http://alter-et-caetera.over-blog.com/article-fillon-cope-du-riffifi-a-l-ump-105780194.html
La tragédie française,
par eva R-sistons
Tragique. La France n'est pas seulement ridiculisée, mais défigurée. D'ailleurs, je savais que Jean-François Copé gagnerait, en dépit des sondages. Il avait contre lui un Français bien de chez nous, de surcroît se réclamant du gaullisme social - donc à la fois d'une certaine façon, patriote et social. Or, en coulisses, le CRIF qui scandaleusement a colonisé notre pays, tous les centres névralgiques du pouvoir, veillait : Copé était son poulain pour la Droite, comme Valls, demain, pour la Gauche. Pas question de laisser une parcelle de pouvoir, en France, aux Français. Ségolène Royal a été éjectée, Martine Aubry aussi (à la tête du PS, remplacée par Harlem Désir) et Jean-Marc Ayrault est sali, discrédité, calomnié... par les Médias sionistes.
Une des tragédies de la France, aujourd'hui, est qu'elle n'est plus un Etat souverain, car non seulement lié à Bruxelles, mais surtout soumis pour son malheur à israël via son représentant dans notre pays, le CRIF. Avec tout ce que cela implique : Les filets européistes et atlantistes, l'ultra-libéralisme, les guerres pour le compte de Tel-Aviv et de Washington - quitte à s'allier avec les Salafistes radicaux, barbares, terroristes, contre la Syrie (comme sous Sarkozy, contre la Libye) - alors qu'à l'intérieur de notre pays, ces mêmes fanatiques sont traqués au prix des pires amalgames, d'ailleurs.
http://madagoravox.wordpress.com/2010/12/07/les-chroniques-de-ragidro-de-la-dictature/
J'ai assisté en direct, dimanche soir, en pleine nuit, à un coup de force, à un putsch bonapartiste, à une proclamation de victoire au forceps. En se déclarant vainqueur avant l'heure, avant d'être sûr d'avoir gagné, Copé, machiavéliquement, voulait mettre en difficulté son adversaire, en le contraignant à adopter une position de défense, celle d'un homme n'acceptant pas sa défaite. Triste position pour Fillon - et scandaleuse stratégie de Copé, rappelant celles des dictateurs sud-américains des années 60... sur fond d'urnes bourrées, de bulletins orphelins, de magouilles, de fraudes avérées. Et ce que j'ai vu, aussi, c'est un François Fillon répondant avec tristesse mais avec dignité qu'il avait (227 ?) voix de plus, ET qu'il s'en remettait à la Commission pour le résultat définitif. Tandis que l'ambitieux Copé, ce beau parleur (il est avocat, spécialiste du verbe), cet arriviste sans scrupules se pavanait avec arrogance, agressivité, sans complexe, mais aussi avec mépris pour son adversaire : en tendant une main condescendante à son rival vaincu.
"Quand on tient l'appareil, commente Ségolène Royal, il est plus facile de manipuler les résultats". Curieuse victoire de Copé, en effet !
Jean François Coppé dans la piscine du marchand d’arme franco-libanais Zad Takieddine.
Triste personnage, d'une très grande violence, et qui clive, qui dresse les individus les uns contre les autres. Et cet inquiétant bonhomme, cet autoritaire rêve de tenir sous sa botte la France ? De la modeler comme ses amis de Tel-Aviv et de Washington le demandent, c'est-à-dire de transformer la terre de Jaurès, de Hugo, de Rousseau, de Charles de Gaulle, et même de Jacques Chirac, en jungle (où le plus fort domine le plus faible), en République bananière autoritaire, anti-démocratique (écrasant les petits, les modestes), en pays où les nouveaux riches feront la loi avec arrogance en piétinant tous les obstacles, en ne reculant devant rien pour indéfiniment grossir leurs coffres-forts.
Copé, c'est la France des parvenus, la France des affairistes, la France musclée impitoyable, la France sans état d'âme, la France autoritaire, la France communautariste (ultra-sioniste), la France raciste (islamophobe), la France du discours outrageusement identitaire, la France de Patrick Buisson (conseiller officieux de Sarkozy, ancien journaliste de Minute), la France décomplexée se permettant tout, la France qui se renie, la France qui brade ses biens (industrie, or, patrimoine...), la France qui copie l'Amérique brutale des cow-boys, la France qui se soumet entièrement à Tel-Aviv...
