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Les Régionales et eva R-sistons
Mes amis,
A peine (enfin) rentrée, et dans la perspective du vote de ce dimanche, je vous envoie ce court post pour vous dire mon embarras. Je ne suis pas le genre à bouder les urnes. Il est sûr que si, lors des prochaines Présidentelles, nous avons Sarkozy face à D. Strauss-Kahn, je ne choisirai pas entre la peste et le choléra. Mais j'irai voter ! Blanc, pour m'exprimer...
Et là, quel enthousiasme ! L'UMP cassera la France sans moi. Frèche ? Pas question ! Ce populiste qui se permet de tout dire et de faire n'importe quoi, jamais ! Et il ose ouvrir sa région aux colons israéliens ? Qu'il ne compte pas sur ma voix ! Les Verts ? Ceux de Con-Bandit le fouteur de merde qui va dénaturer ce parti, en transformant le rouge en rose pâle et le vert en vert grenelle de l'environnement ? Jamais ! Le PS et sa gôche caviar ? Seulement en désespoir de cause... trop libéral-social (libéralisme bon teint saupoudré de social), et ne parlons pas de sa politique étrangère flirtant allègrement avec l'Empire. Reste le Front de Gauche, avec un Mélenchon qui apparemment ne comprend pas les enjeux du Nouvel Ordre Mondial, ni ceux de l'Empire atlantico-sioniste, et qui s'égosille contre une candidate parce qu'elle porte un foulard sur les cheveux, bref pas de quoi susciter l'enthousiasme ! Mais avec une Marie-Georges Buffet dont encore récemment l'un de mes fils, très sportif, vantait la politique en faveur des jeunes des quartiers lorsqu'elle était Ministre de la Jeunesse et des Sports, avec une M-G Buffet, donc, qui est sincèrement soucieuse de défendre les classes populaires, je me laisse tenter... Il faut voter, et donc, faute d'un Chevènement § gaullien très à gauche (du moins avant), je déposerai sans doute dans l'urne un bulletin pour ce Front qui rassemble ceux qui veulent vraiment changer les choses, faire enfin une politique de gauche. Je ne prétends pas avoir raison, mais au moins avec ce Parti, on sait que les préoccupations des plus faibles seront prises en compte !Voilà ! Je dois à mes Lecteurs, en période électorale, de dire ce que je vais faire. Libre à eux d'en tenir compte, ou de dénoncer mon choix !
Je me retrouve face à une semaine d'informations et de courriels à dépouiller, merci les intempéries, les routes impraticables, la météo folle ! Au fait, qui a dit que le climat se réchauffait ? Un rigolo, sans doute ! Comme ceux qui sont au pouvoir, peut-être ? Mais là, on aborde un autre sujet.... Et si Haarp avait modifié le climat... électoral ???? Bon, j'arrête là, le terrain est glissant... verglacé ???? Sacré réchauffement !
Votre eva R-sistons§ Petite anecdote sur Chevènement. Il y a... disons quelques années, Mitterrand s'était entiché de moi en tant qu'écrivain et en tant que femme. Monsieur aimait les écrivains, les femmes, et les femmes plutôt jolies et bien sûr jeunes... Or donc, toute jeunette, toute pimpante, toute fringante, je fus invitée dans son loft mansardé où, rue de Bièvre, il recevait ses amis intimes. Brusquement, le téléphone sonna. Et la conversation dura. Lorsque celle-ci prit fin, l'ami François me dit d'un air gourmand: " C'était Chevènement... C'est mon préféré, mon remuant, mon bouillonnant préféré !"
A lire: http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=11568
Le martyre d'Amir, dix ans:
Comment la "démocratie" israélienne
traite les enfants...
« Nous sommes des enfants, tout comme vous. Nous avons le droit de jouer, d’aller librement. Je veux dire au monde qu’il y a tant d’enfants dans les prisons israéliennes. Nous voulons juste la liberté de bouger, la liberté de jouer. »
Amir et sa mère, quelques heures seulement avant son enlèvement
par des soldats israéliens. (Nora Barrows-Friedman)
Amir al-Mohtaseb a souri tendrement quand je lui ai demandé de me dire quelle était la couleur qu’il préférait. Assis dans le salon familial, cet après-midi de jeudi dernier, 5 mars, dans la vieille ville d’Hébron, le garçonnet de 10 ans, avec ses taches de rousseur et ses longs cils, m’a répondu, le « vert ». Puis, il a poursuivi en me racontant, en détail et péniblement, son arrestation et sa détention, et l’emprisonnement de son grand frère de 12 ans, Hasan, par les soldats de l’occupation israélienne, le dimanche 28 février.
Quelques heures après cet entretien, à 2 h du matin, les soldats israéliens ont fait irruption dans sa maison, ils ont arraché Amir de son lit, menacé ses parents de les tuer si jamais ils tentaient de le protéger, ils l’ont descendu au rez-de-chaussée, sous la cage d’escalier. Là, ils l’ont roué de coups si méchamment qu’il a fait une hémorragie, dans le ventre, et il fallut l’hospitaliser dans la nuit. En état de choc et en plein désarroi, Amir restera pendant un jour et demi sans pouvoir ouvrir la bouche ni s’exprimer.
Lors de notre entretien de cet après-midi qui précède cette violente agression, Amir m’a raconté que le dimanche 28, il jouait dans la rue, près de la mosquée Ibrahimi, tout en allant avec Hasan voir leur tante.
« Deux soldats nous ont arrêtés et menottés » dit Amir. « Ils nous ont conduits vers deux jeeps séparées. Ils m’ont emmené dans la colonie et m’ont mis dans un coin. J’avais toujours les menottes. Ils ont mis un chien à côté de moi. J’ai dit que je voulais rentrer à la maison. Ils ont répondu non, et ils m’ont dit que j’allais rester là toujours. Ils ont refusé que j’aille aux cabinets. Ils ne m’ont pas laissé appeler ma mère. Ils m’ont bandé les yeux et je suis resté comme ça jusqu’à ce que mon père puisse venir me chercher, tard le soir. »
La détention d’Amir, dans la colonie, a duré près de dix heures. « Je ne pensais qu’à une chose, c’était à quel point j’avais peur, surtout avec le chien tout près de moi. Je voulais m’enfuir et retourner chez moi », dit-il.
La mère d’Amir et d’Hasan, Mukarrem, m’a dit qu’Amir avait manifesté des signes de traumatisme, dès son retour à la maison. « Il essayait de blaguer, et de rire. Mais ce n’était pas un rire normal. Il était content et terrifié en même temps, ». « Il avait uriné sur lui à un moment pendant sa détention. Il était vraiment effrayé. »
Amir a confié que les nuits qui ont suivi sa première détention, il n’a pas pu dormir, malade d’inquiétude pour son frère en prison, et effrayé à l’idée que les soldats puissent revenir (ce qu’effectivement, ils ont fait). Actuellement, il y a environ 350 enfants qui croupissent dans les prisons et les camps de détention israéliens, subissant des interrogatoires, des tortures et des condamnations interminables, quelquefois sans inculpation. Leur nombre varie constamment, mais des milliers d’enfants palestiniens, entre 12 et 16 ans, sont passés par le système judiciaire militaire israélien au cours de la décennie passée, depuis le déclanchement de la deuxième Intifada palestinienne. Israël a fixé l’âge adulte pour ses propres citoyens à 18 ans, mais par ordre de l’armée, et en violation du droit international, il a décidé que pour les Palestiniens, ce serait 16 ans. De plus, des ordres militaires spéciaux d’Israël (n° 1644 et 132) permettent d’arrêter et de juger les enfants palestiniens - désignés sous le nom de « délinquants juvéniles » - dès l’âge de 12 ans.
« De cette façon, ils ont une couverture "légale" pour agir comme ils le font, même si c’est contraire aux lois internationales, » dit Abel Jamal, chercheur à Défense de l’Enfance internationale - section Palestine, (DCI-PS), à son bureau d’Hébron. « Cependant, dans le cas d’Amir, ils ont même violé leurs propres lois en l’arrêtant et en le mettant en détention alors qu’il n’a que dix ans. Ces lois sont manifestement extensibles au bon vouloir d’Israël. Nous n’avons jamais vu qu’il y ait des poursuites pour de tels crimes ».
