
Mes amis
Je suis en pleine écriture d'un article annoncé depuis 6 semaines,
et longuement réfléchi dans le climat de chasse aux sorcières actuel,
si malsain, si contraire à nos valeurs.
Pas le temps de m'étendre aujourd'hui.
Juste un mot pour vous dire que je viens d'entendre
sur Revu et Corrigé ( la V )
ce qui me semble en effet être la bonne réponse
à la question fondamentale :
Pourquoi ce changement de cap américain
envers les Arabes, les Musulmans ?
" Il faut apaiser le monde arabo-musulman
pour pouvoir éventuellement, un jour,
mener une opération contre l' Iran ".
M. Frédéric Encel, géopoliticien.
Calmer des Musulmans
pour pouvoir mieux en tuer d'autres, en quelque sorte,
en toute tranquillité. Quel cynisme !
Les Arabo-Musulsmans seront-ils dupes longtemps ?
Eva R-sistons à l'intolérable
TAGS : Fr. Encel, Arabes, Musulmans,
Obama, Revu et Corrigé, la V, Iran.
Hommage à Dees
Merci aux blogueurs de relayer mon appel pour la vérité,
http://r-sistons.over-blog.com/article-32339347.html
pour une commémoration de la Libération du Nazisme
par les Russes, car ce sont eux,
au prix de plus de vingt millions de morts,
qui nous ont débarrassés de l'abomination nazie,
en partie élaborée avec le concours
des Multinationales américaines de la Chimie.
Savez-vous qu'un de ces laboratoires siégeait
juste à côté d'un camp de concentration ?
Les vrais libérateurs, ce sont les Russes !
Les vrais opportunistes et profiteurs de guerre,
ce sont les Américains !
La vérité doit éclater,
merci de relayer mon précédent post !
Je compte sur vous tous,
amis blogueurs !
Eva R-sistons à l'intolérable
N.B.: Je vais prendre contact avec l'Ambassade Russe
pour que la vérité soit reconnue.
Légitimement, enfin.
Medvedev ordonne la création d'une commission
contre la falsification de l'histoire
MOSCOU, 19 mai - RIA Novosti. Le président russe Dimitri Medvedev
a signé le decret "Sur la Commission auprès du
président de la Fédération de Russie de lutte
contre toute tentative de falsifier l'histoire
au détriment des intérêts de la Russie",
rapporte mardi le service de presse du Kremlin.
Le chef de l'Etat a plus d'une fois insisté
sur l'inadmissibilité de toute falsification de l'histoire,
notamment de celle de la Grande Guerre patriotique (1941-1945, ndlr).
Le 8 mai dernier, le président a fait remarquer dans son blog-video
que les tentatives de falsification
"devenaient de plus en plus cruelles, méchantes et agressives".
A lire ici:
http://fr.rian.ru/russia/20090519/121653822.html
http://chiron.over-blog.org/article-31627430.html
/http%3A%2F%2Fimg.rian.ru%2Fimages%2F12144%2F92%2F121449214.jpg)
Et en ce jour d'élections,
pas une voix pour Sarkozy et Con-Bandit svp !
Pas d'absentéisme ambigu non plus !
Vous êtes à Droite,
vous votez Bayrou ou Dupont-Aignan.
Vous êtes à Gauche,
vous votez Melenchon-Buffet,
pour une vraie Gauche de Gouvernement.
Vous êtes écologiste,
mieux vaut Francis Lalanne que Con-Bandit.
Vous voulez que la vérité se sache,
vous votez Dieudonné-Soral.
Mais ne vous abstenez pas !
Eva R-sistons

-
Au lieu d’amuser le bon peuple avec les pages d’écriture de notre cher Président et de sa complice d’outre Rhin, le JDD aurait été plus utile (mais est-ce son objectif ?) en nous révélant ce que ces deux compères et leur acolytes européens nous préparent dans la vie réelle.
Le document que je vous invite à découvrir et à lire n’a été présenté sur aucune chaîne de télévision, ni sur aucune radio. Pas un journal de référence (vous savez ceux qui entretiennent des correspondants à Bruxelles) n’en a soufflé mot. Seul l’Humanité en a révélé, paraît-il [1], la teneur. Celle-ci est bien différente de l’Europe censée nous protéger promise par Sarkozy et Merkel dans leur tribune commune dont toute la presse s’émerveille.