Sarkozy, comme j'ai eu l'occasion de l'écrire depuis son élection, est le fossoyeur de la France, de sa souveraineté, de ses valeurs, de son modèle social, de sa laïcité, de sa Presse, de son patrimoine, des fleurons de son industrie, de ses emplois, de son or, de sa diplomatie, de ses libertés, etc. Le CRIF a choisi ses successeurs : Copé à Droite, Valls à Gauche, même acabit. De la graine de dictateurs. La France, ils s'en foutent. Liés à israël "de manière éternelle", inconditionnels du modèle yankee inégalitaire, pions des Bilderberg, prêts à achever de tuer l'identité de notre pays.Tragédie française inéluctable ?
Wauquiez, ou Peltier ?
A l'UMP, la fracture est totale. Il y a désormais deux lignes totalement antagonistes, la bonapartiste autoritaire, anti-républicaine, anti-sociale de Copé, et la gaulliste républicaine, sociale, humaniste de Fillon. Tragédie française, avec des militants radicaux, avec la victoire d'une Droite décomplexée, arriviste, affairiste, brutale, sans scrupules, inhumaine... et de plus en plus à Droite. Dérive radicale de notre pays. François Fillon a raison : "La fracture est politique et morale". Irréductible.
L'UMP vient de se scinder en deux. Il y a d'un côté un Guillaume Peltier et sa France forte, et de l'autre Wauquiez et sa France solidaire. Il y a d'un côté Copé et les coups de force, la haine sioniste des Musulmans, les clivages, la rue pour contester la Gauche démocratiquement élue, la Droite extrême, et de l'autre Fillon et le respect des urnes, le rassemblement gaullien des Français, la République, la démocratie-chrétienne. Irréconciliables. Il y a bien 2 Droites, qui ne peuvent pas cohabiter. François Fillon doit quitter cette UMP là dont la victoire est d'ailleurs contestable, et fonder sa Droite, celle qui est compatible avec les valeurs de la France éternelle. Notre pays a le droit d'avoir sa Droite, mais elle doit être républicaine, digne. Respectueuse des traditions. Il ne faut pas accepter en France une seule droite, tyrannique, affairiste, haineuse, raciste, sans scrupules, arrogante, exclusivement aux ordres du CRIF. Non à la France hideuse !
Notre pays est déjà occupé par les agents de Tel-Aviv, serons-nous aussi condamnés à subir un duel monstrueux, opposant la Droite musclée et affairiste de Copé, à la fausse Gauche autoritaire de Valls ?
La balle est dans le camp de François Fillon. Il a le devoir de rejeter une politique immorale... par respect pour notre pays.
Eva R-sistons
http://r-sistons.over-blog.com
TAGS : Droite, Gauche, Copé, Fillon, Sarkozy, Wauquiez, Guillaume Peltier, Patrick Buisson, CRIF
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Vous pouvez lire ma Lettre ouverte à François Fillon
sur mon blog officiel :
Lettre ouverte à François Fillon. Le devoir de sortir du bourbier de l'UMP
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http://www.alterinfo.net/Fillon-Cope-UMP-coupee-_a83801.html
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Copé : Du putsch, à la dictature ?
En tous cas, une France autoritaire,
anti-démocratique !
Déjà, Copé menace de contester le PS élu
dans la rue ! (eva)
De Sarkozy à Copé, la tragédie de la France.
Voici un article publié sur ce blog.
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Par eva R-sistons
Sommes-nous en dictature, ou sur le point d’y entrer ? Je viens de lire un article qui s’intitule justement "La dictature s’installe" en France. Alors, dictature, ou pas ? Certains parlent de "pré-dictature", d’autres prétendent que la France a à sa tête un dictateur.
Sarkozy, c’est sûr, a l’étoffe d’un dictateur : Imbu de lui, hyper complexé, maladif, arrogant, coléreux, imprévisible, émotif, sans scrupules, égocentrique, hyper-autoritaire, ne supportant aucune critique, décidant de tout seul, caractériel, etc, etc. Hitler aussi était un grand complexé, prêt à tout pour affirmer son identité.
Je voudrais rappeler un épisode de la dernière Présidentielle : Sarkozy, alors Ministre de l’Intérieur et candidat, était passé au micro de FR3, et il n’avait pas apprécié l’accueil des journalistes ; il s’était emporté et il avait menacé, une fois élu, de licencier tout le monde... châtiment collectif, d’ailleurs !!! Une réaction comme celle-ci, disproportionnée, anti-démocratique, en dit plus que tous les discours sur la mentalité de Sarkozy et sur ce qu’il nous réserve. Il suffit d’ailleurs de lire son écriture, pour n’avoir aucune illusion sur l’homme, sur son état mental. Il paraît d’ailleurs qu’il aurait fait l’objet d’une dizaine d’ouvrages sur le sujet. Qui en parle ? Censure ? Comme pour le livre de Paul-Eric Blanrue, "Sarkozy, israël et les Juifs" ?
