Les USA et de Gaulle - La politique étrangère du Gl: Un modèle pour nous
Compilation effectuée
par des chercheurs allemands.
Où l'on apprendra en particulier
comment la France
est devenue une colonie US et d'Israël
Voici les informations politiques importantes qui ont été cachées
et dissimulées à tous les Français.
Il semble que la France devienne une colonie des EU , de Israel , des anglo saxons , des banquiers internationaux , et de l' Otan.
Idem pour les anciens pays de l' Europe de l' est.
Ces opérations ont été longuement préparées depuis 1945 jusqu'à 2007 par la NSA et la CIA .
Nicolas Sarkozy doit être jugé à son action et non pas d’après sa personnalité.
Mais lorsque son action surprend jusqu’à ses propres électeurs, il est légitime de se pencher en détail sur sa biographie et de s’interroger sur les alliances qui l’ont conduit au pouvoir. Toutes les informations contenues dans cet article sont vérifiables, à l’exception de deux imputations, signalées par l’auteur qui en assume seul la responsabilité.
Les Français, lassés des trop longues présidences de François Mitterrand et de Jacques Chirac, ont élu Nicolas Sarkozy en comptant sur son énergie pour revitaliser leur pays. Ils espéraient une rupture avec des années d’immobilisme et des idéologies surannées. Ils ont eu une rupture avec les principes qui fondent la nation française. Ils ont été stupéfaits par cet « hyper président », se saisissant chaque jour d’un nouveau dossier, aspirant à lui la droite et la gauche, bousculant tous les repères jusqu’à créer une complète confusion.
Comme des enfants qui viennent de faire une grosse bêtise, les Français sont trop occupés à se trouver des excuses pour admettre l’ampleur des dégâts et leur naïveté. Ils refusent d’autant plus de voir qui est vraiment Nicolas Sarkozy, qu’ils auraient dû s’en rendre compte depuis longtemps.
C’est que l’homme est habile. Comme un illusionniste, il a détourné leur attention en offrant sa vie privée en spectacle et en posant dans les magazines people, jusqu’à leur faire oublier son parcours politique.
Que l’on comprenne bien le sens de cet article : il ne s’agit pas de reprocher à M. Sarkozy ses liens familiaux, amicaux et professionnels, mais de lui reprocher d’avoir caché ses attaches aux Français qui ont cru, à tort, élire un homme libre.
Pour comprendre comment un homme en qui tous s’accordent aujourd’hui à voir l’agent des États-Unis et d’Israël a pu devenir le chef du parti gaulliste, puis le président de la République française, il nous faut revenir en arrière. Très en arrière. Il nous faut emprunter une longue digression au cours de laquelle nous présenterons les protagonistes qui trouvent aujourd’hui leur revanche.
Secrets de famille
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les services secrets états-uniens s’appuient sur le parrain italo-US Lucky Luciano pour contrôler la sécurité des ports américains et pour préparer le débarquement allié en Sicile.
Les contacts de Luciano avec les services US passent notamment par Frank Wisner Sr. puis, lorsque le « parrain » est libéré et s’exile en Italie, par son « ambassadeur » corse, Étienne Léandri.
En 1958, les États-Unis, inquiets d’une possible victoire du FLN en Algérie qui ouvrirait l’Afrique du Nord à l’influence soviétique, décident de susciter un coup d’État militaire en France. L’opération est organisée conjointement par la Direction de la planification de la CIA -théoriquement dirigée par Frank Wisner Sr.- et par l’OTAN. Mais Wisner a déjà sombré dans la démence de sorte que c’est son successeur, Allan Dulles, qui supervise le coup. Depuis Alger, des généraux français créent un Comité de salut public qui exerce une pression sur le pouvoir civil parisien et le contraint à voter les pleins pouvoirs au général De Gaulle sans avoir besoin de recourir la force.
Or, Charles De Gaulle n’est pas le pion que les Anglo-Saxons croient pouvoir manipuler. Dans un premier temps, il tente de sortir de la contradiction coloniale en accordant une large autonomie aux territoires d’outre-mer au sein d’une Union française. Mais il est déjà trop tard pour sauver l’Empire français car les peuples colonisés ne croient plus aux promesses de la métropole et exigent leur indépendance. Après avoir conduit victorieusement de féroces campagnes de répression contre les indépendantistes, De Gaulle se rend à l’évidence. Faisant preuve d’une rare sagesse politique, il décide d’accorder à chaque colonie son indépendance.
Cette volte-face est vécue comme une trahison par la plupart de ceux qui l’ont porté au pouvoir. La CIA et l’OTAN soutiennent alors toutes sortes de complots pour l’éliminer, dont un putsch manqué et une quarantaine de tentatives d’assassinat. Toutefois, certains de ses partisans approuvent son évolution politique. Autour de Charles Pasqua, ils créent le SAC, une milice pour le protéger.