J’ai demandé au père d’Amir et d’Hasan, Fadel, de me dire comment on pouvait être parents, sous un tel siège permanent. « Ce n’est pas sans danger pour les enfants d’aller à l’extérieur, car nous sommes confrontés constamment aux agressions des colons et des soldats, » explique-t-il. « En soi, c’est inimaginable pour nous. Et maintenant, nous avons un fils qui est en prison et un autre qui est traumatisé... ils sont si jeunes. »
Le dimanche 7 mars, exactement une semaine après l’arrestation d’Hasan et la détention d’Amir, la famille et des journalistes de la presse locale, tôt dans la matinée, se sont rendus à la prison d’Ofer où Hasan est détenu depuis son arrestation du 28. Après un long cheminement, le juge militaire israélien a reconnu que le garçon était trop jeune pour rester en prison, Hasan a été relâché mais à la condition de revenir au tribunal, à une date ultérieure, pour finir la procédure judiciaire. Ce procès faisait suite à la première audience de mercredi dernier, à Ofer, où Maan News Agency rapporte que le juge a exigé que Fadel verse au tribunal 2 000 shekels (390 €) pour la caution d’Hasan. D’après Maan, Fadel a alors demandé, publiquement, au tribunal, « Quelle est la loi qui permet qu’un enfant soit jugé devant un tribunal et que l’on exige de son père de payer une amende ? Je ne paierai pas l’amende, et vous devez libérer mon enfant... c’est la loi de l’occupation d’Israël. »
Tenaillés par les situations de leurs fils, Mukarrem et Fadel disent qu’ils font tout ce qu’ils peuvent pour leur famille sous l’agression israélienne. « Que pouvons-nous faire ? » demande Fadel. « Nous verrouillons les portes. Nous verrouillons les fenêtres. Nous n’avons rien pour protéger notre famille et nos voisins contre les soldats et les colons. Si c’était un Palestinien qui enlevait, frappait et emprisonnait un enfant israélien, le monde entier se mettrait en rébellion contre cela. On le verrait partout dans les médias. Mais les Israéliens rentrent dans nos communautés, avec des jeeps, des chars d’assaut et des bulldozers, ils prennent nos enfants et les jettent en prison, et personne ne s’en soucie. »
Jamal, de DCI-PS, redonne son opinion sur le droit international qui est fait pour protéger les enfants sous occupation militaire, et qui est ignoré par Israël depuis le début de l’occupation en 1967. « La plupart du temps, nous utilisons, autant que nous le pouvons, la loi, les Conventions de Genève, la Convention des Nations-Unies pour les droits de l’Enfance contre cette violence, » dit Jamal. « Toutes ces lois existent, mais Israël se sert de ses propres lois militaires comme excuses pour défier le droit international. Nous, Palestiniens, devons travailler ensemble à la création d’une solidarité contre cette brutalité. En oeuvrant ainsi, nous disons à la communauté internationale, voilà ce qui se passe avec les enfants palestiniens, ceci afin d’acquérir une large base de soutien contre cette situation. Nous croyons que la seule façon d’arrêter cela, c’est par le soutien de la communauté internationale. »
Amir commence doucement à parler, 36 heures après les coups des soldats israéliens. Selon Zahira Meshaal, travailleuse sociale à Bethléhem, spécialisée dans les effets du traumatisme chez l’enfant, « le mutisme électif » d’Amir, symptôme d’un choc psychologique extrême et provoqué par les coups et sa détention, est une réaction courante, mais le fait qu’il ait commencé à parler est un bon signe. « Il s’agit d’une réaction de peur à beaucoup de niveaux. La maison d’Amir et sa famille représentent sa seule source de sécurité, » dit Meshaal. « Tout cela lui a été enlevé quand les soldats ont envahi sa maison. Il est aisé de suivre son trauma immédiat, mais les conséquences à long terme seront sans aucun doute difficiles à traiter. Il aura besoin de beaucoup de soins psychologiques, en commençant maintenant. »
Meshaal commente la nature de cette agression dans le contexte de la situation telle qu’elle se développe dans Hébron. « Nous parlons d’un endroit qui se trouve en première ligne pour le traumatisme, » dit-elle. « C’est un mal permanent et qui empire pour la communauté tout entière. Les parents doivent être au centre de la sécurité pour leurs enfants, mais cela leur est ôté. Spécialement à Hébron, et les colons et les soldats israéliens le savent, ils se servent de cette tactique pour obliger les gens à partir d’ici. C’est une guerre psychologique. Il s’agit d’un acte délibéré pour effrayer les enfants et obliger les gens à partir ailleurs, où leurs enfants se sentiront plus en sécurité. »
Au terme de notre entretien du jeudi 5 mars, Amir avait envoyé un message aux enfants d’Amérique. « Nous sommes des enfants, tout comme vous. Nous avons le droit de jouer, d’aller librement. Je veux dire au monde qu’il y a tant d’enfants dans les prisons israéliennes. Nous voulons juste la liberté de bouger, la liberté de jouer. »
Amir a dit qu’il sera cardiologue plus tard, quand il aura grandi. Sa mère et son père, eux, espèrent que le propre cœur d’Amir - et le leur - guérira du trauma répétitif et cumulatif de la semaine dernière, aux mains d’une occupation israélienne interminable.
L’auteur, en Palestine.
Hébron, le 8 mars 2010 - Live from Palestine - The Electronic Intifada - traduction : JPP
* Nora Barrows-Friedman est co-animatrice et principale productrice de Flashpoints, magasine quotidien d’investigations sur Radio Pacifique. Elle est aussi correspondante d’Inter Press Service. Elle écrit régulièrement depuis la Palestine où elle dirige aussi des ateliers de communication pour les jeunes du camp de réfugiés de Deishé, près de Betléhem, en Cisjordanie occupée.
http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=11557
![HAARP et aurore boréale HAARP](http://i402.photobucket.com/albums/pp110/dazibaoueb/haarp1.jpg)
Le programme américain HAARP
Extraits. Une menace pour le climat et pour l’environnement vibratoire de la planète HAARP, une arme de destruction massive qui fait partie du programme militaire américain « Joint Vision 2020 » constitue une menace pour les interactions subtiles entre les écosystèmes de la Terre et l’ionosphère.
Résonance de Schumann (Fréquences RS) et biocommunications La résonance de Schumann (RS) constitue peut-être le support d’un processus de perception extrasensorielle (PES) de type radar pour tous les êtres vivants. Des fréquences quelconques peuvent être absorbées et ré-émises par tout objet selon des schémas d’interférences spécifiques. Ces « ondes résonnantes » peuvent être modulées intentionnellement en fréquence ou en forme dans le but de transmettre certaines informations (schémas d’interférence).
Décodées par le cerveau, elles reviennent presque instantanément sur le « dos » de la résonance de Schumann et sont alors traduites par le cerveau en données conscientes. En outre, la bio information peut être inscrite intentionnellement à distance sur une cible par une interface sensorielle primitive de type radar sur une onde porteuse RS. Tout cela et d’autres mécanismes sont tributaires du fait que les fréquences RS demeurent dans leur gamme médiane.
A Sedona, en Arizona, Ben Lonetree (http:// sidereal7.org), un ingénieur électricien, observe de manière intensive les fréquences RS, qu’il nomme la « Voix de la Planète », ainsi que le champ magnétique terrestre. Son site Internet livre des relevés atmosphériques et géophysiques en temps réel très fiables. Il a un grande expérience de la technologie IRM (Imagerie par Résonance Magnétique) et des ondes cérébrales. Il est spécialiste en mesures ELF (très basses fréquences) et en ULF (ultras basses fréquences).
