Eva à 60 ans.Blog d'une journaliste-écrivain.Analyse des faits marquants de l'Actualité,non-alignée,originale,prophétique,irrévérencieuse. Buts: Alerter sur les menaces,interpeller,dénoncer l'intolérable,inciter à résister. Alternance articles Eva et liens infos non officielles. Ici,pensée et parole libres. Blog dénaturé par over-blog le 1.2.15,il sera transféré sur Eklablog
Honorer Dieu, se prosterner devant lui, jeûner (c'est bon pour la santé), penser aux malheureux, quoi de plus essentiel et charmant ?
Reste que l'Islam respire la simplicité, la rigueur, et même le rigorisme... Ca vous gêne ? Pas moi. L'autre jour, j'entendais ce brave Attali, dans les Chemins de la Foi, dire que l'humanité devait deux choses aux Juifs: Le monothéisme (quel acquis précieux, inestimable, irremplaçable, en effet !), et... l'argent. Là, j'ai cru m'étouffer. Moi qui déteste l'argent, qui le fuit, qui m'épanouit dans une simplicité de vie volontaire, revendiquée, très évangélique, au fond, voilà que l'auteur de "Les Juifs et l'argent" la ramène ! Eh oui, frère Attali, le négoce de l'argent, la finance, l'usure, la Bourse, ce sont de jolies inventions dont l'humanité aurait pu faire l'économie, pour être plus heureuse et respecter les générations futures ! Et pour de l'argent, on se bat, on se piétine, on s'écrase, on se tue, et on a même un Président à la mentalité de nouveau riche. Tiens donc ! Le troc de biens et de services, la culture de son jardin, le partage des fruits de la terre, voilà qui donnerait des joues plus roses aux habitants de la planète que le fiel de l'avarice, de la cupidité, de la compétition, de l'égoïsme.... Tu ferais mieux de te taire, hé, apôtre de l'argent maudit !!!
Et le capitalisme s'imposa à la planète.... Même plus le capitalisme de papa, productif, d'entreprise, mais maintenant financier, virtuel, spéculatif... fou !!!! Et il faudrait se prosterner comme M. Attali devant le Veau d'or, adorer Mâmon ? "Heureux vous les pauvres", lit-on dans l'Evangile. Un Evangile bien loin du christianisme d'un Bush, militaro-financier, et du Vatican, plus préoccupé du politique que du spirituel. Dieu reconnaîtra les siens !!! Ah oui, il y aura des surprises, Là-Haut !
L'Islam, lui, ne connaît pas l'usure, sa Banque islamique (voir mes articles sur r-sistons) est mûe par l'éthique, l'argent est loin d'être la préoccupation première, obsessionnelle, du Musulman, plus axé sur les valeurs essentielles, la tempérance, la simplicité, la frugalité, le partage, que par la convoitise ou le besoin de consommer toujours plus.... Ce faisant, par son peu d'attachement à l'argent, par son souci d'authenticité, par sa modération, par son rigorisme, par sa sagesse, l'Islam constitue en effet un contre-modèle, et pour beaucoup un modèle, un idéal. Choc de civilisations ? L'avidité contre la témpérance, la futilité contre la Sagesse, le choc est réel... et à mon avis, pas à l'avantage des Occidentaux qui pourtant veulent imposer à tous leur pseudo démocratie, leur licence, leur consumérisme, la compétition planétaire.... leur boulimine insatiable, prédatrice, assassine ! Pfff !!!
L'Islam est-il le seul rempart à l'égoïsme débridé du Nouvel Ordre Mondial ? Je crois que l'âme slave, teintée de mysticisme, et la Sagesse chinoise, peuvent elles aussi tempérer l'hydre du Grand Désordre Mondial. Comment, et quand ? C'est toute la question...
Mais là, c'est sans doute une autre histoire que la plupart d'entre nous ne verront pas...
Eva R-sistons au modèle unique, militaro-financier.
Voici à cette question la réponse du Regroupement Communiste:]
Cette interrogation nous place face à une question de stratégie révolutionnaire et la réponse est simple : dans l’urgence on fait avec ce qu’on a ! Si les seules forces en présence sont des islamistes, on se doit de les soutenir. On aurait fait de même avec les irlandais catholiques, ou bien plus loin dans le passé avec les amérindiens ou les africains polythéistes. Sinon tous les beaux discours révolutionnaires, les « soutiens à la résistance » ne sont que gesticulations.
