanité ne pourra échapper aux conflits armés, aux épidémies et aux famines. L'Iran a assez d'uranium pour fabriquer deux bombes,
selon le patron de la CIA
L'Iran dispose de suffisamment d'uranium faiblement enrichi "pour fabriquer deux armes" nucléaires, a déclaré dimanche le patron de la CIA Leon Panetta sur la chaîne ABC, ajoutant que ce pays pouvait mettre au point un engin en deux ans s'il le voulait.
"Nous pensons qu'ils ont assez d'uranium faiblement enrichi pour fabriquer deux armes", a affirmé dimanche le directeur de la CIA.
"Cela leur prendrait sans doute un an (pour fabriquer la bombe) et ensuite une autre année pour développer un système opérationnel d'utilisation de cette arme", a ajouté M. Panetta.
Tout en indiquant qu'il existait au sein de l'Iran "un débat" interne actuellement sur la décision ou non de développer une bombe, M. Panetta a estimé que l'Iran "continuait de développer son savoir-faire, ainsi que sa capacité nucléaire". "Ils continuent à travailler sur la conception des armes", a-t-il ajouté.
"Cela soulève des inquiétudes quant à leurs intentions, jusqu'où ils veulent aller", a poursuivi le directeur de la CIA alors que jeudi le Congrès américain a adopté un projet de loi de sanctions contre l'Iran pour forcer Téhéran à abandonner ses ambitions nucléaires.
Interrogé sur les inquiétudes d'Israël, le chef de la CIA a indiqué que "du point de vue du renseignement", Israël et les Etats-Unis partageaient leurs informations sur l'évaluation de la capacité nucléaire iranienne.
"Je pense qu'ils ont davantage le sentiment que la décision a été prise (par l'Iran) de fabriquer la bombe", a affirmé M. Panetta.
"En même temps, ils savent que les sanctions vont avoir un impact", a-t-il assuré.
Les sanctions américaines que le président Barack Obama doit promulguer visent notamment à perturber l'approvisionnement en essence de Téhéran qui ne dispose pas de capacités de raffinage suffisantes.
L'UE a également décidé à la mi-juin de sanctions visant le secteur sensible du raffinage du pétrole. Ces mesures européennes et américaines sont destinées à accompagner celles de la résolution adoptée début juin au Conseil de sécurité de l'ONU.
Evoquant les menaces terroristes, le patron de la CIA a cité la prolifération nucléaire: "j'ai des craintes quant à la prolifération nucléaire et qu'une de ces armes puisse tomber entre les mains d'un terroriste".
"Il y a beaucoup de ces matériaux en circulation et nous sommes préoccupés de savoir où elles atterrissent et entre les mains de qui".
M. Panetta a également évoqué la cybersécurité. "Nous sommes aujourd'hui dans un monde où la cyberguerre est une réalité. On peut menacer notre système électrique, on peut menacer notre système financier. Cela peut paralyser ce pays", a déclaré M. Panetta ajoutant: "il faut qu'on y porte davantage attention".
Le directeur de la CIA Leon Panetta, le 2 février 2010 à Washington
© 2010 AFP
http://www.tv5.org/cms/chaine-francophone/info/p-1911-L-Iran-a-assez-d-uranium-pour-fabriquer-deux-bombes-selon-le-patron-de-la-CIA.htm?&rub=2&xml=newsmlmmd.4978518af26dd81c01920964ee9e4c70.141.xml
Restaurer la sécurité, priorité pour la paix
Général Moshé Yaalon : Ce qu'il pense
La sécurité d’Israël dépend de frontières défendables maintenues. Cela signifierait de garder le contrôle sur les zones clé de la Cisjordanie et certainement sur l’indivisible Jérusalem. Tout partage de la capitale d’Israël inviterait des attaques de tirs de mortiers et roquettes sur la ville. Les zones remises aux Palestiniens se transformeraient rapidement en territoire du Hamas, un nouveau scénario de la bande de Gaza. Le transfert de la souveraineté poserait une menace sérieuse en raison de la topographie du terrain qui comprend des hauteurs. Ainsi des roquettes relativement artisanales ou même des tirs de mortiers pourront facilement attaquer l’aéroport international Ben Gourion.
Le maintien des frontières défendables est avant toute chose une stratégie qui assurerait que de tels incidents graves ne se produiront pas et s'ils se produisent Israël pourra alors répondre rapidement à la menace.
