Eva à 60 ans.Blog d'une journaliste-écrivain.Analyse des faits marquants de l'Actualité,non-alignée,originale,prophétique,irrévérencieuse. Buts: Alerter sur les menaces,interpeller,dénoncer l'intolérable,inciter à résister. Alternance articles Eva et liens infos non officielles. Ici,pensée et parole libres. Blog dénaturé par over-blog le 1.2.15,il sera transféré sur Eklablog
"Deuxième hic, la divergence sur les liens avec le MoDem. "Les Verts s'affirment dans le cadre classique de la gauche plurielle", avec un "refrain" : "à gauche toute et sans Modem", raille "Dany". Ses amis et lui-même affichant une autonomie de l'écologie politique "en dehors de ce cadre référentiel de la gauche plurielle, traditonnaliste et rétrograde", il est nécessaire là aussi qu'ils se fassent plus entendre. Le débat, encore non tranché, entre les deux parties sur les alliances pour le second tour, devra se dérouler "au plus tard fin janvier", insiste-t-il. Mais M. Cohn-Bendit répète sa position : il faut "rassembler les réformateurs en vue de former une alternative au projet UMP". Et prévient : "je continuerai personnellement à débattre publiquement" afin de "permettre l'émergence d'une majorité alternative en 2012". Les Verts peuvent râler, "Dany" continuera à discuter avec Bayrou." http://www.lemonde.fr/politique/article/2009/10/28/les-conseils-de-cohn-bendit-pour-circonscrire-les-verts_1259910_823448.html#ens_id=1246222&xtor=AL-32280151
Les conseils de Con-Bandit ? Tu ferais mieux de te taire, canaille...
Hé hé, qu'est-ce que je vous ai dit en voyant la frimousse du diablotin débarquer en France, comme en mai 68 ? Il va encore foutre la merde, celui-là ! Et voilà, ça n'a pas manqué. J'avais annoncé : Il va tuer politiquement Bayrou comme, jadis, de Gaulle, et puis il va déconsidérer la Gauche, et pour finir il va libéraliser les Rouges-Verts pour les aligner sur le modèle ... green allemand, furieusement libéral. La carte Con-bandit ! Autant dire la roue (verdâtre) de secours du Capitalisme en faillite et déconsidéré. Alerte, citoyens, sauve qui peut !
Voilà, c'étaient mes cogitations du jour.
Votre Eva, toujours aussi remontée contre les bandits qui gangrènent la politique et privent les peuples de leur liberté.
Sélection de liens (non terminée)
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Inflation, déflation...
dans tous les cas, ce sera mauvais !
Bill Bonner
▪ Nous pensons faire des progrès dans notre compréhension des choses. Le secteur privé est en train de se désendetter. C'est désormais au tour du secteur public -- il s'endette autant qu'il le peut, en faisant jouer l'effet de levier qui plus est.
Dans le secteur privé, cette stratégie a mené à la crise bancaire et au marché baissier de 2007/2009. La dette génère toujours des problèmes. Prochain épisode : une crise du secteur public.
Mais attendez... un instant... pas si vite... nous n'avons pas encore atteint la fin de la crise du secteur privé ! Les prêts bancaires continuent de chuter. Les prix de l'immobilier continuent de chuter. L'emploi continue de chuter. Bientôt, les cours des actions recommenceront à chuter eux aussi...
▪ Mais d'abord, voyons un peu les gros titres. Les salaires des banquiers sont en première page une fois de plus. Le public et les medias grand public adorent ce genre de chose. C'est une bataille entre les gros richards et l'intérêt général -- c'est du moins ce qu'ils pensent. Le public déteste les banquiers. Les gens ne veulent pas seulement qu'on limite leurs salaires ; ils veulent qu'on limite leur espérance de vie. Nous aussi, ça nous plairait. Ou peut-être une flagellation en place publique. Ou au moins une lapidation ou deux.
Mais notre véritable sympathie va aux PDG aux doigts crochus. Après tout, ils ont volé cet argent honnêtement. On devrait leur permettre de le garder. Les autorités voulaient faire grimper le secteur financier en donnant de l'argent aux banques. A quoi s'attendaient les politiques ? Les banquiers l'ont pris.
Oui, on verse aux financiers des quantités d'argent scandaleuses -- bien au-delà de ce qu'ils valent. En fait, si on étudiait la situation de près, on découvrirait probablement que leur contribution nette à l'amélioration de l'humanité est désormais négative.
Les banquiers parient que l'argent qui leur a été donné par les autorités vaudra moins l'an prochain que cette année. Ils l'échangent donc contre tout et n'importe quoi, assurés du fait que lorsque le temps viendra de rembourser, il sera encore plus facile à obtenir que maintenant.