Les USA et leurs acolytes nous ont désarmés politiquement en diabolisant le monde islamiste. Il ne faut pas entrer dans leur jeu. Les prolétaires musulmans sont tout autant nos camarades que l’ensemble des autres prolétaires de la planète, qu’ils soient laïcs ou pas. La question religieuse aujourd’hui n’est pas l’urgence.
« Engels exigeait que le parti ouvrier travaillât patiemment à l’œuvre d'organisation et d'éducation du prolétariat, qui aboutit au dépérissement de la religion, au lieu de se jeter dans les aventures d'une guerre politique contre la religion » écrivait Lénine en 1909.
Et plus tard :
« Lors du premier Congrès des peuples de l’Orient, qui se tint à Bakou en septembre 1920, les dirigeants bolcheviks russes lancèrent un appel à la « guerre sainte » contre l’impérialisme occidental. Deux années plus tard, le quatrième congrès de l’Internationale communiste approuva la politique d’alliances avec les panislamistes contre l’impérialisme. »
Ce que les communistes ont su faire à une époque et que nous avons oublié, les islamistes savent le faire dans l’autre sens quand le combat l’exige.
Que penser de ces « gros barbus », ces fanatiques, qui ont permis d’élire en 2005 une femme d’origine chrétienne, qui plus est marxiste (du FPLP), au poste de maire de Ramallah car elle leur semblait mieux à même de défendre les intérêts de la cause palestinienne ?
On le voit bien, quand il s’agit de faire face à la collaboration, les membres du Hamas savent faire des choix stratégiques à l’opposé de positions dogmatiques religieuses.
Si nous soutenons la résistance mais pas le Hamas, nous ne soutenons rien. Nous parlons dans le vide. Car aujourd’hui le dernier bastion de la résistance, c’est le Hamas. Nous donnons raison aux impérialistes qui auront eu la stratégie gagnante avec leur « choc des civilisations ». Ils auront précipité dans les bras des religieux les masses palestiniennes révulsées par la corruption et la collaboration des autres organisations de combat afin de les isoler et de les discréditer.
...Ce sont les sionistes eux-mêmes qui ont un temps favorisé l’émergence du parti islamiste. Très bien, que l’arme se retourne contre eux !
Si nous soutenons la résistance du Hamas, nous envoyons un signe aux opprimés palestiniens quant à la fraternité de nos sentiments, et nous pointons notre ennemi commun.
Et si aujourd’hui le Hamas est la dernière organisation à résister, quelle contradiction que d’affirmer soutenir la cause palestinienne mais de condamner l’outil dont elle s’est dotée dans ce but en hurlant avec les loups impérialistes et sionistes.
Quand on est communiste, soutenir le Hamas et à travers lui la résistance, c’est faire preuve de réalisme et d’une véritable conscience de classe face à un ennemi commun.
Au contraire ne pas vouloir se compromettre, croire que ce serait « trahir » ses idées progressistes et laïques que de soutenir une organisation archaïque et religieuse c’est au final abandonner un peuple martyrisé à son sort et faire implicitement le jeu de l’oppresseur.
C’est la légitimité de la cause qui justifie qu’on soutienne ou pas un combat. Et non pas la nature des combattants.
Se libérer de ceux qui vous ont volé vos terres, qui massacrent votre peuple, c’est légitime !
Se libérer des oppresseurs, des colonialistes, des dictateurs, des impérialistes, c’est légitime !
Et partout dans le monde se libérer des puissants, des exploiteurs, des patrons, des capitalistes, c’est légitime !
Si on ne devait soutenir que les peuples qui nous semblent corrects politiquement ou culturellement, et non pas la cause qu’ils défendent, il n’y aurait pas un seul peuple défendable. Et les causes seraient perdues.
JM. A.