Aujourd’hui, le Hamas possède des roquettes à une portée de plus de 50 kms. Si ces roquettes sont lancées à partir de la crête d’une montagne de Cisjordanie, elles peuvent attaquer le centre d’Israël où plus de 70% de la population réside. C'est donc vital pour Israël de contrôler la vallée du Jourdain. Dans le cas contraire, la situation le long de la frontière du Jourdain deviendra semblable à celle de la frontière entre Gaza et l’Egypte. Des armes, des munitions et des terroristes sont facilement introduits dans les rangs du Hamas via l’étroit couloir de Philadelphie.
La deuxième menace principale est de réduire par des frontières défendables, les tentatives d'éléments islamiques radicaux prêts à déstabiliser la Jordanie ou à exploiter son territoire comme tremplin pour le lancement d'attaques terroristes et opérations militaires contre Israël via le territoire palestinien. Le traité de paix israélien signé avec le royaume hachémite de Jordanie est une pierre angulaire pour la sécurité d’Israël et la Jordanie. Un retrait israélien vers les lignes d'armistice de 1949, permettrait facilement la conquête de la Cisjordanie.
(..)
Soulignons qu’il existe plusieurs données inconnues et la situation deviendra particulièrement grave si l’Iran obtiendrait des armes nucléaires. Un tel changement dramatique dans l’équilibre régional des forces pourrait déstabiliser les régimes sunnites ou les contraindre à passer des accords avec leurs nouveaux maîtres de Téhéran. Ces derniers utiliseront des organisations terroristes pour aboutir à leur but. Israël doit se doter de frontières solides et impénétrables afin de relever les éventuels défis et notamment la menace d’une attaque non conventionnelle. C'est un intérêt considérable pour tous les acteurs de la région et notamment pour les différents régimes sunnites. Israël n’est pas le seul à confronter ces dangers, les Etats-Unis ont risqué une guerre nucléaire pour empêcher l’Union Soviétique de déployer des missiles nucléaires à 90 miles de leur territoire.
Le futur Etat palestinien doit être démilitarisé (..)
http://www.jcpa-lecape.org/ViewArticle.aspx?ArticleId=271
Eva: C'est l'inverse ! Restaurer la paix, priorité pour la séurité ! .
Comité Valmy www.comite-valmy.org info@comite-valmy.org
Nouveautés
L'impossible gestion de l'euro - par Samir Amin
http://www.comite-valmy.org/spip.php?article718
Réflexion de Fidel: J'aimerais tellement me tromper!
http://www.comite-valmy.org/spip.php?article720
"Pour la paix! Non à l'OTAN!"
http://www.comite-valmy.org/spip.php?article717
Exclusif: la Commission interdit la relance en France! Patrick Devedjian dans la 4ème dimension? Le plan
de relance est supprimé et il ne le sait pas!
http://www.comite-valmy.org/spip.php?article715
Dominique de Villepin un néolibéral centriste - Blog LeBonDosage
http://www.comite-valmy.org/spip.php?article714
Indignation et convictions - par MCOCO Le Rebelle
http://www.comite-valmy.org/spip.php?article713
La Turquie s'éloigne de l'Occident, comme le reste du monde - par Semih Idiz
http://www.comite-valmy.org/spip.php?article712
PAME (Grèce): Pourquoi il est maintenant nécessaire de créer un front populaire des travailleurs
européens pour résister et contre-attaquer http://www.comite-valmy.org/spip.php?article711
Inondation à Draguignan - par Denis Gorteau
http://www.comite-valmy.org/spip.php?article710
Général Aoun: Il doit y avoir des moyens de dissuasion, avec un ultimatum pour Israël pour adopter une
solution http://www.comite-valmy.org/spip.php?article709
Presse jordanienne: une tentative du Mossad pour assassiner Erdogan avortée (Rappel)
http://www.comite-valmy.org/spip.php?breve38
Le MRC est avant tout une ligne politique, indissociablement au service du monde du travail et au service de la France, continue dans la durée, à la fois cohérente et exigeante, ambitieuse enfin pour la République et pour la nation. Je vous parlerai de la crise qui est devant nous, des perspectives qu’elle offre à notre projet et enfin des moyens que nous avons de peser d’ici 2012 et après.
I – La crise
Elle est fondamentalement celle du capitalisme financier dont nous avons combattu la mise en place en France et en Europe, dès 1983. Elle est aussi la crise de la monnaie unique, celle de l’euro que nous avions prévue depuis la création de celui-ci en 1992 par le traité de Maastricht. Il n’y avait pas besoin d’être grand clerc pour deviner que l’abandon de la souveraineté monétaire à une Banque Centrale européenne indépendante, copiée sur le modèle allemand de la Bundesbank, conduirait à des tensions insupportables dans une Europe faite de nations diverses, aux structures économiques et aux cultures différentes, et aux politiques économiques souvent divergentes.