Publié le 28 avril sous la référence 8250/09 [2]il émane du Conseil européen (chefs d’Etat et de gouvernement). Ce qui signifie qu’il a été discuté et approuvé par eux. Nicolas Sarkozy ne peut pas ignorer à Paris ce qu’il a accepté à Bruxelles.
Il rassemble les recommandations que fait le Conseil européen (sous le contrôle et les conseils de la Commission européenne, après que le Parlement ait formulé un avis) aux pays de l’Union pour les politiques à mettre en œuvre de manière coordonnées.
C’est pourquoi sa lecture est éclairante sur ce que le gouvernement nous prépare. On y trouve consigné en effet, dans les grandes lignes, les principales orientations et réformes sur lesquelles le gouvernement s’est engagé sans, bien évidemment, en faire la moindre publicité dans le cadre de la campagne européenne. Il ne manquerait plus que les électeurs soient informés !
Baisse des salaires
S’agissant de la zone euro (pages 86 à 89), on y apprend que pour ces messieurs (et Mme Merkel) « le potentiel de croissance des Etats membres de la zone euro est fortement tributaire de l’intensification des réformes visant à faciliter les ajustements du marché du travail et à renforcer la concurrence dans le secteur des services ». Rien que ça, cela ne me dit rien qui vaille.
D’ailleurs, « dans les économies caractérisées par d’importants déséquilibres extérieurs, l’évolution des coûts du travail doit tenir compte des positions concurrentielles intrazone ». Si comme moi vous ne comprenez pas tout ce charabia, je pense que vous avez au moins compris qu’on va baisser vos salaires pour les aligner sur les plus bas.
Il est aussi demandé aux Etats membres d’appliquer rapidement« les dispositions législatives communautaires », de veiller (malgré la crise), de mettre leur administration et leurs finances publiques au service des « intérêts d’un marché unique dynamique et concurrentiel », de respecter le pacte de stabilité et de croissance, de mettre de la flexicurité et de la flexibilité partout…
Croissance zéro des dépenses publiques...
Les recommandations spécifiques faites à la France sont aux pages 30 à 32. Après évaluation par la Commission et le Conseil de la compatibilité des mesures de relance de l’activité économique avec le pacte de stabilité et de croissance, on y découvre que« des efforts supplémentaires sont nécessaires pour améliorer l’assainissement budgétaire à moyen terme, renforcer la concurrence dans les secteurs de l’énergie et du fret ferroviaire ainsi que dans les professions réglementées, pour moderniser encore (sic) le marché du travail et augmenter les possibilités de formation professionnelle ».
Plus précisément, « le Conseil recommande à la France de poursuivre la mise en œuvre des réformes structurelles ». C’est ainsi qu’il préconise une « croissance zéro des dépenses publiques » qui « devrait aller de pair avec une nouvelle amélioration (resic) des systèmes de retraite ». En clair, attendez-vous à apprendre qu’il faudra travailler plus longtemps pour des retraites plus faibles.
Autre préconisation du Conseil : « Améliorer encore (re-resic) le cadre global régissant la concurrence », tout particulièrement dans les « industries de réseau (gaz, électricité et fret ferroviaire », ce qui veut dire plus de privatisation ou de libéralisation dans ces secteurs avec les démantèlements que cela implique pour des entreprises comme EDF ou GDF [3]. Mais aussi « en assouplissant les réglementations restrictives appliquées aux secteurs et professions réglementées, en particulier dans le secteur des services ». Traduction : le gouvernement Sarkozy est prié de transcrire au plus vite dans le droit français la directive Bolkestein.
Pour finir et afin de « moderniser encore (re-re-resic) le marché du travail » le Conseil demande de « réduire la segmentation entre les différents types de contrat ». Un seul contrat flexible pour tous, c’est le grand rêve des libéraux et du Medef !
Vous ne serez pas étonnés d’apprendre qu’à la demande du gouvernement, le débat sur le prochain Conseil européen, prévu le 4 juin à l’Assemblée nationale, a été déprogrammé hier. Il est reporté au 10 juin, trois jours après le scrutin...
Notes
[1] Je ne l’ai pas trouvé en kiosque.
[2] Vous pouvez le télécharger ici.
[3] C’est les Verts qui vont être contents. Ils détestent tellement le nucléaire qu’ils veulent tuer EDF avec.