(Extrait de l'article http://rcpc.over-blog.com/pages/Soutenir_ou_pas_le_Hamas_-1520176.html
http://alainindependant.canalblog.com/archives/2010/01/13/16502683.html
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APRÈS LA «NORMALISATION» DE L'IRAK ET DE L'AFGHANISTAN : LE TOUR DU YEMEN
une «énorme catastrophe» se prépare, selon Simon Johnson (ex-FMI)
ISRAEL SE PREPARE A ENVAHIR ET REOCCUPER TOUTE LA BANDE DE GAZA
Copé en difficulté face à une femme voilée
Daniel Bensaïd est toujours présent !
Une guerre oubliée...
1947 : la guerre biologique US contre l’économie mexicaine
Alors qu’une partie de l’establishment militaire mexicain fait campagne pour un rapprochement de Mexico avec l’OTAN, un livre polémique retrace les coups infligés par les États-Unis au Mexique. En 1847, Washington a conquis la moitié du territoire de son voisin. En 1947, il a ravagé son économie. Dans les deux cas, observe Gaston Pardo, les États-Unis se sont attribués le beau rôle en falsifiant la réalité.
NOUS SOMMES TOUS DES MOUTONS
Nous avons peur de tout et en échange d’une protection illusoire nous donnons notre laine.
LA TONTE
Que l’on soit mouton noir ou mouton blanc, on accepte tacitement de se faire tondre par le moyen :
· Du bâton pour les uns
· De la carotte pour les autres
Donc on accepte d’être ESCLAVE dans une société MARCHANDE
POURQUOI ?
Parce-que on a PEUR du LOUP (entité abstraite qui n’existe pas)
La PRIORITE des moutons (noirs et blancs) est de :
SE DEBARRASSER DU LOUP
COMMENT ?
C’est simple !
REFUSER de travailler (dans toutes les bergeries)
pendant un temps…
ET LE SYSTEME FINANCIER MONDIAL S’ECROULE
Suite à cela…
Ø FINI le loup (La Peur)
Ø FINI le chien berger (Gouvernants)
Ø FINI le berger (Elite et Système Financier)
ET ENFIN
LES MOUTONS REDEVIENNENT DES HOMMES
DES HOMMES LIBRES
Pour un Nouvel Ordre Humain
Yémen: Ce n'est pas Al-Qaïda que les USA combattent, mais la démocratie
INTERVIEW DE MOHAMED HASSAN
PAR GREGOIRE LALIEU & MICHEL COLLON
Un pantalon prend feu dans un avion près de Détroit et des missiles pleuvent au Yémen : l'effet papillon ? Pour Mohamed Hassan, la menace terroriste n'est qu'un prétexte. Dans ce nouveau chapitre de notre série « Comprendre le monde musulman », notre spécialiste nous explique le véritable enjeu du Yémen : combattre la démocratie dans le Golfe pour garder le contrôle du pétrole.
Depuis l'attentat manqué de l'avion Amsterdam-Détroit, le Yémen fait la une des journaux : c'est là que le jeune terroriste nigérian aurait été entraîné. Comment ce pays, allié des Etats-Unis, serait-il devenu un refuge pour Al-Qaïda ?
Mohamed Hassan. Tout d'abord, nous devons observer ce phénomène qui se répète : chaque fois qu'un régime soutenu par Washington est menacé, des terroristes apparaissent... Lire la suite sur Michel Collon
Extraits. Tout d’abord, nous devons observer ce phénomène qui se répète : chaque fois qu’un régime soutenu par Washington est menacé, des terroristes apparaissent. Dans le cas de pays musulmans, ça tombe sur Al-Qaïda. Ce groupe terroriste fantôme apparaît partout où des mouvements nationalistes ou anti-impérialistes ébranlent des gouvernements marionnettes soutenus par les Etats-Unis. C’est ce qui se passe aujourd’hui au Yémen. Ce pays est dirigé par un régime corrompu allié de Washington. Mais il est menacé par des mouvements de résistance.
Cette histoire de terrorisme (le jeune Nigérian) ressemble à une popote interne qui montre que la situation du Yémen échappe aux Etats-Unis et que leurs intérêts sont en danger
Pourquoi le Yémen est-il devenu si important aux yeux de Washington ?
Le président du Yémen, Ali Abdullah Saleh, est au pouvoir depuis trente ans. Son régime est corrompu, mais aligné sur la politique des Etats-Unis. Un groupe de résistants dans le nord du pays et des séparatistes dans le sud menacent la stabilité du gouvernement. Si un mouvement révolutionnaire renverse Saleh, cela pourrait avoir un impact dans toute la région et encourager les résistants qui luttent dans les Etats pro-impérialistes de la région. Particulièrement contre le régime féodal d’Arabie Saoudite.