Pasqua est à la fois un truand corse et un ancien résistant. Il a épousé la fille d’un bootlegger canadien qui fit fortune durant la prohibition. Il dirige la société Ricard qui, après avoir commercialisé de l’absinthe, un alcool prohibé, se respectabilise en vendant de l’anisette. Cependant, la société continue à servir de couverture pour toutes sortes de trafics en relation avec la famille italo-new-yorkaise des Genovese, celle de Lucky Luciano. Il n’est donc pas étonnant que Pasqua fasse appel à Étienne Léandri (« l’ambassadeur » de Luciano) pour recruter des gros bras et constituer la milice gaulliste. Un troisième homme joue un grand rôle dans la formation du SAC, l’ancien garde du corps de De Gaulle, Achille Peretti -un Corse lui aussi-.
Ainsi défendu, De Gaulle dessine avec panache une politique d’indépendance nationale. Tout en affirmant son appartenance au camp atlantique, il remet en cause le leadership anglo-saxon. Il s’oppose à l’entrée du Royaume-Uni dans le Marché commun européen (1961 et 1967) ; Il refuse le déploiement des casques de l’ONU au Congo (1961) ; il encourage les États latino-américains à s’affranchir de l’impérialisme US (discours de Mexico, 1964) ; Il expulse l’OTAN de France et se retire du Commandement intégré de l’Alliance atlantique (1966) ; Il dénonce la Guerre du Viet-Nam (discours de Phnon Penh, 1966) ; Il condamne l’expansionnisme israélien lors de la Guerre des Six jours (1967) ; Il soutient l’indépendance du Québec (discours de Montréal 1967) ; etc…
Simultanément, De Gaulle consolide la puissance de la France en la dotant d’un complexe militaro-industriel incluant la force de dissuasion nucléaire, et en garantissant son approvisionnement énergétique. Il éloigne utilement les encombrants Corses de son entourage en leur confiant des missions à étranger.
Ainsi Étienne Léandri devient-il le trader du groupe Elf (aujourd’hui Total), tandis que Charles Pasqua devient l’homme de confiance des chefs d’États d’Afrique francophone.
Conscient qu’il ne peut défier les Anglo-Saxons sur tous les terrains à la fois, De Gaulle s’allie à la famille Rothschild. Il choisit comme Premier ministre le fondé de pouvoir de la Banque, Georges Pompidou. Les deux hommes forment un tandem efficace. L’audace politique du premier ne perd jamais de vue le réalisme économique du second.
Lorsque De Gaulle démissionne, en 1969, Georges Pompidou lui succède brièvement à la présidence avant d’être emporté par un cancer. Les gaullistes historiques n’admettent pas son leadership et s’inquiètent de son tropisme anglophile. Ils hurlent à la trahison lorsque Pompidou, secondé par le secrétaire général de l’Élysée Edouard Balladur, fait entrer « la perfide Albion » dans le Marché commun européen.
La fabrication de Nicolas Sarkozy
Ce décor étant planté, revenons-en à notre personnage principal, Nicolas Sarkozy. Né en 1955, il est le fils d’un noble hongrois, Pal Sarkösy de Nagy-Bocsa, réfugié en France après avoir fuit l’Armée rouge, et d’Andrée Mallah, une juive originaire de Thesallonique. Après avoir eu trois enfants (Guillaume, Nicolas et François), le couple divorce. Pal Sarkösy de Nagy-Bocsa se remarie avec une aristocrate, Christine de Ganay, dont il aura deux enfants (Pierre-Olivier et Caroline). Nicolas ne sera pas élevé par ses seuls parents, mais balloté dans cette famille recomposée.
Sa mère est devenue la secrétaire d’Achille Peretti. Après avoir co-fondé le SAC, le garde du corps de De Gaulle avait poursuivi une brillante carrière politique. Il avait été élu député et maire de Neuilly-sur-Seine, la plus riche banlieue résidentielle de la capitale, puis président de l’Assemblée nationale.
Malheureusement, en 1972, Achille Peretti est gravement mis en cause. Aux États-Unis, le magazine Time révèle l’existence d’une organisation criminelle secrète « l’Union corse » qui contrôlerait une grande partie du trafic de stupéfiants entre l’Europe et l’Amérique, la fameuse « French connexion » qu’Hollywwod devait porter à l’écran. S’appuyant sur des auditions parlementaires et sur ses propres investigations, Time cite le nom d’un chef mafieux, Jean Venturi, arrêté quelques années plus tôt au Canada, et qui n’est autre que le délégué commercial de Charles Pasqua pour la société d’alcool Ricard. On évoque le nom de plusieurs familles qui dirigeraient « l’Union corse », dont les Peretti. Achille nie, mais doit renoncer à la présidence de l’Assemblée nationale et échappe même à un « suicide ».
