http://s4.e-monsite.com/2011/04/04/07/resize_550_550//europe-dictature003.jpg
Alerte ! Les Nobel achèvent de se ridiculiser !
Après des Prix de la Paix décernés aux pires va-t-en-guerres
comme Kissinger ou Obama,
ou aux Alignés sur la Pensée occidentale...
voici un Prix de la Paix décerné à l'Europe
qui est totalement soumise au diktats
des gangsters de la banque,
des Etats-Unis (et à son service)
et d'Israël - tolérant par ex le martyr des Palestiniens,
le viol des Résolutions internationales
et du Droit par cette Entité voyou.
Honte à cette Institution
qui couronne l'Europe des guerres économiques
et au service de l'hégémonie américaine ! (eva)
NB Europe de la démocratie ?
De qui se moque-t-on ?
Les votes des Electeurs sont bafoués
(Traité imposé aux peuples),
les gouvernement sont même remplacés
par de Grands Banquiers cupides,
Bruxelles et ses technocrates aux ordres
dictent leurs lois aux Nations jusqu'ici souveraines !
Et l'Europe se couche devant les Etats-Unis
et elle fait leurs guerres par procuration
grâce aux larbins à la tête de ses pays ! (eva)
Le nouveau Traité européen, la crise de l'euro, la démocratie (vidéo Asselineau)
Les USA achètent la France avec du papier (Jovanovic) - UE pour les USA (vidéos Asselineau)
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Europe, démocratie ou dictature ?
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L'Europe, ce sera la guerre,
via notre soumission à l'OTAN
quand les USA auront attaqué la Russie !
L'Europe, c'est la pauvreté
et le chômage pour les peuples !
L'Europe, c'est la mort des Nations !
L'Europe, c'est la fin de la démocratie !
L'Europe, c'est la dictature des Grandes Banques !
L'Europe, c'est le tremplin du Nouvel Ordre Mondial !
(eva)
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On savait depuis longtemps que le prix Nobel de la paix était très/trop souvent attribué en fonction de critères politiciens. Mais quelle curieuse idée de l’attribuer a l’Union européenne au moment même ou les politiques d’austérité qu’elle impose jette des centaines de milliers d’européens en colère dans la rue ! Et qu’y a t-il de pacifique à imposer ses décisions par des méthodes antidémocratiques ? Les traités sont désormais adoptés grâce à des méthodes qui permettent de mépriser l’avis des citoyens.
Quant à la pacification en Europe, certes positive, doit-elle vraiment être attribuée au talent des "pères fondateurs" et à la logique de la construction européenne ? On peut y réfléchir en entendant Jean-Louis Bourlange, européiste convaincu, lorsqu’il déclare : "Ce n’est pas l’Europe qui a fait la paix, c’est la paix qui a fait l’Europe".
On remarquera, cela étant, que le Président du jury qui a pris cette remarquable décision est, par ailleurs, secrétaire général du Conseil de l’Europe. Ça reste quasiment en famille. Mais quand la famille en est à ce genre d’admiration mutuelle, on peut en déduire qu’elle n’est pas très à l’aise. À suivre donc…
André Bellon, http://www.pouruneconstituante.fr/spip.php?article613
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Prix Nobel Europe, suite,
Coup de gueule d'un Lecteur, AB :
"L'UE et ses ancêtres contribuent depuis plus de six décennies à promouvoir la paix, la réconciliation, la démocratie et les droits de l'Homme en Europe"
Voilà les motifs qui ont inspirés le jury de ce prix nobel 2012.
A l'heure où cette UE impose une cure d'austérité généralisée à ses peuples, où l'on pousse les états membres à promouvoir la compétition entre eux, et plus récemment même la délation entre états membres (cf: traité TSCG) aux fins d'application de réformes structurelles échappant aux contrôles parlementaires, où depuis 15 ans déjà sont dénoncés au sein même de ses institutions l'incroyable opacité de la prise de décision ainsi que son parti-pris pour les lobbys industriels qui chapeautent les-dites institutions, les bras m'en tombent.
