
Sommaire:
- Révolutions arabes ou de couleurs - et le Nouvel Ordre Mondial
par eva R-sistons
- David Icke et la Révolution égyptienne
- Désobéissance civile, par Sylvie Simon

http://www.legrandsoir.info/Vive-la-glorieuse-Revolution-arabe-de-liberation-nationale.html
Révolutions arabes,
ou de couleurs,
et le Nouvel Ordre Mondial,
par eva R-sistons
Voici mon analyse, avec un peu de recul sur les événements. Je ne voudrais pas jouer les rabat-joie, au moment où la liesse des Egyptiens réjouit les démocrates sincères... et tous ceux qui aspirent à secouer le joug des dictateurs, et d'une façon générale tous les jougs. Mais...
Théâtre d'ombres, encore et toujours. Les peuples croient se libérer, en fait les chaînes ne font que changer. Les projecteurs des Médias collabos sont braqués sur la scène, ils ne montrent jamais les coulisses. Et dans les coulisses, les donneurs d'ordres, les concepteurs, les architectes, sont les mêmes. Avec des porte-parole différents, cow-boy milliardaire semblant issu tout droit du Texas, du peuple, et comme lui lourdaud et mièvre, ou fringant Noir sympathique et intelligent, ou encore Baron remplacé par une poupée joviale à la tête du MEDEF, la devanture change, la politique reste la même - comme on veut nous faire avaler, aujourd'hui, la "Gôche" caviar DSK au lieu de l'ultra-droite populo..
Il y a eu les Révolutions de couleurs, présentées par les Médias laquais du NWO (ou du N.O.M., selon vos préférences) comme une réussite totale: Dehors les tyrans, et en douceur s'il vous plaît ! Mais en réalité, le "tyran" au service du peuple a laissé la place au "démocrate" au service de l'Oligarchie. Jolie réussite, en effet ! Les dindons de la sinistre farce sont les peuples, encore et toujours. Avec d'heureux loupés: Voici par exemple l'Ukraine qui repasse dans l'autre camp, non-aligné, la démocratie des élections libres se retournant contre les tenants des démocraties à la sauce occidentale.
Révolutions de couleurs démasquées par les internautes et par les plus futés des citoyens, bref elles ne font donc plus recette. On change donc le nom, exit les révolutions orange et autres.
Soit dit en passant, comme les caisses de Washington sont vides, et donc celles du Pentagone, on trouve d'autres méthodes pour se débarrasser des non-alignés. Moins onéreuses, plus sournoises, et même machiavéliques.
L'Iran tient à sa souveraineté, il refuse de se soumettre ? Une guerre coûterait trop cher, actuellement ? On envoie un virus en "achetant" (car avec les Américains, tout s'achète !) les meilleurs informaticiens. Et voici les installations nucléaires paralysées. Ca ne suffit pas ? Dans la lancée des révolutions arabes, les agitateurs professionnels des Ambassades de l'Occident, mais aussi des étudiants galvanisés par les mirages de la prospérité anglo-saxonne, ou des nervis grassement payés, tout ce beau monde est en train de battre le rappel des anti Ahmadinejad autour de l'opposant fantoche, afin de réussir en Iran le numéro joué dans les pays arabes. Les opposants au Gouvernement choisi par les Iraniens sont donc dans la rue, même recette, mais les figurants sont moins nombreux. Pardi ! Les Iraniens ne sont pas fous... et ils tiennent à leur souveraineté !
Sur ordre de l'Oligarchie, les journaleux des Médias braquent maintenant, aussi, leurs projecteurs sur la Chine ou sur la Russie. Pour rendre ces pays, ou leurs dirigeants, impopulaires. Le NWO finance les opposants, ou en crée au moyen d'une subtile manipulation qui touche d'abord, comme toujours, les plus jeunes, les plus malléables et les plus modernes, et voici quelques opposants dans la rue, comme sur la Place Tahir, le nombre en moins, car "l'agitation" n'est pas spontanée, issue d'un mécontentement profond, mais provoquée de l'extérieur, donc artificielle. Les Médias sauront habilement mettre en valeur ces opposants au Régime, en donnant l'illusion d'un "effet foule", en braquant leurs caméras là où il y a un peu de monde. Enfin, le Prix Nobel vint à point nommé récompenser un grand opposant à la Chine d'aujourd'hui, pour préparer l'opinion au conditionnement contre ce pays si puissant et non-aligné.
