Bonsoir,
Signer une pétition ne sert malheureusement à rien,les considérations géo-politiques et le cynisme sont les ingrédients principaux des politiques et des militaires pour essayer de mettre aux pas ceux qui refusent le diktat de l'empire.
Espérons qu'il y ait dans les instance dirigeantes des personnes ne se laissent pas dicter par la passion afin d'éviter une catastrophe humaine..
Rêvons un peu..................... ________________________________________________________________________________________ Reçu, à partir d' informations émanant de
spécialistes de l'investissement financier ----- Message transféré ----
De : La Chronique Agora <la-chronique@publications-agora.fr>
À :
Envoyé le : Lundi, 19 Mai 2008, 19h09mn 22s
Objet : Le baril de WTI à 127 $ : quels investissements pour en profiter ?
Un véritable séisme énergétique pourrait mettre fin pour toujours à l'ère du pétrole bon marché, effaçant plus de 150 ans de prospérité occidentale et oblitérant la richesse de millions d'investisseurs... ... quasiment du jour au lendemain.
LE JOUR OÙ LE MONDE
SE RETROUVERA
À COURT D'ÉNERGIE
Le chaos s'installe
Cher Ami, Il y a quelques mois, l'événement financier le plus dévastateur des 150 dernières années s'est produit.
On n'a entendu aucune sonnette d'alarme.
On n'en a pas parlé au journal de 20 heures... et on n'en parlera pas avant qu'il ne soit trop tard !
On commencera par montrer du doigt les politiciens qui ont ignoré cette terrible menace parce qu'ils savaient qu'elle ferait dérailler les élections.
Ensuite, on accusera les médias, qui ont laissé de côté des preuves effarantes, disponibles depuis des années -- simplement parce que ce n'était pas assez "sexy" pour figurer en première page.
Puis on accusera l'OPEP, qui a délibérément dissimulé la vérité sur cette crise pendant plus d'une décennie... simplement pour pouvoir jouer sur les quotas d'exportation et engranger plus de pétrodollars.
Et on accusera les "grandes pétrolières" qui ont non seulement enterré ces preuves dans les années 50 -- mais ont même utilisé d'autres fausses données pour faire grimper le cours de leurs actions.
Mais montrer tout le monde du doigt ne changera rien au séisme énergétique dont je voudrais vous parler.
Un séisme, quel séisme ?
Entre 3 et 4 euros pour un litre de carburant... d'énormes files dans les stations-service... des émeutes autour d'un jerrycan d'essence...
Des aéroports vides parce qu'il revient trop cher de faire voler les avions... des supermarchés vides parce que le transport des marchandises est trop coûteux !
Vous pensez que c'est impossible ? Détrompez-vous !
L'Occident -- et le reste du monde -- est en train de voir ses réserves de pétrole bon marché s'épuiser. Et lorsqu'on aura dépassé le point de non-retour, votre patrimoine... votre santé... et tout votre mode de vie seront mis en danger.
En fait, ça a déjà commencé. Selon certains experts, le point de rupture a eu lieu en juin 2006 , comme je vous le démontrerai dans quelques lignes. Malgré les apparences, nous sommes désormais dans ce qui pourrait devenir l'époque financière la plus cruelle et la plus imprévisible des 150 dernières années de l'histoire mondiale !
Une nouvelle Guerre froide sur les rives de la Mer Caspienne... un renouveau du terrorisme et des massacres en Arabie Saoudite... des conflits militaires concernant le pétrole offshore dans la Mer de Chine du Sud...
Nous SAVIONS tous que cette crise approchait,
mais nous ne l'attendions pas si tôt !
Ne nous voilons pas la face. Tout le monde savait que la "Panne Sèche" arriverait un jour. On ne peut pas consommer une ressource qui ne se renouvelle pas... sans envisager qu'on finira, un jour, par se retrouver à court.
Ce que des centaines de milliers de gens -- et peut-être même des millions de gens -- n'ont jamais réalisé, c'est que cela se produirait aussi tôt !
