Sarah Palin rencontrant
des militaires de la garde nationale de l'Alaska
au Koweit en 2007. Wikipedia.org Alerte, gigantesque manipulation !
Crise financière,
ou guerre économique secrète ?
> Le 14 octobre 2008, le gestionnaire de fonds et l'analyste financier Mostafa Belkhayate a accordé une interview au Capitale.fr, qu'on
retrouve également sur son site personnel à cette adresse.
Curieusement l'une des questions et l'analyse de Monsieur Belkhayate sur des possibles causes profondes de cette crise, a complètement disparu sur le site du Capital ?! Cependant, Capital a pris le soin de laisser un lien vers le site de Belkhayate (indiqué plus haut) où l'on peut lire le suivant :
> Capital.fr : Qu'est ce qui vous fait penser que la chute n'est pas terminée ?
> Mostafa Belkhayate : Lorsqu'il y a un crime, cherchons le coupable du coté de celui qui en profite. Washington a résolu en moins d'une semaine le grave problème des créances américaines : en faisant croire que Freddie Mac et Fannie Mae, deux organismes américains de financement, risquaient la faillite, les financiers yankee ont coupé l'herbe sous les pieds des chinois, qui possèdent près de 400 milliards de dollars d'obligations émises par ces institutions. Ces dernières, aujourd'hui loin de leur valeur initiale, ne peuvent plus être revendues. Tous ceux qui pourraient en acheter en ont déjà ; les japonais, les européens, les russes, les arabes,. Voilà comment on peut dissoudre des milliers de milliards de dollars de dette. Pour moi, c'est la seule explication du sacrifice de Lehman Brothers. C'est ingénieux, d'autant plus que Washington a manipulé le prix du pétrole à la hausse à partir d'avril 2008 pour "offrir" sur un plateau venimeux un maximum d'obligations aux arabes, qui leur ont toujours fait une confiance aveugle. Une fois le plein fait, on lâche le pétrole et les obligations.
Le mécanisme a parfaitement marché puisque aujourd'hui les créanciers amis de l'Amérique n'ont que du papier sans valeur entre les mains. Voilà la vraie guerre ! Sauf qu'il me semble qu'on ait sous-estimé la réaction de "ces amis". Leur réaction sera violente, foudroyante, car ils ne vont pas se laisser faire. La crise boursière ne fait que commencer. On va assister à une attaque en règle sur le billet vert.
> Qu'est-ce qui se passe vraiment ? Le spectacle auquel on assiste, s'agit-il simplement d'une machinerie trop complexe devenue folle et
qu'on ne contrôle plus ? Un gros machin qui échappe à la compréhension des contribuables heureux que nous sommes, et qui risque d'exploser et faire beaucoup de dégâts ?
Ou est-ce qu'il y a des malins qui appuient sur les boutons et tirent sur les manettes les ficelles, qui se croient trop rusés pour tout contrôler et qui se fichent si cela peut faire tomber le ciel sur nos têtes ?
Est-ce seulement une crise financière, ou bien, comme certaines voix commencent à se faire entendre, comme le montre l'article suivant,
une guerre économique secrète ?
> L'Arabie Saoudite : La crise financière est une guerre secrète
> Mohammad Djamal Arafah
> Islam On Line
Le souverain saoudien, le roi Abdullah Ben Abdelaziz a indiqué que la crise financière que subissent les marchés financiers internationaux
aurait pu être planifiée afin de faire saigner les pays du Golfe, en la décrivant comme une « guerre secrète ».
> Dans son discours lors de sa réception du ministre de la culture et de l'information, Iyad Ben Amîn Madani, d'un certain nombre de
responsables ministériels du secteur de la presse, et des rédacteurs en chef des journaux et des magazines saoudiens, ce samedi 25 octobre 2008, le roi Abdullah a déclaré : « Je crois que le monde subit maintenant une guerre secrète, une guerre économique. Vous devez prendre cela en considération, ainsi que l'intérêt de la religion et de la patrie et non pas l'intérêt de quelques individus, car l'économie est la base de toute chose ».
(..)
> Le souverain saoudien a dévoilé qu'il allait bientôt se rendre aux Etats-Unis, mais il n'a pas précisé s'il allait aborder la crise financière
pendant cette visite. Il a déclaré : « Je me rends aux Etats-Unis pour y participer au dialogue interreligieux en cours actuellement ».
Crise ou complot ?
> Les experts économiques sont d'accord que la cause principale qui a déclenché l'actuelle crise financière est le fait que plusieurs banques EU ont vendu des produits d'emprunt obligataire garantis par les hypothèques des crédits immobiliers et des polices d'assurance, pour des centaines de millions de dollars, à différentes banques partout dans le monde, avant qu'on se rende compte que ces produits étaient sans valeur, ce qui a provoqué la crise des crédits hypothécaires.
> Mais quelques hommes politiques arabes pensent qu'il se pourrait que la crise vise les investissements de quelques états, ce qu'on appelle les « fonds souverains », dans les institutions financières EU qui viennent de s'effondrer.