STRASBOURG, le 07 juin 2009
cpjmo@yahoo.fr
Publiée sur http://geopolitiquedumoyen-orient.blogspot.com
Discours du Caire
de Barack Obama
Débutée mercredi 03 juin 2009, la tournée moyen-orientale d’Obama en dit long sur l’image désastreuse des Etats-Unis et son isolement international. Pour comprendre le sens des soi-disant «ton apaisant et volonté de réconciliation» d’Obama, un rappel des huit années Bush est nécessaire.
Dans l’analyse 11 du 04 mai 2008, intitulée : «La diplomatie américaine au Moyen-Orient est un champ de ruines», nous avons écrit : «La politique qui a permis à l’administration Bush d’asseoir l’autorité musclée des Etats-Unis dans le monde, a plusieurs composantes : «une hyperutilisation de la force, presque sans limite»*, «des actions unilatérales et souvent illégitimes»*, «un mépris toujours grand»* du droit international, l’ingérence dans les affaires intérieures des nations souveraines, des menaces d’interventions militaires et de bombardement, le développement général de la torture, de la corruption et de la gabegie dans des pays occupés par les Etats-Unis et leurs alliés, etc.»
Par ailleurs, aux yeux des peuples arabo-musulmans, la campagne militaire agressive de l’administration Bush et de ses alliés «judéo-chrétiens» ressemblait, à s’y méprendre, à une nouvelle croisade: conquête de deux pays musulmans (Afghanistan et Irak), guerre d’Israël contre le Liban en 2006, guerre d’Israël contre la bande de Gaza en décembre 2008- janvier 2009, bombardement d’un site en Syrie, intervention militaire de l’Ethiopie en Somalie, menace permanente de bombardement nucléaire contre l’Iran, vassalisation des pays arabes (Arabie saoudite, Egypte, Jordanie, etc.).
Suite à l’impasse de l’unilatéralisme, au discrédit américain, au développement de la résistance anticolonialiste, à l’extension de la guerre au Pakistan, à la fragilisation des «amis» régionaux des Etats-Unis et à la crise économique, la campagne électorale du candidat Barack Obama s’est construite sur la critique de la politique de l’administration Bush. Barack Obama élu président, sa politique étrangère se veut l’antithèse de celle de Bush à l’échelle internationale en général et moyen-orientale en particulier. Le 04 juin, fidèle à son engagement, il a prononcé un discours à l’université du Caire, invitant à un «nouveau départ» entre l’Amérique et le monde arabo-musulman(1).
Faut-il rappeler que ce sont les Etats-Unis qui sont en guerre contre le monde entier et non pas l’inverse. Leurs centaines de bases militaires disséminées au Moyen-Orient et en Asie centrale hébergent des centaines de milliers de militaires. Leurs nombreux porte-avions, sous-marins et autres navires de guerre, emportant des milliers de tonnes d’armes classiques et nucléaires sophistiquées, patrouillent au large des pays du Moyen-Orient, en Méditerranée, en mer Noire, en Océan indien. Cette armada planétaire révèle l’appétit conquérant et hégémonique du colonialisme américain qui a mis une vaste région du monde à feu et à sang.
Réconciliation, c’est l’action de rétablir l’amitié. C’est donc mettre fin à l’hostilité. C’est donc quitter immédiatement les pays envahis et colonisés (l’Irak et l’Afghanistan) et les dédommager. Réconciliation, c’est fermer définitivement ses bases militaires au Moyen-Orient et en Asie centrale, rapatrier les centaines de milliers de militaires américains. Réconciliation, c’est retirer ses navires de guerre et ses sous marins nucléaires des eaux territoriales des pays souverains du Proche et du Moyen-Orient et cesser d’être une menace permanente pour leur sécurité et souveraineté. Réconciliation, c’est arrêter immédiatement l’ingérence dans les affaires intérieures des pays souverains et mettre fin à trente années d’embargo contre l’Iran.
Or, il y a un fossé monumental entre les déclarations «apaisantes» et soporifiques d’Obama et la réalité du terrain. En effet, renforçant le potentiel militaire des colonialistes et militaristes occidentaux dans la région, Nicolas Sarkozy vient d’inaugurer la nouvelle base militaire française à Abu Dhabi, à 250 km des côtes iraniennes. Il est à souligner que cette base navale ne pouvait se construire sans l’accord des Etats-Unis. Est-ce cela la «main tendue»?
Depuis deux siècles, les peuples de la vaste région du Moyen-Orient et de l’Asie centrale mènent une vie cauchemardesque sous les bottes des militaires américano-britanniques et des états fantoches à leur solde et ne se laisseront pas impressionner par quelques discours soporifiques.
