Eva à 60 ans.Blog d'une journaliste-écrivain.Analyse des faits marquants de l'Actualité,non-alignée,originale,prophétique,irrévérencieuse. Buts: Alerter sur les menaces,interpeller,dénoncer l'intolérable,inciter à résister. Alternance articles Eva et liens infos non officielles. Ici,pensée et parole libres. Blog dénaturé par over-blog le 1.2.15,il sera transféré sur Eklablog
Le 26 juin 2009, des avions suspects contraints d'atterrir.
L'indicatif d'appel d'un appareil états-unien AN-124 passant du mode civil en mode militaire en entrant dans l'espace aérien du Pakistan, cela a déclenché une réponse des Forces aériennes indiennes qui ont contraint l'avion à atterrir à Mumbai tandis que des avions de chasse nigériens forçaient un second appareil à atterrir et en arrêtaient l'équipage.
Selon des rapports, l'armée de l'air CHINOISE a contacté les services secrets indiens et nigériens sur la présence de ces avions états-uniens d'origine ukrainienne (Antonov AN-124) suite à leurs inquiétudes croissantes concernant les États-Unis qui répandent des "agents biologiques" dans l'atmosphère terrestre, ce que certains fonctionnaires chinois considèrent être une tentative de génocide de masse via l'épandage de la grippe aviaire H1N1.(..)
http://translate.google.fr/translate?u=http%3A%2F%2Ffto.co.za%2Fnews%2Ftrail-pneumonic-plague-ukraine-chemtrails-spray-fears-vaccine-2009110815746.html+&sl=en&tl=fr&hl=fr&ie=UTF-8
jp-petit.org
Comment loger une puce dans votre cerveau
Jean-Pierre Petit et François Lescure
24 octobre 2005
C'est enfantin. Mais avant de vous expliquez le coup, une simple remarque. La technologie ne fait qu'imiter le monde du vivant, depuis l'aube des temps. Les vêtements sont une peau, un pelage artificiels. La première pierre taillée imite le croc, la dent, la corne. Le feu permet de prédigérer les aliments et d'étendre son "rayon d'action alimentaire". Les lunettes sont des cristallins artificiels. Les livres sont des "mémoires externes", contenant des informations transmissibles. Continuez. Les molécules de synthèse des industries pharmaceutiques prolongent avec plus ou moins de bonheur les pharmacopées naturelles. Les poisons des bushmen imitent ceux des serpents. Pour dresser une liste de ces analogies, nous n'en finirions jamais.
On en arrive alors au parasitsime. Les premiers parasites sont les virus. Il existe nombre de cas de parasitisme où l'intrus se loge dans le cerveau ou le système nerveux d'animaux en modifiant leur comportement. Tel insecte se jettera à l'eau et se "suicidera" pour être à son tour avalé par quelque autre bestiole dans le ventre de laquelle le parasite pourra poursuivre son "cycle de vie", être non pas détruit et digéré mais éjecté quelque part, ailleurs. D'autres insectes se perchent en haut de brins d'herbe, alors qu'ils ne le font jamais naturellement, afin de pouvoir être avalés par les oiseaux, lesquels transporteront le parasite sur de grandes distances, qui se retrouvera intact, vivant, dans leurs excréments. Beaucoup de parasites fonctionnent avec un système d'hôtes successifs.
Les "puces", extensions beaucoup plus sophistiquées des " RFID " des Radio Frequency Identification Devices ", des " tags électroniques" constituent la version technologique du parasitisme. La société alien technology les produit à des fins diverses et variées. Allez surfer sur ce site. Les applications militaires y sont présentées sans la moindre gêne. On sait déjà que les nanotechnologies, beaucoup plus avancées qu'un vain peuple ne pourrait le penser permettent déjà d'en produire ayant une taille de cent microns de diamètre, c'est à dire un dixième de millimètre : plus petites qu'un grain de sable. De la taille du point terminant cette lige. La société Gilette avait projeté d'implanter de tels marqueurs sur ses rasoirs. Mais la levée de boucliers des associations de consommateurs américains a fait avorter le projet. Ca n'est que partie remise.
Pour l'industrie vestimentaire ces puces peuvent être logées ... dans les fils du tissu. La technique est déjà au point et a été testée avec succès. Il suffira simplement que les gens s'habituent simplement à cette idée.
Il reste le saut conceptuel majeur : accepter que la la puce puisse être intégrée dans le corps des individus. Partout on vante les mérites d'une telle solution. Données médicales, marquage des déliquants sexuels, des individus considérés comme dangereux. Puis, un jour, marquage tout court. Comme disait quelqu'un un jour " pourquoi refuser cette technique, si vous n'avez rien à cacher ? ".
J'ai déjà évoqué un système permettant d'implanter des puces microscopiques par dizaines ou centaines de millions chez des êtres humains, via une vaste opération de vaccination. Ainsi les êtres humains viendraient d'eux-mêmes se faire équiper à leur insu. N'est-ce pas une merveilleuse formule, sans brutalité ni contrainte ?
