La Russie se trouve impliquée davantage dans sa relation avec l’Iran. En effet, le contrat se monte à plus d’un milliard de dollars, et la présence en Iran de nombreux spécialistes russes rend problématique toute tentative d’agression contre l’Iran. Il est clair que Moscou ne resterait pas les bras croisés si ses intérêts économiques et ses ressortissants étaient menacés.
http://www.partiantisioniste.com/communications/premiere-centrale-nucleaire-d-iran-c-est-parti-0486.html
Alerte ! Gaza n'a plus de médicaments...
A signer d'urgence: nouvelles lois honteuses concernant animaux de laboratoires
..
.
Chaos, guerre,
ou changer son mode de vie...
(suite)
Par eva R-sistons
Et pourquoi pas une roulotte tsigane ?
Roulotte artisanale aujourd'hui,
je vous avoue que je suis prête
à me laisser tenter comme habitat principal.
Elle fleure bon la campagne, non ?
Si paisible, si rustique !
Du bon bois à l'ancienne.
Du matériau noble.
Un espace bien conçu.
Des couleurs chatoyantes,
la grâce de jadis,
et surtout, surtout,
un habitat mobile,
transportable, le cas échéant.
En cas de guerre, certes.
Mais pas seulement:
On change de région ?
On garde son toit,
on le transporte dans un cadre nouveau.
Chiche ?
A nous d'inventer l'avenir...
aux couleurs du passé éprouvé !
Aujourd'hui,
L'HEBERGEMENT 100% BOHEME
Un confort inattendu. Ces roulottes de charme
s'intègrent de façon harmonieuse dans tous les paysages.
http://www.acheter-roulottes.org/
et hier...
Histoire des Roms,
7 siècles d'oppression
http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=15279
N'abandonnons pas nos agriculteurs !
Par eva R-sistons
L'agriculture se meurt, nos agriculteurs se suicident... Je reçois à l'instant ce cri de détresse. Un cri que les médias ne relaient jamais !
Imaginons un instant ce que serait la France sans ses paysans... Elle perdrait son âme, sa sève !
L'heure est à la désertification: Nos villages sont privés d'école, de gare, de bureau de poste, de clinique... et puis les agriculteurs ne peuvent plus vivre de leur travail, sauf les plus forts, le Pouvoir pousse les citoyens à s'agglomérer dans les cités de béton inhumaines, pour mieux les contrôler. Alerte, c'est l'identité de la France qui est en jeu ! François Mitterrand, en son temps, a gagné les élections avec une affiche de génie: En arrière-plan, on voyait la France profonde, avec ses villages, son clocher, ses champs... Et nous allons les sacrifier au Nouvel Ordre Mondial carnassier impitoyable ? Jamais !
Non seulement nous avons le devoir de préserver le paysage rural, mais aussi ceux qui nous nourrissent au prix d'un dévouement sans limite. Le défi est colossal, face à un pouvoir fermé aux réalités et aux traditions.
Chaque travailleur de la terre qui se donne la mort doit nous interroger; Chaque paysan qui disparaît, c'est un peu de nous-même qui s'en va. Amis Lecteurs, soutenons nos agriculteurs. En agissant ainsi, c'est le visage de la France que nous perpétuons. Et aussi, sans doute, l'avenir de nos enfants, et une certaine idée de l'homme.
Il est temps de réhumaniser le monde... et cela commence par notre terroir. Il n'appartient pas aux spéculateurs !

Qu'avons-nous fait de nos agriculteurs ?
Le monde agricole, comme les oiseaux,
se cache pour mourir dans un silence sidéral
"Labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France"
Sully, ministre et ami du Roi Henri IV
C’est par cette phrase magnifique, éculée par quatre siècles de bons et loyaux services, que les petits écoliers français découvraient encore dans les années 1960 - 1970 leurs racines paysannes aujourd’hui reléguées aux oubliettes. Le double sens de cette expression donnait par là même du travail à tout un monde et donnait surtout à tout un pays l’assurance de sa subsistance.
A l’ère industrielle et même post-industrielle, que reste-t-il des bases agricoles sur lesquelles plusieurs pays se sont bâtis ? On Oublie facilement la contribution à la richesse collective de cette agriculture prospère, constamment innovante, tant par un travail de sélections des meilleures races, des semences les plus productives, ou dans l’utilisation de la génétique et des techniques de productions à la pointe. Les peuples se sont toujours essuyés dédaigneusement les pieds sur ceux qui les nourrissent.