> Ce groupe croit que la crise financière aux Etats-Unis, et qui a entrainé la chute des bourses internationales, serait organisée dans le cadre d'un plan occidental pour frapper les fortunes arabes pétrolières, et pour mettre la main sur les profits gagnés par les Arabes aux dépens de l'Occident sous forme des recettes pétrolières, suite à la hausse importante des cours du pétrole récemment.
> Les partisans de cet avis avancent pour preuve deux rapports stratégiques EU publiés en juin 2008, soit avant la crise, qui mettent en garde contre l'influence des fonds souverains arabes, contrôlés principalement par l'argent du Golfe, le fruit du pétrole, sur l'économie EU et occidentale.
> Ces deux rapports mettent aussi en garde contre une future réorientation du gouvernail de la politique internationale sous l'effet de cette influence économique au service des intérêts arabes, si ces états pétroliers le voulaient.
> Le premier des deux rapports est celui de Richard Haass, l'ex directeur de la planification au département d'état EU, et qui a été publié dans le numéro de mai/juin du magazine Foreign Affairs (« The Age of Nonpolarity », Ndt). Dans cet article, il parle de l'importance croissante de ces fonds et de leurs possessions, ce qui leur permet de contrôler le système financier EU et de devenir des moyens de pression politique.
> L'autre rapport signé Daniel Drezner, professeur assistant des politiques internationales à l'école Fletcher, université de Tufts aux Etats-Unis, était publié dans le numéro mai/juin du magazine The American sous le titre « The Sovereigns Are Coming ». Il y souligne que le temps de la domination de ces fonds souverains s'approche (un tableau fourni dans l'article donne un total de 1425 milliards de dollars pour seulement l'Emirats Arabes Unis, l'Arabie Saoudite et le Koweït. D'autres avancent un chiffre entre 3000 et 4000 milliards de dollars pour les pays arabes du Moyen Orient, voir « Le nouvel âge d'or des fonds souverains au Moyen Orient », Ndt).
> Un article publié le 15 septembre 2008 par le journal International Herald Tribune (« The rising danger of high oil prices », Ndt), met en
garde contre l'accumulation des milliards de pétrodollars dans le Golfe et contre les fonds souverains de ses pays, et il appelle à développer
une « nouvelle stratégie » pour affronter ces fonds arabes fruits du pétrole.
> L'article est signé Henri Kissinger, l'ex-secrétaire d'état EU, et Martin Feldstein, professeur d'économie à l'université de Harvard et ex-
conseiller économique en chef du président Ronald Reagan (voir à propos de leur article l'intéressante analyse : Henri Kissinger, l' «
israélisation » de la raison, les Fonds souverains, le Fond de Zakat et l'épouvantail « islamiste », Ndt).
> Mise en faillite « volontaire »
> Après le déclenchement de la crise, différents rapports circulaient sur les sites web arabes à propos de l'existence d'un plan EU bien
organisé dont l'objectif est de mettre en « faillite volontaire » quelques banques et entreprises EU, notamment celles avec beaucoup
d'investissements d'argent arabe et asiatique, afin d'avaler ces fortunes.
> Les partisans de cette thèse affirment que ce plan a été organisé pour mettre la main sur les fonds souverains arabes que les
gouvernements investissent dans les banques, les institutions et autres entreprises industrielles EU.
> Ces rapports ajoutent que ces effondrements « provoquées » de quelques banques et entreprises, visent non seulement plus d'un trillion (mille milliards, Ndt) de dollars - selon des estimations non officielles - des fonds souverains arabes, mais aussi environ deux trillions et demi supplémentaires des fonds souverains asiatique ou d'Amérique latine, pour des états comme la Chine, le Japon, la Singapour, la Corée du Sud et le Brésil.
> Ces fonds sont investis dans les institutions financières EU et représentent des dettes sur l'économie EU. Les états investisseurs comptaient sur le retour de ces fonds et de leurs bénéfices astronomiques, mais les décideurs EU ne le voyaient pas ainsi selon ces rapports.
> Ces rapports expliquent le recours des Etats-Unis à ce plan en affirmant que « l'économie EU ne pourrait pas supporter les risques du retrait de ces fonds, et ne pourrait pas payer les profits gigantesques pour l'étranger. Il y aurait aussi d'autres objectifs politiques visant à sauver l'empire capitaliste EU de la faillite et de l'implosion économique et politique ».
> Ces analystes soutiennent leur thèse en affirmant que les investisseurs étrangers ne pourront pas obtenir le moindre dédommagement des institutions Eu en faillite, en vertu du chapitre onze de la loi sur les faillites aux Etats-Unis. Ce chapitre protège les institutions en faillite contre leurs investisseurs, et n'accorde à ces investisseurs aucun droit sur ceux qui achètent ces institutions en faillite.