En 1977, Pal Sarközy se sépare de sa seconde épouse, Christine de Ganay, laquelle se lie alors avec le n°2 de l’administration centrale du département d’État des États-Unis. Elle l’épouse et s’installe avec lui en Amérique. Le monde étant petit, c’est bien connu, son mari n’est autre que Frank Wisner Jr., fils du précédent. Les fonctions de Junior à la CIA ne sont pas connues, mais il clair qu’il y joue un rôle important.
Nicolas, qui reste proche de sa belle-mère, de son demi-frère et de sa demi-sœur, commence à se tourner vers les États-Unis où il « bénéficie » des programmes de formation du département d’État.
À la même période, Nicolas Sarkozy adhère au parti gaulliste. Il y fréquente d’autant plus rapidement Charles Pasqua que celui-ci n’est pas seulement un leader national, mais aussi le responsable de la section départementale des Hauts-de-Seine.
En 1982, Nicolas Sarkozy, ayant terminé ses études de droit et s’étant inscrit au barreau, épouse la nièce d’Achille Peretti. Son témoin de mariage est Charles Pasqua. En tant qu’avocat, Me Sarkozy défend les intérêts des amis corses de ses mentors. Il acquiert une propriété sur l’île de beauté, à Vico, et imagine de corsiser son nom en remplaçant le « y » par un « i » : Sarkozi.
L’année suivante, il est élu maire de Neuilly-sur-Seine en remplacement de son bel-oncle, Achille Peretti, terrassé par une crise cardiaque.
Cependant, Nicolas ne tarde pas à trahir sa femme et, dès 1984, il poursuit une liaison cachée avec Cécilia, l’épouse du plus célèbre animateur de télévision français de l’époque, Jacques Martin, dont il a fait la connaissance en célébrant leur mariage en qualité de maire de Neuilly. Cette double vie dure cinq ans, avant que les amants ne quittent leurs conjoints respectifs pour construire un nouveau foyer.
Nicolas est le témoin de mariage, en 1992, de la fille de Jacques Chirac, Claude, avec un éditorialiste du Figaro. Il ne peut s’empêcher de séduire Claude et de mener une brève relation avec elle, tandis qu’il vit officiellement avec Cécilia. Le mari trompé se suicide en absorbant des drogues. La rupture est brutale et sans retour entre les Chirac et Nicolas Sarkozy.
En 1993, la gauche perd les élections législatives. Le président François Mitterrand refuse de démissionner et entre en cohabitation avec un Premier ministre de droite. Jacques Chirac, qui ambitionne la présidence et pense alors former avec Edouard Balladur un tandem comparable à celui de De Gaulle et Pompidou, refuse d’être à nouveau Premier ministre et laisse la place à son « ami de trente ans », Edouard Balladur. Malgré son passé sulfureux, Charles Pasqua devient ministre de l’Intérieur. S’il conserve la haute main sur la majiruana marocaine, il profite de sa situation pour légaliser ses autres activités en prenant le contrôle des casinos, jeux et courses en Afrique francophone. Il tisse aussi des liens en Arabie saoudite et en Israël et devient officier d’honneur du Mossad. Nicolas Sarkozy, quant à lui, est ministre du Budget et porte-parole du gouvernement.
À Washington, Frank Wisner Jr. a pris la succession de Paul Wolfowitz comme responsable de la planification politique au département de la Défense. Personne ne remarque les liens qui l’unissent au porte-parole du gouvernement français.
C’est alors que reprend au sein du parti gaulliste la tension que l’on avait connue trente ans plus tôt entre les gaullistes historiques et la droite financière, incarnée par Balladur.
La nouveauté, c’est que Charles Pasqua et avec lui le jeune Nicolas Sarkozy trahissent Jacques Chirac pour se rapprocher du courant Rothschild. Tout dérape. Le conflit atteindra son apogée en 1995 lorsque Édouard Balladur se présentera contre son ex-ami Jacques Chirac à l’élection présidentielle, et sera battu. Surtout, suivant les instructions de Londres et de Washington, le gouvernement Balladur ouvre les négociations d’adhésion à l’Union européenne et à l’OTAN des États d’Europe centrale et orientale, affranchis de la tutelle soviètique.
Rien ne va plus dans le parti gaulliste où les amis d’hier sont près de s’entretuer. Pour financer sa campagne électorale, Edouard Balladur tente de faire main basse sur la caisse noire du parti gaulliste, cachée dans la double comptabilité du pétrolier Elf. À peine le vieux Étienne Léandri mort, les juges perquisitionnent la société et ses dirigeants sont incarcérés. Mais Balladur, Pasqua et Sarkozy ne parviendront jamais à récupérer le magot.
