28 septembre 2010 2 28 /09 /septembre /2010 23:43

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Je reçois ce texte,

je le publie aussitôt.

Le capitalisme est

un Système qui broie l'individu.

Il est inhumain, implacable.

Témoignage sur les méthodes

d'une entreprise de service public privatisée.

A relayer !

Et défendons nos services publics,

halte aux privatisations insensées,

halte aux méthodes de management inhumaines,

halte au culte de la performance et de l'argent.

Et replaçons l'humain au coeur de l'entreprise.

eva

 

Halte à cette "manie", cette "épidémie" de suicides (!),

comme disait l'ancien directeur de France-Télécom

avec toute l'arrogance méprisante qui le caractérisait.

 

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Humiliation, dépression, démission:
L'offre triple play de France Télécom

 

 

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Crédits photo:  Document distribué pendant les stages de management pour suivre l'état psychique du salarié après l'annonce de sa mutation.

Un ancien directeur régional raconte le plan machiavélique de l’entreprise pour faire partir 22 000 personnes du groupe sans avoir à les licencier.

 

 

C’était en 2006. La femme, cadre supérieure chez France Télécom, entre comme une fusée dans le bureau de son supérieur hiérarchique :

“Je te préviens, ici, il n’y a ni micros ni caméras. Je suis mandatée au plus haut niveau pour te dire que tu n’as plus rien à attendre de l’entreprise. On fera tout pour que tu partes, sinon, on te détruira !”

Puis elle sort du bureau, laissant son chef, Christian, halluciné. Ce directeur régional de France Télécom, qui dirigeait 13 000 personnes, a longtemps hésité avant de nous raconter ce qui va suivre. Il a 57 ans. Il sait qu’il est le premier responsable à révéler ce qu’il a vu dans son entreprise. Ce qu’il décrit ? La mise en pratique, au sein du groupe France Télécom Orange, d’un management qui fait souffrir les salariés. Ce mois de septembre, cinq d’entre eux se sont encore donné la mort, portant à cinquante-huit le total des suicides depuis trois ans.

Christian se souvient du jour, en 2004, où deux cents cadres et directeurs se sont retrouvés à Paris dans un amphithéâtre. Didier Lombard, le pdg de l’époque, leur présente le nouveau visage de l’entreprise :

“Je vous préviens : les choses vont changer ! Je viens vous présenter ma nouvelle équipe. Elle va jouer dans un registre que vous ne connaissez pas : ça va être ‘le bon, la brute et le truand’. Le bon, il n’est plus là. La brute, continue-t-il en désignant le numéro 2 du groupe, Louis-Pierre Wenes, c’est lui. Et le truand, pointant du doigt le DRH Olivier Barberot, le voici !”

Derrière la blague, Didier Lombard annonce le scénario pour les trois ans à venir : faire partir 22 000 personnes du groupe sans avoir à les licencier. Voici la recette : on incitera des salariés à démissionner ; on en mutera dans d’autres secteurs de la fonction publique ; on signera des congés de fin de carrière. Dans la salle, Christian est bon public. Le rachat d’Orange en 2000 a plombé les comptes. La concurrence est féroce. Pour survivre, il faudra bien réduire les effectifs. Christian sait qu’il va recevoir des directives pour réaliser le projet du pdg : le plan Next.

Quelques jours plus tard, cinq ingénieurs qu’il dirige sont appelés à Paris pour suivre un stage de management. Le jour de leur départ, Christian voit l’un d’eux, Philippe, embrasser son collègue et proche ami Serge. Dix jours plus tard, Philippe revient de son stage.

“Au premier regard, se remémore Christian, je vois qu’il n’est plus le même. Il me regarde différemment. Il nous regarde tous différemment.”

Philippe retrouve son ami Serge au déjeuner, qui lui demande comment s’est déroulé son stage.

“Je t’expliquerai les nouvelles règles, répond Philippe. Je passe manager. Tout doit changer. – Comment ça, tout doit changer ? – Tu le verras rapidement. Selon nos patrons, on est trop nombreux ici.”

Informé de cet échange, Christian convoque Philippe pour une explication. Elle se déroule dans le bureau de Christian, avec sa table en verre, son canapé, sa table basse ; mobilier corporate lisse et froid comme un bar à sushis. Christian harponne Philippe :

“Tu as dit à Serge qu’on était trop nombreux, ici. Ça veut dire quoi ? – Toi qui es dans la hiérarchie, tu dois connaître : c’est le plan Next. Je fais partie des quatre mille qu’on a sélectionnés pour l’appliquer sur le terrain. J’ai un objectif clair : dans trois mois, on doit être dix ingénieurs de moins sur les trente que nous sommes.”