Rythme et chaos dans l’ionosphère Le rythme de la vie a évolué de façon continue au fil des ères. Nous vivons dans une matrice complexe de champs oscillants. La moindre fluctuation dans un champ imbriqué provoque des perturbations dans les autres. Des impulsions voyagent tout autour du monde plusieurs fois par seconde entre la surface de la planète et l’ionosphère, envoyant des signaux de coordination à tous les organismes. Ces signaux nous relient au champ électromagnétique global. Du nom de son inventeur, la Résonance de Schumann (RS) est le pouls qui bât la mesure de la vie sur notre planète. Tout comme le battant d’une cloche, les coups de foudre réactivent constamment cette onde stationnaire.
Nous marchons tous à la "cadence de ce tambour cosmique, notre battement de cœur planétaire, qui fixe le tempo de la santé et du bien-être. Endommager ce stimulateur équivaudrait à sonner le glas de la vie telle que nous la connaissons. Or aujourd’hui, sous prétexte de progrès et de défense, ce stimulateur est menacé et de monstrueuses quantités d’argent public sont dépensées pour cette exploitation de l’atmosphère. Des taxes toujours croissantes sont prévues pour financer jusqu’en 2020 cette défense antimissile aberrante, la "guerre des Etoiles", et le faisceau d’énergie HAARP (High-frequency Active Auroral Research Program) qui est déjà opérationnel à Gakona en Alaska.
Le rythme vibratoire de notre environnement, le moteur fondamental de toute vie sur notre petite planète bleue, est menacé par les manipulations humaines de l’ionosphère telle la technologie du programme HAARP. Certains scientifiques sont allés jusqu’à déclarer que la haute atmosphère était "vivante", transmettant une sorte de conscience à tous les êtres vivants. Ainsi que l’ont montré les atteintes à la couche d’ozone et d’autres calamités écologiques, il est dangereux de tripoter Mère Nature. Toucher ce système pourrait le détruire, et nous avec. Il semble évident que les avantages présumés ne justifient pas la prise de tels risques pour notre survie, mais pratiquement aucune recherche sérieuse n’a été menée dans les domaines où des problèmes pourraient se poser.
Il s’avère qu’une partie de l’argent alloué au projet de Guerre des Etoiles de Bush sera utilisée pour de la recherche sur des lasers en orbite... Ce que craignent les Russes... ce sont les intentions américaines de mener, en 2003, des expériences scientifiques à grande échelle avec le programme HAARP basé en Alaska. Quatre-vingt-dix députés russes ont signé une motion contre le programme HAARP, déclarant que ces expériences déboucheraient sur des armes capables de rompre les communications radio et les équipements des vaisseaux spatiaux et des fusées, de provoquer de graves accidents dans les réseaux électriques et dans les oléo- et gazoducs et d’avoir des effets négatifs sur la santé mentale des populations de régions entières. (Fitrakis, 2002).
L’ionosphère nous protège des radiations mortelles du Soleil et de l’espace. Et maintenant, avec des ondes radio à hautes fréquences on perce des trous dans cette couverture protectrice, prenant le risque de déchirer accidentellement le cocon fragile de l’évolution planétaire et humaine. Les conséquences pourraient être aussi dévastatrices que la panne d’un stimulateur cardiaque individuel. Les forces du chaos pourraient se déchaîner, provoquant des dégâts irréversibles. La Strategic Defense Initiative (SDI) place cette technologie de modification de l’environnement entre les mains du commandement militaire, une perspective bien inquiétante. Comme ils bénéficient d’un mandat pour la sécurité nationale nous ne savons pas exactement ce qu’ils en font et le pire est à craindre. Espérons que cela sera révélé avant qu’il ne soit trop tard pour tout le monde.
Perturbations touchant le climat terrestre
Pour comprendre le fragile équilibre de notre planète il faut voir notre région de l’espace du point de vue astrophysique. Il apparaît alors que la moindre perturbation de notre atmosphère peut provoquer des ruptures dramatiques dans le cours de notre destinée géophysique. Des forces nombreuses et complexes affectent déjà la Terre et en particulier le schéma climatique mondial. À grande échelle, il existe une menace d’ère glaciaire galactique à cause des supernovas, dont les rayons cosmiques génèrent des nuages lorsqu’ils touchent l’atmosphère, la refroidissant. En outre, le système solaire traverse la partie la plus dense de la Galaxie de la Voie Lactée sur un cycle approximatif de 30 millions d’années.
Ce nuage moléculaire dense et les fluctuations des "marées" galactiques de matière lointaine peuvent déstabiliser des comètes dans le nuage d’Oort et les précipiter vers les planètes et le Soleil. Les pluies de petites comètes, appelées "rafales d’impacts" agissent, au fil des millénaires, sur les mouvements des couches de glace et provoquent des extinctions massives. Elles affectent aussi le thermosiphon océanique (apport excessif d’eau douce) qui fonctionne comme un convoyeur océanique global. [cf. Nexus France n° 26, mai-juin 2003 : Réchauffement Climatique et Glaciation].
Cette pompe à sel déplace l’eau chaude vers les zones froides du nord, telles que la côte est des Etats-Unis et l’Europe, et les rend habitables tandis qu’elle rafraîchit les tropiques. Son effondrement aurait pour conséquence l’arrêt de la circulation des eaux chaudes salées du Gulf Stream vers le nord, ouvrant une nouvelle ère glaciaire. Le moteur de l’évolution n’est pas la sélection naturelle, mais le climat et la glace. Au cours des 2,5 derniers millions d’années, les masses de glace ont migré 30 fois depuis la formation de l’isthme de Panama, lequel a bloqué la circulation tropicale entre le Pacifique et l’Atlantique. Ainsi l’eau chaude a été déviée vers le nord, où elle est retombée en neige et a formé les glaciers. Les glaciers avancent ou régressent en fonction des oscillations de la Terre.
Les sécheresses engendrées par ces cycles glaciaires ont fait régresser les forêts tropicales humides, laissant des savanes, et nos ancêtres ont quitté les forêts, développant leur intelligence pour survivre et devenir les humains modernes. L’intelligence et le pouvoir d’adaptation sont devenus nos caractéristiques parce que nous avons dû survivre dans des climats instables. Mille générations seulement sont passées depuis la dernière ère glaciaire en Europe, alors que la population était incroyablement réduite à cause de la rigueur du climat.
Toutes les recherches montrent que le système climatique terrestre comporte des seuils sensibles qui, lorsqu’ils sont franchis, font basculer le système d’un mode de fonctionnement stable à un autre. Comme on l’a vu avec El Nino, les systèmes océaniques contrôlent les climats des continents. C’est aussi ce que révèlent les sédiments des fonds marins, les couches de glace dans les carottages et le recueil des fossiles. Tous indiquent que le convecteur océanique s’est déjà arrêté dans le passé. On a dit que c’était le talon d’Achille de notre système climatique. D’après les chercheurs, la pompe est en ralentissement et pourrait donner le signal d’un changement brusque et catastrophique.[cf. Nexus France n° 26, idem]. Une étude parue dans Nature en 2002 indique que les courants marins des profondeurs refroidis à 20 %, ce qui n’est pas bon signe. La fonte et la fragmentation des glaciers pourraient accélérer le processus.
L’examen des fossiles prouve qu’un effondrement peut se produire en l’espace d’une décennie et se maintenir pendant des siècles. Cette nouvelle notion de modification climatique rapide est aujourd’hui universellement reconnue. De tels déclenchements peuvent engendrer des variations d’environ 10°C en une décennie, suivies d’une stabilisation sur une vingtaine d’années, puis d’un refroidissement d’environ 20°C au cours des vingt années suivantes.
Les variations ont été moins violentes au cours des derniers 8000 à 10000 ans, mais l’instabilité solaire, l’inclinaison de l’axe et le ralentissement des courants pourraient en précipiter le retour. Il en est de même des manipulations humaines du climat par la technologie et les armes à rayons énergétiques.