La traversée du désert
Tout au long de son premier mandat, Jacques Chirac tient Nicolas Sarkozy à distance. L’homme se fait discret durant cette longue traversée du désert. Discrètement, il continue à nouer des relations dans les cercles financiers.
En 1996, Nicolas Sarkozy ayant enfin réussi à clore une procédure de divorce qui n’en finissait pas se marie avec Cécilia. Ils ont pour témoins les deux milliardaires Martin Bouygues et Bernard Arnaud (l’homme le plus riche du pays).
Dernier acte
Bien avant la crise irakienne, Frank Wisner Jr. et ses collègues de la CIA planifient la destruction du courant gaulliste et la montée en puissance de Nicolas Sarkozy. Ils agissent en trois temps :
d’abord l’élimination de la direction du parti gaulliste et la prise de contrôle de cet appareil,
puis l’élimination du principal rival de droite et l’investiture du parti gaulliste à l’élection présidentielle,
enfin l’élimination de tout challenger sérieux à gauche de manière à être certain d’emporter l’élection présidentielle.
Pendant des années, les média sont tenus en haleine par les révélations posthumes d’un promoteur immobilier. Avant de décéder d’une grave maladie, il a enregistré pour une raison jamais élucidée une confession en vidéo. Pour une raison encore plus obscure, la « cassette » échoue dans les mains d’un hiérarque du Parti socialiste, Dominique Strauss-Khan, qui la fait parvenir indirectement à la presse.
Si les aveux du promoteur ne débouchent sur aucune sanction judiciaire, ils ouvrent une boîte de Pandore. La principale victime des affaires successives sera le Premier ministre Alain Juppé. Pour protéger Chirac, il assume seul toutes les infractions pénales. La mise à l’écart de Juppé laisse la voie libre à Nicolas Sarkozy pour prendre la direction du parti gaulliste.
Sarkozy exploite alors sa position pour contraindre Jacques Chirac à le reprendre au gouvernement, malgré leur haine réciproque. Il sera en définitive, ministre de l’Intérieur. Erreur ! À ce poste, il contrôle les préfets et le renseignement intérieur qu’il utilise pour noyauter les grandes administrations.
Il s’occupe aussi des affaires corses. Le préfet Claude Érignac a été assassiné. Bien qu’il n’ait pas été revendiqué, le meurtre a immédiatement été interprété comme un défi lancé par les indépendantistes à la République. Après une longue traque, la police parvient à arrêter un suspect en fuite, Yvan Colonna, fils d’un député socialiste. Faisant fi de la présomption d’innocence, Nicolas Sarkozy annonce cette interpellation en accusant le suspect d’être l’assassin. C’est que la nouvelle est trop belle à deux jours du référendum que le ministre de l’Intérieur organise en Corse pour modifier le statut de l’île. Quoi qu’il en soit, les électeurs rejettent le projet Sarkozy qui, selon certains, favorise les intérêts mafieux. Bien qu’Yvan Colonna ait ultérieurement été reconnu coupable, il a toujours clamé son innocence et aucune preuve matérielle n’a été trouvée contre lui. Étrangement, l’homme s’est muré dans le silence, préférant être condamné que de révéler ce qu’il sait. Nous révélons ici que le préfet Érignac n’a pas été tué par des nationalistes, mais abattu par un tueur à gage, Igor Pecatte, immédiatement exfiltré vers l’Angola où il a été engagé à la sécurité du groupe Elf. Le mobile du crime était précisément lié aux fonctions antérieures d’Érignac, responsable des réseaux africains de Charles Pasqua au ministère de la Coopération.
Quand à Yvan Colonna, c’est un ami personnel de Nicolas Sarkozy depuis des décennies et leurs enfants se sont fréquentés.
Une nouvelle affaire éclate : de faux listings circulent qui accusent mensongèrement plusieurs personnalités de cacher des comptes bancaires au Luxembourg, chez Clearstream. Parmi les personnalités diffamées : Nicolas Sarkozy. Il porte plainte et sous-entend que son rival de droite à l’élection présidentielle, le Premier ministre Dominique de Villepin, a organisé cette machination. Il ne cache pas son intention de le faire jeter en prison. En réalité, les faux listings ont été mis en circulation par des membres de la Foundation franco-américaine, dont John Negroponte était président et dont Frank Wisner Jr. est administrateur. Ce que les juges ignorent et que nous révélons ici, c’est que les listings ont été fabriqués à Londres par une officine commune de la CIA et du MI6, Hakluyt & Co, dont Frank Wisner Jr. est également administrateur. Villepin se défend de ce dont on l’accuse, mais il est mis en examen, assigné à résidence et, de facto, écarté provisoirement de la vie politique. La voie est libre à droite pour Nicolas Sarkozy.