D’ailleurs, lorsque les combats avec les résistants du nord ont éclaté au Yémen, la Ligue Arabe, dirigée par l’Egypte, a immédiatement condamné les rebelles et apporté son soutien au gouvernement yéménite. J’attends encore que cette même Ligue condamne les agressions d’Israël contre le Liban et la bande de Gaza.
Si la région devenait instable, cela aurait de graves conséquences économiques pour les Etats-Unis.
le Yémen est un pays très pauvre : son économie repose essentiellement sur une agriculture en déclin, quelques rentes pétrolières, un peu de pêche ainsi que l’aide international et l’argent envoyé par les travailleurs expatriés. Et avec tout cela, seule une poignée de personnes dans l’entourage du président profite des quelques richesses du pays alors que la population devient de plus en plus pauvre. La majorité des Yéménites ont moins de trente ans mais aucune perspective pour le futur : le chômage atteignait 40% en 2009. Les Houtis ont donc interpellé le gouvernement sur le sous-développement de la région, le manque d’eau et les problèmes d’infrastructures. Mais le président Saleh n’a pas répondu à leurs appels. Depuis, les Houtis ont entamé une lute armée.
Les combats près de Saada font rage. On dénombre plusieurs milliers de réfugiés et le gouvernement accuse l’Iran de soutenir les rebelles…
Cette accusation est fausse. L’Iran est à majorité chiite, mais les zaydites du Yémen, par leur manière de prier et bien d’autres choses encore, sont en réalité plus proches des sunnites.
Saleh est en train de perdre tout le soutient qui lui restait au nord du pays.
Et le Sud demande la sécession ! Le président yéménite semble vraiment en mauvaise posture…
L’histoire du Yémen est essentielle pour comprendre ce qui se passe aujourd’hui.
En 1990, le Yémen est le seul pays avec Cuba à s’opposer à la guerre en Irak.
L’opposition à la guerre en Irak n’était pas le fruit de la politique de Saleh, mais des membres de l’ancien Parti socialiste yéménite qui occupaient quelques postes-clé dans le nouveau gouvernement.... l’Arabie Saoudite, fidèle allié des Etats-Unis, fit payer très cher au Yémen cette prise de position contre la guerre en Irak. Le royaume saoudien expulsa en effet un million de travailleurs yéménites qui bénéficiaient d’un statut spécial pour travailler librement de l’autre côté de la frontière. Cela provoqua une grave crise économique au Yémen tout en envoyant un signal fort au président Saleh. Ce dernier revit sa politique pour devenir graduellement la marionnette de l’impérialisme US que nous connaissons aujourd’hui.
La réunification a été une grande déception pour les dirigeants du Sud. Ils se sont lancés dans ce processus sans véritable stratégie. Et comme nous l’avons vu, le Parti socialiste était très faible. Le centre du pouvoir gravitait donc au nord autour du président Saleh. Le régime était corrompu, le renvoi des Yéménites travaillant en Arabie Saoudite avait provoqué une crise majeure et la situation économique se détériorait.
Tous ces facteurs ont amené le Sud à demander la sécession en 1994
Saleh doit affronter des problèmes de toutes parts. Le Sud réclame à nouveau un partage équitable du pouvoir après que ce gouvernement corrompu ait pratiquement ramené le pays à l’état féodal. Pour les Yéménites du Sud qui ont un passé progressiste, la situation n’est pas acceptable. Mais elle ne l’est pas non plus pour les Houtis au Nord
Saleh est sur un siège éjectable. C’est pourquoi il a besoin du soutien des Etats-Unis qui agitent l’épouvantail d’Al-Qaïda afin de pouvoir agir librement dans le pays.
Après l’Afghanistan et l’Irak, le Yémen va-t-il donc devenir le troisième front des Etats-Unis ?
