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KIEV, 14 octobre - RIA Novosti. Le secrétariat du président ukrainien Viktor Iouchtchenko prépare avec l'aide du Service de sécurité et du département de sécurité d'Etat un coup de force et l'instauration d'un gouvernement présidentiel direct, a déclaré le député du Bloc Ioulia Timochenko (BIT) Andreï Kojemiakine.
"Les organes de sécurité ukrainiens sont utilisés par le secrétariat présidentiel comme moyen de pression politique. Actuellement, le scénario du blocage des organes du pouvoir exécutif, des arrestations politiques et de l'instauration d'une l'administration présidentielle directe est étudié", a-t-il indiqué, cité par le service de presse du BIT.
"Le pays est au bord d'un coup de force. Se rendant compte de l'illégitimité de la dissolution de la Rada (parlement ukrainien), le président est prêt à recourir à la force afin de neutraliser le gouvernement, le parlement, le système judiciaire et d'instaurer son pouvoir autoritaire dans le pays", a ajouté M. Kojemiakine.
Aujourd'hui même, Viktor Iouchtchenko a ordonné aux forces du ministère de l'Intérieur de sécuriser la commission électorale centrale (CEC) bloquée par les députés du BIT, hostiles à la tenue des législatives, selon l'agence ukrainienne UNIAN, se référant à une source au sein de la police.
Le président ukrainien Viktor Iouchtchenko a annoncé le 9 octobre au soir la dissolution du parlement et la tenue d'élections législatives anticipées, les principales forces politiques n'ayant pu former de coalition dans les délais impartis par la législation. Faisant droit à la requête du Bloc Ioulia Timochenko (BIT), le tribunal administratif de Kiev a suspendu samedi le décret présidentiel sur la dissolution de la Rada Suprême (parlement) et la tenue d'élections anticipées. Le secrétariat du président ukrainien a contesté cette décision auprès de la Cour d'appel de Kiev.
Une nouvelle crise politique a éclaté en Ukraine après la division en septembre dernier de la coalition au pouvoir comprenant le parti de Ioulia Timochenko et le bloc Notre Ukraine - Autodéfense populaire de Viktor Iouchtchenko.
Iouchtchenko est marié à Kateryna Iouchtchenko-Tchoumatchenko (sa seconde épouse). Elle est citoyenne américaine, née à Chicago, et sa famille est d'origine ukrainienne. Ancienne fonctionnaire du Département d'État des États-Unis, elle a été accusée par les opposants de Iouchtchenko, apparemment sans preuve, de servir d'agent d'influence du gouvernement états-unien auprès de son mari, en étant un agent en activité de la CIA.................
L' ONU au service
de l'OTAN ?
L'accord secret conclu entre l'ONU et l'OTAN
Forces de l'ONU avec le drapeau de l'OTAN
l'armée de l' O.N.U =
l'armée NOIRE (en attente )
du NOUVEL ORDRE MONDIAL
VIDEO - MEYSSAN avertit
http://illusions-de-mouvements.over-blog.com/article-23720536.html
Les seuls intérêts des USA défendus
contre ceux du reste du monde
Le secrétaire Gl de l'ONU n'est plus au service de la Communauté internationale,
mais des seuls Etats-Unis
“De troublantes connexions”
un article de L’Humanité Dimanche
Oct 08, 2008 21:00:39 GMT
Depuis l’élection de Nicolas Sarkozy, la France s’est mise au diapason de ses nouveaux alliés néoconservateurs. Mais si la nouvelle doctrine antiterroriste défendue par Hervé Morin et Bernard Kouchner était suivie à la lettre, où mènerait-elle ?
Article paru dans l’Humanité Dimanche le 11/09/2008
Dans une Tribune publiée à la fin du mois d’août, voici comment Bernard Kouchner et Herve Morin défendaient l’engagement français en Afghanistan : « souvenons-nous que nous sommes entrés en Afghanistan, avec nos alliés, après le 11 septembre 2001, il s’agissait de chasser du pouvoir un régime qui avait accueilli sur son territoire des forces terroristes entrainées et équipées pour frapper l’un des nôtres. Nous avons, ensemble, adressé un message clair aux régimes complaisants avec le terrorisme : il n’y a plus d’impunité pour ceux qui frappent au cœur l’un d’entre nous » (1).
Si l’on suit la logique des deux ministres, pourquoi les États-Unis et leurs alliés n’ont-ils pas envahi l’Arabie Saoudite et le Pakistan, soupçonnés d’être les principaux « bailleurs de fonds » du terrorisme international ? Deux épisodes ont ainsi été totalement ignorés par la commission d’enquête sur le 11 Septembre.