De par le monde, les reproducteurs Charolais, Limousin ou Salers ont fait la preuve incontestable de leurs qualités de vitesse de croissance, rendement en viande et rusticité si bien définis dans ce critère des années soixante "leaner meat, faster gain". Les variétés de semences céréalières se sont améliorées là aussi au fil des siècles, fruit d’un travail d’observation et de besogneux qui pour ingrat qu’il était, ne fut jamais récompensé à sa juste valeur, alors que le "Club des cent quintaux à l’hectare" dépasse depuis longtemps ces rendements, et que le pain quotidien n’a de signification que pour les quelques survivants des turpitudes de l’époque 1940/45 où se sustenter était un "sport national" dont l’enjeu était les fameux tickets de rationnement. (..)
On a (..) passé sous silence le suicide de 850 agriculteurs, je dis bien plus de 850 exploitants agricoles, qui durant l’année 2009 se sont supprimés après avoir atteint le bout du rouleau, victimes de conditions hyper stressantes, d’un système qui ne profite qu’aux grandes surfaces qui vivent sur leur fond de roulement à flux tendu, et qui paient à 80, voire à 120 jours ces adorables "cul terreux", et livré à un système bancaire dont les pratiques dévoyées précipitent le monde à la rue. Et la même chose se répète dans les campagnes québécoises.
Les agriculteurs ne sont que des "vide seaux" qui font fausse note dans le décor, on veut bien les voir une fois par an, au Salon de l’Agriculture à Paris ou au Calgary Stampede pour le divertissement des rodéos et autres "chuck wagon races" pourvu qu’ils travaillent au minimum 80 heures par semaine. Le message qu’on leur adresse est " t"es rien qu’un plouc, tu pues la bouse, et fais de l’air" pour ne pas dire autre chose, tout en permettant qu’une bande d’ignares, des écolos "baba cool" viennent leur donner des leçons sur ce qu’est le respect de la nature. Pourtant, qui nourrit qui ? C’est la misère qui se fout de la charité !
En cette période troublée, émaillée par des scandales à répétitions et la corruption de nos élites dirigeantes, il serait temps, si l’on veut encore demain manger à notre faim, de se souvenir de la "sagesse paysanne", et que "Labourage et pâturage demeurent les deux mamelles de nos pays", il serait grand temps de prendre en considération les souffrances et la détresse d’un monde agricole qui comme les oiseaux, se cachent pour mourir dans un silence sidéral aux conséquences irréversibles et incalculables. Où se trouve donc la véritable loyauté de nos dirigeants, qu’il s’agisse tout aussi bien de John James CHAREST ou de Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOSCA ?
Christian SÉBENNE
http://www.vigile.net/Labourage-et-Paturage-sont-les
A peine ai-je posté cet article, que je trouve ceci:
Au PS, l'idée d'un "bouclier rural" avance
LA ROCHELLE, Charente-Maritime, 27 août - L'idée d'un "bouclier rural", ensemble de mesures pour revitaliser les campagnes en France, progresse au Parti socialiste, réuni à La Rochelle pour son université d'été.
A l'inverse du "bouclier fiscal" qu'ils dénoncent, des élus de la Nièvre, maires et conseillers généraux, veulent une action transversale pour les territoires, des services publics aux nouvelles technologies en passant par les banques.
"On a réalisé qu'on était capable de mettre nos écharpes tricolores pour protester chaque fois qu'un hôpital menaçait de fermer, au coup par coup, mais pas pour proposer des projets argumentés", explique Fabien Bazin, maire d'une petite ville de 1.500 habitants dans le Morvan.
Les concepteurs du "bouclier rural" - sur lequel le conseil général de la Nièvre a décidé à l'unanimité, élus de gauche comme de droite, de travailler - ont placé les services publics tout en haut de leur liste.
Face aux suppressions d'écoles, de guichets de poste de plein exercice ou de services hospitaliers, ils entendent instaurer un "temps maximum d'accès aux services publics" : trente minutes pour arriver aux urgences, 45 pour une maternité.
