
http://manu-manu.com.over-blog.com/article-strauss-kahn-2012-fois-par-jour--40062967.html

A mes Lecteurs,
et particulièrement à mes amis abonnés,
toujours plus nombreux:
Des vidéos circulent beaucoup sur le NET, actuellement, à partir de mon article et presque mot pour mot, "DSK une catastrophe pour la Gauche et pour la France," sans me nommer. Ceux qui cherchent l'auteur de l'article (et c'est à leur honneur), comme l'Administrateur de http://www.newsoftomorrow.org/, ne le trouvent pas. Suite aux vidéos, de nombreux articles sur le NET, à partir du mien, circulent, toujours sans indiquer la source. Pour corriger cette anomalie, je publie à nouveau sur R-sistons mon article sur le sujet, avec le même titre, afin qu'il soit répertorié à mon nom dans les moteurs de recherche, ce qui n'est que justice, et qu'il ne soit plus couvert par les autres parutions qui ne citent pas le nom de l'auteur. J'en profite pour ajouter l'autre article sur le sujet, le tandem DSK-Aubry, oh combien d'actualité, ainsi vous aurez un dossier complet sur le sieur DSK, chou-chou des Médias aux ordres, valet des grandes banques internationales et du Bilderberg, chantre de l'austérite pour les peuples. Autrement dit, notre ennemi public N°1 ! Il est intolérable que le PS, pour revenir au pouvoir, se vautre dans la fange de la Haute finance la plus arrogante. Nous sanctionnerons cette Gauche-là, si par malheur DSK risque d'être élu !
Par ailleurs, je rappelle que vous pouvez relayer tous mes posts, à la seule condition, naturellement, de mentionner la source, la mienne. Ce qui est, encore une fois, légitime. Il m'est intolérable d'entendre sur les vidéos qui circulent les mots que j'ai utilisés sur DSK, sans qu'il soit un seul instant fait allusion à mon article, alors qu'il s'agit, en plus, d'un post d'auteur, enjoué, irrévérencieux, insolent, gouailleur, et non d'un post énumérant séchement des faits bruts.

Je demande à mes Lecteurs d'être compréhensifs pour cette nouvelle parution sur DSK, mais elle est d'actualité, au moment où la menace DSK-Aubry se rapproche, et elle a l'avantage de regrouper deux textes sur DSK, que vous pourrez relayer abondamment afin que la vérité éclate sur le triste sieur en question, pire que Sarkozy, car hypocrite: Il ose se prétendre de Gauche ! Nous avons le devoir de démasquer l'imposture de ce faux homme de gauche pour la France, et de ce vrai valet du grand capital international et d'Israël, c'est-à-dire d'un Etat qui n'est pas la France ! Eva R-sistons à l'intolérable
L'auteur de la vidéo sur le sujet, se contente de lire mon post,
et après que je lui aie écrit, en protestant,
il ajoute enfin, en commentaire:
"Lecture d'un article de Eva..."
Ouf ! Et il lisait mon article sans citer une fois sa source ! Une prouesse !
Strauss-Kahn ? Une catastrophe pour la gauche,
et pour la France ! Par Eva R-sistons
2 février 2010
Qui a dit que les Français sont des veaux ? Les voilà qui s'entichent de D. Strauss-Kahn parce qu'il est loin des querelles politiciennes, parce qu'il semble connaître ses dossiers, et parce qu'il occupe une haute fonction internationale. Mais savent-ils vraiment ce qu'est le FMI, le Fonds Monétaire International ? Et d'abord, qui est ce DSK ?
C'est le fils d'un Conseiller juridique et fiscal d'origine juive, installé au Maroc en 1955, puis après le tremblement de terre d'Agadir en 1960, à Monaco et à Paris. Il voit le jour à Neuilly sur Seine. Bref, un bon bourgeois de Neuilly, ou de Monaco, rien de très excitant. Etudes commerciales et d'économie, avocat d'affaires. Pas très excitant non plus pour le peuple de gauche !!!
Que fait-il au PS, après, en plus, un passage au CERES bien à gauche de Chevènement ? Il faudrait sans doute demander cela à ses amis d'Israël qui ont l'habitude de placer leurs pions un peu partout, et notamment dans les principaux partis politiques pour les orienter... où ? Voyons ! En faveur d'Israël et du libéralisme, cela va de soi.