Sceptique, la «rue arabe» n’a pas tardé à réagir au discours du Caire d’Obama. Patrice Claude, journaliste au Monde, écrit ainsi dans Le Monde du 04 juin 2009: «Dans le pays arabe le plus peuplé (80 millions d’âmes), il serait erroné de croire que M.Obama est attendu comme le messie». Il rapporte les propos d’un jeune fonctionnaire de 27 ans: «Il est d’abord le chef des Américains. Il s’en prendra aux musulmans si cela fait l’affaire d’Israël…»
En occident, certains pensent que la politique de la «main tendue» ou celle de «nouveau départ» signifie le changement radical de la politique étrangère américaine. Comme si l’armée israélienne allait se retirer de tous les territoires occupés et l’Etat palestinien se constituer par un claquement des doigts d’Obama !
Robert Gates, le secrétaire à la défense américaine, utilisant le même vocabulaire, dit: «Je suis venu à la conviction qu’un regard nouveau est dans notre meilleur intérêt». Le «regard nouveau» du secrétaire à la défense consiste à remplacer le général McKierman, un militaire qualifié d’assez classique, par un expert des forces spéciales, épaulé par le général David Rodriguez, décrit comme un bulldozer(2). Le massacre des civils continuera plus efficacement en Afghanistan et les demandes répétées d’Hamid Karzaï pour la suspension des opérations aériennes, causes des «dégâts collatéraux» contre les civils, sont rejetées par la partie américaine(2).
L’expérience montre que le «nouveau départ» d’Obama décevra rapidement et, face à l’intransigeance des Américano-israéliens, la résistance anticolonialiste ira crescendo. Les risques d’une nouvelle déflagration au Moyen-Orient sont toujours d’actualité.
*Termes prononcés par Poutine, le 10 février 2007 à la Conférence de Munich- Courrier international du 22 au 28 février 2007. On peut détester Poutine, mais son analyse est pertinente.
1- Le Monde du 06/06/09.
2- LM du 13/05/09.
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Barack Obama en Egypte (Suite)
http://www.dieguez-philosophe.com/
A propos du discours prononcé par le "vrai" Barack Obama le 4 juin 2009
Puisque les grands historiens du passé ont mis dans la bouche de Périclès ou de Scipion l'Africain des discours imaginaires, mais qui répondaient, dans leur esprit, à ce que la situation attendait de leur génie politique, j'ai tenté bien modestement de mettre sur mon site, le 1er juin 2009, un discours fictif de M. Obama réputé préfigurer celui qu'il allait prononcer au Caire le 4 juin.
(…)
Il aura suffi de deux jours pour que l'AIPAC obtienne de la Chambre des représentants et du Congrès réunis la remise urgente d'une "motion" entre les mains de M. Barack Obama pour qu'il propose des négociations directes entre Israël et la Palestine, afin d'exclure Washington de la négociation et de garantir l'enlisement du dossier selon une méthode éprouvée.
(…)
Mais le fond du divorce entre l'anthropologie politique et l'approche panculturaliste de l'Amérique n'est autre que la semi logique de l'homme d'Etat d'aujourd'hui au chapitre de la nature même de la dissuasion nucléaire. Car si cette dissuasion est réelle, l'atome n'est plus une arme de guerre, puisqu'elle l'interdit radicalement ; et si elle est incapable d'assurer la paix, son échec même confirme le raisonnement précédent, puisqu'un suicide à deux n'est pas une victoire militaire, à moins qu'on n'imagine la signature d'un traité de paix entre deux anges vaporisés dans la stratosphère. Or, l'Israël de la déraison nucléaire a absolument besoin des simagrées de la déraison politique du reste de l'humanité pour détourner l'attention du monde entier de son expansion territoriale continue en Judée et en Samarie.
C'est pourquoi, comme je l'ai signalé dans le discours fictif de M. Obama du 1er juin, Israël a procédé, dès le 2 juin, à une extraordinaire démonstration de la faiblesse cérébrale des autres nations du monde et de son avance sur elles en consacrant quatre journées entières à un exercice militaire fantasmagorique selon lequel il se trouverait attaqué à la fois et de tous côtés par des ennemis imaginaires.
La logique de M. Barack Obama se révèle donc d'une cohérence mentale insuffisante : elle ne répond ni à la question des moyens de ce bas-monde de ramener l'Etat d'Israël à ses frontières de 1967, ni à celles d'une démythification anthropologique de l'arme nucléaire sans laquelle il sera bien impossible de jamais résoudre le problème de l'existence même de l'Etat juif dans des frontières fixes et intangibles.