Pour virer les dix ingénieurs, Philippe annonce :

“On va leur faire comprendre que l’entreprise est en guerre et que dans toute guerre, il y a des morts. Et que bouger, accepter le changement, c’est la vie. – C’est ça qu’on t’a appris dans le stage ? – Entre autres."

Devenu manager, Philippe applique dans son équipe le plan Next. L’open-space qu’il anime est tourneboulé comme un cube. Stéphane, invisible ingénieur d’une équipe commerciale, dirige soudain Rodolphe, qui était son supérieur la veille. Thierry, un cadre qui refuse la promotion qu’on lui impose, se voit rétrogradé et placé sous l’autorité d’un de ses subalternes. Philippe ordonne, place et déplace les employés. Dans l’openspace, on commence à se regarder de travers. Des camps se forment. On se parle moins à la cantine. Dans son bureau, Christian reçoit des appels de sa direction parisienne.

“On me conseille de fixer des objectifs inatteignables, pour pouvoir dire au collaborateur : ‘Je suis désolé, mais là, on ne peut plus continuer avec toi’…”

Peu à peu, des infos lui parviennent des boutiques, des centres d’appels, des open-spaces chamboulés par le plan Next : ça va mal. Les salariés commencent à faire des dépressions. Des formules comme “au bout du rouleau”, “envie de suicide” remontent jusqu’à lui. Il décide d’alerter Paris et envoie des e-mails à la DRH du groupe.

Christian ne reçoit aucune réponse. Jusqu’à ce matin de 2006 où Simone, membre de son équipe d’encadrement, débarque en trombe dans son bureau pour lui déclarer que sa hiérarchie ne veut plus de lui.


A dater de ce jour, des cadres sous les ordres de Christian passent devant lui sans le regarder. Il se demande comment Philippe, bon et solidaire, a pu devenir en dix jours un manager capable de muter, tel un pion, un collègue avec qui il déjeune à midi. Il imagine de redoutables techniques de lavage de cerveau. Il en parle à Oscar, un cadre de la direction parisienne du groupe, qui lui a gardé son amitié. Christian ne peut pas mieux tomber : Oscar a participé au fameux stage où l’on a formé Philippe aux techniques pour mobiliser les employés et leur “faire accepter le changement”.

Un soir, loin des bureaux, Oscar lui donne les fiches pédagogiques qu’il a reçues comme Philippe lors de leur stage parisien dans les locaux d’Obifive, une société internationale de coaching en management. Il découvre un curieux schéma. Un plan de la bataille d’Angleterre de 1940, qui vante la “précision” et la force de “l’exécution conf¡orme” des avions de chasse allemands. Intrigués, nous demandons un rendez-vous à Céline Lerenard, la directrice associée d’Obifive :

“Ce n’est pas un peu bizarre, de comparer les concurrents de France Télécom à des avions allemands ? – Vous avez mal compris. On voulait faire ressortir la solidarité qui existait entre les pilotes et les mécaniciens de la Royal Air-Force. – Pardon, mais ça, ça n’est écrit nulle part. Ce qu’on voit, ce sont des avions de la Luftwaffe bombardant des villes en Angleterre. – Alors vous avez mal compris.”

Des témoins, des employés de France Télécom qui ont participé au stage, racontent une autre histoire :

“Les formateurs expliquaient que nous étions en guerre. D’abord, on nous montrait l’Angleterre prise en tenailles par les nazis. Ensuite, on nous montrait Orange prise en tenailles par Free, par Bouygues et par Nokia…”

Nous rencontrons Bruno Diehl à Paris. Conseiller en management de l’équipe du pdg de France Télécom jusqu’en 2007, il a écrit en mai 2010 un livre montrant comment, à partir de l’an 2000, un management déshumanisé a plombé l’entreprise. Diehl était en relation avec des formateurs qui animaient les stages de management. Il nous décrit des stages efficaces et vivants, concrets, pleins d’exercices pratiques inspirés de la réalité.