Passons sur sa carrière, et arrivons à l'essentiel, le voici nommé... par la Droite, oui par Sarkozy en personne, à la tête du FMI. Bref, encore moins excitant que tout le reste, et pour le moins ambigu. Et qu'est-ce que le FMI ? Un organisme qui se moque des peuples comme un Roi se moque de la dernière de ses maîtresses...
Ecoutons par exemple les doléances du Président du Benin : Le président béninois, Boni Yayi, a dénoncé mardi à Cotonou le fonctionnement du Fonds monétaire international (FMI) au détriment des pays les plus pauvres : «Garant de la surveillance de la stabilité des changes, le Fonds monétaire international est caractérisé par un fonctionnement dissymétrique et même asymétrique au détriment des économies les plus pauvres de la planète», a-t-il écrit dans une lettre ouverte envoyée au président en exercice de l'Union européenne (UE), le président français Nicolas Sarkozy. Selon lui, "les conditionnalités du FMI ont souvent été sanctionnées par le quasi-abandon de l'Etat, dans son rôle stratégique, même en période de crise...Toujours soumis à des rappels à l'ordre du FMI, les pays africains ont beaucoup souffert de ce dysfonctionnement asymétrique du FMI» (http://www.africanmanager.com/articles/119232.html)
Pardi ! Le FMI, sous couleur d'octroi de prêts aux pays en difficulté, est synonyme de contrôle, de domination, de perte de la souveraineté, de dérégulation du Marché du Travail, de dérèglementation du Système bancaire, de partialité en faveur des pays développés, de politiques d'ajustement structurel asphyxiant l'Etat et le secteur social, de privatisation des entreprises, de libéralisation du commerce, etc etc. Autant dire que le FMI, comme la BM, ont accru la pauvreté des pays pauvres, et enrichi les pays riches, notamment en accordant des prêts difficiles à rembourser et à des taux profitant plus aux banques qu'aux peuples. Et c'est DSK qui orchestre tout ça. Drôle de socialisme !
La réalité, c'est que le sieur en question serait une catastrophe pour la France. Passons sur son amour immodéré pour la gent féminine, si ses épouses s'en accomodent tant mieux pour elles, et sur son mépris des gens, sur son arrogance innée. J'en ai moi-même fait l'expérience à Perpignan, lorsque je lui ai parlé de la dangerosité de l'AMI, l'Accord Multilatéral Investissement, le pire ennemi des peuples. Il a balayé d'un revers de la main et avec condescendance ma remarque, en la qualifiant de "tarte à la crème des altermondialistes". Pfff ! Que ces choses-là sont déplaisantes à entendre pour un homme prétendûment socialiste - pourtant en pleine campagne électorale, alors qu'il était venu soutenir son poulain M. Ferrand, un brave garçon pâlot et inconsistant qui bridait un siège dans les Pyrénées Orientales. C'est sûr qu'avec DSK, mieux vaut une personnalité discrète, éteinte, qu'affirmée.
D'abord, Strauss-Kahn est tout sauf socialiste. Très exactement, c'est un ultra-libéral qui ne saupoudre son libéralisme de social que quand il ne peut pas faire autrement, notamment lorsqu'il est en campagne électorale. La communication, à laquelle il excelle comme son compère avocat d'affaires lui aussi, Sarkozy, est ce qui lui réussit le mieux. Cherchez les politiques sociales dans les actes, cherchez bien.... D'ailleurs, ces deux-là s'entendent comme larrons (de haut vol) en foire, ce n'est pas sans raison que l'un a choisi l'autre pour le FMI. A moins que ça ne soit par jalousie, pour éloigner un rival potentiel, de "gôche" cette fois. De gauche caviar, très caviar... malgré les "35 heures" qu'il a défendues avec Jospin-Aubry - et quelques emplois jeunes à Sarcelles, ville dont il a été élu maire en 1995. DSK est un fervent partisan de l'Europe de Bruxelles, incluant bien sûr Israël, pardi, et il est le chantre des ouvertures du capital, des privatisations massives et... de la sociale-démocratie, ressemblant comme deux gouttes d'eau à la "démocratie" libérale de la droite. Bref, cette gauche-là est la roue de secours du capitalisme, un joli support du Nouvel Ordre Mondial qu'on tente de nous imposer toujours fort démocratiquement, bien entendu...