Je pense que ça l’est déjà
La question est de savoir combien de temps cela va-t-il encore durer. L’historien Paul Kennedy a relevé que le décalage entre la base économique et l’expansion militaire était l’un des principaux facteurs de déclin des grands empires. Si l’économie d’une grande puissance est en perte de vitesse, mais que ses dépenses militaires augmentent, cette grande puissance est condamnée à sombrer et à devenir très faible. C’est la situation des Etats-Unis aujourd’hui.
Alerte, danger, OMS !
Courts extraits.
L’OMS est, comme d’autres organisations mondiales nées sur les cendres de la guerre 40-45 (l’OMC, issue du GATT, le FMI, l’ONU issue de la SDN), une sorte de super ministère transnational, en l’occurrence de la santé.
Son pouvoir surpasse celui de ses équivalents nationaux. Elle n’est pas l’objet de procédures électorales véritablement démocratiques, au sens de représenter le choix exprimé par les populations des pays membres. C’est le cas de toutes ces organisations qui pourtant contrôlent nos vies au quotidien, dans leurs spécialités respectives. Toutes ces organisations sont un peu comme les bras, les tentacules d’une énorme pieuvre dont le but est de coordonner, améliorer, renforcer des actions importantes à l’échelle de la planète.
Une précision cruciale est qu’il serait illusoire de penser que ces organismes entreprennent quoi que ce soit indépendamment l’un de l’autre. Ils oeuvrent tous dans le même sens, chacun spécialisé dans un domaine précis, et rendent tous compte à l’ONU et à ceux qui les financent.
Si vous allez sur le site officiel de l’OMS, vous aurez bien sûr l’impression que cette organisation est sans taches, et qu’elle devrait être louée pour ses actions humanitaires.
C’est un peu comme pour Monsanto, cette multinationale dominant le marché de l’agroalimentaire et voulant imposer au monde entier ses OGM comme terminator (1), et qui vous ferait croire que le bien-être et le développement des pays pauvres est son principal souci.
Il faut savoir que les accusations sont graves, argumentées, et émanent d’institutions très sérieuses elles aussi, et de la bouche de scientifiques et de journalistes d’investigation crédibles et intègres.
les liens tissés entre les experts de l’OMS et l’industrie pharmaceutique sont très dangereux et très opaques.
Le financement de l’OMS.
Avez-vous seulement entendu parler des partenariats publics-privés ?
À l’origine, l’OMS était censée ne recevoir ses fonds que des gouvernements des Nations Unies, mais depuis quelques années, afin d’augmenter ses capitaux, l’OMS a mis en place ce qu’il appelle un « partenariat privé » qui lui permet de recevoir des aides financières d’industries privées. Mais quelles industries ?
Ce n’est pas l’OMS qui doit enquêter sur l’OMS.
Très judicieusement, l’OMS publiait en avril 2009 la nouvelle définition de la pandémie, juste à temps pour permettre à l’OMS, sur les conseils émanant, entre autres, du SAGE, de « Monsieur Grippe », alias Albert Osterhaus, et de David Salisbury, de qualifier d’urgence pandémique des cas bénins de grippe, rebaptisée grippe A H1N1. (22)
La vérité nous ferait-elle si peur que nous lui préférions le mensonge, de plus en plus, dans nos vies contrôlées, même quand notre santé est en jeu ?
Il en est ainsi du terrorisme où l’équation à une inconnue correspondante est toujours reliée au même épouvantail : Al-Quaeda. Sans plus remettre en question la moindre chose à ce propos.(23) Une explosion ? Al-Quaeda. Un détournement ? Al-Quaeda. Un attentat ? Al-Quaeda. Un tremblement de terre ? Al-Quaeda.
Il est ainsi des affirmations dogmatiques entourant le réchauffement climatique d’origine humaine : cela ne souffre plus aucune discussion, aucune recherche, aucune remise en cause : hérésie que d’y penser. Le CO2 humain est l’Al-Quaeda de l’équation à une inconnue du réchauffement climatique.
Il en est ainsi des pandémies et autres cataclysmes sanitaires à venir. Comme le GIEC nous le dit pour le CO2, l’OMS nous simplifie le problème et nous l’en remercions : vaccinez-vous. Ne vous posez pas de question. Nous avons les experts les plus intègres et les plus compétents. Les firmes pharmaceutiques, prodiges de philanthropie, travaillent jour et nuit pour nous sauver. Et nous le croyons.