Nous verront bien s'ils feront encore les malins avec leur prix nobel lorsque sous l'impulsion de leurs politiques nuisibles la guerre sera à nos portes. Car ne nous leurrons pas, cette perspective est bien réelle, les tensions sociales et économiques qui planent sur le monde nous y conduisent. Je ne saurais bien évidemment quand ni par quel prétexte de départ cela se fera, ce pourrait être du fait de notre soumission à l'OTAN et l'appétit guerrier des Etats-Unis d'Amérique qui n'ont de cesse pour conserver leur modèle de s'accaparer les territoires et ressources étrangers, ce pourrait être la résultante d'une forte progression de l'extrême-droite soutenue par les grands argentiers pour faire taire les revendications sociales, ce pourrait être dû à la raréfaction des ressources mondiales (alimentation, eau, énergie, métaux) ou du fait des déplacements massifs de populations liés au changement climatique. Peu importe la raison, ce que l'on sait est que si une mobilisation populaire contre ses politiques ne prennent pas l'ampleur nécessaire, cette issue est malheureusement l'issue la plus probable. Le seul facteur commun de toutes ces tensions porte un nom : cela s'appelle le capitalisme. Il n'y en a pas d'autres de cette envergure. Alors, décerner le prix nobel de la paix dans ces conditions à une institution qui promeut justement ce capitalisme et sa concurrence "libre et non faussée" de tous contre tous,... désolé, je ne sais pas vous, mais les bras m'en tombent.
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http://www.zinfos974.com/blogquiderange/Francois-Asselineau-L-Europe-une-dictature-qui-se-met-en-place-Conference_a80.html
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L’attribution du Prix Nobel de la paix à l’Union européenne fait scandale en Norvège
L’attribution du Prix Nobel de la paix à l’Union européenne fait scandale en Norvège même, ou une forte majorité de la population s’oppose à l’UE et a rejeté 2 fois l’adhésion de la Norvège.
Le journal le plus sérieux du pays révèle déjà que la seule des 5 membres du comité hostile à l’UE était « malade » le jour du choix et a été remplacée par un évêque luthérien…
La photo représente Ågot VALLE, ancienne députée socialiste, farouche opposante à l’entrée de la Norvège dans l’UE et membre de l’organisation « Nei til EU » (« Non à l’UE »).
Elle est l’un des 5 membres titulaires du comité Nobel norvégien qui attribue le fameux Prix.
Malade réellement ou diplomatiquement le jour du vote ? En tout cas, elle a fait savoir qu’elle n’aurait jamais voté pour et a laissé entendre que sa volonté aurait été détournée par son suppléant, l’évêque luthérien d’Oslo Gunnar Stålsett.
Je renvoie ici à l’article qui vient de paraître en Une dans le grand journal norvégien Aftenposten.
Voici la version avec une traduction automatique (mais compréhensible) proposée par Google
Voici la version originale en norvégien :
http://www.aftenposten.no/nyheter/iriks/EU-motstander-i-Nobel-komiteen-syk-da-EU-fikk-prisen-7015490.html
L’Aftenposten est le deuxième plus important journal de Norvège avec un tirage de 256 600 copies pour l’édition matinale, 155 400 copies pour l’édition du soir et 232 900 copies pour l’édition dominicale (chiffres 2003). L’Aftenposten est généralement considéré comme le journal faisant autorité en Norvège, en opposition aux tabloïds comme VG ou Dagbladet.
CONCLUSION: L’attribution du Prix Nobel de la Paix à l’Union européenne est une manipulation atlantiste, qui avait été déjà envisagée l’an dernier.
[Article source: http://www.u-p-r.fr/actualite/france-europe/attribution-du-prix-nobel-de-la-paix-union-europeenne-norvege]
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par Thierry Meyssan
Réseau Voltaire | Damas (Syrie) | 8 octobre 2012
mardi 9 octobre 2012, par Comité Valmy
La guerre de Syrie s’éternise. Sa poursuite est devenue trop coûteuse et trop dangereuse pour ses voisins. La Russie, qui ambitionne de se réinstaller au Proche-Orient, tente de démontrer aux Etats-Unis que leur intérêt bien compris est de la laisser résoudre le conflit.
Là où l’OTAN a échoué à faire la guerre, l’OTSC prépare la paix. Le secrétaire général de l’Organisation, Nikolay Bordyuzha, met sur place une force de maintien de la paix de 50 000 hommes, capable de se déployer en Syrie .
La situation militaire en Syrie s’est retournée au détriment de ceux qui espéraient à Washington et à Bruxelles parvenir à changer le régime par la force. Les deux tentatives successives de prise de Damas ont échoué et il est désormais clair que cet objectif ne pourra pas être atteint.