Quant à l'indépendance de la France, inutile de compter sur lui. Le pays de son coeur, celui qui occupe son esprit tout au long de la journée et pour lequel il travaille réellement, c'est Israël : "Je considère que tout Juif dans la diaspora, et donc c'est vrai en France, doit partout où il le peut, apporter son aide à Israël. C'est POUR CA d'ailleures qu'il est important que des Juifs prennent des responsabilités politiques" (Entretien à Passages, 1991), et dans Tribune Juive : "Chaque matin, je me lève en me demandant comment être utile à Israël".
Je pose la question à toute personne sincèrement attachée au Bien de la France: Un Président français doit-il d'abord songer à être utile à un autre pays ?
Et comment, en France, une fois élu Président, pourrait-il le mieux aider Israël ? Mais tout simplement en sacrifiant l'indépendance de la France, en étant soumis aux diktats d'Israël, notamment pour le Proche-Orient, en libéralisant toujours plus notre pays quitte à sacrifier des pans entiers de populations, en ouvrant toujours plus l'Europe à Israël et, le moment venu, en agissant pour que l'Etat de son coeur préside aux destins de l'UE, en entraînant la France dans les aventures impériales au service des USA, et bien entendu en poussant notre pays à agresser militairement l'Iran aux côtés d'Israël et de son clone américain. Bref, c'est l'apocalypse assurée... Si vous aimez les feux d'artifices, vous serez servi !
Alors, pas encore dégoûté de ce sieur-là ? Eh bien, votez-pour lui. Mais ensuite, comme pour Sarkozy, ne venez pas vous plaindre. Vous l'aurez cherché ! Et le réveil sera douloureux, très douloureux...
Eva r-sistons à l'intolérable de la gauche hypocrite, ultra-libérale et atlantico-sioniste...
Il faut abattre le soldat DSK !
Par eva R-sistons - 13 mai 2010
Il faut abattre le candidat D. Strauss-Kahn !
Nous n'en voulons pas pour la France.
Les militants socialistes n'en veulent pas.
Non au ticket DSK-Aubry qu'on va nous imposer !
Nicolas Sarkozy est déconsidéré, il est impopulaire.
Les Maîtres du Monde lui cherchent un remplaçant
acceptable pour les veaux, et chou-chou des Financiers.
Il faut conserver le pouvoir, pas question de le partager
avec un ami des peuples ! Alors voilà,
les apprentis-sorciers sortent de leur chapeau
un lapin nommé DSK, chou-chou des banquiers,
évidemment, mais aussi des Bilderberg et des dames,
qu'il courtise assidûment entre deux Conseils d'Administration.
Et donc, les Médias courtisans courtisent,
ou si vous préférez, ils obtempèrent.
La propagande digne des Etats nazis commence !
Les veaux applaudissent, puisque les Médias le leur disent !
Sont pas chouettes, les veaux ? Dociles, très dociles.
D. Strauss-Kahn n'est pas candidat.
Non, surtout pas. Il laisse les autres le dire.
Malicieux ! Pratique ! Comme ça il a le beau rôle.
Il ne se mêle pas de basse cuisine politicienne.
Il laisse ça aux autres.
Il est hors des querelles d'ego.
Il est ailleurs. Les Médias le mettent au-dessus
de la mêlée, de tous; Planant, le divin enfant !
Eh oui, les Médias de propagande le lancent comme une lessive.
Pourtant, sous une appellation différente,
c'est le même produit que Nicolas Sarkozy.
Le premier se sert du FMI pour se tailler un rôle présidentiable,
le second espère rebondir avec la présidence du G20.
Ces deux institutions, FMI et G20, sont, soi-dit en passant,
les ennemis des peuples. Les pires ennemis !
Mais on nous vante la lessive DSK sur tous les tons.
Une overdose, comme pour la Shoah !
Ici, il est présenté comme le "Sauveur de l'euro",
excusez du peu, là comme le "Sauveur de l'Europe".
Et quoi encore ! Il est seulement le sauveur
des Grandes banques, du Capitalisme international
cupide, prédateur, impérial, assassin. Sur le dos
des peuples sacrifiés, en imposant la rigueur pour tous,
sauf pour ses copains-coquins. DSK ? C'est le champion
de l'austérité, autrement dit, de l'appauvrissement
des plus pauvres, pourtant nullement responsables de la crise,
et de la liquidation des classes moyennes en voie de paupérisation.