Même les soi-disant "experts" pensaient que nous nous trouverions un jour confrontés à une crise de ce genre... mais d'après eux, nous n'étions pas censés nous trouver à court d'énergie avant 25-30 ans ! Malheureusement, les choses ne se déroulent pas tout à fait comme prévu...
La course folle a déjà commencé. Les rumeurs circulent. L'équilibre mondial est en train de basculer. Et les optimistes avec leurs lunettes roses doivent s'attendre au choc de leur vie.
Cet événement dévastateur... que personne n'attendait avant des dizaines d'années... est en fait déjà arrivé.
Selon moi, ses effets se feront sentir avant la fin de la décennie... mais vous n'avez pas autant de temps pour vous y préparer : la panique commencera bien avant... lorsque la foule et les marchés se rendront compte des changements historiques qui nous attendent.
Il ne s'agit pas d'un événement mineur !
Nous voyons déjà les symptômes d'un effondrement : le pétrole vient de franchir la barre historique de 100 $ le baril.
L'or noir devient de plus en plus précieux, indispensable et difficile à obtenir. Depuis le début des années 2000, le pétrole s'envole... et ce n'est pas près de s'arrêter.
Réfléchissez-y : la situation au Moyen-Orient est -- c'est un euphémisme -- explosive. La Russie commence elle aussi à faire jouer l'argument énergétique dans ses relations internationales. Les tensions autour du pétrole et du gaz se multiplient, entre des pays de plus en plus assoiffés d'énergie. A cela vient s'ajouter le fait que le Venezuela, le Nigeria, l'Arabie Saoudite... bref, les principaux producteurs pétroliers de la planète... sont plutôt hostiles aux pays occidentaux.
Et si l'on regarde les choses plus en profondeur, on voit bien vite que l'envolée du pétrole n'est pas seulement liée à l'idéologie... mais aussi et surtout à la géologie.
En sous-sol, la source mondiale de pétrole bon marché est sur le point de s'épuiser.
Et rien de ce vous faites pour accroître ou protéger votre capital ne sera plus jamais pareil.
Je peux vous promettre que les temps qui s'annoncent ne seront pas faciles... mais je peux aussi vous promettre autre chose :
Je suis convaincu qu'à la suite de cette crise -- alors même que la plupart des investisseurs perdent des fortunes et que bon nombre de marchés mondiaux sombrent dans le chaos... -- quelques investisseurs avisés feront des profits considérables grâce au secteur des matières premières.
Dans les pages qui suivent, j'aimerais vous démontrer que ces investissements -- que vous devriez faire MAINTENANT -- pourraient vous rapporter des gains à deux, voire trois chiffres, lorsque le reste de la foule se rendra compte de ce qui est en train de se produire.
Non seulement ces investissements aideront à vous PROTEGER des conséquences de cette crise... mais je suis également convaincu qu'ils vous rapporteront des profits élevés... très rapidement.
Ce n'est pas tout.
Ce que vous découvrirez dans les prochaines lignes vous permettra de construire une sorte de "forteresse" autour de votre portefeuille -- tout en engrangeant des plus-values.
Vous découvrirez pourquoi cette crise, loin d'être le scénario du prochain film-catastrophe hollywoodien, est bel et bien réelle. Les dégâts physiques et financiers qui nous attendent pourraient littéralement réduire à néant un siècle et demi de prospérité occidentale.
Mais vous verrez aussi pourquoi cela n'est pas une fatalité. Je suis absolument persuadé que les investissements que je vous ferai découvrir devraient jouer un rôle essentiel dans TOUTES les stratégies d'investissement efficaces au cours des mois turbulents qui se préparent !
Quelques investisseurs bien informés pourraient devenir considérablement plus riches grâce à ces informations. Vous êtes sur le point de voir pourquoi. Certes, il reste du temps pour vous préparer, mais pas beaucoup.
Mieux vaudrait donc commencer sans plus attendre... et revenir quelques années en arrière.
(..)