Leur réflexion a porté aussi sur les commerces pour trouver comment adapter leur fiscalité au caractère saisonnier de leur activité ou les aider dans leurs mises aux normes.
Sur le modèle de ce qui s'est fait aux Etats-Unis dans le sillage du mouvement des droits civiques, ils voudraient repenser les partenariats avec les banques pour qu'elles réinvestissent une partie de l'épargne perçue dans les territoires où elles sont installées.
Misant sur une accélération de l'exode urbain et, partant, sur une explosion du télétravail, ils proposent un grand plan d'équipement en fibre optique de leurs territoires.
ÉGALITE RÉPUBLICAINE
Le tout pourrait être au coeur d'une "grande loi sur la ruralité dont le projet serait déposé à l'Assemblée mais surtout, il faut intégrer ces idées dans le futur programme présidentiel socialiste", déclare Christian Paul, député de la Nièvre et président du Laboratoire des idées, la machine à projets du Parti socialiste.
Le "bouclier rural" est une exigence républicaine et sociale, souligne-t-il. "Quand on doit attendre dix mois pour un rendez-vous chez l'ophtalmo près de chez soi, on n'est plus dans l'égalité républicaine", insiste l'ancien ministre.
En quelques années, sous la houlette de la droite, "on a raboté, on a concentré, on a éloigné le centre de décision et le lieu des interventions : dans le domaine de l'aménagement du territoire, il y a eu abandon de poste total", déplore le député.
L'idée du "bouclier rural" commence à essaimer, dans le reste de la Bourgogne et le Massif central et séduit à droite, dont les élus locaux sont "très embêtés par le non remplacement d'un fonctionnaire sur deux" décidé par le gouvernement Fillon, ajoute Fabien Bazin.
"Les services publics sont balayés par le Sarkozysme dans les territoires ruraux plus qu'en banlieue", avance-t-il pour expliquer ce front républicain du refus.
Laure Bretton, édité par Jean-Baptiste Vey
http://fr.news.yahoo.com/4/20100828/tts-france-ps-ruralite-ca02f96.html
Wikipedia, villages
Israël, du mythe à l’histoire
L'organisation sociale des hommes ressemble beaucoup à celle des rats qui, eux aussi, sont, à l'intérieur de la tribu fermée, des êtres sociables et paisibles mais se comportent en véritables démons envers des congénères n'appartenant pas à leur propre communauté."
Konrad Lorenz, L'agression, une histoire naturelle du mal
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http://www.m-pep.org/spip.php?article1860
“La France est-elle devenue un pays aligné sur la politique israélienne ?”
Par : YOUCEF FERHI (*), Liberté, 28 août 2010,
L’historien Paul-Eric Blanrue, décrit dans cet ouvrage publié en Belgique, les liens qu’entretient l’actuel président français avec Israël. Il se demande si “la France est devenu un pays aligné sur la politique israélienne”, et révèle que le débat sur les relations avec Israël est devenu un tabou.
Il y a un an, paraissait en Belgique le livre de Paul-Éric Blanrue, Sarkozy, Israël et les Juifs, aux éditions Oser Dire, après avoir été refusé par les maisons d’édition françaises.
Ce livre sera aussitôt mis à l’index en France.
Dans “Le mot de l’éditeur”, Marco Pietteur écrit : “Ah, si j’avais écouté mon épouse — “tu vas encore t’attirer des ennuis !” —, je n’aurais pas édité ce livre qui dénonce ‘une complaisance certaine du pouvoir sarkoziste pour la politique radicale israélienne qu’il ne conviendrait plus aujourd’hui de critiquer trop ouvertement en France’.”
Le livre de P. E. Blanrue nous rappelle le De Gaulle, Israël et les Juifs, de Raymond Aron, publié en 1968, et dans le quel celui-ci prenait à partie De Gaulle “jugeant néfaste pour les Juifs de France la politique que celui-ci menait vis-à-vis d’Israël”.
Aujourd’hui, Nicolas Sarkozy, “qui se réclame du gaullisme”, a mis en œuvre — en prônant désormais la défense inconditionnelle d’Israël — une politique qui est l’image inversée de celle du fondateur de la Ve République, convaincu que “l’établissement de l’État d’Israël est le miracle du XXe siècle”.