Par exemple, on proposait aux stagiaires de réduire de moitié les effectifs de leur plate-forme : vingt-cinq personnes à faire partir. Sur ces vingt-cinq, l’une avait une mère atteinte d’une maladie grave. Il va la voir chaque jour et sa mutation doit l’envoyer à plus de 100 kilomètres. Exercice : “Comment vous y prenez-vous pour le faire partir ?” Après quoi, le formateur donnait la réponse. Il faut, disait-il, faire comprendre avec humanité l’importance de ce choix : soit le collaborateur emmène sa mère avec lui, soit il démissionne pour rester auprès d’elle.

“Culpabilisé, le collaborateur prendra lui-même la bonne décision : démissionner.”

Christian découvre un second document. Celui-là prouve que France Télécom savait que ses employés allaient inévitablement perdre leurs repères, puis leur moral. C’est une belle courbe, signée Orange et Orga Consultants, une autre société de coaching en management. Elle s’intitule “Les phases du deuil”. Cet outil devait permettre au manager de comprendre l’état psychique du salarié qui subit une mutation forcée dans une ville éloignée ou dans un autre service.

La “courbe du deuil” définit six étapes : l’annonce de la mutation, le refus de comprendre, la résistance, la décompression, la résignation et, pour finir, l’intégration du salarié. Le manager est averti : en phase 3, la “résistance”, l’employé peut se livrer à des actes de sabotage. Puis en phase 4, la “décompression”, il va chuter dans le désespoir et la dépression. La légende, sous la courbe, conseille au manager de faire entendre à son employé dépressif que “l’évolution des besoins est à la source du changement”. En français, que sa mutation est inévitable.

Ces dépressifs programmés, Christian en a repéré plusieurs au sein de la boîte. Ce que les dirigeants n’avaient pas prévu, c’est que cinquante-huit d’entre eux, au lieu de se laisser accompagner par leur manager jusqu’en phase 6, celle de “l’acceptation du changement”, iraient jusqu’au suicide ou à la tentative de suicide. Dans son bureau, à Arcueil, Val-de-Marne, nous interrogeons la directrice exécutive adjointe du groupe France Télécom Orange, Delphine Ernotte.

“Qu’est-ce qu’un outil comme la ‘courbe de deuil’ vient faire entre les mains d’un manager ? – Ce qu’on voulait, c’était accompagner au maximum les employés. Mais peut-être était-ce maladroit. – Vous aviez prévu des dépressions : c’est écrit dans les documents. Vous auriez pu prévoir que certains allaient craquer, non ? – Non. On ne l’a pas du tout imaginé.”

Un matin de 2007, Christian est convoqué place d’Alleray, à Paris, le siège du groupe. Sur le courrier recommandé, aucun détail sur le motif de la convocation. Une fois sur place, il cogne à la porte du DRH du groupe, Olivier Barberot, qu’il connaît et qu’il tutoie. Mais Barberot ne le reçoit pas comme d’habitude. Il le vouvoie :

“Monsieur, vous deviez vous présenter hier, vous ne l’avez pas fait. Cela nous contraint à engager une procédure disciplinaire. A moins que vous n’acceptiez de signer votre départ de l’entreprise.”

Christian écoute le DRH, accompagné d’un assistant, lui vanter l’intérêt d’un départ à l’amiable. Au bout de quelques phrases, Christian explose :

“Je n’imaginais pas que vous étiez capables d’une saloperie pareille ! Vous êtes des salauds mais vous avez gagné : je ne veux plus vous voir. Je ne veux plus travailler avec des gens comme vous.”

Puis, sur ces mots, Christian signe son départ, quitte l’immeuble en pleurant et prend le chemin d’une autre vie. Après la révélation, l’an dernier, du scandale des suicides en série, Olivier Barberot, qui gérait la carrière de 200 000 employés du groupe, a été déplacé au poste de pdg d’une filiale de sept-cent cinquante personnes. Nous n’avons pas réussi à le joindre pour entendre sa réponse au récit de Christian. Mais nous avons pu parler au téléphone à un communicant du groupe France Télécom Orange. Nous l’informons que Les Inrocks ont recueilli le témoignage d’un de leurs anciens directeurs régionaux, et que celui-ci, pour ne pas exposer sa nouvelle carrière, préfère taire son nom dans l’immédiat.

“Ne connaissant pas ce monsieur, il nous est difficile de répondre à ce qu’il dit avec précision. Des dérives dans la politique d’objectifs ? Oui, il y en a eu. Qu’à un endroit, ça ait pu exister, c’est possible. Mais il ne faut pas généraliser. Cela ne relève d’aucune politique malsaine.”