> Il n'y a pas de rapports fiables sur les pertes des fonds souverains du Golfe dans cette crise financière EU, mais on les estime à plusieurs
milliards de dollars.
> http://www.islamonline.net/servlet/Satellite?c=ArticleA_C&cid=1224694314536&pagename=Zone-Arabic-News/NWALayout Transmis personnellement par M. L'Administrateur de l'Atlas Alternatif
Gouvernement mondial, danger ?
Par Hubert Védrine
Extrait d'un livre d'Hubert Védrine :
""Paradoxalement, du moins en apparence, certains militants altermondialistes et certains partisans de la "gouvernance" se rejoignent lorsqu'ils vont jusqu'à caresser l'idée d'un gouvernement mondial.
On ne peut que s'étonner qu'un concept qui recèle un potentiel totalitaire aussi évident puisse séduire qui que ce soit dans les rangs de la gauche précisément antitotalitaire!
Quel gouvernement mondial, pour faire quoi, désigné par qui, composé de qui, contrôlé par qui? Et s'il devenait répressif , sur quelle Lune se réfugieraient ses opposants? Ces questions ne sont pas posées.
A moins qu'il ne s'agisse, synarchie réinventée, du secrétariat général de l'ONU et des directeurs généraux de l'OMC et du FMI? Ou de ce G8 dans lequel les altermondialistes, cherchant un lieu où se rassembler pour manifester, avaient feint de voir, dans un hommage aussi paradoxal qu'erroné, les directoire du monde?" ("Continuer l'Histoire", Fayard, 2007)
Dans l'échange de mail qui s'en est suivi j'ai formulé la remarque suivante :
Védrine a raison de souligner
les dangers d'un gouvernement mondial.
En même temps, on voit mal comment l'espèce humaine y échappera à terme (la technologie a beaucoup uniformisé et rapproché les êtres), sauf si l'épuisement du pétrole nous fait "revenir en arrière" sur le plan des mentalités (et des rapports internationaux)
Les humains, à mesure qu'ils prennent conscience de leurs ressemblances, et des dangers communs qui les guêtent, peuvent être de plus en plus tentés d'abolir les Etats.
Le problème c'est qu'un gouvernement mondial aujourd'hui, s'il avait une structure de démocratie formelle (avec un "sénat" qui serait l'assemblée générale des Nations-Unies représentant les anciens Etats, et une chambre basse composée de députés élus au suffrage universel direct mondial) fonctionnerait comme l'Afrique du Sud.
La chambre basse et le gouvernement officiels seraient contrôlés par les élites chinoises et les indiennes (les élites des peuples les plus nombreux, ponctuellement appuyés par les Indonésiens, et quelques autres peuples denses) comme elle est aujourd'hui,en Afrique du Sud, entre les mains des élites khosas et zouloues, tandis que le pouvoir économique serait entre les mains de la bourgeoisie euro-états-unienne comme il est dans les mains aujourd'hui de la bourgeoisie anglosaxonne et afrikaner en Afrique du Sud.
Rien n'indique que cet équilibre ferait les affaires du Transnistrien ou du Peul moyen, ni de l'intérêt général humain...
Je livre ces considérations spontanées et sans prétention à votre réflexion, et au débat sur l'avenir de notre espèce...
http://delorca.over-blog.com/article-24325048.html

DSK propose une dictature mondiale de banquiers centraux
http://bridge.over-blog.org/article-24321016.html
Base militaire navale russe en Lybie
Montée de l'influence russe
dans la politique internationale
RIA Novosti. La visite du leader libyen Mouammar Kadhafi à Moscou témoigne du rôle croissant de la la Russie au Proche Orient
"Bien évidemment., les Etats-Unis ne sont pas satisfait que le pays leader de l'extraction de pétrole en Afrique prône la création d'un monde multipolaire, et cette position coïncide complétement avec celle de la Russie", a poursuivi le député.
Le souhait de la Libye d'héberger une base militaire navale russe dans le port de Benghazi doit être examiné uniquement dans ce contexte, a expliqué le député. "Apparemment, selon le dessein du leader libyen, notre présence militaire sera le garant de la non-agréssion de la libye par les Etats-Unis, ce qui démontre la montée de l'influence russe dans la politique internationale", a noté M.Sovenko.
"Il ne faut pas oublier qu'on observe à l'heure actuelle un retour de la Russie non seulement en Libye, mais aussi à Cuba, ce qui n'est pas anodin dans le cadre du déploiement du bouclier antimissile américain à côté des frontières russes", a précisé le député.
http://chiron.over-blog.org/article-24322983.html
/http%3A%2F%2Fimg.rian.ru%2Fimages%2F10526%2F42%2F105264249.jpg)
Racines et profondeur de la récession. Longue durée..
Retour au contrôle souverain des Etats sur la politique monétaire ?
Mettre fin à vingt années de déréglementation et de libéralisation
des mouvements financiers
http://goudouly.over-blog.com/article-24321141.html
Le FMI
http://panier-de-crabes.over-blog.com/article-24322957.html