Et vous en redemandez pour la France, spécialement pour la France ?
Sur C dans l'Air l'émission de faux débats de Calvi-Krettly
(pourquoi donc s'évertue-t-il à cacher son vrai nom, ses vraies origines ?
Il en a honte, peut-être ? Ou alors
pour mieux nous duper sous un masque de neutralité ?),
on nous parle de... "candidat nommé désir".
Désir de qui ? De nous ? Pas du tout !
Les Français ont horreur du libéralisme,
des Marchés-Rois, de la compétition sauvage.
Ils veulent un Etat fort, souverain, protecteur.
Et on nous impose, bien peu démocratiquement,
ce dont nous ne voulons pas ! Comme pour le Traité de Lisbonne,
clone de l'autre, écrit par Giscard et vendu par Sarkozy.
Quelles références ! Dehors, imposteurs, tyrans, bourreaux des peuples !
Les Médias nous dépeignent DSK sous le trait
de celui qui incarne la rigueur, la compétence.
Oui, c'est vrai, il est efficace,
mais pour ses amis banquiers.
Il impose le FMI à l'Europe, maintenant,
et bientôt le Nouvel Ordre Mondial
comme son ami Attali, Dieu que le monde est petit !
Le NOM, c'est-à-dire la dictature des grandes banques
sur le monde, quel bonheur, oui quel bonheur
pour les traders et tous les prédateurs sans scrupules.
Et nous, et nous, et nous ?
Nous ? On a juste besoin de notre bulletin de vote.
Compte pas sur le mien, canaille !
Ni pour faire des parties de jambes en l'air avec toi.
Pour rien, en fait ! Si, pour mener la bataille
contre toi et tes pairs. Pas de quartier !
Tout doit être fait pour abattre le soldat DSK !
Et commençons dès maintenant.
Pour mémoire, le sieur DSK a trempé
dans le dossier de la MNEF.
Mais il a été innocenté par ses pairs au sommet.
Donc, innocent, pur comme un ange,
puisqu'on nous le dit, puisqu'on nous le répète.
Mais il gagne 500.000 dollars par an, nets d'impôts
(Sarkozy aussi ne paie pas d'impôts).
Mais pourquoi donc tous ces gens si haut placés
sont-il exonérés ? Niches fiscales ? Qu'ils
partagent leurs secrets avec les salariés
qui triment pour 1000 euros par mois...
Et avec la rigueur impulsée par des DSK,
ça ne va pas s'arranger, ça va même se détériorer.
C'est la République... bananière,
c'est la République bananière !
Vive la France de Sarkozy et des DSK
qui veulent notre Bien, si, si, promis, juré !
Mais que voulons-nous, nous ?
Nous voulons d'une Gauche réellement à Gauche. Et souverainiste !
Nous voulons un candidat qui aime la France.
Pas d'un individu qui roule d'abord pour Israël !
Il serait insensé d'avoir à la tête de la France
un homme qui sert d'abord les intérêts d'Israël,
ensuite ceux du Grand Capital financier apatride,
enfin, accessoirement, ceux de la France.
Pure folie ! Qu'on se le dise...
Et dites-vous bien que si les Médias font de la propagande pour DSK,
c'est qu'il n'est pas pour nous. Nos intérêts ne sont pas les mêmes !
Et je le connais: Je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi arrogant,
d'aussi méprisant, d'aussi cassant.
Quelle hypocrisie ! Il se dit de Gauche,
et les peuples pour lui ne sont que populace, canaille.
La Gauche, pour lui ? Un tremplin ! Pour le pouvoir.
Pour servir Israël son clocher communautariste
bien peu laïc, bien peu français, bien peu progressiste,
et si impérialiste et si militariste. Damnation pour notre pays,
notre souveraineté, nos valeurs ! Enterrement de la France...
C'est un sous-marin d'Israël et des USA pour
s'emparer de la Gauche à leur profit,
et au profit des Grandes banques leurs alliés naturels.
Avec lui, comme avec Cohn-Bendit pour les Verts,
la Gauche ne sera plus la Gauche, mais une succursale
de la Droite, sous les oripeaux d'un socialisme...
dénaturé, édulcoré, méconnaissable.