Pour l'instant, le pari se passe bien pour eux. Le cuivre a doublé. L'or a grimpé de 20%. Les marchés partout dans le monde ont pris 60%. Les devises étrangères ont elles aussi battu le dollar (..)
Le pari contre le dollar continuera-t-il de payer ? Telle est la grande question. Si oui, vous devriez rester dans les actions, l'or et les matières premières. Si non, restez dans les liquidités.
Mais tout ça importe à peine aux joueurs. Ils jouent avec l'argent de quelqu'un d'autre ! Si les paris se passent bien, ils s'attribuent de gigantesques primes. S'ils tournent mal... ma foi... il y a toujours le renflouage ! A long terme, les paris contre le dollar sont quasiment assurés de finir gagnants. Toutes les devises papier finissent par atteindre le zéro. Mais à court terme, qui sait ? Le monde entier parie contre le billet vert. Avec une position à découvert si considérable contre le dollar, il serait typique de M. le Marché -- alias M. Zizanie -- de faire grimper le dollar.
Mais on ne peut en vouloir aux banquiers. Ils rendent un service extrêmement précieux. Ils aident à séparer les imbéciles de leur argent. Dommage que les imbéciles en question soient les contribuables...
Parmi tous ceux qui râlent et les rouspètent sur les gigantesques bonus des banquiers, rares sont ceux qui parviennent à la conclusion évidente :
On devrait laisser faire faillite ceux qui le méritent.
▪ Les gros titres nous renvoient un autre message : l'économie réelle ne s'améliore pas. Quelques bonnes statistiques sont sorties. Mais les nouvelles qui comptent vraiment -- les prix de l'immobilier et l'emploi -- étaient mauvaises.
"Rien ne va. C'est tout ce qu'on sait", a déclaré John Stepek, rédacteur de la version anglaise du magazine MoneyWeek. "Les gens demandent si on aura de l'inflation ou de la déflation. Les haussiers pensent qu'on aura de l'inflation. Les baissiers parient sur la déflation. Je ne suis pas certain que cela importe. Nous aurons probablement les deux".
"Le principal, c'est que quel que soit le scénario, ce sera mauvais. Ni l'inflation ni la déflation ne sont nécessairement mauvaises. Les prix doivent s'ajuster. C'est ainsi que le marché transmet ses signaux. Lorsque les prix grimpent, le marché indique aux producteurs de se mettre au travail et d'augmenter la production. Lorsque les prix chutent, il dit aux producteurs de ralentir. Dans l'ordre naturel des choses, les prix baissent généralement. Ou ils devraient baisser. C'est là de la 'bonne' déflation. Elle signifie simplement que les producteurs deviennent plus efficaces, comme ils le devraient. Il y a également de la bonne inflation -- lorsque les prix grimpent à cause d'une augmentation de la demande réelle. Lorsque les gens gagnent plus d'argent, ils peuvent acheter plus de choses ; les prix grimpent".
"Mais ce à quoi nous allons assister est mauvais. Une mauvaise inflation. Une mauvaise déflation. C'est le résultat de problèmes monétaires et d'une gestion malsaine. Cela enverra tous les mauvais signaux, et aggravera inévitablement les choses. Pour commencer, la déflation est mauvaise parce qu'elle est le résultat d'un désendettement majeur, associé à une liquidation de la dette et des actifs. C'est une dépression. Ou une récession majeure. Ou une 'grande contraction'. Appelez ça comme vous voulez. C'est une déflation dans laquelle les prix chutent... et ce ne sera pas amusant".
"Ensuite, on verra très probablement de la mauvaise inflation -- causée par l'impression excessive d'argent par les banques centrales. C'est de la mauvaise inflation parce que ce n'est qu'une augmentation de la quantité de papier monnaie, non une augmentation de la demande réelle".
"Nous ne savons pas exactement ce qui nous attend. Mais quoi qu'il arrive, ce sera mauvais".
Une démonstration implacable
Ramón Chao*
Ce que les médias ne vous diront jamais au sujet de Cuba, vous le découvrirez dans le dernier livre de Salim Lamrani qui porte un titre similaire (Cuba. Ce que les médias ne vous diront jamais). Les médias ne lui accorderont pas la diffusion qu’il mérite car Lamrani pointe avec minutie les graves manquements des médias occidentaux dans leur traitement de l’information sur ce sujet.
Avec une rigueur scientifique, Lamrani dévoile l’ampleur du gouffre qui sépare l’image médiatique de Cuba et la réalité de ce pays. Tout y passe : droits de l’homme, dissidence, émigration, liberté d’expression. Pour ce faire, Lamrani n’entre pas dans des considérations politiques ou idéologiques. Il se base uniquement sur des faits et place les médias occidentaux face à leurs propres contradictions. Les sources utilisées ne sont pas confidentielles ; elles sont publiques et disponibles, mais soigneusement ignorées par la presse.