Une hausse de la température de 3 à 4°C seulement pourrait déclencher une élévation du niveau des mers de l’ordre de 20 m en dix ans ! La poursuite du réchauffement et de la fonte des glaces créerait un cycle où les températures connaîtraient des écarts de 8 à 10°C en 30 ans. Ensuite les courants océaniques se déplaceraient et de nouveaux rythmes chaud/froid s’installeraient. De nouvelles mers de faible profondeur réduiraient les terres émergées. Les plaines agricoles seraient noyées, entraînant une diminution des ressources alimentaires. Environ 30 à 40% des terres seraient perdus et l’humanité serait chassée des vallées inondées sur tous les continents. Le commerce et l’industrie seraient noyés. En 2003, l’EPA [ministère US de l’environnement] prédisait une hausse de 1,7 à 5°C au cours des cent prochaines années. Les mers tropicales se sont réchauffées de 1 à 1,44°C au cours des cent dernières années et les glaciers fondent en de nombreux endroits de la Terre.
La recherche indique aussi que le Soleil lui-même est dans un cycle de réchauffement et pourrait être un facteur significatif du réchauffement de la planète (0,55°C par an depuis 1880). Les premiers résultats semblent montrer que le Soleil émet 0,05% de radiations en plus par décade depuis 1970. Cette augmentation estimée de l’émission solaire implique que des vents solaires plus puissants balayent la haute atmosphère terrestre, provoquant son excitation et son ionisation par des particules chargées.
On peut attribuer au Soleil environ la moitié du réchauffement global de ce dernier siècle. Plus il chauffe, plus il dévie les rayons cosmiques. Si cela persiste pendant des décennies, des fluctuations climatiques spectaculaires pourraient s’en suivre, ainsi que cela s’est produit pendant la "Petite Ere Glaciaire" entre le XIIe et le très froid XVIIe siècle.
L’émission d’énergie par le Soleil varie selon un cycle de 11 ans et a connu deux pointes en 2000 et 2002. Le minimum aura sans doute lieu dans trois ans (La période du minimum solaire n’est pas nécessairement égale à celle du maximum). Ces changements du cycle solaire produisent sur Terre des changements à court terme. Au-dessus des USA, une augmentation de la couverture nuageuse allant jusqu’à 2% a été observée au moment du maximum solaire. La température de la haute atmosphère est deux fois plus élevée lorsqu’elle est bombardée par un maximum d’émission solaire. Durant ces périodes, l’atmosphère se dilate et s’étend dans l’espace jusqu’à atteindre et dépasser l’orbite de la Station Spatiale Internationale. Cela va jusqu’à augmenter la traînée de la station et nécessite de fréquents ajustements d’orbite utilisant la poussée des navettes.
Il est récemment devenu possible de mesurer l’activité solaire plus facilement et avec plus de précision en dehors de notre atmosphère. Nous pouvons maintenant mesurer l’énergie solaire totale à toutes longueurs d’ondes et en déduire une résultante appelée Total Solar Irradiance (TSI) [éclairement énergétique total de rayonnement solaire]. Il y a un débat sur la question de savoir si les indications d’augmentations actuelles constituent une tendance à long terme ou une aberration passagère.
Dans une étude récente, les données de six satellites en orbite terrestre à diverses périodes durant 24 années ont été analysées. Richard Willson, un chercheur de la Columbia University qui est affilié à la National Academy of Sciences et à la Goddard Institute for Space Studies, a déniché, dans une série de données, des erreurs qui ont empêché que des études précédentes fassent apparaître la tendance. La nouvelle étude montre que le TSI a augmenté d’environ 0,1 % en 24 ans. Cela n’est pas suffisant pour provoquer des changements climatiques significatifs, affirment Willson et ses associés, sauf si ce taux de changement était maintenu pendant un siècle ou davantage. Sur des laps de temps aussi courts que quelques jours, le TSI peut varier de 0,2 % à cause du nombre et de la taille des taches qui traversent la surface du disque solaire. (Britt, 2003). Cependant les chercheurs estiment que cette variation, dont on dit qu’elle ne peut influencer le climat, est égale à la quantité totale d’énergie utilisée globalement pendant un an par l’humanité.
Manipuler l’ionosphère
Perturber davantage, voire, percer des trous dans l’ionosphère surchauffée peut provoquer des bouleversements météorologiques catastrophiques. Il y a un risque potentiel que ceux-ci soient déclenchés par les militaires, sous le couvert de la SDI, pour déstabiliser des régions entières par des perturbations climatiques sans même avoir recours à la guerre conventionnelle. Mettre en oeuvre cette arme dans des buts économiques et stratégiques pourrait provoquer l’effondrement des systèmes écologiques et perturber gravement la production agricole. Bien entendu, le Département de la Défense a déjà mis en place le renseignement et des dispositifs de surveillance météorologique relatifs à ce programme.
Des spéculations récentes ont aussi tenté de faire le rapprochement entre les mystérieuses chemtrails [Ndt : traînées de condensation apparemment chargées de produits chimiques et/ou toxiques ; cf. Nexus France n° 4] et le développement de la technologie HAARP. Certains pensent que le pouvoir réfléchissant de ces nuages (chemtrails) pourrait influencer le réchauffement de l’atmosphère et la météo. Il semble que les analyses des "cheveux d’anges" récoltés dans l’atmosphère après une journée de diffusion contiennent certaines toxines. On a identifié des bactéries virales, des moisissures toxiques, du noir de carbone et du dibromure d’éthylène. Les questions posées au sujet de ces diffusions concernent aussi un accroissement du pouvoir réfléchissant de certaines couches de l’atmosphère. Ces épandages sont la cause d’une réduction massive de la production d’ions négatifs par les forêts, ce qui pourrait être fatal à toute vie biologique.
En outre, la grande sécheresse qui a affecté de vastes régions est soupçonnée avoir un rapport avec le sel de baryum, hautement toxique et absorbant d’humidité jusqu’à sept fois son propre poids), qui a été détectée en grandes quantités dans l’atmosphère tout de suite après les chemtrails. Celles-ci pourraient donc être liées à HAARP et ses applications potentielles au contrôle climatique.
C’est ARCO Petroleum qui détient les brevets de cette technologie de Tesla. Il semble que le projet HAARP, il y a quelques années, était financé par ARCO. De nombreux groupes de recherche rapportent que nous sommes constamment inondés d’ELF (très basses fréquences), comme d’un "brouillard" électronique. Les ELF peuvent s’avérer mortelles pour toute vie biologique car elles modifient les fréquences vibratoires naturelles des êtres vivants, provoquant de graves disfonctionnements, comme une pensée irrationnelle, l’incapacité de se concentrer, la fatigue chronique et/ou la mort.
Intervenir sur ce système dynamique à l’équilibre délicat pourrait induire un effondrement catastrophique, comparable à une avalanche. Les potentialités des "réchauffeurs d’ionosphère" sont vraiment effrayantes. Nous n’avons pas idée ce qui peut résulter d’interventions à long terme sur cet équilibre sensible de l’ionosphère et de la température globale, tout cela étant lié au thermosiphon océanique mondial dont la source est au large du Groenland. Le climat n’est donc t-il as déjà suffisamment perturbé par l’activité humaine, faut-il encore aggraver le problème en jouant avec ces faisceaux d’énergie ? Les Nations Unies organisent la poursuite de débats sur les changements climatiques, les gaz à effets de serre et les "armes non mortelles" qu’au moins les Américains et les Russes pourraient mettre en oeuvre. La "guerre météorologique" implique le déclenchement de perturbations atmosphériques à l’aide d’ondes radar ELF. Par le biais de l’armement électronique, les US veulent "posséder le temps" et les stations spatiales dans un souci d’établir leur domination militaire, cela en remodelant les schémas naturels et en maîtrisant les communications mondiales. De récentes informations scientifiques ont déterminé que HAARP est maintenant entièrement opérationnel et possède la potentialité de déclencher des inondations, des sécheresses, des ouragans et des tremblements de terre. D’un point de vue militaire, HAARP est une arme de destruction massive. Potentiellement, c’est un instrument de conquête capable de déstabiliser sélectivement l’agriculture et les systèmes écologiques de régions entières. Même s’il n’est pas prouvé que cette redoutable technologie ait déjà été utilisée, néanmoins faudrait-il que les Nations Unies considèrent les conséquences d’une "guerre de l’environnement" parallèlement au débat sur les séquelles climatiques des gaz à effets de serre... La Dr Rosalie Bertell confirme que "les scientifiques militaires américains... travaillent sur des systèmes météo en tant qu’armes potentielles. La méthode consiste en une potentialisation des tempêtes et le détournement des courants de vapeur dans l’atmosphère afin de provoquer des sécheresses ou des inondations ciblées... " Un ancien officier militaire français, Marc Filterman, esquisse divers types d’armes "non conventionnelles" utilisant des radiofréquences. Il fait allusion à une "guerre du temps", indiquant que les US et l’Union Soviétique avaient déjà "maîtrisé le savoir-faire nécessaire pour déclencher de brusques variations climatiques (ouragans, sécheresse) au début des années 1980". (Chossudovsky, 2000).