Ce mois de septembre, les suicides continuent chez France Télécom. Pour corriger ses erreurs, la direction réforme. Le nouveau pdg, Stéphane Richard, a confirmé la fin des mutations forcées du personnel, le retour à un management plus humain. On nous assure qu’il n’y a plus de contrats avec Obifive et Orga Consultants. Ces sociétés de coaching ne formateront plus les managers du groupe avec la bataille d’Angleterre et la “courbe du deuil”

 

http://www.lesinrocks.com/index.php?id=135&tx_ttnews[tt_news]=51122&tx_ttnews[date]=2010-09-25&tx_ttnews[tstamp]=51122&cHash=3def7882e7f4ad575a0d9cc15aedfc33

 

Quand les patrons spéculent sur la mort de leurs employés

money_4_war_44535Je vous propose d’aborder aujourd’hui un sujet particulièrement riant. Aux Etats-Unis, les entreprises ont trouvé un moyen génial pour se faire de l’argent sans rien faire. Je ne parle pas de prix de transferts et de spéculation (quoi que…), mais du truc le plus pervers que le capitalisme puisse permettre : se faire de l’argent grâce à la mort des employés qu’on a exploités. Fallait y penser, ils l’ont fait. Moult entreprises US, parmi les plus importantes, prennent des contrats d’assurance vie sur leurs employés, sans le leur dire, pour toucher un maximum à leur mort.

 suite ici :

http://dondevamos.canalblog.com/


Affaire Bettencourt :
Des documents saisis chez l'informateur du Monde

Des documents concernant l'afffaire Bettencourt ont été retrouvés chez David Sénat, ex conseiller de Michèle Alliot-Marie, mis sur écoute par la police alors qu'il fournissait des informations au journal Le Monde 

http://www.sudouest.fr/2010/09/28/affaire-bettencourt-des-documents-saisis-chez-l-informateur-du-monde-197173-3.php

 

 

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Projet de loi sur l’immigration :

"La frontière, ce n'est pas la barbarie, mais la civilisation"

Communiqué de Nicolas Dupont-Aignan


mardi 28 septembre 2010 à 21h28

La "guéguerre" que vont se livrer le PS et l’UMP sur le projet de loi sur l’immigration relève au mieux de la mascarade, au pire de l’escroquerie. 

Plutôt que de se concentrer sur les centaines de milliers de clandestins qui se maintiennent sur le territoire national, le gouvernement va une nouvelle fois tenter de masquer l’échec de sa politique en jetant un formidable écran de fumée législatif sur son incapacité à tenir ses promesses. Ainsi, la mesure phare "d’extension de la déchéance de la nationalité " ne concernera au pire que deux ou trois individus par an alors que 80% des décisions de reconduite à la frontière (environ 50 000) ne sont même pas appliquées !

De son côté, la gauche va s’indigner et pousser des cris d’orfraie, ne se rendant pas compte qu’elle marche en réalité main dans la main avec un certain patronat qui use et abuse d’une main d’œuvre bon-marché, faisant baisser les salaires des ouvriers dans notre pays et condamnant la jeunesse des quartiers au chômage.

 

En pratique, le PS et l’UMP vont donc s’écharper sur l’accessoire puisqu’ils sont d’accord sur l’essentiel, à savoir une politique européenne, mondialiste et immigrationniste qui épuise tout autant notre pays qu’elle assèche les pays émergents, et notamment l’Afrique.   C’est cette politique mondialiste qui conduit à la ghettoïsation et à la stigmatisation dont sont aujourd’hui victimes les étrangers en situation régulière et les enfants d’immigrés.


Seul le rétablissement des frontières nationales permettrait de lutter efficacement comme une immigration clandestine de masse qui pose un vrai problème pour les plus faibles et les plus exposés de nos concitoyens. La frontière, ce n’est pas la barbarie mais bel et bien la civilisation. (Et c'est la souveraineté, note d'eva)

.

Nicolas Dupont-Aignan,

Député de l’Essonne et président de Debout la République.

 

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                                                             La France de Jean Moulin

                                                           

                  Les évadés fiscaux, ça suffit !