A ce pari fou sur une convergence économique improbable des nations dans la zone euro, nous avons dès le départ manifesté une opposition solidement argumentée, non pas contre l’Europe mais pour une Europe des peuples avec leurs nations et non pas sans elles, voire contre elles. L’heure des comptes est arrivée. L’arrogance de nos élites bien-pensantes perd déjà de sa superbe.
1. La crise du capitalisme financier est inséparable de la déréglementation néolibérale mise en oeuvre dans le monde anglo-saxon d’abord par Mme Thatcher et M. Reagan, en Europe ensuite en vertu des traités européens et particulièrement de l’Acte Unique de 1987. Au nom de la « concurrence », trois cents directives européennes ont interdit les politiques industrielles et cassé les services publics. La seule régulation admise était celle du capital dont la liberté de mouvement, y compris vis-à-vis des pays tiers, a été consacrée le 1er janvier 1990. Tout le pouvoir aux actionnaires !
Leurs exigences de rentabilité ont fini par commander tous les choix économiques. Les délocalisations industrielles s’ensuivirent. L’épargne française s’est envolée à l’étranger, les capitaux investis à l’extérieur passant de 80 milliards d’euros en 1982 à 880 milliards en 2006, soit onze fois plus. Les effectifs employés dans l’industrie française ont fondu dans le même temps de 6 millions à 3,5 millions. Une quasi stagnation industrielle a marqué les deux dernières décennies, installant notre pays dans un chômage de masse (10 %), frappant particulièrement les jeunes (20 %).
Le capitalisme financier à l’anglo-saxonne est entré, depuis 2007, dans une crise de longue durée. Il a vu son principe se retourner contre lui avec la crise des subprimes. L’Hyperpuissance américaine, qui soutient le capitalisme financier comme la clé de voûte la cathédrale, s’est enlisée militairement et financièrement. Obama solde les comptes de G.W .Bush.
Dès le 4 septembre 2001, je vous avais dit à Vincennes : « Les marchés financiers ne sont pas l’horizon de l’Humanité. Ce sont les nations et les peuples qui font la permanence de l’Histoire ». Nous y sommes. Notre motion d’orientation fait une large place à l’analyse de cette crise que nous avions vu venir depuis longtemps, et en particulier à la situation de l’Europe prise en étau dans les tenailles du G2, ou si vous préférez de la « Chinamérique », je veux dire l’alliance objective des Etats-Unis, dont la monnaie - le dollar - est aussi la monnaie mondiale, et de la Chine qui a bâti sa croissance, tirée par l’exportation, sur l’exploitation par les multinationales d’une immense armée de réserve industrielle dont la qualité est d’ailleurs indéniable.
Le centre de gravité du monde a glissé vers le Pacifique. L’Europe est devenue un continent périphérique. Le traité de Lisbonne a achevé de la réduire à l’impuissance, à travers un mécanisme décisionnel opaque et inopérant. Quel échec tous égards pour les prophètes de Maastricht !
2. La crise de l’euro manifeste la fragilité pour ne pas dire l’absurdité d’une construction européenne fondée sur la négation des nations et de leur irréductible diversité. Les marchés financiers s’en prennent au maillon faible, c’est-à-dire aux Etats de la zone euro, à commencer par ceux qui sont les plus endettés. Il est loin le temps où le général de Gaulle déclarait « la politique de la France ne se fait pas à la corbeille ».
Invité à une émission de télévision, en février 2009, le Président de la République déclarait : « J’observe tous les jours l’évolution de ce qu’on appelle les « spreads », les primes de risque sur un certain nombre de pays. » Monnaie unique ou pas, la pression des marchés financiers recrée, non plus entre les monnaies mais entre les Etats, les tensions que reflétaient autrefois – avant 1999-, les parités monétaires affrontées à la spéculation. Quel désaveu pour cette monnaie unique, dès le départ mal pensée !
L’erreur initiale de la monnaie unique conçue à Maastricht et même avant, dès 1989, a été de faire comme si les nations n’existaient pas. La souveraineté monétaire de chaque pays a été transférée à une instance déconnectée du suffrage universel, la Banque Centrale Européenne indépendante, sans qu’ait été mis en place un gouvernement économique de la zone euro dont le rôle eût été de ne pas laisser se creuser les écarts de compétitivité entre les différents pays et d’ouvrir à tous un sentier de croissance partagé. Le mot « gouvernement économique » semble aujourd’hui accepté, y compris par Mme Merkel mais les interprétations divergent du tout au tout quant à son contenu.