Comme Sarkozy se drapant dans la rhétorique de Jaurès
pour forcer le vote des Français, DSK nous ment.
Il porte un masque électoral. Un masque, citoyens !
Martine Aubry, bien peu démocratiquement,
avait forcé le destin en se faisant élire
à la tête du PS à la place de la gagnante Ségolène Royal.
Elle forcera la volonté des militants,
et finalement du peuple, si elle est éue,
pour imposer DSK comme Premier Mnistre.
Nous ne voulons pas de cette imposture !
Dis-moi qui sont tes amis, je te dirai qui tu es.
Alain Minc avoue qu'il serait bien embarrassé,
au second tour, pour choisir entre un Sarkozy et un DSK.
Le monde est tout petit dans une certaine sphère !
Et nous ? Eh bien, nous serons les dindons de la farce électorale !
Il faut abattre ce candidat ! Nous avons le DEVOIR impératif
de tous nous y mettre, en informant partout.
L'imposture doit éclater au grand jour !
Et si par malheur il se présente,
ou Martine Aubry avec lui dans son portefeuille,
aucune voix ne doit aller à ce tandem infernal !
Les petits arrangements entre zamis,
nous n'en voulons pas. M. Aubry est moins à droite,
mais avec DSK en embuscade, elle est carrément indigeste.
Les blogueurs détestent DSK. Ils ne le loupent pas !
Citoyens, lisez, et faites lire,
les Médias alternatifs, ce sont les seuls qui informent.
Avec nous, DSK ne passera pas. Qu'il reste
au Fonds Monétaire Infernal, et qu'il ne vienne pas
mettre la France à genoux devant Israël, les USA et la Finance !
Citoyens, en avant pour dénoncer partout l'imposture DSK !
Il y va de notre avenir...
Eva R-sistons à l'intolérable !
DSK, c'est comme le Traité de Lisbonne.
Les Français qui militaient au PS n'en ont pas voulu,
alors on trouvera des subterfuges:
Faire voter des agents de l'extérieur, avec une adhésion symbolique,
ou l'imposer comme Premier Ministre de M. Aubry.
De qui se moque-t-on ? Eva
Mieux connaître DSK,
sur les liens d'eva R-sistons
Vous pouvez aussi lire mon article sur DSK
(sélectionné par le site M. Collon)

DSK à la place de Sarkozy ?
La peste ou le choléra ! (Thierry Meyssan)
http://r-sistons.over-blog.com/article-30605934.html
http://sos-crise.over-blog.com/article-30601882.html
Le vrai visage de D. Strauss-Kahn: Régression sociale pour tous, austérité (cliquer)
L’univers social et politique
de M. Dominique Strauss-Kahn
D’un discours de Jean Jaurès - « C’est nous qui sommes les vrais héritiers du foyer des aïeux ; nous en avons pris la flamme, vous n’en avez gardé que la cendre. » -, M. Dominique Strauss-Kahn a emprunté deux mots. Ils servent de titre à son dernier essai (1). Mais, une fois passée la page de garde, les rémanences politiques du tribun socialiste assassiné en 1914 sont particulièrement rares. Sur ce plan, on accordera volontiers à l’ancien ministre des finances de M. Lionel Jospin le crédit d’une certaine franchise. Car son propos théorise la rupture du Parti socialiste à la fois avec son histoire et avec ce qui constitua longtemps une fraction significative de sa base sociale. Depuis vingt ans, la gauche de gouvernement a appliqué des politiques favorables aux hauts revenus, y compris ceux du capital (2). Peut-être était-il temps pour cette gauche, pas très à gauche, de passer enfin par pertes et profits les exploités, après avoir sacrifié leurs intérêts en accomplissant le « sale boulot de la droite ».