“La France est-elle devenue un pays aligné sur la politique israélienne ?” se demande l’auteur. Tout débat sur les relations avec Israël est devenu tabou. Le fait de rendre équivalents l’antisionisme et l’antisémitisme et la peur d’être rangé à vie dans l’une ou l’autre catégorie créent un sentiment de malaise et de culpabilité qui “tue les meilleures âmes”.
Existe-t-il un lobby juif ? Oui, si l’on se réfère à Mitterrand, président de la République qui fit allusion, devant l’académicien Jean d’Ormesson, à “l’influence puissante et nocive du lobby juif”. Oui, encore si l’on en croit le Premier ministre Raymond Barre qui déclara sur France-Culture le 1er mars 2007 :“Le lobby juif — pas seulement en ce qui me concerne — est capable de monter des opérations qui sont indignes.”
Il serait plus honnête de parler de lobby sioniste parce que tous les Juifs ne sont pas des sionistes. Certains s’arrogent le droit de parler au nom de tous les Juifs, et l’un de ceux-là est, sans conteste, Nicolas Sarkozy. N’est-ce pas lui qui a écrit en 2004 dans son livre, La République, les religions, l’espérance : “Dois-je rappeler l’attachement viscéral de tout Juif de France à Israël comme une seconde mère patrie ?”
Le 24 juin 2007, à l’occasion de la Journée de Jérusalem organisée par le Centre culturel juif à Montpellier, Georges Frêche, président du conseil régional du Languedoc-Roussillon, déclarait : “Moi, je me souviens d’être allé à Tiberiade lors de la guerre des six jours (1967), et c’est là que je me suis fait un ami. Je vais vous dire qui c’est : Nicolas sarkozy ! Hé oui, car on n’est pas du même bord mais pour Israël, on est du même bord ! Et je suis ravi que pour la première fois, la France ait élu au suffrage universel direct un Juif président de la République.”
Au journaliste Michel Denisot de Canal+ Sarkozy déclarait : “Je suis catholique mais je me sens proche de la communauté juive” du fait, peut-être, que son grand père était d’origine juive ?
C’est à Neuilly, “l’une des villes les plus riches de France”, qui abrite une importante communauté juive forte de 10 000 âmes qui se concentre dans le quartier Bagatelle Saint-James, appelé aussi le “ghetto du Gotha”, que Sarkozy va se lancer dans la “boulitique”. Adeline Fleury et Pauline Revenaz, dans leur livre consacré à la “sarkosie”, soulignent : “Depuis son accession à la mairie de Neuilly, Nicolas Sarkozy a toujours œuvré à ce que les Juifs de Neuilly ne manquent de rien...” Il sera de toutes les fêtes juives.
Son engagement pour Israël ira crescendo. Ce qui fera dire à Israël Singer du Congrès juif mondial, décoré le 3 mai 2004 à Paris de la légion d’honneur par Sarkozy, que “les déclarations de Nicolas Sarkozy sur l’antisémitisme, la lutte contre l’islamisme et les positions en faveur d’Israël... sont telles qu’elles pourraient avoir été faites par un leader d’une organisation juive”.
Sarkozy ira si loin dans l’apologie du sionisme qu’il deviendra un modèle pour certains ultra-sionistes américains. Il sera le chouchou de tous les lobbys sionistes américains. Il sera, en novembre 2007, au cours d’un déjeuner, honoré par l’AJC (Américain Jeuish Committee) qui lui remet la prestigieuse ligth unto the nations award (phare du monde), réservée aux chefs d'État exceptionnels, avec cette inscription “...en reconnaissance de votre amitié dévouée avec les États-Unis, Israël et le peuple juif”. Un an plus tard, en septembre 2008, il recevait de la pro-israélienne fondation Elie-Wiesel le prix “The humanitarian award.” Après “Sarko l’Américain”, c’est “Sarko l’Israélien” qui entre en scène. Le soir même de son élection à la présidence le 6 mai 2007, il lançait son projet d’union méditerranéenne sans dévoiler ses véritables objectifs. Mais en décembre 2007, Bernard Kouchner, ministre français des Affaires étrangères, excluait que l’UPM puisse s’édifier sans Israël bien que ce pays ne respecte pas le droit international.