Le Fonds européen de stabilisation financière, mis en place le 9 mai dernier, n’est pas un remède suffisant à la crise de l’euro. J’observe en effet que contre l’avis initial de la France, l’Allemagne a obtenu que chaque pays ne garantisse les futures levées d’argent qu’à hauteur de sa contribution au Fonds.
Le refus de la solidarité financière des Etats pour la mise en œuvre de plans de sauvetage éventuels est une grave faute. Un tel dispositif, en cas de crise grave, favorisera le creusement d’écarts de taux entre les différents pays. Bref, il aggravera la crise ! L’Europe navigue sur un volcan ! Ces Etats peuvent être acculés à la faillite par la pression des marchés. La responsabilité de tous ceux qui ont soutenu le traité de Maastricht et encore hier approuvé le traité de Lisbonne est engagée. « l’autocritique doit être partagée » entre le PS et l’UMP. Pour autant je ne pense pas qu’il faille faire la politique du pire en prenant par avance son parti du défaut possible de tel ou tel pays et de l’éclatement de la zone euro. La monnaie unique est devenue réalité. Elle a coûté beaucoup de sacrifices. Mais elle a eu aussi beaucoup d’inconvénients : un euro trop fort pénalise nos exportations et favorise les délocalisations industrielles. Certes, là où la BCE avait échoué : obtenir une parité un peu plus réaliste, la crise actuelle a provisoirement réussi mais la méthode n’est pas satisfaisante ! Elle est même franchement insuffisante. Nous sommes partisan de défendre la zone euro dans son intégrité mais en changeant les règles du jeu, en introduisant par exemple la croissance et l’emploi parmi les objectifs de la BCE. Le modèle américain, quoi ! Or, un concours de plans de rigueur s’organise dans toute la zone euro sous la pression des marchés financiers et à l’initiative de Mme Merkel. Il est sans doute nécessaire de responsabiliser les Etats. Solidarité de l’Europe et responsabilité des Etats sont deux principes qui doivent aller de pair.
Mais on ne peut raisonnablement demander à la Grèce de réduire son déficit de 13,6 % de son PIB en 2009 à 3 % d’ici à 2013. L’Irlande a de même un déficit de 13,4 %, le Portugal de 9,4 %, l’Espagne de 11,2 %. La purge imposée à ces pays, blocage voire diminution des salaires et des retraites à la clé, n’a aucune chance de réussir en si peu de temps.
En France, les engagements pris – réduire de 100 milliards notre déficit budgétaire d’ici 2013 - risquent de casser la reprise. Il eût fallu distinguer la bonne dette et la mauvaise : la bonne qui prépare l’avenir à travers l’investissement, et la mauvaise qui couvre les frais de fonctionnement et qu’il faut effectivement supprimer. Mais tout cela ne peut se faire sur le dos du monde du travail. Une réforme fiscale de grande ampleur s’impose. On ne peut pas non plus, pour équilibrer nos régimes de retraites mais aussi pour calmer les marchés financiers, remettre en cause la conquête essentielle qu’a été pour la classe ouvrière la retraite à soixante ans. L’espérance de vie pour les ouvriers est de sept ans inférieure à la moyenne. Nous demandons que pour les ouvriers de l’industrie, l’âge de départ à la retraite soit maintenu à soixante ans. Ce sera une bonne manière de revaloriser à la fois le travail et l’industrie.
Joseph Stiglitz l’a dit clairement « Si l’Union européenne continue dans la voie d’un plan coordonné d’austérité, elle court au désastre. Nous savons, depuis la Grande Dépression des années trente, que ce n’est pas ce qu’il faut faire ! ». Le pronostic de Joseph Stiglitz pour la monnaie unique est pessimiste. Je le cite « Pour Athènes, Madrid ou Lisbonne se posera sérieusement la question de savoir s’ils ont intérêt à poursuivre le plan d’austérité imposé par le FMI et par Bruxelles, ou au contraire, à redevenir maîtres de leur politique monétaire. » Le Président de la BCE a déclaré qu’il n’avait pas de plan B. Est-ce prudent ? Je ne le crois pas. Il faut préparer un plan B. Il n’est pas nécessaire de le dire. Mais il faut le faire.