Reste à neutraliser les candidatures d’opposition. Les cotisations d’adhésion au parti socialistes sont réduites à un niveau symbolique pour attirer de nouveaux militants. Soudainement des milliers de jeunes prennent leur carte. Parmi eux, au moins dix mille nouveaux adhérents sont en réalité des militants du Parti trotskiste « lambertiste » (du nom de son fondateur Pierre Lambert). Cette petite formation d’extrême gauche s’est historiquement mise au service de la CIA contre les communistes staliniens durant la Guerre froide (Elle est l’équivalent du SD/USA de Max Shatchman, qui a formé les néoconservateurs aux USA). Ce n’est pas la première fois que les « lambertistes » infiltrent le Parti socialiste.
Ils y ont notamment placé deux célèbres agents de la CIA : Lionel Jospin (qui est devenu Premier ministre) et Jean-Christophe Cambadélis, le principal conseiller de Dominique Strauss-Kahn.
Des primaires sont organisées au sein du Parti socialiste pour désigner son candidat à l’élection présidentielle. Deux personnalités sont en concurrence : Laurent Fabius et Ségolène Royal. Seul le premier représente un danger pour Sarkozy. Dominique Strauss-Kahn entre dans la course avec pour mission d’éliminer Fabius au dernier moment. Ce qu’il sera en mesure de faire grâce aux votes des militants « lambertistes » infiltrés, qui portent leur suffrages non pas sur son nom, mais sur celui de Royal. L’opération est possible parce que Strauss-Kahn, d’origine juive marocaine, est depuis longtemps sur le payroll des États-Unis. Les Français ignorent qu’il donne des cours à Stanford, où il a été embauché par le prévot de l’université, Condoleezza Rice. Dès sa prise de fonction, Nicolas Sarkozy et Condoleezza Rice remercieront Strauss-Kahn en le faisant élire à la direction du Fonds monétaire international.
Premiers jours à l’Élysée
Le soir du second tour de l’élection présidentielle, lorsque les instituts de sondages annoncent sa victoire probable, Nicolas Sarkozy prononce un bref discours à la nation depuis son QG de campagne. Puis, contrairement à tous les usages, il ne va pas faire la fête avec les militants de son parti, mais il se rend au Fouquet’s. La célèbre brasserie des Champs-Élysées, qui était jadis le rendez-vous de « l’Union corse » est aujourd’hui la propriété du casinotier Dominique Desseigne. Il a été mis à disposition du président élu pour y recevoir ses amis et les principaux donateurs de sa campagne. Une centaine d’invités s’y bousculent, les hommes les plus riches de France y côtoient les patrons de casinos.
Puis le président élu s’offre quelques jours de repos bien mérités. Conduit en Falcon-900 privé à Malte, il s’y repose sur le Paloma, le yacht de 65 mètres de son ami Vincent Bolloré, un milliardaire formé à la Banque Rothschild.
Enfin, Nicolas Sarkozy est investi président de la République française. Le premier décret qu’il signe n’est pas pour proclamer une amnistie, mais pour autoriser les casinos de ses amis Desseigne et Partouche à multiplier les machines à sous.
Il forme son équipe de travail et son gouvernement. Sans surprise, on y retrouve un bien trouble propriétaire de casinos (le ministre de la Jeunesse et des Sports) et le lobbyiste des casinos de l’ami Desseigne (qui devient porte-parole du parti « gaulliste »).
Nicolas Sarkozy s’appuie avant tout sur quatre hommes :
Claude Guéant, secrétaire général du palais de l’Élysée. C’est l’ancien bras droit de Charles Pasqua.
François Pérol, secrétaire général adjoint de l’Élysée. C’est un associé-gérant de la Banque Rothschild.
Jean-David Lévitte, conseiller diplomatique. Fils de l’ancien directeur de l’Agence juive. Ambassadeur de France à l’ONU, il fut relevé de ses fonctions par Chirac qui le jugeait trop proche de George Bush.
Alain Bauer, l’homme de l’ombre. Son nom n’apparaît pas dans les annuaires. Il est chargé des services de renseignement. Petit-fils du Grand rabbin de Lyon, ancien Grand-Maître du Grand Orient de France (la principale obédience maçonnique française) et ancien n°2 de la National Security Agency états-unienne en Europe.
Frank Wisner Jr., qui a été nommé entre temps envoyé spécial du président Bush pour l’indépendance du Kosovo, insiste pour que Bernard Kouchner soit nommé ministre des Affaires étrangères avec une double mission prioritaire l’indépendance du Kosovo et la liquidation de la politique arabe de la France.