L’Humanité du XXIè siècle court un grave danger. Un danger mortel et il couve en chacun de nous. C’est notre abdication. Voilà notre ennemi numéro un.
Nous vivons une époque où la mondialisation n’a pas rendu, comme cela était prévu au départ, le monde mieux gouverné, plus juste, plus clair, mais au contraire plus opaque, moins compréhensible et surpuissant.
Ce mélange de toute puissance et d’opacité, d’omnipotence et d’imperméabilité aux rétrocontrôles démocratiques, est mortel.
Nous nous sommes rendus, préférant continuer à nous tromper, quand autant de signes de dysfonctionnement auraient dû nous pousser à reprendre le contrôle.
Au lieu de ça, nous nous en remettons à ces super pouvoirs suspects de corruption et de malversations, dotés d’une mauvaise foi et d’un cynisme à toute épreuve.
Guidés par les médias et ne regardant que ce que leurs projecteurs éclairent, pris par la main, nous choisissons de les croire sans poser de questions.
Le monde se porterait mieux sans ces organisations mondiales dont la mission primordiale a été détournée au profit boursier de quelques-uns.
Dans le cas de l’OMS, nous serions en meilleure santé.
http://www.alterinfo.net/Politique-et-corruption-al-OMS_a41384.html
Le premier ministre britannique a essayé cette semaine de nous convaincre que la croissance d’Al-Qaida au Yémen et en Somalie illustrait le fait que la stratégie occidentale « fonctionnait », parce que l’escalade de la guerre en Afghanistan et au Pakistan aurait contraint Al-Qaeda à chercher à établir des sanctuaires ailleurs. En réalité, il s’agit d’une manifestation de l’échec grotesque de toute la guerre contre le terrorisme. Depuis son lancement en octobre 2001, Al-Qaida s’est propagé à partir des montagnes de l’Afghanistan à travers toute la région : l’Irak, le Pakistan, la corne de l’Afrique et bien au-delà !
Plutôt que de réduire l’aide occidentale aux dictatures et aux occupations qui alimentent le terrorisme dans sa variante Al Qaeda, et plutôt que de concentrer ses ressources policières pour la contrer, les États-Unis et leurs alliés ont répété et étendu inexorablement les monstruosités qui ont produit ce terrorisme. C’est une recette pour une guerre sans fin contre le terrorisme.
Seumas Milne
journaliste et éditeur associé au journal britannique The Guardian
http://panier-de-crabes.over-blog.com/article-le-
Le XXIème siècle commence bien pour les Rothschild et Consor
Etats-Unis: Six millions de personnes n’ont que les coupons alimentaires pour seul revenu
Attentat à Téhéran: Les Sionistes donnent leur 'version'
USA: Plus de Soldats US morts par suicide qu'au combat!!!
Psychologie de masse et Nouvel Ordre Mondial
http://www.alterinfo.net/Grippe-A-un-vaccin-elabore-a-partir-de-cellules-cancereuses-!_a41350.html Wodarg.Wolfgang Oui, c’est une grippe tout ce qu’il y a de plus normal. Elle ne provoque qu’un dixième des décés occasionnés par la grippe saisonnière classique. Tout ce qui importait et tout ce qui a conduit à la formidable campagne de panique à laquelle on a assisté, c’est qu’elle constituait une occasion en or pour les représentants des labos qui savaient qu’ils toucheraient le gros lot en cas de proclamation de pandémie
La formidable opération d’intox planétaire n’a-t-elle pas été possible aussi parce que l’industrie pharmaceutique avait « ses représentants » jusque dans les gouvernements des pays les plus puissants ? [Comme Madame Bachelot en France]
Pouvons nous encore laisser la production de vaccins et la conduite de ces productions à des organisations dont l’objectif est de gagner le plus possible d’argent ?
PARAGUAY : LE RISQUE D'UN COUP D'ÉTAT AUGMENTE
Lettre ouverte d'un médecin du travail à Nicolas Sarkozy
http://www.indesens.org/article.php?id_article=101
Vent de révolte en Algérie :
http://www.mediapart.fr/club/blog/mohammed-yefsah/120110/vent-de-revolte-en-algerie
A lire :
Dictionnaire incorrect de l'état du monde
Larousse 20 euros