Le champ de Ghawar était la plus grande découverte pétrolière d'Arabie Saoudite. En 1948, il renfermait la quantité vertigineuse de 87 milliards de barils de pétrole. C'est incroyable.
Au début des années 70, les quatre plus grandes entreprises pétrolières de la planète -- Exxon, Chevron, Texaco et Mobil -- estimaient qu'il restait 60 milliards de barils de pétrole à Ghawar. C'est toujours incroyable.
Depuis, cependant, le Ghawar a produit 55 milliards de barils de brut. A vous de faire le calcul : 60 milliards moins 55 milliards... ça ne fait plus que 5 milliards de barils de pétrole restants ! Ca ne fait jamais 50 années de pétrole. C'est tout juste assez pour soutenir la demande mondiale pendant encore... trois semaines !
Les Saoudiens le savent parfaitement. Tous les jours, ils injectent en toute discrétion des millions de litres d'eau de mer sous le réservoir pétrolier de Ghawar afin de soutenir la pression de pompage.
Bien entendu, l'Arabie Saoudite a encore 300 autres réservoirs pétroliers où pomper. Mais ils obtiennent 90% du pétrole qu'ils vendent d'une petite poignée de ces réservoirs. Le reste a déjà commencé à s'assécher.
Et cela ne devrait pas vous surprendre, parce que 5 des champs de pétroles d'Arabie Saoudite sont si vieux qu'ils ont été découverts entre 1940 et 1965 ! Si les Saoudiens mentent sur leurs réserves rien que pour stimuler leur part de marché, peut-être que vous vous posez la question suivante...
Y'a-t-il d'AUTRES mensonges
sur les réserves pétrolières ?
Qu'en est-il des autres membres de l'OPEP ? Nous mentent-ils aussi sur le total des réserves ?
Oui, absolument
Pétrole fantôme
En 1986, l'OPEP a décrété une nouvelle règle pour ses membres : on ne pouvait pas exporter plus de pétrole qu'il n'y en avait dans les réserves. Quelques semaines à peine après cette règle de quotas, quasiment tous les pays de l'OPEP avaient "étendu" leurs réserves pour pouvoir accumuler plus de revenus pétroliers dans leurs coffres.
Voilà le problème : ces pays avaient gonflé leurs réserves du jour au lendemain... sans qu'une seule découverte pétrolière ait été faite... et sans qu'on ait construit un seul nouveau puit ! C'est un scandale qui a déjà coûté des centaines de milliards de dollars sur le marché de l'énergie.
Bien entendu, on ne peut pas consommer de "pétrole fantôme". On ne peut pas non plus le cacher éternellement. Inutile de voir le monde se retrouver à court de pétrole pour que le désastre se produise. Et plus tôt on découvrira la vérité sur le "pétrole fantôme"... plus les véritables réserves de pétroles s'épuiseront rapidement... et plus la Panne Sèche arrivera vite
Le point de rupture
Au cours de toute l'histoire de l'Age du Pétrole... qui a commencé en 1859... le monde a brûlé approximativement 950 milliards de barils de pétrole. Certains des géologues les plus respectés de la planète estiment que les réserves restantes se montent à 1 000 milliards de barils.
Cela peut sembler faire beaucoup de pétrole... sauf qu'il y a des chances pour que ces 1 000 milliards de barils représentent à peu près tout l'or noir qui nous reste -- jusqu'à la fin des temps. Vous vous rappelez de l'événement dévastateur dont je vous parlais au début de ce message ? Eh bien, nous y voilà.
Accrochez-vous, parce que ce n'est pas agréable à entendre :
Lorsqu'on fait la moyenne des dates de pic de production pour tous les grands pays producteurs de pétrole... y compris l'Arabie Saoudite et le reste de l'OPEP n'ayant pas encore atteint leur sommet... on obtient une estimation de sommet de production arrivée à la mi-2006 !!
Autrement dit, il se pourrait que le point de rupture soit dépassé depuis plus d'un an!