Kouchner, un juif d’origine balte, a débuté sa carrière en participant à la création d’une ONG humanitaire. Grâce aux financements de la National Endowment for Democracy, il a participé aux opérations de Zbigniew Brzezinski en Afghanistan, aux côtés d’Oussama Ben Laden et des frères Karzaï contre les Soviétiques. On le retrouve dans les années 90 auprès d’Alija Izetbegoviç en Bosnie-Herzégovine. De 1999 à 2001, il a été Haut représentant de l’ONU au Kosovo.
Sous le contrôle du frère cadet du président Hamid Karzaï, l’Afghanistan est devenu le premier producteur mondial de pavot. Le suc est transformé sur place en héroïne et transporté par l’US Air Force à Camp Bondsteed (Kosovo). Là, la drogue est prise en charge par les hommes d’Haçim Thaçi qui l’écoulent principalement en Europe et accessoirement aux États-Unis. Les bénéfices sont utilisés pour financer les opérations illégales de la CIA. Karzaï et Thaçi sont des amis personnels de longue date de Bernard Kouchner, qui certainement ignore leurs activités criminelles malgré les rapports internationaux qui y ont été consacrés.
Pour complèter son gouvernement, Nicolas Sarkozy nomme Christine Lagarde, ministre de l’Économie et des Finances. Elle a fait toute sa carrière aux États-Unis où elle a dirigé le prestigieux cabinet de juristes Baker & McKenzie. Au sein du Center for International & Strategic Studies de Dick Cheney, elle a co-présidé avec Zbigniew Brzezinski un groupe de travail qui a supervisé les privatisations en Pologne. Elle a organisé un intense lobying pour le compte de Lockheed Martin contre l’avionneur français Dassault.
Nouvelle escapade durant l’été. Nicolas, Cécilia, leur maitresse commune et leurs enfants se font offrir des vacances états-uniennes à Wolfenboroo, non loin de la propriété du président Bush. La facture, cette fois, est payée par Robert F. Agostinelli, un banquier d’affaires italo-new-yorkais, sioniste et néo-conservateur pur sucre qui s’exprime dans Commentary, la revue de l’American Jewish Committee.
La réussite de Nicolas rejaillit sur son demi-frère Pierre-Olivier. Sous le nom américanisé « d’Oliver », il est nommé par Frank Carlucci (qui fut le n°2 de la CIA après avoir été recruté par Frank Wisner Sr.) directeur d’un nouveau fonds de placement du Carlyle Group (la société commune de gestion de portefeuille des Bush et des Ben Laden). Devenu le 5e noueur de deals dans le monde, il gère les principaux avoirs des fonds souverains du Koweit et de Singapour.
La côte de popularité du président est en chute libre dans les sondages. L’un de ses conseillers en communication, Jacques Séguéla, préconise de détourner l’attention du public avec de nouvelles « people stories ». L’annonce du divorce avec Cécilia est publiée par Libération, le journal de son ami Edouard de Rothschild, pour couvrir les slogans des manifestants un jour de grève générale.
Plus fort encore, le communiquant organise une rencontre avec l’artiste et ex-mannequin, Carla Bruni. Quelques jours plus tard, sa liaison avec le président est officialisée et le battage médiatique couvre à nouveau les critiques politiques. Quelques semaines encore et c’est le troisième mariage de Nicolas. Cette fois, il choisit comme témoins Mathilde Agostinelli (l’épouse de Robert) et Nicolas Bazire, ancien directeur de cabinet d’Edouard Balladur devenu associé-gérant chez Rothschild.
Quand les Français auront-ils des yeux pour voir à qui ils ont à faire ?
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http://www.toutsaufsarkozy.com/cc/article04/EkAEkFAZyAWgjzYSnL.shtml
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Pour le 22 janvier 2011
(et sur le 21 janvier, le Liesi et le Geap, l'effondrement à venir)
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La loi sécuritaire Loppsi 2 expliquée par
le Syndicat de la Magistrature
.
Loppsi Analyse / La loi expliquée par le Syndicat de la Magistrature from jeremie nestel on Vimeo.
Citoyens,
nous sommes tous en danger !
Par eva R-sistons
Citoyens, nous sommes tous en danger !
Une puissance totalitaire à trois faces
(G.B., Etats-Unis, Israël
- sans parler du toutou français)
menace l'ensemble de l'humanité.
Cette puissance maléfique
est en train de prendre le contrôle absolu
de tous les aspects de notre vie,
de manière complètement démente,
et pour ne citer que ces derniers exemples :
- environnement :
bientôt des centrales nucléaires sous-marines,
- mental :
avec Total recall par exemple,
ou les manipulations quotidiennes
pour inciter à la haine, au racisme,
au conflit, à la compétition,
au choc de civilisations..
- vie personnelle :
bientôt interdiction de l'alimentation
et de la médecine naturelles,
obligation de recourir aux produits chimiques..