Ce n’est donc pas entièrement par hasard que M. Strauss-Kahn raille ceux de ses camarades qui auraient « toujours eu peur de ne pas être assez à gauche ». Son ambition - « bâtir une société pacifiée et harmonieuse » - lui impose en effet de débarrasser son parti de la « caricature » présentant ses militants comme « les ennemis absolus de l’entreprise ». Ici, l’un des termes choisis dévoile utilement un paysage idéologique « moderne » en diable : « l’entreprise » de M. Strauss-Kahn semble mêler indistinctement ouvriers, employés, cadres et patrons. Et c’est précisément lorsqu’il s’agit d’évoquer l’harmonie sociale à laquelle il aspire que l’ancien ministre se montre le plus intéressant. Partant d’un discours ultra convenu sur l’« inadéquation » de la vieille définition « marxiste » des classes sociales, qu’il juge exagérément binaire du fait de la « possession par les salariés - ou du moins par une partie d’entre eux - d’une fraction de plus en plus importante du capital - acquise grâce à leur épargne », M. Strauss-Kahn en vient au fond de l’affaire. C’est ce « groupe intermédiaire », ce « corps central prolétaire mais héritier » (sic) qui doit, selon lui, faire l’objet de toutes les attentions. Il y a un quart de siècle, M. Valéry Giscard d’Estaing faisait carillonner la même antienne dans son livre Démocratie française (3).
Trois raisons justifieraient autant d’égards. D’abord, ce « groupe intermédiaire », défini par M. Strauss-Kahn avec une imprécision stupéfiante (4), serait celui que « les évolutions de nos sociétés malmènent le plus. Cela ne signifie pas évidemment qu’il appartienne au groupe le plus malheureux ». On le voit, le distinguo est subtil entre ceux que l’évolution économique déstabilise et ceux qui ont le malheur pour état permanent. Pourquoi faudrait-il privilégier les premiers ?
On en vient ici au second motif des inclinations du dirigeant socialiste : « Cette partie de la population, dont le sentiment profond est qu’elle mène une existence toujours plus dure et toujours plus complexe, est le socle même sur lequel repose notre démocratie. » Fondée sur un désir prioritaire de « stabilité » sociale, l’analyse rappelle alors, volens nolens, les justifications du suffrage censitaire entendues au cours du XIXe siècle ; elle fait presque écho aux craintes que les élans populaires suscitaient chez des penseurs libéraux comme Tocqueville. De fait, pour M. Strauss-Kahn, « ce sont les membres du groupe intermédiaire, constitué en immense partie de salariés, avisés, informés et éduqués, qui forment l’armature de notre société. Ils en assurent la stabilité, en raison même des objectifs intergénérationnels qu’ils poursuivent. Ces objectifs reposent sur la transmission à leurs enfants d’un patrimoine culturel et éducatif, d’une part, d’un patrimoine immobilier et quelquefois financier d’autre part, qui sont les signes de leur attachement à l’“économie de marché” ».
Un tel « attachement » semble donc devenu le garant du caractère raisonnable de ce groupe intermédiaire. Il est également décisif sur le plan politique : « Les couches sociales regroupées dans le terme générique d’“exclus” ne votent pas pour (la gauche), pour cette raison simple que, le plus souvent, elles ne votent pas du tout. Au risque de l’impuissance, (la gauche) se voit dans l’obligation de trouver à l’intérieur d’autres catégories sociales le soutien suffisant à sa politique. » On comprend mieux alors que, face à la présidente du Rassemblement pour la République, Mme Michèle Alliot-Marie, M. Strauss-Kahn ait expliqué en janvier dernier : « Vous avez raison de dire que le souci que nous devons avoir pour les dix ans qui viennent, c’est de nous occuper de façon très prioritaire de ce qui se passe dans les couches moyennes de notre pays (5). »
Restent les défavorisés, les vrais prolétaires, désormais évacués sous le vocable d’« exclus ». Jean Jaurès s’en souciait ; aucun des partis « de gouvernement » n’en veut plus. Dans le fil de son ouvrage, M. Strauss-Kahn admet même la méfiance quasiment aristocratique que ces pauvres lui inspirent, eux qui n’ont à transmettre ni patrimoine immobilier, ni actifs financiers, ni « attachement à l’économie de marché » : « Du groupe le plus défavorisé, on ne peut malheureusement pas toujours attendre une participation sereine à une démocratie parlementaire. Non pas qu’il se désintéresse de l’Histoire, mais ses irruptions s’y manifestent parfois dans la violence. » Les gueux inspireront toujours de la méfiance.
http://www.monde-diplomatique.fr/2002/03/HALIMI/16193
1) Dominique Strauss-Kahn, La Flamme et la Cendre, Grasset, 2002, 393 pages, 20 euros.