 

A l’aube d’une période d’austérité et d’un plan de rigueur pour la France, il peut être intéressant de connaître la liste (non exhaustive, tirée du « Nouvel Observateur » n° 2359 du 21 Janvier 2010) des personnalités qui ont fui fiscalement le pays pour s’installer en Suisse, ou dans un autre paradis fiscal. S'ils l’ont fait en toute légalité (achat d’une résidence en Suisse, séjour inférieur à 6 mois sur le sol français), il est par contre inadmissible que certains d’entre eux continuent à s’immiscer dans la vie politique française, en participant activement aux campagnes électorales, pour soutenir tel ou tel candidat, ou pire, en étant officiellement investi par l’Etat pour représenter la France à l’étranger, comme c’est le cas actuellement pour Alain Delon qui est le parrain officiel du pavillon français à l’exposition universelle de Shanghai.

 

Parmi les plus actifs dans ce domaine, il y a donc Alain Delon (à Genève depuis 1999),mais aussi Johnny Hallyday à Gstaad depuis 2006 (le concert du 14/07/2009 à coûté 500000€ payé par le contribuable Français), sans oublier Charles Aznavour (résidant à Genève), Patricia Kaas, Emmanuelle Béart (qui manifeste EN FRANCE pour que les français accueillent et nourissent les "sans papiers" !....puis s' en retourne en Suisse, tranquillement... )  , Daniel Auteuil, Marc Levy et Michel Houellebecq etc....

 

Parmi les sportifs on peut citer Alain Prost, Jean Alesi, Richard Virenque, et les tennismen Guy Forget, Richard Gasquet, Henri Leconte, Amélie Mauresmo, Gaël Monfils, Cédric Pioline, et Jo-Wilfried Tsonga qui payent tous leurs impôts en Suisse.

 

Moins étonnant, mais encore plus scandaleux, des Personnalités des affaires qui exercent actuellement (ou ont exercé récemment) un pouvoir politique économique ou financier en France, parmi eux :

Antoine Zacharias (Vinci), Claude Berda (AB groupe, TF1), Daniel Hechter (couturier) et Jean-Louis David (salons de coiffure, cosmétiques).

 

Mais aussi des rentiers et des héritiers, dont les fortunes ont été créées en France, avec la participation de centaines de milliers d’ouvriers français :
Eric Peugeot, Jean Taittinger (PDG de la société du Louvre, ancien 
ministre de la justice et député de la Marne), Philippe Hersant (patron de presse du Groupe Hersant), Corinne Bouyques (héritière de la fortune Bouygues), les familles Defforey (Carrefour), Mulliez (Auchan) et Halley (Promodès), tous résidant à Genève ou aux environs.

 

Si ces gens n’aiment pas (fiscalement) la France, qu’ils la quittent et qu’ils l’oublient, et surtout qu’ils n’en profitent pas quand ils en ont besoin (comme par exemple pour venir s’y faire soigner).

 

A tous les français qui vont se serrer la ceinture dans un proche avenir, nous proposons de boycotter les concerts, les disques et les livres de tous ceux qui ne participeront pas à l’effort de solidarité nationale et aux médias, nous demandons de ne plus offrir de tribunes télévisées (pour la promotion de films et de disques) aux artistes concernés et de ne plus faire de sponsoring aux sportifs exilés.

 

Aux députés nous demandons d’instaurer une loi pour qu’il ne soit plus possible pour un évadé fiscal de venir se faire soigner en France (dans un hôpital public) ni de représenter officiellement la France à l’étranger.

 

Si vous pensez que ce message est légitime, faites–le circuler. Il aura peut-être le pouvoir de ramener certains de ces égarés fiscaux à revoir leur position.
Maintenant, il reste à trouver le Député qui aura le cran de présenter un texte, et là, c' est pas gagné !!!.

 

 

Une nouvelle revue: Médecine alternative

 

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Au contraire, il nous semble que toutes ces approches thérapeutiques sont le plus souvent complémentaires, et qu’elles ont de bonnes raisons d’être défendues.

Il s’agit donc d’observer avec pragmatisme ce qui marche et ce qui ne marche pas, tout en essayant de comprendre pourquoi.

En s’appuyant sur les travaux de médecins et de chercheurs, nous voulons poser un certain nombre de questions de santé sur la table, sans idéologie, ni tabous.

 
Cette nouvelle revue bimestrielle a pour ambition de présenter des dossiers fouillés en matière de soins et de santé, de proposer des solutions alternatives et pragmatiques et de faire découvrir de nouvelles méthodes de soins.