Nicolas Sarkozy a fait malheureusement à Mme Merkel deux concessions majeures en acceptant :
- que le droit de vote d’un pays au sein du Conseil européen puisse être suspendu pour laxisme, en contravention avec les traités existants ;
- que la coordination économique et budgétaire s’opère au niveau de l’Union à vingt-sept, et pas au niveau des seize pays qui ont adopté la monnaie unique où se pose justement ce problème, les onze autres pays qui ont gardé leur monnaie pouvant procéder à des ajustements monétaires.
Même suivisme pour constitutionnaliser l’interdiction du déficit budgétaire. Cette reculade est inquiétante. M. Trichet a proposé un « fédéralisme budgétaire » qui priverait les Parlements nationaux de leur prérogative essentielle : le vote du budget de la nation. Ce n’est pas ainsi qu’on remédiera au déficit démocratique des institutions européennes.
Nous ne saurions accepter l’idée d’un visa préalable de la Commission européenne sur les budgets nationaux. C’est le Parlement qui vote le budget et personne d’autre. Monsieur Trichet sort de son rôle quand il parle de « fédéralisme budgétaire ». Ce discours ne peut avoir qu’un sens : soustraire à la délibération des Parlements l’élaboration des budgets. C’est une remise en cause fondamentale de la démocratie. Parler de fédéralisme relève de l’intoxication.
Celui-ci est impraticable : le budget européen dépasse à peine 1 % du PIB européen. Le taux moyen des prélèvements obligatoires en Europe est d’environ 40 %. Le mot « fédéralisme » dissimule en réalité la volonté de priver les peuples de toute possibilité d’expression et d’influence politique.
Ce qui serait raisonnable ce serait un processus itératif : le Conseil européen approuverait un cadre général de prévisions macroéconomiques, éventuellement ventilé par pays. Il reviendrait aux Parlements nationaux de délibérer et d’établir une programmation, d’ailleurs révisable, des recettes et des dépenses. En cas de désaccord, le Conseil européen chercherait à dégager un compromis, à charge par le gouvernement concerné de le faire ratifier par son Parlement. Il s’agirait donc d’un document de programmation concernant l’évolution de l’économie dans son ensemble aussi bien que celle des Finances publiques. Les parlements continueraient, dans ce cadre, à voter le budget.
Le gouvernement allemand devrait être incité à infléchir sa politique en relâchant la pression qu’il exerce notamment sur l’évolution des normes salariales. Sans doute est-ce là d’abord l’affaire du patronat et des syndicats. Mais dans le passé le gouvernement allemand n’a-t-il pas impulsé des plans comme l’Agenda 2010 ou les différents plans Harz, du nom du conseiller économique de M. Schröder ?
De même, la BCE devrait-elle être encouragée à ouvrir davantage le robinet monétaire, en prenant en pension, en cas de besoin manifeste et comme elle l’a déjà fait occasionnellement pour les titres de l’Etat grec, les titres d’emprunt d’Etat de façon à stopper la spéculation. Il y a là un vrai mécanisme de solidarité européenne défensive. Sur ce sujet, il est important qu’un accord intervienne entre la France et l’Allemagne avant le remplacement de M. Trichet à la tête de la BCE. M. Axel Weber, président de la Bundesbank, s’il est nommé à la place, doit l’être sur la base d’un contrat. La cohésion franco-allemande est sans doute nécessaire, mais elle ne saurait se confondre avec l’alignement !
On ne peut que regretter rétrospectivement le projet de monnaie commune soutenu en 1990 par la Grande-Bretagne, dit encore « hard écu », la monnaie commune ayant cours vers l’extérieur et laissant subsister, à l’intérieur, des monnaies nationales inconvertibles autrement qu’à travers un accord politique fixant leur parité par rapport à la monnaie commune. Ce système simple permettait, sous un « toit européen » commun, les ajustements monétaires rendus nécessaires par les évolutions divergentes que le pacte de stabilité de 1997, rudimentaire et arbitraire, n’a pas permis d’empêcher et qu’on ne pourra jamais empêcher, car ils sont enracinés dans les comportements nationaux façonnés par des siècles d’Histoire.
La situation st aujourd’hui gravissime. Après la Grèce, ce peut être le tour d’un grand pays comme l’Espagne et ensuite le détricotage de toute la zone euro. Nous devons nous préparer à toutes les hypothèses en nous efforçant d’approfondir le dialogue avec l’Allemagne et d’élaborer des positions communes, y compris des scénarios alternatifs.