Il existe des dispositifs plus modestes à Arecibo au Puerto Rico, à Fairbanks en Alaska, à Tromso en Norvège, et dans les villes de Moscou, Nizhny Novgorod et à Apatity en Russie, ainsi qu’à Kharkov en Ukraine, et Dushhanbe au Tadzhikstan, et peut-être en Israël (en un lieu inconnu).
HAARP a été présenté à l’opinion publique comme un programme de recherche scientifique et académique. Cependant des documents militaires américains semblent bien suggérer que son principal objectif soit "d’exploiter l’ionosphère pour le compte du Ministère de la Défense". Sans pour autant citer nommément le programme HAARP, une étude de l’US Air Force signale l’utilisation de "modifications ionosphériques induites" en tant que moyen de modifier les mécanismes climatiques et de brouiller les radars et communications de l’ennemi. (Chossudovsky, 2000).
HAARP et le programme "Joint Vision 2020"
Cela fait une dizaine d’années qu’au niveau international on se préoccupe de HAARP et de projets connexes mettant en oeuvre des faisceaux d’énergies similaires. Les propositions et développements les plus récents ne sont pas encourageants. La presse étrangère et les alliés occidentaux des US ont dénoncé le plan de défense antimissiles et de lasers orbitaux "Joint Vision 2020" comme un pas extrêmement dangereux vers la domination mondiale des USA. Le Représentant des USA, Dennis Kucinich, déclara lors de l’émission Columbia Alive que Joint Vision 2020 était déjà un programme actif d’expériences sur les énergies dirigées. Le 9 novembre 2002, Carol R. Schuster, Directeur de Defense Capabilities and Management au General Accounting Office (GAO), informa les membres de la Democratic Minority du House Armed Services Commitee au sujet de Joint Vision 2020. Schuster expliqua que ce plan mettait aussi l’accent sur l’importance de l’expérimentation destinée à cerner les innovations en matière de conflit armé.
Un détachement spécial des commandement US interarmées du DoD (ministère de la défense) et les Chefs d’Etat Major poursuivent leurs investigations et recherchent les moyens de déployer un armement électronique capable de détruire n’importe quelle opposition dans le monde, d’ici 2020. Schuster confirma les commentaires de Kucinich :
En 1998, le commandement interarmées US entreprit un programme conjoint d’expérimentation de nouveaux concepts de guerre en soutien du plan Joint Vision 2020.
HAARP est géré conjointement par l’US Navy et l’US Air Force et constitue un élément clef de la stratégie de Joint Vision 2020. Un plan de programmation, le HAARP Joint Service élaboré en février 1990 par le laboratoire de géophysique de l’Air Force et le Navy’s Office of Naval Research, expose les applications militaires du plan. Ce document indique, entre autres choses, que HAARP sera utilisé pour générer des ondes de très basses fréquences pour la communication avec les sous-marins en plongée et d’éventuelles applications de guerre météorologique, ainsi que dans des tentatives de tirer parti des processus ionosphériques naturels en utilisant l’ionosphère comme réflecteur d’un flux énergétique destiné à la surface terrestre.
Expériences de rebond lunaire avec HAARP
Les Russes et certains alliés européens s’inquiètent de ce que les expériences militaires US, qui consistent à concentrer de fortes doses d’énergie à haute fréquence dans des buts militaires, pourraient déclencher des séismes. En avril 1992, "Defense News" rapporta que les US avaient utilisé une arme à pulsion électro-magnétique durant l’opération Tempête du Désert. (Fitrakis. 2002).
Le chercheur Guy Cramer fit entendre que le dispositif HAARP pourrait être utilisé pour réfléchir des signaux mortels à partir de l’ionosphère et aussi de la Lune vers des cibles à terre, provoquant des explosions assez fortes pour rendre inutiles les armes nucléaires tactiques. Le signal de 3000000.000 watts émis depuis l’Alaska peut rebondir sur la Lune pour revenir sur pratiquement n’importe quel point de la planète, en surface ou sous le sol, avec irradiation calorifique. Comme cela n’entraîne aucune contamination, on peut ainsi détruire des cibles secrètement, en attribuant les effets à des causes conventionnelles ou à l’action des Forces Spéciales. Le dispositif peut aussi être utilisé pour détecter les installations souterraines par pénétration photographique ou radar de profondeur, autant que pour l’usage conventionnel de radar transhorizon. Pour neutraliser ou pénétrer une cible, la haute atmosphère est chauffée de manière à créer un réflecteur virtuel pour le signal. Cramer suspecte que des expériences de rebond lunaire ont été menées depuis 1998, en utilisant une technique pratiquée depuis 1950 par les radioamateurs. Un dispositif similaire installé au centre de l’Australie permettrait d’atteindre des cibles inaccessibles depuis l’Alaska, aussi bien dans les hautes que dans les basses fréquences.
Vers la fin de 1998 et au début de 1999, le groupe ELFRAD a détecté une fréquence quotidienne de 9 à 95 hertz (pulsations/sec.). La longueur d’onde de cette fréquence était d’environ 319877 km. La distance de la Lune est assez proche de ce chiffre. Le signal semblait être cohérent, émis à partir d’une source inconnue environ à la même heure tous les jours, sauf les week ends. Le signal était assez puissant pour générer sa troisième harmonique de 2,81235 Hz...
Un signal d’ultra basse fréquence (ULF), fin 1998 à début 1999, d’une source inconnue, ne se produisant que les jours ouvrés, assez puissant pour engendrer une onde de troisième harmonique, à montée rapide et désintégration lente, plus facilement repérable par les magnétomètres situés dans le nord et d’une longueur d’onde correspondant à peu près à la distance de la Lune ? Quelle peut bien en être la cause, sinon HAARP ou un dispositif similaire, situé au nord et envoyant des signaux se réfléchir sur la Lune pour revenir sur Terre ? (Cramer 2001).
La voix de la planète : la résonance de Schumann
et ses rapports avec l’être humain (..)
Champs Electro-Magnétiques, conscience et ADN
Il est essentiel de poursuivre la recherche sur ces relations électromagnétiques, car peut-être que la survie de notre espèce psychophysique en dépend. Elles affectent notre mental, la structure génétique et cellulaire de notre corps, nos cycles de sommeil et de rêve, nos émotions et peut-être même de notre esprit. Il faut poursuivre la surveillance et le relevé des effets de ces actions sur l’atmosphère et de leur influence potentielle sur l’ionosphère et la RS, et donc sur le cerveau humain et la santé. Nous approchons de la fin d’un cycle de taches solaires et devrions consacrer un cycle complet de 11 années à récolter des résultats précis de données, comme le suggérait Hainsworth (Miller & Miller, 2002-2003).
Divers chercheurs et physiciens sont en train de rassembler des données pertinentes sous les auspices du Journal of Non-Local and Remote Mental Interactions (JNLRMI) (voir site Internet http://www.emergentmind.org), édité par le scientifique Lian Sidorov. Une des hypothèses majeure de ce groupe est que les champs EM extérieurs au corps sont cruciaux pour notre conscience. Matti Pitkanen a mis au point un modèle physique appelé Topological Geometrodynamics (TGD), qui met en lumière la relation étroite entre la physiologie humaine et la RS ainsi que d’autres schémas ELF et électromagnétiques.