- économique :
disparition de nos emplois,
précarité, flexibilité, salaires réduits,
conditions de travail stressantes,
endettement fou gangrénant toute la société ...
- policier :
vidéo-surveillance, puces électroniques,
contrôles permanents, multiplication de gardes à vue...
- logements :
Inaccessibles par le prix, éloignés,
concentrationnaires,
et les modes de vie modestes ou nomades
seront bientôt interdits
- libertés :
elles sont toutes amputées, jour après jour,
LOPPSI2, lois liberticides...
- médias :
conditionnement total,
parole officielle, communautariste et unique
- social :
toutes les protections
sautent les unes après les autres,
le Droit du Travail est réduit à la peau de chagrin,
le nivellement se fait par le bas,
et les services publics sont appelés à disparaître..
- politique :
confiscation du pouvoir par une oligarchie,
par les lobbies
et par des partis représentant les Grands intérêts
coupés du réel,
des besoins, des souhaits des populations,
absence de concertation pour les grandes décisions..
- militaire :
guerres préventives, permanentes,
totales et bientôt nucléaires..
Et l'Occident ose se dire démocratique,
alors qu'il programme
en coulisses crises,
(pour pénaliser les peuples au profit des banksters
soucieux de se construire des bases de survie,
et de financer les guerres juteuses),
pandémies réductrices de population,
et guerres permanentes
déguisées en choc de civilisations ?
Alors je pose solennellement la question
à tous les citoyens de la planète
et aux juristes internationaux
attachés au Bien public
et à la survie de l'espèce humaine
dans des conditions satisfaisantes :
Qu'attend-on pour lancer une campagne planétaire
pour mettre hors d'état de nuire
les psychopathes qui menacent la vie et les vivants,
en d'autres termes,
qu'attend-on pour traduire en justice
dans un Tribunal Planétaire Populaire
tous les grands criminels
comme Blair, par exemple
(qui appelle aujourd'hui à la guerre contre l'Iran),
comme Bush, Rumsfield,
Cheney, Wolkowitz, Netanyahou,
Rockfeller, Rothschild, Kissinger...
et tant de traîtres à l'humanité ?
Il y va de notre avenir,
le voulons-nous appauvri, asservi, misérable ?
Il y va de l'avenir de nos enfants,
il y va de l'avenir de nos animaux et de nos plantes,
il y va de l'avenir de l'humanité,
il y va de l'avenir de la vie sur terre !
Tous unis en même temps, et déterminés,
nous mettrons hors d'état de nuire
tous les bourreaux de l'humanité !
Ce qui s'est produit à l'échelle d'un pays, la Tunisie,
peut et doit se produire à l'échelle planétaire !
Mondialisons les luttes pour la vie,
pour la liberté, pour la paix !
Si nous ne faisons rien,
la vie sera bientôt irrespirable sur terre,
c'est un devoir éthique,
c'est un devoir vital,
de dire non à l'intolérable !
Eux (une poignée de fous au sommet),
ou nous tous !
Alors, agissons avant que
les malfaiteurs de l'humanité
ne fassent de nos vies un enfer,
agissons pour que triomphe l'humain
et l'espérance !
eva R-sistons
http://r-sistons.over-blog.com
un gouvernement mondial? ...Jacques Attali ne nous a-t-il pas parlé d'un gouvernement mondial..."fantasmes intimes du monde oligarchique d'un gouvernement mondial...là ou le krach financier a jusqu’ici échoué, une bonne petite pandémie pourrait précipiter nos dirigeants à accepter la mise en place d’un gouvernement mondial" !
La bête immonde du fascisme de l'oligarchie financiere mondiale qui se terre a Londres depuis des siecles...montre enfin son visage hideux! :
La City de Londres appelle à une dictature mondiale
A lire sur:
http://www.solidariteetprogres.org/article4912.html
– Dans un éditorial publié hier dans le Financial Times,
Gideon Rachman, chef du secteur politique étrangère du quotidien de la City de Londres, appelle à la création immédiate d’un gouvernement mondial, à condition que la démocratie soit abolie.
Sous le titre « Et maintenant, un gouvernement mondial » annoncé en première page, Rachman confie : « Pour la première fois de ma vie je pense que la formation d’une sorte de gouvernement mondial devient plausible ».
Puis il nous détaille le concept : « Un gouvernement mondial serait bien plus qu’une coopération entre nations
. Ce serait une entité ayant les caractéristiques d’un Etat et soutenu par un code de loi.
L’Union Européenne a déjà mis en place un gouvernement pour 27 pays et peut servir de modèle ».
Puis il évoque le concept sophiste de « souveraineté partagée » ou « souveraineté responsable ».
Il justifie ensuite l’urgence de sa proposition par les situations de crises financières, climatiques et terroristes.