Mais, comment faire pour que ces micropuces viennent se loger là où elles pourraient rendre les plus grands services : dans le cerveau. Doit-on imaginer un système sophistiqué qui puisse les acheminer dans nos encéphales ?
Même pas. Cela se fait tout seul. Il suffit que ces micropuces aient une densité inférieure à celle du sang. Je vais vous expliquer. Bien sûr on n'en logera pas une seule dans l'ampoule du vaccin salvateur, mais plusieurs. Le sang charriera ces minuscules " bulles". Je n'ai pas choisi ce mot au hasard. Vous avez entendu parler des accidents de plongée, des accidents de décompression. Les alvéoles pulmonaires constituent l'interface naturelle grâce à laquelle s'effectue l'oxygénation, mais aussi le dégazage du sang. Celui-ci, comme tout liquide peut absorder des molécules de gaz, de différents façons. L'oxygène se combine aux globules rouges pour donne de l'oxyhémoglobine, qui permettra ainsi à l'oxygène collecté d'être acheminé vers les cellules. L'azote se dissout également dans le sang. Pour toute pression donnée, tant de molécules d'azote par centimètre cube de sang. Quand la pression augmente, ce nombre s'accroît.
Quand le plongeur remonte, l'azote émerge de la masse sanguine. Si la remontée est assez lente, des bulles n'apparaîssent pas. Le dégazage de l'azote se produit alors tout tranquillement dans les poumons, à " l'interface", dans cette partie des délicates vacuoles où le flux sanguin est en contact avec l'air contenu dans les poumons. Pour mieux comprendre, prenez une bouteille de champagne. Quand vous la débouchez la surface libre du champagne constitue son interface de dégazage. Elles permet à tant de molécules de CO2 de quitter le liquide par seconde. En laissant fuir le gaz progressivement, vous faites en sorte que votre champagne, chargé de gaz carbonique voit la pression extérieure descendre en couceur, pas trop brutalement. Alors le dégazage s'effectue sans apparition de bulles. Au bout d'un temps vous pouvez mettre ce champagne à l'air libre. Il n'y a plus de problème. Tout le CO2 a été évacué à travers les deux ou trois centimètres carrés de surface libre, près du goulot de la bouteille.
Mais si la baisse de pression est trop rapide, des bulles apparaîssent, rapidement. Dans le sang du plongeur, c'est la même chose. Les paliers de décompression sont utilisés pour faire en sorte que le sang des plongeurs ne soit pas décomprimé trop rapidement et que le dégazage puisse s'effectuer progressivement, sans apparition de bulles, dans les vacuoles pulmonaires, à l'interface. En cas de "remontée trop rapide", de décompression trop brutale les bulles apparaîssent dans toute la masse sanguine. Les ennuis apparaîssent lorsque ces mini-bulles sont acheminées le long de capillaires. Elles peuvent alors bloquer le flux sanguin. Si ces capillaires alimentent des organes du corps qui résistent mal à l'anoxie, ne survivent pas en condition "d'apnée", ceux-ci pourront s'en trouver lésés.
On sait que le système nerveux est un grand consommateur d'oxygène et corrélativement supporte mal d'en être privé. Nos nerfs sont alimentés en oxygène par un réseau de capillaires. En cas de blocage par des bulles d'azote ceux-ci peuvent être endommagés, détruits.
Les réseaux de capillaires peuvent être structurés de deux manières différentes, avec ou sans anastomose ( le mot est dans le Larousse ). Dans les réseaux de capillaires anastomosés les minuscules vaisseaux sanguins communiquent entre eux de multiples façons. C'est donc une question d'organisation topologique du micro-réseau sanguin :
On peut comparer ces capillaires à des couloirs (..)
suite ici :
http://sos-crise.over-blog.com/article-32467433-6.html
Nouveau message d'Artemisia :
http://fto.co.za/news/barack-obama-has-shares-baxter-2009111015772.html
Mardi, 10 November, 2009 - 22:00
Le président des États-Unis, Barack Obama a des parts dans Baxter, la société dont beaucoup disent qu’elle est responsable de la pandémie de grippe porcine H1N1.
Retour en 2005 : Barack Obama achète 50.000 dollars d'actions dans deux sociétés.
Juste après, qu’il ait acheté les actions, également en 2005, Barack Obama (encore sénateur à l'époque) présente le premier projet de loi global visant à répondre à la menace de pandémie de grippe aviaire. Loi (Art. 969)
Il est intéressant de savoir que lorsque cela a été fait, plus de 60 millions de dollars ont été attribués pour un vaccin contre la grippe aviaire (2007) qui à l'époque n'avait pas muté.
Le gars connaît assurément son planning. Je vous laisse imaginer le changement « D’investisseur à Président... .
Littératie : Le Français comme langue usuelle
et langue de scolarisation, par Luc Collès
http://alainindependant.canalblog.com/archives/2009/11/18/15836108.html