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Dans ce numéro, vous découvrirez un dossier complet sur le SIDA, une enquête sur l’utilisation des asticots et des sangsues pour soigner les plaies et leurs vertus anti-inflammatoires (Médecine ancienne. Et les ventoûses, vous vous souvenez ? Retour aux sources ! Eva)

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Le conflit israélo-palestinien ne se résoudra jamais
sur les bases actuelles
Daniel Vanhove
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=21225
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Pauvreté : « La dette est le verrou qu’il faut faire sauter »

Pauvreté : « La dette est le verrou qu’il faut faire sauter »
Chronique - Les objectifs du millénaire ? Sept sur huit ne seront sans doute pas atteints. Mais plus que la crise, c’est notre système capitaliste qui est en cause. Il est temps de revoir la copie et d’annuler une fois pour toute la dette des pays du Sud.
Lire ici :
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l'Islam est le dernier rempart contre le nouvel ordre mondial
L' Islam, dernier rempart contre le Nouvel Ordre Mondial ?
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Pierre Hillard, catholique :
  L'Islam ne porte pas aux nues l'american way of life,
Il ne se focalise pas sur les plaisirs matériels
et sur la société de consommation
Il représente une menace, c'est un concurrent, un adversaire
pour la City et au Nouvel Ordre Mondial
Il se méfie du matérialisme mercantile
Il a une autre source d'espoir que les simples instincts matériels
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http://www.alterinfo.net/l-Islam-est-le-dernier-rempart-contre-le-nouvel-ordre-mondial_a50272.html
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Les jeunes (travailleurs, étudiants, chômeurs..)
et les lycéens doivent entrer en résistance
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Retraites: les étudiants et les lycéens vont entrer dans la résistance à Sarko et à sa clique de voyous
 
inv
VOILA LES RENFORTS dont les syndicats avaient besoin et que l'exécutif redoutait. Après plusieurs mois d'atonie et de silence, les étudiants (et les lycéens) ont décidé de se lancer eux-aussi dans la bataille contre la réforme des retraites. Comme en 2006 où ils avaient fini par obtenir la peau du Contrat première embauche (CPE), ils savent que leur engagement peut être décisif. Leur capacité de mobilisation - plusieurs centaines de milliers de jeunes tout de même - est on ne peut plus importante. Et surtout leur résistance, sans limite. D'où les craintes légitimes du gouvernement de les voir entrer maintenant dans la danse, au moment où le projet de loi va commencer à être examiné au Sénat...

L'UNEF, syndicat étudiant proche du parti socialiste, a lancé ce lundi 27 une grande campagne de mobilisation qui doit conduire à organiser des AG dans toutes les facultés. Son slogan ? "Étudiant à 20 ans, chômeur à 25, toujours précaire à 67 ans ? Non merci !" Plus de 30 000 tracts et 50 000 affiches vont ainsi être distribués dans les universités d'ici samedi, pour convaincre les étudiants - qui reprennent tout juste le chemin des amphis - de se mobiliser les 2 et 12 octobre prochains. Sa demande ? Ni plus ni moins que le retrait du projet de loi, ce que ni la CGT ni la CFDT ne réclame aujourd'hui. L'organisation étudiante revendique que "toute évolution du système de retraite intègre la validation des années d'études et la prise en compte" dans le calcul des annuités ouvrant le droit à la retraite, "des périodes d'inactivité forcée, et notamment des périodes de stages, d'insertion, d'emplois précaires et de chômage non-indemnisé qui conduisent les jeunes à accumuler des droits à retraite très incomplets".
 
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Taxes sur les pauvres,
pas sur les riches, pas sur la Haute Finance !
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220px-Jean-Claude_Trichet_-_World_Econom
Wikipedia, Trichet

La Banque centrale européenne (BCE) juge l'idée d'une taxe

sur les transactions financières, telle que mise en avant par

la France et l'Allemagne, "pas souhaitable  pour des raisons

économiques et financières, et pour des raisons techniques",

selon M. Trichet. Lire ici :

http://www.la-croix.com/afp.static/pages/100927142606.s849p9oa.htm

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Etats-Unis: Le démantèlement de la société civilisée (The Regressive Antidote)
Le nouveau manifeste « Sermon à l’Amérique » récemment publié par les Républicains  (..) :  Le manifeste est surchargé de débauche et de destruction déguisés en piété et patriotisme. Lire ici : .
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Nouvelles censurées du Golfe :
Des communautés entières se sont mises à vomir du sang

 

L’inhumanité de l’opération lancée dans le Golfe par le complexe pétrochimico-militaro-industriel (PMIC), la guerre contre les américains par l’utilisation de son dispersant, arme chimique de destruction massive fabriquée aux Etats-Unis, devient plus claire chaque jour. L’un des derniers rapports fait état de communautés entières atteintes d’hémorragies internes en Louisiane.