(…)
suite ici :
http://pagesperso-orange.fr/aline.dedieguez/tstmagic/1024/tstmagic/decodage/assassine2.htm
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Le point de vue de notre ami d'Afrique, Zodo :
Une belle voix pour la paix !

Il se veut un homme de paix. Barack Hussein Obama est un homme de parole. Il avait promis la paix aux Américains et au monde entier. Aujourd’hui, il est en train de faire son va-tout pour aider le monde à avoir une paix définitive. L’Irak et l’Afghanistan, Obama veut en faire une page à tourner, et vite. Comme celle des années Bush. « Je suis venu ici pour rechercher un nouveau départ entre les Etats-Unis et les musulmans du monde entier, fondé sur l’intérêt commun et le respect mutuel », a-t-il déclaré avant d’ajouter « que l’Amérique et l’Islam ne doivent pas s’exclure, ne doivent pas être en compétition ». Le chef de la Maison blanche tenait ce discours devant un grand monde à l’Université du Caire, alors qu’il effectuait jeudi, une visite en Egypte.
On ne pouvait attendre mieux du nouveau locataire de la Maison blanche. Il veut se démarquer de son prédécesseur, jugé plus belliqueux et extrémiste. Lui Obama par contre, marque la différence par sa propension au dialogue et à l’ouverture, mais aussi à la vérité. C’est d’ailleurs pourquoi Obama persiste et signe qu’il ne prendra pas fait et cause pour Israël qui veut contraindre la Palestine à un joug. Il a là aussi condamné les colonies juives et milité en faveur de la création d’un Etat palestinien.
Pour ce qui est de l’Irak et de l’Afghanistan, il a indiqué que son intention n’est pas de maintenir de façon définitive les troupes américaines dans ces pays où il règne de graves violences. Se fixant pour objectif de « laisser l’Irak aux Irakiens ».
Il a reconnu le droit de l’Iran à se doter du nucléaire civil, « s’il assume ses responsabilités dans le cadre du traité de non-prolifération nucléaire », estimant tout de même qu’une course aux armements nucléaires au Proche-Orient entraînerait la région dans « une voie extrêmement dangereuse ».
La hauteur d’esprit d’Obama
Le Président américain, dans ses différentes déclarations, n’a jamais voulu faire cas des arabes ou du monde arabe. Il s’est tout le temps exprimé sur les musulmans. Obama a évité de faire les amalgames de certains dirigeants. En effet, Obama sait que l’Islam est une religion à laquelle tout être humain peut appartenir. Qu’on soit Noir, Blanc, Rouge, Jaune, on peut appartenir à la religion de son choix. On peut être d’une même famille et appartenir à différentes religions. Ça, nous l’avons ici en Côte d’Ivoire, où des frères sont chrétiens, quand d’autres sont musulmans. On a également des couples où, l’homme et la femme sont de religions différentes. C’est ce qui fait que les uns et les autres pourront certes s’appuyer sur les religions pour prétendre assouvir leurs intérêts politiciens, mais jamais, elles ne serviront au prétexte de la guerre.
L’essentiel est d’accepter de vivre ensemble dans la cohésion et l’amour, malgré les différences religieuses.
Cela, Obama l’a compris. Il a su s’élever au dessus des considérations raciales pour mettre dans le même sac, tous ceux qui pratiquent la même religion. Il n’a pas, au regard de son attitude, affaire, particulièrement aux Arabes.
C’est la preuve qu’il comprend l’origine des crises actuelles.
Alors que son prédécesseur se hasardait à tenir des propos offensant les musulmans dans leur entièreté, Obama se garde de mettre tout le monde dans le même tas.
Il tient à ne pas écorcher qui que ce soit. Même si le chef d’Al Qaida, Oussama Ben Laden, met en garde les musulmans contre une éventuelle alliance avec les chrétiens et les juifs, ce, dans un document audio, diffusé sur le net, au moment de l’intervention fortement appréciée et applaudie d’Obama au Caire. Dans ce document de 25 minutes, Ben Laden a demandé aux musulmans du monde entier de « se préparer à une longue guerre contre les infidèles du monde entier et leurs agents ».
Finalement, on ne comprend plus Ben Laden. La suite ici
http://www.blogdeniszodo.com/article-32353049-6.html