Le 18 juillet, une explosion décapitait le Conseil de sécurité nationale et donnait le signal d’une vaste offensive de dizaines de milliers de mercenaires convergeant de Jordanie, du Liban, de Turquie et d’Irak sur la capitale. Après quelques jours de bataille acharnée, Damas était sauvée, la fraction de la population hostile au gouvernement choisissant par patriotisme d’aider l’Armée nationale plutôt que d’accueillir l’ASL.
Le 26 septembre, des jihadistes d’Al-Qaida pénétraient dans l’enceinte du ministère de la Défense, déguisés en soldats syriens et munis de faux papiers. Ils voulaient faire sauter leurs ceintures d’explosifs dans le bureau de l’état-major, mais ne parvinrent pas à proximité suffisante de leur cible et furent abattus. Une seconde équipe devait s’emparer de la télévision nationale et lancer un ultimatum au président, mais elle ne put s’approcher du bâtiment car son accès avait été bloqué dans les minutes suivant la première attaque. Une troisième équipe s’est dirigée vers le siège du gouvernement et une quatrième devait attaquer l’aéroport.
Dans les deux cas, l’OTAN, qui coordonnait les opérations depuis sa base turque d’Incirlik, espérait provoquer une fracture au sein de l’Armée arabe syrienne et s’appuyer sur certains généraux pour renverser le régime. Mais les généraux en question avaient été identifiés comme traîtres depuis longtemps et privés de tout commandement effectif. Il ne s’est donc rien passé de significatif et le pouvoir syrien est sorti renforcé de ces deux coups ratés. Il a trouvé la légitimité intérieure nécessaire pour se permettre de passer à l’offensive et d’écraser rapidement l’ASL.
Ces échecs ont fait perdre leur superbe à ceux qui caracolaient par avance en affirmant que les jours de Bachar el-Assad étaient comptés. Par conséquent, à Washington, les partisans du retrait sont en train de l’emporter. La question n’est plus de savoir combien de temps le « régime de Bachar » tiendra encore, mais s’il est plus coûteux pour les États-Unis de continuer cette guerre ou de l’arrêter. La continuer, c’est provoquer l’effondrement économique de la Jordanie, c’est sacrifier ses alliés au Liban, c’est risquer la guerre civile en Turquie, et c’est devoir protéger Israël de ce chaos. L’arrêter, c’est laisser les Russes se réinstaller au Proche-Orient et c’est renforcer l’Axe de la Résistance au détriment des rêves expansionnistes du Likoud.
Or si la réponse de Washington tient compte du paramètre israélien, elle ne prend plus en considération l’avis du gouvernement Netanyahu. Celui-ci a fini par indisposer à la fois en raison de ses manipulations derrière l’assassinat de l’ambassadeur Chris Stevens et à cause de son ahurissante ingérence dans la campagne électorale US. En définitive, si l’on envisage la protection à long terme d’Israël et non pas les exigences extravagantes de Benjamin Netanyahu, la présence russe est la meilleure solution. Avec 1 million d’Israéliens russophones, jamais Moscou ne laissera mettre en péril la survie de cette colonie.
Un retour en arrière est ici nécessaire. La guerre contre la Syrie a été décidée par l’administration Bush, le 15 septembre 2001 lors d’une réunion à Camp David, comme l’a notamment attesté le général Wesley Clark. Après avoir été repoussée plusieurs fois, l’action de l’OTAN a dû être annulée en raison des vétos russe et chinois. Un « plan B » a alors été mis sur pied : recourir à des mercenaires et à l’action secrète puisque le déploiement de soldats en uniforme était devenu impossible. Cependant, l’ASL n’ayant pas marqué une seule victoire contre l’Armée arabe syrienne, beaucoup ont pronostiqué que le conflit serait interminable et minerait progressivement les États de la région, y compris Israël. Dans ce contexte, Washington a conclu le 30 juin un accord avec la Russie à Genève, sous la houlette de Kofi Annan.
Toutefois, le camp de la guerre a fait capoter cet accord en organisant des fuites dans la presse sur l’engagement occidental secret dans le conflit ; fuites qui ont contraint Kofi Annan à la démission immédiate. Le camp de la guerre a joué ses deux cartes maîtresses les 18 juillet et 26 septembre et a perdu. Dès lors, Lakhdar Brahimi, le successeur d’Annan, a été prié de ressusciter et de mettre en œuvre l’Accord de Genève.
Pendant ce temps, la Russie n’a pas chômé. Elle a obtenu la création d’un ministère syrien de la Réconciliation nationale, elle a supervisé et protégé la réunion à Damas des partis d’opposition nationale, elle a organisé des contacts entre les états-majors US et syrien, et elle a préparé le déploiement d’une force de paix. Les deux premières mesures ont été prises à la légère par la presse occidentale et les deux dernières ont été carrément ignorées.