Les médias sont sous contrôle absolu, le Quai d’Orsay a été "nettoyé" de ses éléments les plus indépendants, gaulliens, tout est verrouillé, les inconditionnels du Maître occupent tous les postes clefs... pauvre France ! Une fois de plus, je le dis : A l’heure des débats sur l’identité de notre pays, celle-ci est en voie de disparition complète... Et c’est encore Sarkozy qui nous annonce, le plus naturellement du monde : "Le "Nouvel Ordre Mondial", on y viendra, de gré ou de force.." !
Dois-je aussi rappeler que c’est le même homme qui a bafoué, piétiné, le vote des Français contre le Traité Européen ??? Et imposé, par tous les moyens, le Traité de Lisbonne clone de celui rejeté par les peuples qui pouvaient s’exprimer ? C’est encore Sarkozy qui somme de nommer son fils au poste le plus élevé, alors qu’il est encore étudiant et incapable de décrocher un diplôme, ou qui menace les députés UMP récalcitrants, bref il faut... se soumettre ou se démettre ! Pas vraiment démocratique, tout ça ! Nous pouvons légitimement craindre un avenir très sombre...
La pandémie donne l’occasion rêvée à Sarkozy de concentrer tous les pouvoirs, en prétextant le Bien public, la sécurité, l’urgence, ce qu’on veut ! Il souhaitait d’ailleurs être le premier Chef d’Etat européen à établir des lois d’exception, mais le Syndicat de la Magistrature a réussi à s’y opposer, jusqu’à présent. Gageons que rien ne résistera au désir du Président de contrôler tout, de décider de tout, et d’éliminer d’une façon ou d’une autre toute trace d’opposition, comme déjà en neutralisant la Gauche, en gommant les différences, les repères - par exemple en débauchant des hommes de Gauche (réellement de Gauche ? Ou ambitieux, opportunistes - presque tous, d’ailleurs, sont des inconditionnels d’Israël, des sionistes...). Bref, machiavélisme, mépris de la démocratie, tentative d’accréditer l’idée du parti unique... pour mieux étouffer toute Opposition, et... toute opposition !
Dernier acte nous conduisant directement à la mise en place d’une dictature antinomique des valeurs de la France, de la patrie des Droits de l’Homme, en plus de lois de plus en plus liberticides, et non négociables : Le nouveau mot d’ordre, aujourd’hui, est de vacciner à tous prix, quels que soient les risques, les mécontentements, et même les conséquences pour les étudiants en médecine ou se destinant à la carrière d’infirmiers, et bien sûr pour les malades privés de soignants à l’Hôpital !
Le site Artemisia, que je cite régulièrement sur mon blog r-sistons à l’intolérable, gênait : Il a été supprimé, tout simplement ! N’avons-nous pas de quoi nous inquiéter ? Sarkozy, c’est sûr, ne reculera devant rien pour arriver à ses fins, oui, devant RIEN !
Vous voulez que je vous dise ? J’ai l’impression de me trouver dans la France d’avant la 2e guerre mondiale, démissionnant, se résignant, face aux périls qui s’annonçaient pourtant clairement. Sommes-nous aussi défaitistes que Daladier en 1938 ? Prêts à être, par notre silence, artisans de la ruine de l’identité française, artisans de la ruine de la France, artisans de notre propre ruine ? Car tôt ou tard, on passe de la passivité résignée à la collaboration.... et à l’intolérable !
Un autre élément particulièrement lourd de menaces pour la liberté et pour la démocratie chère au coeur des Français, est la concentration, sans précédent, de tous les pouvoirs, de toutes les fonctions importantes, entre les mains d’un seul groupe, d’un seul clan, de surcroît inféodé à l’Etranger, indifférent aux intérêts spécifiquement français, soucieux seulement de plaire à Israël. Il s’agit d’une démission incroyable de notre pays, d’une situation unique dans l’Histoire de la France. Tous ceux qui, à juste titre, sont attachés à l’indépendance de la France, sont révoltés, ulcérés, scandalisés. Il s’agit d’autre chose que du patriotisme : Il s’agit du Droit, de la Légitimité, de la Liberté. De l’identité même de notre pays ! A l’heure où l’on institue, là encore de force, des débats sur l’identité française, d’ailleurs pour masquer les vrais problèmes, il est nécessaire de rappeler cette dimension : La France, réellement colonisée, n’est plus elle-même... Une tragédie ignorée du grand public !
Et aujourd’hui, on nous impose de commémorer à l’école les honteux camps de la mort nazis ; Demain, la France sera peut-être un immense de camp de concentration, où chaque citoyen sera confiné, contrôlé, assujetti et peut-être même éliminé parce que, comme le Gl de Gaulle, il aura osé s’opposer à l’intolérable d’une dictature qui ne dit pas son nom, au service d’un homme, de l’"Elite" militaro-financière, et d’un Etat étranger...