(2) M. Strauss-Kahn l’avait admis lui-même en précisant en 1997 : « En quinze ans, la part des salaires dans le produit intérieur brut français est passée de 68,8 % à 59,9 %. » Le ministre socialiste précisait alors que le chômage français « trouve sa source dans un partage de la valeur ajoutée trop défavorable aux salariés pour que les entreprises puissent bénéficier d’une croissance dynamique » (conférence de presse du 21 juillet 1997). Dans son livre, page 25, il estime à présent que « la redistribution est près d’avoir atteint ses limites, en même temps que certains de ses objectifs »...
(3) Fayard, 1976.
(4) Interrogé par le directeur de la rédaction du Monde dans une émission de la chaîne câblée du groupe Bouygues, M. Strauss-Kahn décrivait même ainsi ces nouveaux « prolétaires » : « Ce sont des tas de gens comme vous, comme moi. » (LCI, 19 janvier 2002.) En France, en 2000, 50 % de la population disposaient de moins de 6 722 francs par mois (1 025 euros).
(5) Pour cette citation et quelques autres du même type, lire Pour Lire Pas Lu, Marseille, n° 8, février 2002.
http://www.monde-diplomatique.fr/2002/03/HALIMI/16193
Mais, Cassandre n’a pas tout dit dans son livre propagande de l’« Insistent Womaniser » (Coureur de Jupons particulièrement Lourdingue)
Le détournement des indemnités de la Guerre du Golfe et les rétro commissions du contrat sur l’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït en 1991 vont bientôt mettre fin aux ambitions de la Dream Team D$K.
L’affaire « Josephine » avait eu raison de Delors, le Kuwait Gate aura raison de DSK, à suivre…
Découvrez, le résumé de « l’Affaire D$K » en visionnant le diaporama en pièce jointe ou le fichier PDF : http://www.fichier-pdf.fr/2010/05/12/gswwcc5/
« Il ’est point de secret que le temps ne révèle » (Jean Racine – Britannicus »)
Basanix
P.S / http://euroclippers.typepad.fr/alerte_ethique/
_________________________________________________________________________________________
Extrait de mon court post sur la France western:
Sarkozy aime l'Amérique des cow-boys, celle qui dégaine au lieu de discuter, et il a entrepris d'américaniser la France. La France des Lumières, de Voltaire, du Gl de Gaulle ! Cela nous promet, en tous cas, une société d'une rare violence qui nous éloignera vraiment des Lumières... et des Droits de l'Homme !
http://r-sistons-actu.skynetblogs.be/archive/2010/09/27/avec-sarkozy-une-france-western.html (cliquer sur le lien)
Reçu ce commentaire sur DSK, à lire
pour mieux connaître le bonhomme:
Commentaire n°1 posté par Ceri
Initiative chinoise, à imiter !
Désormais, les Autorité chinoises ne veulent plus que les publications, les actes... soient rédigés en Anglais, mais dans LEUR langue. C'est la fin de la domination anglo-saxonne ! Et de plus en plus d'élèves, en France, apprennent le Chinois - langue et pays d'avenir ! Voyez sur mon blog sos-crise un article intéressant (cliquer) : La Chine, première superpuissance verte ?
Votre eva
C O M M E N T A I R E S : I C I
C'est clair que DSK est une menace, il n'y a qu'à voir de quelle manière les élites l'ensencent!
J'avais écrit ce papier il y a quelques mois, où j'ai essayé de retracer son parcours politique ET judiciaire!
Il est temps de parler de DSK et du tapage médiatique auquel on a droit depuis quelques mois pour en faire LE candidat du PS en 2012. Son parcours mérite quand même un bref résumé, car ces dernières années, DSK est entré de plein pied dans l'establishment international. Du coup, il est en pôle position pour 2012, d'après les médias.
affaires judiciaires à la fin des années 90. Affaires desquelles il est, comme par hasard, toujours ressorti avec des relaxes ou des non lieux, ce qui interdit de les évoquer. Mais là il s'agit de retracer brièvement le parcours d'un éventuel futur président de la République.