Pourtant, comme l’a révélé le ministre russe des Affaires étrangères, Sergey Lavrov, la Russie a répondu aux craintes de l’état-major US relatives aux armes chimiques syriennes. Elle a pu vérifier que celles-ci étaient stockées dans des lieux suffisamment sécurisés pour ne pas tomber dans les mains de l’ASL, être détournées par des jihadistes et utilisées par eux aveuglément, sauf changement de régime. Elle a pu donner ainsi des garanties crédibles au Pentagone que le maintien au pouvoir d’un leader qui a prouvé son sang-froid comme Bachar el-Assad est une situation plus gérable, y compris pour Israël, que l’extension du chaos à la Syrie.
Surtout, Vladimir Poutine a accéléré les projets de l’Organisation du Traité de sécurité Collective (OTSC), l’Alliance défensive anti-OTAN réunissant l’Arménie, la Biélorussie, le Kazakhstan, le Kirghizistan, le Tadjikistan et bien sûr la Russie. Les ministres des Affaires étrangères de l’OTSC ont adopté une position commune sur la Syrie [1]. La logistique a été installée pour un éventuel déploiement de 50 000 hommes [2]. Un accord a été signé entre l’OTSC et le département onusien de maintien de la paix pour que des « chapkas bleues » puissent être déployées dans les zones de conflit sous mandat du Conseil de sécurité [3]. Et des manœuvres communes ONU/OTSC auront lieu du 8 au 17 octobre au Kazakhstan sous le titre « Fraternité inviolable » pour finaliser la coordination entre les deux organisations intergouvernementales. La Croix-Rouge et l’OMI y participeront [4].
Aucune décision ne saurait être officialisée par les États-Unis durant leur campagne électorale présidentielle. Dès que celle-ci sera terminée, la paix sera envisageable.
Thierry Meyssan
[1] « Министры иностранных дел государств-членов ОДКБ одобрили заявления по Сирии и ситуации вокруг Ирана », Communiqué de l’OTSC, 28 septembre 2012.
[2] « Путину предлагают ввести войска в Сирию », Izvestia, 1er juin 2012.
[3] « ОДКБ и ООН подписали Меморандум по миротворческой деятельности », Communiqué de l’OTSC, 28 septembre 2012. « Conflits armés : l’ONU et l’OTSC signent un mémorandum », RIA Novosti, 29 septembre 2012.
[4] « Первое миротворческое учение государств-членов ОДКБ "НЕРУШИМОЕ БРАТСТВО-2012" пройдет с 8 по 17 октября в Республике Казахстан на трех полигонах под Алматы », Communiqué de l’OTSC. 3 octobre 2012
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Sur le site Voltairenet.org,
L’OTSC pourra déployer des « chapkas bleues » sur mandat de l’ONU
L’attaque d’Al Qaeda contre le ministère syrien de la Défense
Exécution du journaliste Maya Nasser
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Et aux Etats-Unis ?
De l'imposture Obama
au mormon fanatique soumis à Israël
qui veut intervenir en Syrie, ou contre la Russie ?
Une Amérique toujours plus à droite et folle !
A suivre... (eva)
Moi, première dame de France , je resterais dans l'ombre de mon mari de Président et je ne lui compliquerait pas la tache !
Moi, première dame de France , j'essaierais d'être une Evita Péronne plus qu'une personne à éviter !
Moi, première dame de France , j'aiderais les plus démunis de mon pays et je n'oublierais pas mes origines.
Moi, première dame de France , j'éviterais les crises de jalousie vis à vis de la Royale et ne me laisserait pas envahir par ce sentiment digne d'une mégère non apprivoisée !
Moi, première dame de France, j'essaierais de contre balancer les influences néfastes que subit mon compagnon !
Moi, première dame de France, je conseillerais à mon compagnon de s'occuper dee affaires de la France plutôt que les affaires de la Syrie ou du Mali (honni soit qui Mali pense !)
Moi, première dame de France, je n'apporterais pas d'eau au moulin de la presse people et ne m'offusquerait pas de leurs articles à la c.. ! Je traiterais toutes ces conneries par le mépris !
Moi, première dame de France je travaillerais dans l'intérêt de la France et des français et j'ouvrirais les yeux de mon mari de Président car il est myope et ses lunettes à double foyer (rire) ne lui sont apparemment pas d'une grande utilité !
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