Pitkanen pense que le champ magnétique terrestre n’est pas le seul facteur déterminant de la vie consciente, il cite aussi les champs interplanétaires et interstellaires. Ses démonstrations font référence à l’existence de canaux de flux magnétique, composante du champ magnétique mondial, qui se comporte comme un dipôle électrique. Une large gamme d’ondes EM, en particulier les micro-ondes et les ondes radio, joue probablement un rôle clef dans l’homéostasie, dans l’ensemble des interactions mentales à distance entre les cellules et d’autres structures et la représentation sensorielle, ainsi que dans les télé-interactions mentales à la fois dans et hors du corps. Il explique que le niveau de bruit du champ magnétique terrestre doit être assez bas pour permettre l’ESP (la perception extrasensorielle). Il y a plusieurs décennies, Alan Frey avait évoqué des notions de champ similaires, désignant en particulier ta gamme des micro-ondes. Ces champs EM ne sont que corrélatifs à la conscience. Toutefois, le modèle TGD permet d’assigner au champ corporel de quelqu’un une identité quantique de champ topologique. Pitkanen suggère aussi que ces champs et ondes ont une influence lorsque les systèmes biologiques exécutent des processus quantiques analytiques. Son approche biophysique indique que les circuits neuraux et les molécules sont liés par des mécanismes de verrouillage par ce processus de circulation magnétique (champs magnétiques dipolaires topologiquement quantifiés).
Pitkanen considère même le champ magnétique terrestre comme une interaction de champ magnétique dipolaire quantifié de nouage, de liaison et de torsion complexe. Le TGD perçoit le cerveau et le système nerveux comme l’organe sensoriel de notre moi électromagnétique étendu, qui possède une échelle de grandeur au moins égale au diamètre terrestre. Il ajoute que les phénomènes psi et les guérisons à distance pourraient impliquer le transfert de fréquences électromagnétiques spécifiques par les "wormholes" [Ndt : notion propre à la cosmologie, litt. "trous de vers" ; voir théorie des univers jumeaux] à longueur de Plant et par les effets frontières postulés par le TGD, ce qui permettrait le transfert quasi-instantané de l’information. L ’hypothèse du canevas sensoriel magnétique (MSC) décrit un mécanisme permettant de "partager les qualia" [Ndt : "qualia" = aspects phénoménaux de notre vie mentale ; "quale" au singulier] associés à des points distants sur la sphère géomagnétique, essentiellement une forme d’imbrication cognitive entre l’opérateur et la cible... Un des avantages évidents du TGD par rapport à d’autres modèles de transmission subtile d’énergie est que les champs EM ne sont pas directement portés de l’émetteur à la cible, mais sont générés simultanément en chaque lieu par un courant (géométrique) de vide : ainsi demeurent-ils cohérents en évitant le paradoxe de la non atténuation sur la distance... L’illusion de notre localisation est renforcée par les données que nous apportent nos sens, c’est-à-dire les perceptions auxquelles nous sommes accoutumés à prêter attention. (Sidorov, 2002).
D’autres recherches suggèrent que l’interaction fondamentale des champs externes et internes constitue la bonne voie. Joseph Jacobson (2002), du MIT, a trouvé un moyen de connecter et déconnecter des cellules avec les ondes radio. Son équipe a aussi "dézippé" et manipulé l’ADN avec des impulsions de radiofréquences. Le même procédé fonctionne aussi avec les protéines et celles-ci gouvernent presque tous les processus chimiques cellulaires.
D’autre part, le physicien Peter Gariaev a proposé un génome fondé sur les ondes, dont le canal d’information principal est le même pour les biophotons et les ondes radio (cf. http://www.emergentmind.org). En 1973, Miller et Webb décrivirent l’ADN comme un projecteur holographique (cf. Embryonic Holography, 2002). En d’autres termes les gènes sont encodés et se manifestent via la lumière et les ondes radio, ou l’holographie acoustique (cf. Miller, Miller et Webb : Quantum Bioholography, 2002). Des schémas d’interférence délocalisés créent des champs d’étalonnage (schémas directeurs) pour l’organisation spatio-temporelle de notre corps. Le système fonctionne comme un bio-ordinateur à ondes. L’ADN peut aussi fonctionner comme un cristal liquide colloïdal émettant une faible lumière de type laser qui peut être convertie en un signal électroacoustique.
Biosystèmes, Résonance de Schumann et perceptions extra sensorielles Pour conclure, Miller et Miller, ainsi que d’autres, postulent que :
Des champs électromagnétiques complexes déterminent l’organisation de tous les systèmes biologiques. Fondamentalement, nous sommes des êtres électromagnétiques plutôt que chimiques. L’interaction ondulatoire est la clef qui détermine la structure biologique et son fonctionnement optimal. Les biosystèmes sont sensibles aux champs électromagnétiques naturels et artificiels. Les perturbations des champs de l’environnement peuvent induire des changements dans les organismes que ces champs informent. Les fréquences et amplitudes de champs affectent notre état bio-dynamique.
Les fréquences ELF de la Résonance de Schumann sont intimement liées à celles des ondes cérébrales humaines. Des changements induits naturellement ou artificiellement dans la RS pourraient affecter de manière subtile, voire forte, la génération des ondes cérébrales. En particulier, cela pourrait conduire à des changements de schémas de fréquences de résonance et aux phénomènes qui en résultent tels que l’homéostasie, les REM, la psi et la guérison.
Pendant une dizaine d’années, Robert Beck... fit des recherches sur l’activité des ondes cérébrales des guérisseurs de toutes cultures et religions, (il énumère les médiums, les chamans, les radiesthésistes, les guérisseurs chrétiens, les voyants, les lecteurs d’ESP les praticiens de Kahuna, Santeria, Wicca et autres), qui, indépendamment de leurs systèmes de croyances, manifestaient "des signatures EEG quasi identiques" au moment de leurs actions de "guérison" : une activité d’ondes cérébrales de 7,8 à 8 Hz, qui durait d’une à plusieurs secondes et qui était "synchronisée en phase et en fréquence avec les micro-pulsations géo-électriques de la Terre ; la RS". (Sidorov, 2001). Les cristaux liquides (l’ADN, les ventricules cervicaux et les structures cellulaires) du corps humain peuvent fonctionner comme des antennes qui détectent et décodent les signaux ELF globaux et locaux. Beal (1996) suggère que les cristaux liquides (qui sont des éléments intrinsèques des membranes cellulaires) agissent comme des mécanismes de détection, amplification et mémorisation pour les schémas ELF EM de l’environnement. Les protéines tendent à s’orienter selon le EMF (champ électromagnétique) résonnant à 10 Hz et seraient donc très sensibles aux changements d’ELF dans cette gamme. Un champ d’ondes cohérent peut émaner de la matrice de cristaux liquide (LC) du corps.
La structure propre et l’organisation des tissus vivants sont cependant gouvernées par la molécule clé qu’est l’ADN. Le système génétique (qui, pour être plus précis, est constitué d’une fonction de translation equidirectionnelle qui peut partir aussi bien de l’ADN de l’ARN que de la protéine) s’avère être un code complexe, multidimensionnel avec des matériaux (nucléotide) à la fois locaux (codon) et globaux (contexte) et des paramètres de champs (hologramme EM), tous interdépendants et également sujets aux influences externes de l’environnement. (Sidorov, 2002).
Il existe un rapport étroit entre les désordres du comportement humain et les périodes de perturbations solaires et magnétiques.
Réciproquement, des études ont montré que des sujets qui vivent assez longtemps isolés des rythmes électromagnétiques développent des irrégularités croissantes et des rythmes physiologiques chaotiques. Ceux-ci sont rétablis de façon spectaculaire par l’intervention d’un faible champ électrique de 10 Hz. Les premiers astronautes en furent victimes jusqu’au moment où des générateurs RS furent installés dans les vaisseaux spatiaux.