Dans une interview de Dahr Jamail par Intel Hub Radio le 17 septembre 2010, Jamail a déclaré que "tous les jours le long du Golfe, d’énormes catastrophes se produisent et l’impact sur l’homme - les éruptions cutanées et autres répercussions liées aux dispersants - deviennent monnaie courante."

 

"L’empoisonnement aérien délibéré des américains avec une arme chimique de destruction massive, maintenant évident dans le Golfe du Mexique et dans les régions côtières, n’est pas seulement un acte de guerre contre la population américaine. Comme l’eau et l’air empoisonné va faire le tour de la planète, cette opération présente un risque de sécurité nationale pour les pays de par le monde." (Dupre, 12 juillet)

 

suite ici : http://www.newsoftomorrow.org/spip.php?article8812

 

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La France, l’Union européenne, qui prétendent jouer un rôle politique pour la paix au Proche-Orient et qui ont reconnu la nocivité de la colonisation, ont les moyens d’imposer son arrêt total par des pressions économiques, politiques et diplomatiques sur Israël. Il est temps de ne plus cautionner la colonisation. Il est temps de mettre un terme à l’impunité. Il est temps de sanctionner les violations du droit international. Il est temps de suspendre l’accord d’association entre l’UE et Israël tant que ce dernier ne respecte pas le droit. Imposer le droit international, seul garant d’une paix pérenne, c’est donner, précisément, une chance à la paix.


A Paris, le 27 septembre 2010.
AFPS

 Association France-Palestine Solidarité (AFPS)
www.france-palestine.org

L'économie avec Rachida, moi je dis :

"Vive l'inflation !!!"

 

lapsus rachida dati couleur

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  http://obi.abonnemine.over-blog.com/article-vive-l-inflation-57953320.html

 

Perthus : la première euromanifestation

(Youpi ! On y vient ! eva)

Les syndicats français, espagnols, catalans et andorrans manifestent à la frontière

Des centaines de manifestants défilent entre midi et 16h au col du Perthus dans les Pyrénées-Orientales, à la frontière avec l'Espagne. Ils dénoncent les politiques d'austérité menées par les gouvernements européens et par l'Europe..

La grogne sociale monte en Europe face aux mesures de rigueur prises depuis la crise de la dette, avec plusieurs dizaines de milliers de manifestants attendus aujourd'hui dans les rues de Bruxelles et une grève générale en Espagne.

(Pari réussi pour la Condération européenne des Syndicats ! eva)

Par Fabrice DUBAULT Lire ici : 

 

http://sud.france3.fr/info/languedoc-roussillon/perthus--la-premiere-euromanifestation-65094776.htm

 

"GOY"

 J'ai eu la curiosité de regarder ce que signifiait, exactement, le mot "goy" (eva): 

Le terme de goy ou goï  apparaît dans la Bible hébraïque  afin de désigner une « nation » pourvue d'institutions, par opposition au « peuple »,  qui qualifie plutôt un conglomérat de personnes

Correspondant à ce que les bibles chrétiennes expriment comme les Gentils  (du latin Gentiles, les « Nations »), c'est-à-dire les peuples non-Juifs, il est le plus souvent utilisé entre eux par les Juifs pour désigner les membres des nations environnant Israël

Le sens du terme a évolué selon les époques, l'usage biblique du terme n'étant ainsi pas celui du Talmud, ou de la période contemporaine
http://fr.wikipedia.org/wiki/Goy

C O M M E N T A I R E S : I C I

 


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  • : Le blog d' Eva, R-sistons à l'intolérable
  • : Eva à 60 ans.Blog d'une journaliste-écrivain.Analyse des faits marquants de l'Actualité,non-alignée,originale,prophétique,irrévérencieuse. Buts: Alerter sur les menaces,interpeller,dénoncer l'intolérable,inciter à résister. Alternance articles Eva et liens infos non officielles. Ici,pensée et parole libres. Blog dénaturé par over-blog le 1.2.15,il sera transféré sur Eklablog
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