Eva R-sistons
Publié le 19 mars 2012 par L'as de Madrid
Les élections présidentielles se gagneront ou se perdront à sa droite. Nicolas Sarkozy en est conscient, et tente aujourd'hui de rallier ceux qui firent sa fortune en 2007 : les électeurs du Front National. Pour ce faire, les appels du pied à l'électorat nationaliste se multiplient mais ne semblent pas suffire à siffler le réservoir des voix de Marine Le Pen. Le faux débat sur la viande halal, la remise en cause des accords de Schengen et les sorties répétées de Claude Guéant ne sont que l'avant goût de ce que Sarkozy peut nous réserver au deuxième tour : une union des droites nationales. Beaucoup en ont rêvé, pourquoi ne le ferait-il pas?
L'entourage immédiat de Sarkozy, des hommes sous influence
On ne le dira jamais assez : la politique ne se fait pas que dans les discours ou dans les actes, elle se décide dans les couloirs et les coulisses. L'entourage de Sarkozy pour sa campane de 2012 a ceci de surprenant qu'il compte un certain nombre d'individus issus des rangs de l'extrême droite française. A commencer par Patrick Buisson, dont le chef de l'Etat ne peut visiblement plus se séparer. Conseiller privilégié, membre de sa garde (très) rapprochée, Nicolas Sarkozy disait de lui en 2007 qu' « il est l'hémisphère droit de mon cerveau » (Libération 15/03/2012). En l'espace de cinq ans, le sinistre homme de l'ombre de Sarko a acquis une place prédominante dans la stratégie du candidat de l'UMP.
Les parasites au chômage, les mangeurs de viande halal, la France forte, c'était lui. Ce charmant conseiller, transfuge des branches les plus dures de l'extrême droite hexagonale traîne derrière lui une carrière édifiante : vice président de la FNEF en 1968 (opposée aux étudiants qui se révoltaient), directeur du journal Minute dans les années 80 (journal du Front National avant la rupture avec Marine Le Pen), puis conseiller de Philippe de Villiers, il a inspiré à Nicolas Sarkozy toutes les idées réactionnaires du quinquennat : ministère de l'immigration, débat sur l'identité nationale... Celui qui avait publié les fameux livres OAS, Histoire de la résistance française en Algérie ou L'Album Le Pen a bel et bien pris une place prédominante dans la campagne. Militant de la première heure d'une union des droites nationales, il déclarait en 1986 déjà que « Le Pen et le RPR , c'est la droite. Souvent, c'est une feuille de papier à cigarettes qui sépare les électeurs des uns ou des autres ». (Nouvel Observateur 20/11/2008).
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Patrick Buisson dans sa jeunesse, lorsqu'il travaillait au Journal Minute
Les années Minute de Patrick Buisson, conseiller de Sarkozy- Rue-89 : "
Celui qui vante au Président la chasse aux voix FN est un ex-journaliste de l'hebdo d'extrême-droite. Nous avons relu ses articles." voir UMP et les mouvements racistes - citizenkhane, face au racisme : virons les lois scélérates et ceux qui l'imposent
Reportage de Complément d'enquête - Décryptage de la statégie
La Droite Populaire, passerelle de l'extrême droite
Un « je t'aime moi non plus » historique
Partout en Europe on observe une tendance au rapprochement entre les droites classiques et les droites extrêmes. La crise financière et sociale a précipité un processus entamé depuis des années dans certains pays européens (Italie, Hongrie etc...). Désormais, qu'on se le dise, on discute avec l'extrême droite un peu partout sur le continent. Aux Pays Bas, l'importance croissante du PVV (Parti pour la liberté) de Geert Vilders a abouti en 2010 à la formation d'un gouvernement d'union des droites nationales : les chrétiens démocrates et les conservateurs étaient dans l'obligation de conclure un accord avec ce dernier pour espérer obtenir une majorité parlementaire. En Grèce, le gouvernement de Lucas Papademos censé rétablir l'ordre social dans un pays exsangue a ouvert sa porte à quatre ministres issus des rangs du parti d'extrême droite LAOS (notons que ces ministres ont démissionné au mois de février 2012). Partout, les organisations d'extrême droite font des percées historiques au sein des parlements nationaux, et obligent ainsi les partis de droite de gouvernement à composer avec elles. Sarkozy sait très bien qu'il ne gagnera pas les élections de 2012 s'il ne laisse pas la possibilité à l'extrême droite de grignoter un bout de l'os. C'est pourquoi il pourrait rapidement proposer aux électeurs nationalistes une alliance de circonstance, avec portefeuilles ministériels à la clé