Voilà pourquoi je pense que nous verrons des changements radicaux dans le domaine de l'énergie et des matières premières d'ici avant la fin de la décennie
Et voilà pourquoi j'espère que vous n'attendrez pas pour agir -- parce qu'avec une telle estimation, vous devez vous préparer maintenant pour ce qui nous attend... tant qu'il en est encore temps !
Prenez par exemple le Dr. Kenneth Deffeyes, géophysicien et professeur à Princeton, qui travaillait avec Hubbert dans les années 50. Selon lui, le pic pétrolier mondial a été atteint il y a déjà quelques années.
A-t-il raison ? C'est possible. La courbe d'Hubbert prévoyait quelques années de production pétrolière stagnante, au plus haut du pic. Et depuis quelques années, selon le Professeur Deffeys, c'est bien ce qu'on constate.
Si le pic s'est déjà produit, la baisse des cours du pétrole que nous voyons actuellement n'est que temporaire. Et les investisseurs risquent de tout perdre... à moins d'être bien informés ; et c'est exactement pour ça que je suis là.
C'est une occasion monumentale, il n'y a pas d'autre mot.
Dès le moment où ces nouvelles données atteindront les médias... ce sera comme si une bombe avait explosé sur les marchés. Dans la crise qui nous attend, les entreprises seront confrontées à des choix importants. Des milliers d'investisseurs perdront des milliards de dollars.
"150 $ le baril", selon deux sénateurs français
Une offre en déclin rapide et une demande grimpant en flèche... c'est la loi économique sous sa forme la plus pure.
Pierre Laffitte et Claude Saunier sont sénateurs ; ils sont également les auteurs d'un rapport présenté en juin 2006 à l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST), sur le thème "Changement climatique et transition énergétique : dépasser la crise". Voilà ce qu'on pouvait y lire :
"... Le déséquilibre qui s'est amorcé en 2001 [...] est trop fort pour que l'on n'aboutisse pas, dans un futur plus proche qu'on ne l'imagine, à un choc pétrolier de grande ampleur.
"Il est difficile de conjecturer sur le déroulement de ce choc : accroissement progressif, montée par à-coups plus violents, ou hausse très brutale. Mais on peut raisonnablement penser qu'il portera le baril de pétrole rapidement à 100 $, puis à un niveau proche ou supérieur à 150 $ le baril"...
Nos deux sénateurs ont déjà vu la première partie de leurs prédictions se réaliser. La seconde ne tardera sans doute pas... parce que la crise géologique ne sera pas la seule pression s'exerçant sur le prix du pétrole et les matières premières.
Regardez la Chine, par exemple...
- La Chine ne comptait que 700 000 voitures en 1993. Elle en a désormais 7 millions. Il n'y avait également que 15 millions de motos, à l'époque. A présent, il y en a plus de 100 millions !
- La consommation énergétique de la Chine a déjà doublé ces 20 dernières années. Imaginez que la Chine commence à brûler du pétrole au même rythme que le Mexique ?
- Pour l'instant, la Chine n'utilise que 1,7 barils de pétrole par habitant. Le Mexique en utilise 7. Si la Chine en arrivait au même rythme, la demande quotidienne totale de la Chine grimperait à 24 millions de barils par jour. C'est plus qu'aux Etats-Unis... et cela représenterait près de 30% de la demande de pétrole mondiale !
- Au cours des 15 prochaines années, la Chine a l'intention d'importer le DOUBLE de la quantité de pétrole importée par les Etats-Unis. Le taux de croissance de la demande pétrolière chinoise représente déjà le double de celle du reste du monde.
Selon l'Agence Internationale de l'Energie, ces dernières années, la demande a augmenté à son rythme le plus rapide depuis 1980. En moyenne elle est de 88,1 millions de barils par jour dans le monde. Là-dessus, environ 20 millions de barils de demande proviennent des Etats-Unis. C'est un chiffre difficile à envisager.