Nous savons ce que nous ne voulons pas : il ne serait pas réaliste et même franchement contraire à l’intérêt national de vouloir redécouper la zone euro pour en exclure les pays autrefois désignés comme « pays du club Med ». La France ne pourrait pas accepter une union monétaire à cinq ou six avec l’Allemagne et le Benelux. Ce qui reste de notre industrie n’y résisterait pas. Ce serait inacceptable pour l’idée que nous nous faisons de l’Europe. Nous devrons le faire savoir à nos amis allemands. La zone euro doit être défendue dans ses limites actuelles. Il serait inacceptable de revenir à la conception d’un noyau dur à cinq (Allemagne-Benelux-France) tel que proposé en 1994.
Pouvons-nous faire confiance aux milieux dirigeants français, toutes tendances confondues, pour manifester une telle volonté ? Non, nous ne le pouvons pas ! Ils ont trop investi sur l’Europe de Maastricht et sur la monnaie unique. Leur orgueil nourrit leur aveuglement. Nos élites, comme dans les années trente, manquent de confiance en la France. Voilà pourquoi nous devons peser. Ici et maintenant !
II – Notre projet
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Cette société n’est pas abjecte parce que les valeurs marchandes sont trop prégnantes. Ce monde n’est pas ignoble en raison du fait qu’il serait mal géré. La société du spectacle marchand est immonde parce qu’elle est gestion, c’est à dire appropriation de la vie de l’être par le travail de la vente et de l’achat et fabrication infinie d’une absorption mortifère de la centralité du vivre par la possession des choses.
Vivre en vérité de vie, ce n’est point entreprendre de ré-humaniser l’in-humain et de re-naturaliser l’anti-nature…A l’encontre de tous les projets d’acceptation et de renouvellement du spectacle de l’astreinte au trafic du négoce, la seule perspective humaine consiste à liquider les lois de l’économie sur la vie de l’être.
suite ici : http://www.mecanopolis.org/?p=18364
Par souci d'image:des policières israéliennes contre les flottilles
http://www.almanar.com.lb/NewsSite/NewsDetails.aspx?id=143853&language=fr
En octobre 2009, 5 000 agriculteurs ont défilé à Toulouse pour protester contre la baisse de leur revenu /Photo archives DDM/X. de Fenoyl.
Ils ne se taisent plus. Ils ont reçu la mort en héritage, et le dénoncent publiquement. À Cavaillon, dans le Vaucluse, Jérémie, enseignant à domicile de 37 ans, veut attaquer l'État pour le suicide de son père, arboriculteur criblé de dettes. « Je veux que les pouvoirs publics prennent conscience qu'ils conduisent les agriculteurs à des situations de faillite ». Jérémie a créé une association, l'ARSFP, l'association pour la reconnaissance de la souffrance des paysans, qui regroupe 30 familles d'agriculteurs suicidés.
Au mois d'avril dernier, en Dordogne, Daniel Lemonie, agriculteur de 55 ans, a mis fin à ses jours. Son fils, Clément, 22 ans, a voulu « briser le tabou du suicide des agriculteurs », et il a révélé une partie du contenu de la lettre que son père lui a laissée : « Mon père s'excusait de me laisser avec des dettes. Je ne veux pas que sa mort passe inaperçue. Qu'on dise, c'est fini ». Non, ce n'est pas fini.
suite ici:
http://www.ladepeche.fr/article/2010/06/26/862910-La-misere-cachee-des-campagnes.html#xtor=EPR-1
Réformes dans l'Education.
La mort de l'école publique ?
Communiqué de presse
Les réformes engagées dans l’Education Nationale interrogent les responsables du système éducatif et au premier chef les Inspecteurs d’Académie qui sont souvent en difficulté pour défendre devant les enseignants et les parents les décisions ministérielles.
Les instructions qui se succèdent donnent une image brouillonne de la gouvernance du ministère et ne tracent pas les contours du grand dessein pour l’école dont le pays a besoin.
On nous demande de supprimer des postes alors que lutter contre l’échec scolaire et la violence à l’école suppose plus d’adultes et plus d’éducation dans les établissements.
On nous demande d’augmenter les effectifs des classes, alors que la difficulté scolaire se traite avant tout par une pédagogie différenciée d’autant plus difficile à mettre en oeuvre que les effectifs sont importants.
On nous demande de fermer les petits établissements ruraux alors que la circulaire Balladur de 1993, jamais abrogée, interdit la fermeture de la dernière classe d’une commune.
On nous demande de ne plus scolariser les enfants de moins de trois ans alors que toutes les études montrent les effets bénéfiques d’une scolarisation précoce dans les milieux les plus défavorisés.