Les anomalies géomagnétiques (tensions tectoniques, earthlights, perturbations du champ géomagnétique) peuvent induire certaines formes de perception paranormale, telles que des hallucinations visuelles et auditives, et les TLT (transitoires du lobe temporal, ou attaque légère).
Aussi, un des effets de la méditation est de" "calmer l’esprit" c’est une méthode permettant d’installer le "libre cours" (ou périodes de silence thalamique) et d’être entraîné par les rythmes géophysiques naturels. Cette forme d’accord ou de "magnéto-réception" est relayée par la glande pinéale (30% de ses cellules sont sensibles au magnétisme) et les tissus organiques contenant de la magnétite.
Persinger (1989) fait observer que l’activité profonde du lobe temporal existe en équilibre avec la condition géomagnétique globale. Lorsqu’il y a une brusque diminution de l’activité géomagnétique, il semble se produire une majoration des processus qui facilitent la perception psi, particulièrement la télépathie et la clairvoyance. Les augmentations de l’activité géomagnétique peuvent réduire le niveau de mélatonine de la glande pinéale et contribuer à réduire les seuils d’attaques corticales. En fait, la mélatonine est en relation aVec les désordres du lobe temporal tels que les dépressions et les attaques. (Krippner 1996).
Les conditions ELF globales optimales (nuit calme, faible activité solaire, faible pollution EM) peuvent faciliter les perceptions paranormales, y compris psi telles que ESP, vision et guérison à distance.
La psi est toujours présente dans l’espace et le temps, attendant d’être activée par une crise, par l’émotion ou par des paramètres de stimulus optimaux en laboratoire. L’activité. géomagnétique est susceptible d’affecter la capacité de détection de cette information par le cerveau, particulièrement les chemins neuraux qui facilitent la consolidation et l’accès conscient à cette information. En l’absence de cette activité géomagnétique, l’éveil au stimulus psi serait moins probable et les "capacités de réserves latentes" du cerveau ne seraient pas utilisées. (Krippner 1996).
Sidorov (2001) et d’autres ont suggéré que l’intention humaine fonctionne comme une fenêtre variable de transmission/réception dans l’échange d’information extrasensorielle, peut-être dans la gamme des fréquences ELF électromagnétiques. La synchronisation cérébrale de l’émetteur et du récepteur avec la RS facilite la psi ou "l’entraînement thérapeutique", amplifiant, ré-émettant des formes d’ondes cohérentes dérivées de l’environnement, imitant le schéma d’ondes de l’environnement. Sidorov avance l’hypothèse suivante : Les ondes cérébrales (particulièrement dans la gamme alpha) peuvent être transmises via le système périneural (ou via l’excitation de Frohlich) vers n’importe quelle zone éloignée du corps, et même vers des organismes adjacents, par les ondes EM ELF Ces fréquences peuvent être amplifiées par des ondes RS voisines ou par un mécanisme de feedback typique des chemins physiologiques du corps (semblables aux cascades immunologiques et neuro-endocrinologiques). À leur tour ces fréquences de base peuvent réactiver les processus de guérison interrompus, favoriser la croissance, accélérer les réponses immunitaire
s et en général provoquer le démarrage des fonctions inhérentes aux tissus corporels en "rééquilibrant ses énergies" (selon la médecine orientale) ou (dans la terminologie de Real) en reconfigurant l’orientation des cristaux liquides des composants des membranes cellulaires et en déclenchant ainsi des réponses intracellulaires spécifiques. (Sidorov, 2001).
Nous émettons l’hypothèse, avec Pitkanen et Sidorov, que la RS pourrait être le substrat d’un mécanisme de perception extrasensorielle de type radar commun à tous les êtres vivants. De même que l’eau bondissant sur les rochers ou sur tous objets submergés, cette fréquence non-spécifique est absorbée et ré-émise en schémas interférentiels uniques propres à chaque objet rencontré.
Ce schéma d’interférence est un composite de propriétés externes et internes, puisque les atomes et molécules les constituants ainsi que leur assemblage global retransmettent tous cette énergie selon leurs configurations spécifiques. Non seulement cela, mais les "ondes de sonde" peuvent être modulées en fréquence et en forme de manière intentionnelle afin de fournir une information spécifique (schémas d’interférence). Décodées par le cerveau, elles reviennent quasi instantanément "sur le dos" de la RS. Une fois reprises, le cerveau décode le schéma. Dans cette transformation de type Fourier, l’information est traduite en données conscientes, de façon similaire à d’autres processus sensoriels.
Réciproquement, des effets spécifiques peuvent être empreints comme bio information et "produire une action mystérieuse à distance" lorsque le signal arrive à destination. Sous de bonnes conditions globales (préalables), le schéma peut, à son tour, éviter la dissipation usuelle et s’accoupler à l’onde stationnaire dominante (état de conscience") qui est saisie et portée par la RS.
L’intention mentale peut fonctionner comme une fenêtre variable de transmission/réception dans l’échange d’information extrasensorielle. Accordée à la RS, elle peut porter à des cibles lointaines une telle information et fonctionner comme un interface primitif de type radar. Tout ceci et d’autres mécanismes dépend de ce que les fréquences RS demeurent dans leur gamme médiane, en harmonie avec nos ondes cérébrales.
À l’issue de près de huit décades d’EEG et autres études d’imageries du cerveau, nous sommes contraints d’admettre que nous ne pouvons toujours pas préciser avec certitude d’où proviennent les voltages de l’EEG. Becker ; 1985, pg.88)...
Il est concevable que le système périneural selon Becker ou la matrice LC de l’organisme (incluant, sans limitation, les tissus conjonctifs, les membranes cellulaires et IWN) pourrait fonctionner comme un réseau de récepteurs sensoriels du corps entier pour le canevas de signaux sensoriels magnétiques de Pitkanen, avec encodage spécifique de schémas d’excitation pour différents types d’information... Les réseaux de cristaux liquides omniprésents du corps et leurs possibilités de configurations quasi infinies en font des candidats de premier plan pour constituer les récepteurs sensoriels primaires que la parapsychologie espère trouver.
On peut même concevoir que les propriétés de conjugaison de phase de l’ADN (Popp et Chang, 1998) leur confèrent un fonctionnement d’antenne multi-mode, modifiant leurs fonctions selon les champs de signaux environnants et peut-être en agissant non seulement comme un programme régulateur mais aussi un élément de perception "extrasensorielle". (Sidorov, 2002).
HAARP : une menace pour l’humanité et la planète
Les humains que nous sommes possèdent des potentialités extraordinaires que nous avons à peine commencé à étudier et encore moins à comprendre. Des dons de créativité, d’intuition et des talents imprévisibles ou émergents pourraient se stabiliser chez les générations futures. On peut espérer que nous pourrons comprendre notre provenance d’un environnement essentiellement électromagnétique et développer notre potentiel de guérison, de croissance et de communication à distance. Les sommes d’argent faramineuses ont été dépensées pour HAARP et les projets associés (tels que "Star Wars", programme de défense antimissiles), sans que le moindre budget complémentaire soit affecté à l’étude des dangers potentiels. Le coût en dollars et en vies humaines pourrait être stupéfiant comparé aux avantages supposés que pourraient offrir de tels programmes. Durant des millénaires, la RS a donné la mesure régulatrice de la vie sur la planète, notre battement de cœur planétaire qui marque le tempo de la santé et du bien-être.
Mais aujourd’hui, selon la Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements de Climat (UNFCCC), signée en 1992 au Sommet de la Terre de Rio de Janeiro, le cœur même de la planète est en danger. L’ONU a condamné l’utilisation hostile de techniques qui modifient l’environnement ou interviennent dans la dynamique, la composition ou la structure de la Terre, y compris ses biotopes, la lithosphère, l’hydrosphère, l’atmosphère ou l’espace extérieur.