La démonstration est implacable. Lamrani place le lecteur face à une réalité indiscutable et le laisse tirer ses propres conclusions. La liste est longue et la lecture instructive. On comprend mieux pourquoi il est difficile de trouver des comptes-rendus du livre dans la presse.
*Journaliste et écrivain, ancien directeur de l’information à RFI, Ramón Chao est également le père du célèbre chanteur Manu Chao
Salim Lamrani
Cuba. Ce que les médias ne vous diront jamais
Prologue de Nelson Mandela
Paris, Editions Estrella, 2009
300 pages
18€
Disponible en librairie et sur Amazon : http://www.amazon.fr/Cuba-Medias-Vous-Diront-Jamais/dp/2953128417/ref=pd_rhf_p_t_1
Pour toute commande dédicacée, contacter directement : lamranisalim@yahoo.fr
Les fournisseurs d’accès Internet privés pourraient avoir besoin de l'autorisation du gouvernement pour bloquer les sites populaires, indique ce rapport, ou pour réduire les vitesses de transmission pour laisser la place au commerce.
http://www.alterinfo.net/La-pandemie-pourrait-bloquer-Internet_a38498.html.
Questionnements sur le Prix Nobel
Un prix Nobel pour l'Algérie ?
Il se veut être une récompense en même temps qu’une double reconnaissance
éthique et universelle, pour tout ce qui peut consolider le progrès, la paix
et le bonheur des hommes.
Les critiques et les polémiques qu’il suscite, font état des miroirs
équivoques occultant un processus de la répartition de la créativité sociale
ainsi qu’un mode d’appropriation du savoir et des techniques à des fins de
domination et de reproduction du pouvoir. Un rituel sans surprise,
rendez-vous est pris à l’Académie Royale des Sciences à Stockholm, le 10
décembre 2009.
L’Algérie, pas encore formatée, ne doit pas faire le deuil d’un Prix Nobel
de la Paix qu’il ne lui aurait pas été décerné en 2003, après tant de
prouesses dans la résolution des conflits, la pacification (loi de la
«Rahma», concorde civile et réconciliation nationale) et la diplomatie de la
paix (Union africaine, Nepad, Ethiopie, Erythrée). Pas de déception à avoir
pour un Prix Nobel de la Paix idéologiquement et foncièrement inéquitable
(notamment en omettant les pays du Sud). Une alternative doit être
recherchée pour encourager, pour récompenser «les justes» de toute
l’humanité.
INTRODUCTION GENERALE
L’Algérie est, selon les observateurs étrangers, un pays qui a accompli des
prouesses reconnues notamment dans l’apaisement des crises : la sienne
d’abord, celle de la décennie noire (1989/1999) et, ensuite, dans ses
actions diplomatiques de pacification sur le théâtre international et
particulièrement celui du continent africain.
LE PRIX NOBEL ET SES MIROIRS EQUIVOQUES
II.1) La première : Il apparaît comme inéquitable dans son attribution (Prix
Nobel de la Paix).
La démarche consiste dans ce cas, à un relevé exhaustif du palmarès des
attributions du Prix Nobel, en général, et de celui de la Paix, en
particulier, depuis sa création en 1901
(extraits - suite ici : http://prixnobelalgerie.blogspot.com/?spref=gr#close=1)
Les Guignols de l'Info...
Le roi Sarkozy ne s'amuse pas.
Des têtes vont tomber !
Branle-bas de combat là où réside « qui vous savez ». Cibles désignées: Stéphane Guillon, Yann Barthès et les Guignols, ces adversaires irréductibles qui résistent encore et toujours à ce même qui vous savez. Lire la suite l'article
Résultat: le système a généré un antidote cent fois plus puissant que le poison concino-sarkozyste. Car ces amuseurs, écriveurs, bateleurs, imitateurs, complètement affranchis des règles du savoir-vivre journalistiques s'en donnent à coeur joie. Et comme le citoyen de base ne se retrouve pas dans les éditoriaux de Joffrin, dont le rêve est de collaborer au débat sur l'identité nationale de Besson, il se replie fiévreusement sur ces héritiers de Coluche et le Luron. CQFD.
Mais tout cela ne va pas durer.
Dans le collimateur, le patron de Canal, Rodolphe Belmer, jugé coupable de ne pas tenir les Guignols et Yann Barthès. Procédé classique: on lâche le petit écho faisant état du mécontentement suprême. A défaut de pouvoir obtenir la tête de la cible, cette dernière, se sachant menacée, finit par offrir une tête ou deux, histoire de donner des gages. Longtemps efficace, cette arme tend à s'émousser. Le rapport de forces s'inverse. Regardez Guillon à Inter. Toujours là...