Rachman relève cependant un petit problème dans la réalisation de ce beau projet : un gouvernement mondial n’est pas une idée très populaire ; preuve en est, dit-il, le rejet de l’UE dans les derniers référendums en Europe.
« La gouvernance internationale ne tend à être efficace que lorsqu’elle est anti-démocratique », dit-il avant de
conclure « Tant que personne ne cassera ce problème, ce plan de gouvernement mondial restera sous clé aux Nations Unies ».
Faute de définir un nouvel horizon pour l’humanité et d’en finir avec le monétarisme et la prédominance des intérêts financiers sur les nations, l’effondrement des économies et le chaos social qu’il engendre pourraient bien être le terreau anti-démocratique de cette utopie
...
http://beaugency.over-blog.com/article-les-partis-politiques-43285014.html
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Et si on créait un Parti Blanc ?
bonjour eva, bonjour lecteurs
J'interviens pour la première fois sur un blog, le vôtre car il me "parle".J'en ai lu beaucoup et je constate qu'où que se situent les gens sur cette planète, de plus en plus les personnes s'éveillent et ne sont pls "en phase" avec ce qu'on nous prépare insidieusement, ce nouvel ordre mondial.Partout les gens s'opposent, sinon en actes au moins par la parole, de façon souvent véhémente mais aussi quelquefois aimante.Je réagis aussi à l'appel de cette étudiante en médecine.
Il y a une formidable attente, je la ressens.Cependant je crois que c'est fondamentalement une erreur maintenant, compte tenu de la situation dans laquelle nous sommes où les gens veulent "autre chose" d'attendre quelqu'un ou quelque chose de providentiel.Il faut sortir des vieux schémas qui ne correspondent plus à ce que veut l'humanité: de la justice et, justement, de "l'humanité" face à toutes ces situations inhumaines.
J'ai donc pensé à la chose suivante.IL faut créer quelque chose qui puisse unir et servir de point de départ pour quelque chose de tout à fait nouveau qui ne puisse être ni détourné, ni infiltré, ni combattu car ce serait quelque chose de voulu.
J'ai pensé au "parti blanc".
Pourquoi blanc?Comme l'indique l'adjectif, il est vierge car sert de cadre de départ pour quelque chose qui est à créer.
Ce "parti" servirait à fédérer tous ceux qui votent "blanc" c'est à dire qui ne se reconnaissent dans rien de ce qui est proposé actuellement.
Il ne serait dirigé par aucun "chef" car il n'appartiendrait à personne en particulier mais servirait de cadre à tous ceux qui veulent autre chose.Il serait en fait une bannière sous laquelle se rassembleraient tous ceux qui veulent une autre société que celle vers laquelle nous sommes forcés d'aller avec ceux qui nous "dirigent".
L'instrument par lequel se contacteraient les membres pour élaborer la charte fédératrice qui servirait de programme commun à ces énergies serait internet.Tout cela aurait le mérite non d'opposer les gens les uns contre les autres, mais de les fédérer vers un but commun.
Ce "parti blanc" serait dans un premier temps un symbole d'alliance et le blanc serait la couleur du ralliement.Porter par exemple un t-shirt blanc , un macaron blanc sur un véhicule, un fanion blanc sur un vélo pour se rendre reconnaissable , échanger les adreses mail.
Chère Eva, comme vous possédez un blog et que vous faites donc un énorme travail je vous laisse le soin de réfléchir à cette idée, quitte bien sûr à l'enrichir, de la soumettre à d'autres.
L'informatique actuellement et internet à défendre contre la censure serviraient de cadre idéal pour les votes qui ne pourraient pas être truqués.
Ce n'est pas une personne qui serait votée (pas de corruption possible) mais un programme qu'il s'agira d'établir et qui doit servir l'humanité.
Parmi quelques idées voici en bloc:
- la personne est sacrée ainsi que son droit d'expression.
- la connaissance est fondamentale et doit être transmise en toute liberté.Elle ne peut jamais être utilisée au détriment de l'humanité mais doit servir à son développement intellectuel et spirituel.
-Chaque être humain a droit au libre arbitre et le devoir de chacun est de ne jamais nuire ni à son prochain ni à la nature.
Bien sûr cela n'est qu'un début et n'est pas exhaustif.
Le but principal de ce parti blanc serait de rassembler par exemple tous ceux qui veulent un projet novateur de société comme les défenseurs des énergies libres et gratuites, les défenseurs de l'ordre naturel de toute vie .
Voilà pour un premier contact.
Je n'ai pas de site mais des idées et je voudrais que cette idée puisse progresser et qu'elle soit viabilisée par tous ceux qui en sentiraient la nécessité et l'envie.
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L'autre formidable révolution
dont les Médias ne parlent pas
L'autre formidable révolution dont les Médias se gardent bien de parler
(cliquer sur ce lien)