La « confession » d’Abu Zubaydah : arrêté au mois de mars 2002 au Pakistan, le chef des opérations d’al Qaida aurait confié aux forces américaines comment il « travaillait » en collaboration avec de hauts dignitaires du régime saoudien chargés d’établir la liaison entre l’organisation terroriste d’Oussama Ben Laden et le régime de Riyad, et comment ce dernier avait une connaissance préalable des attaques du 11 Septembre. Détail macabre, les trois princes dont il a révélé le nom lors de son interrogatoire ont tous trouvé la mort au mois de juillet suivant, à quelques jours d’intervalle (2). Le premier (le prince Ahmed) aurait succombé à une crise cardiaque pendant son sommeil, le deuxième (le prince Sultan) dans un accident de voiture et le troisième (le prince Fahd) serait mort de soif dans le désert.
Concernant le Pakistan, les connexions sont encore plus gênantes. Selon des informations initialement rendues publiques par la presse indienne, et confirmées ensuite par le chef de la division des enquêtes financières du FBI, le patron des services de renseignement pakistanais (ISI) aurait lui-même ordonné un virement de 100.000$ (66.000€) sur le compte de Mohammed Atta, le chef présumé des pirates de l’air du 11 Septembre. Des détails dont ne s’est guère embarrassée la commission d’enquête : « jusqu’à ce jour, peut-on lire dans le rapport final (3), le gouvernement américain n’a pu déterminer l’origine des fonds utilisés pour les attentats du 11 Septembre. » « Au fond, ajoute-t-elle de manière incompréhensible, cette question n’a que peu d’importance pratique. »
Difficile, dans cette « guerre mondiale contre le terrorisme », de savoir qui soutient qui, et en vertu de quelles alliances. Si les États-Unis ont récemment feint de découvrir la lune en accusant les services secrets pakistanais de jouer « double jeu » avec le « terrorisme » (4), leurs homologues d’Islamabad n’ont pas hésité à leur renvoyer le compliment. Selon le principal quotidien pakistanais « The News » (5), « pour des raisons qui sont connues au quartier général de la CIA ainsi qu’au Pentagone, des officiels pakistanais accusent les Américains de ne pas s’intéresser à la « fontaine de terrorisme » afghan située au Baloukistan (province située à la frontière de l’Afghanistan et du Pakistan). »
Plus explicite encore, citant les mêmes « sources officielles fiables », « The News » indique l’existence de « preuves solides et circonstanciées étayant le soutien américain » au terrorisme à l’intérieur des frontières pakistanaises, présentées entre autres par le général Pervez Mousharraf à ses homologues états-uniens lors d’une rencontre à Islamabad le 12 juillet.
Marc de.Myramon pour l’Humanité Dimanche, le 11/09/2008
(1)« Afghanistan, le sens de notre engagement » par Bernard Kouchner et Hervé Morin, 29 août 2008.
(2)« Pourquoi l’Amérique s’est endormie », par Gérard Posner, Random House, 2003.
(3)« 11 septembre 2001, rapport final de la commission nationale sur les attaques terroristes contre les États-Unis ». Alban Éditions. Page 267.
(4)« Le Monde », 5 août 2008.
(5)« Les États-Unis accusés de soutenir le terrorisme au Pakistan », « Hindustan Times », le 5 août 2008.
Note de ReOpenNews : Cet article fait partie du Dossier sur le 11/9 publié par l’Humanité Dimanche, avec un autre article déjà publié sur notre site, qui était consacré au Mouvement pour la Vérité sur le 11 Septembre.
Tags:guerre préventive, 11 septembre, Etats-Unis
http://illusions-de-mouvements.over-blog.com/article-23723095.html
sur le blog de Charlotte :
Hortefeux, Sarkozy et les expulsions : l'obscénité
14 octobre 2008 (LPAC) — Selon des sources à Washington, des responsables saoudiens, en collusion avec Londres, tentent d’obtenir un accord entre certaines factions des talibans et le gouvernement Karzaï, en vue d’établir un gouvernement d’unité nationale, quitte à y ramener certains des pires fanatiques qui avaient été chassés du pouvoir après les attentats du 11 septembre.
L’une de ces sources a indiqué qu’en contrepartie, les Saoudiens veulent que les Talibans livrent Oussama ben Laden. Sa capture ou son assassinat, vers la fin octobre, peu avant les présidentielles américaines, pourrait faire basculer le vote et offrir au président Bush le « legs positif » qui lui échappe totalement pour l’instant. Peu leur importe si une telle combine enfonce le pays dans le chaos d’une nouvelle guerre civile.
Le 12 octobre, le Sunday Telegraph a révélé que le président Karzaï offrirait des portefeuilles ministériels aux talibans s’ils acceptaient un accord de paix.
Suite à
http://bridge.over-blog.org/article-23755022.html
liens à venir sur ce post, et sur le précédent
publication non terminée