Alors pourquoi, méprisant la Convention ENMOD de 1977 ainsi que sa propre charte, les Nations Unies ont-elles décidé d’exclure de leur ordre du jour les changements climatiques résultant de programmes militaires ?
En février 1998, le Comité des Affaires Étrangères, de la Sécurité et de la Politique de Défense du Parlement Européen tint une audience publique à Bruxelles sur la question de HAARP. La "Motion de Résolution " que le Comité présenta au Parlement Européen (document n° A4-0005/99, du 14 janvier 1999) contenait ces termes : Considère que HAARP..., en vertu de son impact étendu sur l’environnement, constitue une préoccupation mondiale et demande que ses implications légales, écologiques et éthiques soient évaluées par un organisme international indépendant... ; [le Comité] regrette le refus réitéré de l’administration des États-Unis... d’apporter des preuves à l’audience publique... concernant les risques pour l’environnement et le public du programme HAARP.
Cependant, la requête du Comité d’établir un "Livre Vert" sur "l’impact des activités militaires sur l’environnement" fut rejetée avec désinvolture sous prétexte que la Commission Européenne ne disposait pas de la juridiction nécessaire lui permettant de s’immiscer dans "les liens entre l’environnement et la défense". Bruxelles se soucia d’éviter un conflit avec Washington.
Bien qu’il n’y ait pas de preuves que HAARP ait été utilisé, les informations scientifiques indiquent que le programme est aujourd’hui entièrement opérationnel. Cela signifie que, potentiellement, HAARP pourrait être utilisé par les militaires US pour modifier sélectivement le climat d’une "nation inamicale" ou d’un "état dévoyé" dans le but de déstabiliser son économie nationale...
La "médecine économique" du FMI et de la Banque Mondiale, très documentée, imposée au Tiers-monde et aux pays de l’ancienne Union Soviétique a fortement contribué à déstabiliser l’agriculture domestique. De son côté, les financements de l’OMC ont soutenu les intérêts d’une poignée de conglomérats biotechniques dans leurs efforts d’imposer les semences génétiquement modifiées aux agriculteurs du monde entier. Il est essentiel de comprendre les liens entre les processus économiques, stratégiques et militaires du Nouvel Ordre Mondial. Dans ce contexte, les manipulations climatiques par le programme HAARP (accidentelles ou délibérées) exacerberaient ces changements en affaiblissant les économies nationales, en détruisant les infrastructures et en menaçant de faillite les fermiers sur de vastes régions...(Chossudovsky,2000).
Espérons que nous prendrons tous conscience de ceci avant que notre technologie ne conduise la planète si loin de son fonctionnement normal que la trajectoire de l’évolution humaine ne soit modifiée à jamais. il est donc plus que jamais important d’étudier aux niveaux les plus subtils les relations entre nos corps et l’environnement électromagnétique et leur interaction avec une technologie susceptible de changer la planète. il semble que l’humanité se trouve confrontée au pénible devoir de décider si l’ionosphère et la Résonance de Schumann seront sauvées ou détruites, si la "’Voix de la Planète" continuera ou non à chanter.
Références (..):
suite ici : http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=10867
![n355531413172_6739.jpg](http://profile.ak.fbcdn.net/object2/1773/107/n355531413172_6739.jpg)
Pour que le portrait de Salah soit sur le parvis
de l'Hôtel de ville, à Paris - Le 13 mars à Paris
Objet : Rdv le 13 mars à l'Hotel de Ville, à Paris
Lien de l'événement :
http://www.facebook.com/?ref=logo#!/event.php?eid=355531413172
Le samedi 13 mars, Salah Hamouri aura passé 5 ans en prison.
Ce jeune franco-palestinien a été condamné par un tribunal militaire israélien pour, selon ses accusateurs, avoir « envisagé » un attentat contre la personne d’un extrémiste de droite.
Aucune preuve.
« Un plaidé coupable », sous la menace de 14 ans de prison au lieu des 7 auxquels il sera condamné.
Le président de la République doit exiger sa libération immédiate, comme il le fait pour la plupart des autres prisonniers français à l’étranger.
Dans le même esprit, il doit recevoir la maman de Salah, Denise Hamouri, citoyenne française, donnant ainsi un signal fort en direction de l’Etat d’Israël.
Le 13 mars, en ce triste jour anniversaire, rassemblons-nous silencieusement, place de l’Hôtel de Ville, de 15 à 16 heures, pour adresser, dans sa prison, un message de solidarité à Salah Hamouri.
Tempêtes en France,
cet excellent commentaire d'Alain :
Xinthya, la tempête qui arrive à l'heure...
Le taux de probabilité de survenue des épisodes météorologiques étudiés évolue avec le temps, il est logiquement élevé à court terme, mais se réduit avec la durée. Aujourd'hui, la fiabilité des prévisions à 5 jours reste encore relativement aléatoire. Comme l'indiquent souvent les bulletins de prévisions, le taux de fiabilité des prévisions à 5 jours est de 3/5 ou 3,5/5, par exemple.
Différents services météorologiques ont annoncé, dès le lundi, trois tempêtes à venir dans la semaine.
Une première dans la journée du mardi, suivie d'une seconde le jeudi soir, et enfin la troisième, beaucoup plus puissante, prévue dans la nuit du samedi à dimanche.
La première, le mardi, annoncée donc le lundi, à 24h00, s'est avérée bien plus faible que prévue.
Idem, pour le second coup de vent, annoncée pour le jeudi.
Et pourtant, la troisième, Xinthia, est arrivée comme prévue le lundi, avec l'intensité prévue le lundi, et elle a suivi la trajectoire annoncée dès le lundi... Tout ceci est totalement incohérent.
Car, si les 2 premières tempêtes n'ont pas été confirmées dans les faits, cela signifie tout simplement qu'une divergence s'est présentée très rapidement entre les modèles mathématiques utilisés par les météorologues et les conditions réelles.
Et cette divergence ne pouvait que s'amplifier au fil des jours
Donc logiquement, et mathématiquement, la tempête de la nuit du samedi au dimanche n'aurait pas dû se dérouler comme annoncé dès le lundi.
Alors, comment est-il possible que ce phénomène soit survenu avec une telle concordance avec les prévisions?
Pour cela, il n'y a bien peu d'hypothèse à formuler, et nul besoin de puissants calculateurs pour en arriver à conclure....
Le déclenchement de la tempête Xinthia aurait-il été programmé, et sa trajectoire aurait-t-elle été contrôlée ?
Impossible ?
Délire paranoïaque ?
Et pourtant ne vous êtes vous jamais amusé à rediriger les rayons du soleil avec une loupe pour renvoyer un rayon à des dizaines de mètres, et éblouir quelqu'un où essayer d'enflammer un brin d'herbe à distance ?
En d'autres temps Nikolas Tesla vous aurait sans doute répondu que l'on pouvait imaginer de contrôler une tempête avec des ondes, et de les faire progresser, un peu comme certains sportifs jouent... au curling...
Nikola Tesla qui fut, notamment, l'inventeur du courant alternatif, des lampes à décharge, des transmission radio, des forages géothermiques, et de tant d'autres choses qui font aujourd'hui notre monde moderne
Mais, aussi de procédés techniques bien plus dangereux, notamment en utilisant les capacités de la ionosphère, et, ce que l'on a oublié, c'est qu'il avait déjà déposé des brevets pour cela...
C était il y a 100ans !
Alors, aujourd'hui, on vous parlera du danger des bombes thermonucléaires. C'est oublier que ces techniques, étaient restées totalement secrètes lorsqu'elles furent utilisées pour la première fois, en 1945, il y a 65 ans...
Il y a 65 ans, il n'y avait pas de télévisions, de micro-processeurs, d'ordinateurs, d'écrans plats, de téléphones portables...
Alors, en extrapolant, essayons d'imaginer un instant les progrès technologiques que certains militaires ont pu faire depuis cette antique bombe atomique, et ce qu'ils pourraient être capables de faire aujourd'hui avec des émetteurs d'ondes de très grande puissance, des « miroirs » aériens artificiels, des satellites et des ordinateurs...