Le relais de l’entreprise de diabolisation d’Israël contre le Soudan à travers “Urgence Darfour” va être pris par Sarkozy et son ministre des AE qui vont initier, avec la bénédiction de Washington, le 25 juin 2007, une réunion internationale sur le Darfour. Il est à souligner que le chef d’accusation de génocide contre le président Omar al-Bachir sous le coup d’un mandat d’arrêt internationale ne fut pas retenu par le CPI (Cour pénal internationale).
Alors que la Turquie attend depuis des lustres que les portes de l’Union européenne s'ouvrent à elle, Israël, avec le soutien de Paris, négociait secrètement son adhésion à l’UE, en tant qu’État membre !
De Gaulle peut se retourner dans sa tombe, Sarko a choisi son camp. Dominique Strauss-Kahn, choisi par Sarkozy comme candidat de la France à la présidence du FMI (Fonds monétaire international), n’avait-il pas affirmé en1991 : “Je considère que tout Juif de la diaspora, et donc c’est vrai en France, doit partout où il le peut apporter son aide à Israël. C’est pour ça d’ailleurs qu’il est important que les Juifs prennent des responsabilités politiques... (et sous-entendu économiques)… Au travers de l’ensemble de mes actions, j’essaie de faire en sorte que ma modeste pierre soit apportée à la construction de la terre d’Israël.” L’attitude des intellectuels juifs (pas tous) ne pouvait être mieux décrite que par la lettre de Claude Levi-Strauss à Raymond Aron, datée du 9 avril 1968 : “Certains éléments juifs de France, en profitant de leur pouvoir sur la presse écrite ou parlée et des positions acquises et en s’arrogeant le droit de s’exprimer au nom de tous les autres, se sont montrés ‘sûr d’eux-mêmes et dominateurs’... Nous avons assisté à une entreprise systématique pour manipuler l’opinion publique de ce pays. Rappelez-vous France Soir titrant sur toute la page : ‘Les Égyptiens ont attaqué’, et cela continue bien au-delà de la guerre des six jours.”
Ça continuera toujours de plus belle ! Alain Finkielkrant, celui que Sarkozy juge qu’“il fait honneur à l’intelligence française”, demeura muet sur le génocide de Gaza : 1 300 morts dont 437 enfants, 110 femmes et 123 vieillards et 5 000 blessés.
Sarkozy et le Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France) se passent le relais de la diabolisation de l’Iran. Quand l’un déclare que “le programme nucléaire de l’Iran appelle une réaction d’une extrême fermeté de toute la communauté internationale. Israël n’est pas seul”, l’autre, par la voix de son président Roger Cukierman, renchérit et “associe Mahmoud Ahmadinejad à Adolf Hitler”.
Or, le président iranien n’a jamais annoncé vouloir anéantir Israël. C’est une phrase prononcée à Téhéran le 26 octobre 2005, sortie de son contexte qui a été transformée en acte d’accusation. Cette phrase résultait d’une traduction mal intentionnée et malveillante diffusée par Reuters ainsi : “Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a déclaré mercredi qu’Israël devait être rayé de la carte…”
Le pouvoir sarkozien entretient d’étroites relations avec l’association France-Israël dirigée par Rudy Salles, vice-président de l’Assemblée nationale, ainsi qu’avec le groupe d’activité parlementaire France-Israël qui compte 113 députés. L’autorité, le crédit et l’impact sur la politique étrangère de la France de ces groupes de pression tendent à museler toute pensée et toute critique d’Israël est perçue comme un signe d’antisémitisme. “Parler d’Israël avec sérénité et franchise est devenu impossible”, souligne Paul-Éric Blanrue, historien spécialisé dans les mythifications et collaborateur à la revue Historia.
“…Pour le publier (Sarkozy, Israël et les Juifs) c’est hélas non, car, outre les risques (mesurés malgré tout) de sortir ce livre, on n’aura pas une ligne de presse et encore moins de média télé ou radio, justement du fait de la mainmise de ceux dont on ne peut pas dire le nom et leurs affidés…”, extrait de la lettre d’un des éditeurs parisiens à l’auteur. Au pays des droits de l’Homme et de la liberté d’expression, tout est possible ! Un livre à se débrouiller, à lire et à méditer.
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Y. F.
(*) Membre fondateur
de la fondation du 8-Mai-45.
Fondateur d’Algérie Actualité.
Posted by Abu-Suleyman