Cela étant, l'opération « évacuons Guillon en douceur » semble avoir débuté. Guillon lui même le raconte dans une interview à Téléobs.
Question: « On sent moins l’enthousiasme des journalistes d’Inter pendant vos chroniques? »
Réponse: « Il y a eu beaucoup de tension à Inter au printemps dernier autour de ce changement de présidence. Parmi les critiques qui m’ont été adressées, certaines ont évoqué les “rires gras” du studio. Après, forcément, il y a eu un silence de cathédrale ! J’ai demandé à l’équipe de se détendre, mais ce n’est pas évident. Je sais aussi qu’il y a un clivage au sein de la rédaction, certains adorent, d’autres détestent. C’est comme ça. Et les rires, j’ai appris à m’en passer. »
Cette déclaration est étonnante. Guillon y avoue que ses camarades de jeu, notamment Demorand et Legrand, n'osent plus rire de ces gaudrioles. Rire serait compromettant, suspect, donc coupable.
Et on imagine déjà le piège qui pourrait se refermer sur Guillon. La petite rumeur qui peut devenir grosse. Guillon ne fait plus rire, d'ailleurs même ses copains du studio ne s'esclaffent plus. Il suffit ensuite de décliner dans les déjeuners en ville: « Avez-vous remarqué que Guillon ne fait plus rire Demorand et Legrand? », qui sera suivi de: « Il est quand même moins drôle qu'avant non? ». Puis de : « Depuis le temps qu'il fait cette chronique, forcément, il s'est usé ».
Reste le cas Barthès. Disons le tout net: pour avoir une idée de ce qui l'attend à terme, dans les semaines qui viennent, scrutons tous attentivement les réactions de Denisot à ses saillies drolatiques. Denisot a toujours été le baromètre canalosarkozyste des grâces et disgrâces...
http://fr.news.yahoo.com/63/20091029/tpl-stphane-guillon-et-yann-barths-des-t-5cc6428.html
wikipedia
A savoir : La Fondation Franco-Américaine
est la seule organisation aux États-Unis[réf. nécessaire] qui se consacre à renforcer les liens entre la France et les États-Unis. Depuis sa création en 1976, FFA se consacre à encourager un dialogue actif entre les deux nations. L'objectif de cette Fondation est d'oeuvrer au resserrement franco-américain dans le but de favoriser l'émergence d'un bloc atlantique unifié. Cette fondation recrute après une sélection sévère des jeunes dirigeants (Young Leaders) français et américains issus de la politique, de la finance, de la presse "talentueux et pressentis pour occuper des postes clefs dans l'un ou l'autre pays".
Côté français, on trouve parmi ceux-ci (date d'admission entre parenthèses): Philippe Auberger (1989, député UMP), Yves Censi (2003, député UMP), Jérôme Chartier (2003, député UMP), Nicolas Dupont-Aignan (2001, député UMP, Debout la République), Alain Juppé (1981, député UMP), Éric Raoult (1994, député UMP), Valérie Pécresse (2002, député UMP), Jacques Toubon (1983, député UMP), François Hollande (1996, député socialiste), Arnaud Montebourg (2000, député socialiste), Pierre Moscovici (1996, député socialiste), Alain Richard (1981, socialiste, ancien ministre de la Défense), Henri de Castries (1994, Directeur général du groupe AXA assurances), Emmanuel Chain (1999, journaliste), Jérôme Clément (1982, Président d’ARTE), Annick Cojean (2000, journaliste au Monde), Jean-Marie Colombani (1983, Directeur de la publication du Monde), Matthieu Croissandeau (2002, rédacteur en chef adjoint du Nouvel Observateur), Jean-Louis Gergorin (1994), Bernard Guetta (1981, journaliste à France Inter), Erik Izraelewicz (1994, rédacteur en chef des Echos), Laurent Joffrin (1994, PDG de Libération), Jean-Noël Jeanneney (1983, président de la BNF), Sylvie Kaufmann (1998, journaliste au Monde), Yves de Kerdrel (2005, journaliste aux Echos), Marwan Lahoud (1999), Anne Lauvergeon (1996, présidente d’AREVA), François Léotard (1981, ancien ministre de la Défense), Alain Minc (1981), Laurent Cohen-Tanugi (1996, Sanofi-Synthélabo et membre du conseil d’administration du think tank « Notre Europe » créé par l’ancien président de la Commission Jacques Delors[17]), Christine Ockrent (1983), Olivier Nora (1995, président des Editions Grasset), Denis Olivennes (1996, président de la FNAC) http://fr.wikipedia.org/wiki/Fondation_Franco-Am%C3%A9ricaine http://alexandrelatsa.blogspot.com/2009/10/de-moscou-whashington-censure-et.html