Imaginez une piscine olympique. Videz-la. Remplissez-la de pétrole brut. A présent, refaites cette opération 9 727 fois. Tous les jours de l'année. Ca fait beaucoup de pétrole ! Et rappelez-vous qu'une fois consommé, il a disparu pour de bon...
D'accord... mais une énorme découverte ne pourrait-elle
pas se produire, et changer la donne ?
Absolument pas !
Quelles sont les chances de trouver un autre champ de pétrole de 90 milliards de barils ? Ou deux champs de 45 milliards de barils ? Proches de zéro. On pourrait se ruiner à en chercher -- en fait, ça a déjà été le cas de nombreuses compagnies pétrolières !
(Dans les années 50, par exemple, George W. Bush Senior a gagné des millions grâce à ses activités pétrolières au Texas. Au début des années 80, George Junior a dû quitter ses propres activités... après que chaque forage lancé se soit révélé désespérément sec !)
La dynamique a complètement changé. Pourquoi ?
Parce qu'il n'y a eu aucune découverte pétrolière majeure depuis plus de 20 ans !
Dans le monde entier, les découvertes pétrolières nettes ont plongé tous les 5 ans depuis 1980.
Certains des champs les plus grands ont désormais entre 30 et 100 ans... et ils commencent aussi à s'assécher !
Il y a eu 16 grandes découvertes pétrolières en 2000, huit en 2001, trois en 2002, AUCUNE en 2003 -- et à part un gisement de 5 à 8 milliards de barils potentiels découvert fin 2007 dans la baie de Santos, au Brésil, les chiffres actuels restent décevants. Dans le monde entier, le sommet des découvertes a été atteint dans les années 50. Dans les années 90, la moyenne était d'un sixième du total de l'époque... soit neuf milliards de barils par an !
Ce n'est presque rien, comparé à la demande mondiale de pétrole. Et même si l'on trouvait un autre Ghawar... cela ne ferait que retarder l'impact de moins de 24 mois.
Il faut se poser la question... S'il y a encore de l'énergie bon marché à découvrir, où est-elle ? La plupart des énergies alternatives (éolienne, hydrogène, solaire, hydraulique, etc.) présentent un potentiel parfois explosif -- et qui pourrait d'ailleurs vous rapporter des gains eux aussi substantiels, au passage -- mais elles sont trop longues à développer pour éviter totalement le choc pétrolier.
Il y a de meilleures réponses -- des réponses que je partagerai avec vous. Elles aideront quelques investisseurs avisés à faire des profits spectaculaires -- si vous savez quelles actions acheter, et le bon moment où vous positionner... (..)
Sylvain Mathon
http://www.la-chronique-agora.com
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Reçu ce courriel édifiant, d'une personne bien renseignée :
Bonjour Eva,
As tu lu l' article sur la crise du pétrole en entier ?
Alors, cette crise signifie qu'il faut aussi freiner la consommation en "éliminant" les hommes qui consomment, pour assurer aux industries et aux élites de s'engraisser
Après le tremblement de terre en Chine, l'ouragan en Birmanie, il va falloir s'attaquer à l'Inde, grosse consommatrice aussi
Je te paries que de ce coté là, nous allons voir apparaitre un séisme, une tempête, un truc pour éliminer les populations trop nombreuses et gourmandes en énergie
Il y a des années, une personne haut placée dans la Franc-Maçonnerie m'avait dit que le problème de notre planète c'était la démographie, et qu'il allait falloir éliminer ce problème, sinon nous allions à notre perte
Donc, stérilisation, maladies, famines, séismes et tempêtes sont au service politique d'une démographie que la planète ne peut supporter, le Mexique aussi est un pays où la population trop importante et grand mangeur d'énergie !
C'est du cynisme peut être, mais je crois que malheureusement, nous en sommes là
Tout est possible, je crois que la leçon de tout ça, c'est qu'il faut s'attendre à tout !
Bisou à toi
A lire :
La bulle pétrolière, une arme de destruction massive
de la demande
http://www.marcfievet.com/article-19435389.htm