En 2000, par exemple, il avait déjà fait son "grand retour", dixit France 2, après avoir été impliqué dans différentes
Les "affaires"
On se souvient de l'affaire de la Mnef, la Mutuelle Nationale des Etudiants de France, à laquelle cotisent les étudiants pour être remboursés de leurs frais médicaux. DSK avait été mis en examen et était accusé d'avoir fait des faux afin de détourner une partie de l'argent des étudiants pour le PS. Il avait ainsi perçu 600.000 F de la mutuelle en échange de "conseils" procurés par son cabinet d'avocats. C'était la 1ère mise en examen.
La deuxième, pour "recel d'abus de bien sociaux", c'était pour avoir fait payer le salaire de sa secrétaire par ELF, qui a aussi versé son obole au cercle de l'Industrie de DSK avant même d'en faire partie. A noter: la secrétaire payée par ELF travaillait pour le Cercle de l'Industrie.
Juste avant ces deux mises en examen, il a démissionné du gouvernement Jospin en novembre 1999. Mais enfin, tous les politiques sont montés au créneau pour dire que le pauvre, il était bien obligé, comme tout le monde, de détourner de l'argent pour financer son parti, puisqu'il n'y avait pas d'argent public pour financer ces machines voraces en fric.
DSK a aussi connu des perquisitions dans l'histoire de la cassette Méry, où ce politique expliquait un système de corruption politique. Les juges, qui ont enquêté à son sujet pour "soustraction de preuves" et "trafic d'influence " ont été perquisitionner chez un DSK "indigné" ainsi qu'à son bureau pour trouver ladite cassette, qu'on l'a soupçonné d'avoir récupérée cotnre avantages fiscaux à Karl Lagerfeld, et refilée à la presse. Lui disait l'avoir eue, mais jamais regardée...
DSK commence sa carrière politique à la fin des années 70, au Ceres de Chevènement, puis au début des années 80, il commence à conseiller Jospin. Au passage, on comprend mieux pourquoi le PS a très vite arrêté de critiquer l'économie de marché.
En 1982, DSK entre au Commissariat général au Plan en tant que chef du service financement, puis commissaire adjoint général.
En 1986, il est député de Haute Savoie, puis du Val d'Oise en 1988. A l'Assemblée, il devient président de la Commission des Finances. Pendant ce temps là, il devient aussi l'oracle du PS en matière d'économie, jusqu'à parvenir au poste de ministre de l'Industrie et du Commerce dans le gouvernement Cresson, en 1991, puis dans celui de Beregovoy.
En 1995, il devient maire de Sarcelles qui se transforme en zone franche, et théorise des grandes expériences dans le programme économique du PS.
En 1997, il est ministre des Finances sous Jospin. Et là, il applique un programme libéral, soi disant pour appliquer les mesures européennes, mais en réalité il s'agit du credo qu'il n'hésite pas à affirmer aujourd'hui. Il commence la privatisation de France Telecom, par exemple, ou de Thomson.
Il signe aussi l'AGCS, l'Accord Général sur le Commerce des Services, qui prévoit la libéralisation de tous les services, dont la santé, l'éducation, les transports en commun, l'eau, l'électricité...
Il doit démissionner en 1999 après avoir été mis en cause, et revient en 2002 après avoir été blanchi (on remarquera, en l'occurrence, la rapidité du processus judiciaire) comme député du Val d'Oise. C'est aussi juste après la défaite cuisante du PS qui n'a pas été au second tour, si bien qu'il a beau jeu de critiquer la campagne et de faire le beau dans moult émissions de télé en disant qu'avec lui ça n'aurait pas été la cata.
DSK est aussi secrétaire national du PS etc. prône le "oui" au référendum sur la constitution européenne via son club "A Gauche en Europe" (sic.) crée pour l'occasion avec Rocard, et où on retrouve une partie du gratin européen de l'époque. Le groupuscule participe à la création du magnifique programme du PS en 2007. Dès la défaite, il déclare qu'il faut que le PS rejoigne la "social démocratie", qui n'a rien de social ni d'ailleurs de démocratique.
Pas d'inquiétude, il se recase tout de suite au FMI, où en même pas un an il arrive à se coller une histoire de favoritisme au profit d'une ou deux de ses maîtresses. Et il est encore une fois blanchi par le FMI soi-même. Grâce, toutefois, à l'aide d'un communiquant d'Euro RSCG.
Pendant qu'il est au FMI, des types comme Cambadélis (qui a fait partie comme Jospin du fameux courant lambertiste financé jadis par l'agent de la CIA Irving Brown, et a été