On nous donne en exemple le modèle finlandais dont la formation des enseignants est un élément clé de la réussite tandis qu’on réduit le temps de formation des professeurs français.
Comment expliquer cela aux parents d’élèves, aux enseignants ? Quelle en est la logique si ce n’est une logique uniquement budgétaire ?
Dés lors, les Inspecteurs d’Académie dont on ne peut douter de la loyauté s’interrogent devant les risques de dégradation du service public d’éducation dont les conséquences, à l’heure de la mondialisation, se mesureront à terme sur les performances et la compétitivité de la France ! D’autres pays ne s’y sont pas trompés comme l’Allemagne, souvent citée en exemple qui a fait le choix de ne pas réduire ses dépenses d’éducation.
Le SIA rappelle que des Inspecteurs d’Académie ont été victimes de retraits d’emplois pour avoir tenu à faire prévaloir l’équité dans la gestion des moyens. Nous avons tous, en tant que cadres responsables, conscience de la nécessité de contribuer à la réduction de la dette publique, mais dans l’Education Nationale plus que partout ailleurs chaque action de réduction budgétaire doit être pensée dans une perspective de long terme et non à l’aune d'échéances économiques immédiates.
Sur tous ces dossiers qui conditionnent l’avenir du système éducatif, le SIA regrette que Luc CHATEL n’ait pas cru devoir le recevoir, malgré l’engagement de son directeur de cabinet et des demandes répétées qui lui ont été transmises.
Paris, le 16 juin 2010
Pour le bureau national
Syndicat des Inspecteurs d’Académie
46, avenue d’Ivry
75013 Paris
Les abonnés au gaz disent merci à Sarkozy (cliquer sur le lien)
Guerre contre l'Iran ?
Aujourd’hui, comme voilà trente et un ans, les États-Unis et Israël sous-estiment le million de soldats des forces armées iraniennes, leur capacité de combat terrestre, ainsi que les forces aériennes, maritimes et terrestres des Gardiens de la Révolution.
À quoi il faut ajouter les vingt millions d’hommes et de femmes âgés de douze à soixante ans, choisis et entraînés systématiquement par les diverses institutions militaires, parmi les soixante-dix millions d’habitants du pays.
L’administration étasunienne avait tracé un plan pour déclencher un mouvement politique qui, se fondant sur la soif de cons
Cet espoir n’est plus qu’une lubie. Il est risible de penser que les bâtiments de guerre étasuniens et israéliens puissent éveiller les sympathies d’un seul Iranien !
J’avais cru au départ, après avoir analysé la situation, que la deuxième guerre coréenne serait le détonateur de la seconde guerre imposée à l’Iran par les USA.
La réalité s’est inversée : la guerre d’Iran déclenchera aussitôt la guerre de Corée.
Les dirigeants nord-coréens, accusés d’avoir coulé le Cheonan, mais qui savent pertinemment que cette corvette a été coulée par une mine que les services de renseignement yankees ont collée à sa coque, ne perdront pas une seconde et agiront dès que l’attaque sera déclenchée contre l’Iran.
Il est tout à fait juste que les supporteurs se passionnent pour la Coupe du monde de football. Moi, je fais mon devoir de mettre notre peuple en garde, en pensant surtout à notre jeunesse pleine de vie et d’espoirs, en particulier nos merveilleux enfants, pour que les faits ne nous prennent pas à l’improviste.
Je souffre de penser à tant de rêves conçus par les être humains et aux créations étonnantes qu’ils ont été capables d’engendrer en seulement quelques milliers d’années.
Extraits du texte de Castro
http://www.legrandsoir.info/Que-j-aimerais-me-tromper.html
Selon le journal Al-Qods al-Arabi, la marine des Gardiens de la révolution a été mise en état d'alerte dans le golfe Persique après l'entrée vendredi dernier d’une douzaine de navires de guerre américains et d'une corvette israélienne dans le canal de Suez ayant pour mission de patrouiller le long des côtes iraniennes. Ainsi trois sous-marins iraniens de fabrication locale ont été équipés de nouveaux senseurs et au moins dix hélicoptères de patrouille ont également été mis en liaison directe avec les sous-marins, qui opèrent dans les eaux du golfe. Ces informations s'ajoutent à celles du site Debka de mercredi selon lesquelles l'Iran a concentré des forces le long de la mer Caspienne en vue d'une éventuelle frappe israélo-américaine contre ses sites nucléaires.
http://www.juif.org/defense-israel/131658,iran-la-marine-en-etat-d-alerte-dans-le-golfe-persique.php
Iran : la marine en état d'alerte dans le golfe Persique
Rappel: Un article d'eva, tellement novateur et d'actualité !
Les nouvelles stratégies de l'Occident
pour dominer la planète :
Les Evangéliques à la conquête du monde,
les étudiants instruments de Révolutions Oranges.
http://r-sistons.over-blog.com/article-30219896.html link
Le Sénat a allégé drastiquement
le délit de prise illégale d'intérêt
Jeudi 24 juin, en pleine grève générale, sans tambour ni trompette, le Sénat a allégé drastiquement le délit de prise illégale d'intérêt. Quelques mécréants irrespectueux évoquent une légalisation du financement occulte des partis politiques...(..)
Ah, j'allais oublier, la proposition de loi a été adoptée à l'unanimité. Une "République irréprochable", puisqu'on vous le dit...
A lire également :
Pas viables, mais pour qui ? Mais, enfin, le capitalisme, ma chère !
La solution consiste donc à faire payer au plus grand nombre l'incurie du libre fonctionnement du marché, qui comme tout le monde le sait, est irréprochable !
•Au Royaume uni, un ministre qui a, en tant que député, reçu, je crois, 40 000 euros de défraiements injustifiés, démissionne
•En Allemagne, pour avoir usé d’une voiture à titre privé, démission du poste de ministre
•Dans un pays nordique pour s’être fait remboursé des frais, démission plus remboursement à l’Etat
Et Maintenant en France :
•Santini poursuivi par la justice, est resté ministre
•Hortefeux condamné par la justice, reste ministre
•Blanc dépense 12 000 euros de cigares, reste ministre
•Fadela Amara use de son appartement de fonction pour sa famille, reste ministre
•Nicolas Sarkozy touche illégalement pendant 3 mois sa rémunération d’ex ministre, reste Président
•Christian Estrosi dépense plus de 100 000 € en louant un jet privé, ne rembourse rien, reste ministre
•Christian Joyandet idem, ne rembourse rien, reste ministre
•Le même Joyandet trafique son permis de construire, reste ministre
•Richard condamné pour fraude fiscale reste directeur de cabinet de Lagarde et est ensuite nommé futur PDG d’Orange
•Rama Yade loue une suite pour plus de 600 euros la nuit, n’y loge même pas, ne rembourse rien et reste ministre
•Nicolas Sarkozy se fait prêter gracieusement 5 NISSAN 4 X 4 pendant 5 jours à Megève, coût 20 000 € quand NISSAN licencie 20 000 personnes, il reste Président de la République
•Roselyne Bachelot fait engager son fils dans une structure dépend de son ministère, elle reste ministre
•Roselyne Bachelot responsable du fiasco des vaccins, désorganisation totale, gaspillage immodéré, reste ministre
•Eric Woerth déclare ne pas connaître plus que cela Maistre et ment, a visiblement deux conflits d’intérêt par son épouse et son poste de trésorier de l’UMP, reste ministre
A cela s’ajoute l’arrogance et le mensonge pour les ministres :
•Hortefeux démissionne de son poste d’élu du conseil régional contre les promesses de l’UMP
•Nora Bera idem
•Valérie Létard idem (..)
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Pirates, corsaires et flibustiers du XXIe siècle par Thierry Meyssan*
La piraterie au large de la Somalie fait courir un risque majeur aux navires reliant la Méditerranée à l’océan Indien. Officiellement le phénomène échappe à tout contrôle et les grandes puissances ont été contraintes de dépêcher leur marine de guerre dans la zone pour escorter leurs bateaux marchands. Pourtant, dans certains ports somaliens, on peut voir des navires capturés, amarrés sagement en ligne dans l’attente de leur rançon, sans que les pirates craignent les bâtiments de guerre croisant au large. A l’issue d’une longue enquête, Thierry Meyssan dévoile les commanditaires de ce nouveau business.
http://www.voltairenet.org/article165499.html
- Le regard d'un historien israélien, Uri Avnery, sur Israël
- L'affaire l'Oréal (suite)
- Hommage à des héros oubliés de la Résistance
(..) "Florence Woerth a été employée à plein temps pour dépouiller l’Etat de recettes fiscales…"
La juge évoque notamment un nouveau « climat de peur », dans l’institution judiciaire comme dans les médias. Elle dénonce, dans ce pays où le Parlement ne pèse pas bien lourd, la « destruction organisée » des autres contre-pouvoirs, « pris l’un après l’autre » : médias, humoristes, juges, « jusqu’à la Halde…(..)