Quant au frère russe, l'Occident joue Medvedev plus malléable, plus "occidentalisable", et aux racines juives - contre l'incorruptible Poutine, énergique et passionnément attaché à sa terre, à l'indépendance de son pays. Bref, les ferments de division sont instaurés. Sur France24, des "Observateurs" bien commodes, en l'occurrence cette fois un grand industriel (sans doute nostalgique de l'ère Eltsine, durant laquelle les Occidentaux plaçaient leurs pions notamment aux commandes des grands consortiums) avancent l'idée que Poutine se ferait construire un Palais coûtant un milliard, pour mieux le discréditer (en jouant même, perfidement, les diviseurs, en écrivant à Medvedev pour le "prévenir" du "scandale"). Au fait, quid des Palais des dirigeants occidentaux ?
Bref, d'une façon ou d'une autre ce sont les Révolutions de couleurs que l'on promeut, pour mieux provoquer un changement qui ne profitera en définitive qu'à la Mafia de l'Occident.
http://spaceandpolitics.blogspot.com/2011/02/resonance-and-egyptian-revolution.html
Révolutions arabes orchestrées par le NWO.
L'affaire est entendue. Ben Ali gêne, car au lieu de laisser l'Occident piller son pays, il le réserve à son Clan, à sa famille. Exit ben Ali.
Moubarak est encombrant, discrédité - et sur le point d'assurer sa succession lui-même. Dès le début, les Etats-Unis ont joué la carte de l'Armée, fidèle alliée - on ne refuse rien à son mécène. Rappelons que tous les rouages économiques, immobiliers, financiers, ou presque, sont entre ses mains. Premier pion avancé, Suleiman. Mais propulser le fidèle de Moubarak, spécialisé dans la répression des opposants au régime, et homme d'Israël, c'était un peu gros. Alors, on a mis en avant un général pâlot, suffisamment pâlot pour se laisser téléguider par Obama...
Justement, celui-ci, au tout début des événements, en Egypte, a pris langue auprès du Président des Etats-Unis. Parfois, les Médias laissent passer quelques informations... C'est ainsi que j'ai entendu, de mes oreilles, que le Chef des Armées d'Egypte revenait... de Washington. Et on veut présenter l'Egypte comme un pays libre ? En sachant qu'il constitue une pièce maîtresse, docile, pour les tenants du grand Israël ou les financiers de Wall-Street et de la City, via le Canal de Suez emprunté par toutes les grandes Compagnies entendant poursuivre leur juteux commerce. Pas question de lâcher le morceau, donc...
Cela s'est passé, selon moi, en deux temps: Un premier, on envoie les Policiers juchés sur leurs chevaux ou sur leurs dromadaires terroriser les manifestants - peine perdue, quand on a rien à perdre on est prêt à donner sa vie. Les manifestants sont restés, ils ont désarçonné les sbires, gardé les chevaux, et perdu 300 des leurs. Ils sont restés !
Obama avait une deuxième carte, jouer le jeu des manifestants plutôt que les réprimer. Donc, l'Armée n'a pas bougé, n'a pas tiré. Son crédit devait rester intact auprès des Egyptiens. Vous avez dit armée libre ?
Bref, Suleiman a été viré, et il a été remplacé par le Général pâlot, suffisamment pâlot pour être téléguidé par Washington, en sous-mains.
Oh joyeuse victoire des Egyptiens ! Hélas, dont tous les actes ont été orchestrés à l'Etranger, pour mieux berner le peuple et placer, insidieusement, les pions du tandem USA-Israël.
On aura quand même retenu au passage que la France était du côté du dictateur si hospitalier, et qu'Israël avait pour Moubarak le dictateur les yeux de Chimène pour le beau Rodrigue.
Passons. Etape suivante: Les élections. Et qu'arrivera-t-il si les Egyptiens votent mal, comme les Palestiniens ? La démocratie à la sauce occidentale ne fonctionne que si les dés sont truqués, en d'autres termes que si les électeurs votent pour les marionnettes choisies par l'Oligarchie: Bush (version stupide) ou Obama (version intelligente), Sarkozy (version populiste et grotesque) ou DSK, plus sophistiqué... Vous me direz: On a le choix, en France, entre la Gauche-PS et la Droite-UMP, au 2e tour . Mais enfin, ne voit-on pas que ce sont les deux versants d'un même pouvoir aux mains des ultra-libéraux ? Certes, un libéralisme soft, pour le PS, mais faut-il s'en contenter ? Moi je dis non.
Bref, attendons les élections, et voyons le résultat. Si les Egyptiens ont le bon goût de laisser leurs Frères Musulmans faire de la figuration, tout ira bien pour l'Occident. Ils accepteront le résultat des élections. Mais...
Mais s'ils risquent d'accéder au pouvoir ? Les médias vont s'acharner à les discréditer, en les présentant comme de furieux Islamistes terroristes obscurantistes etc, on connaît la chanson. Non, ils ressemblent à leurs frères turcs, ils sont modernes, pragmatiques... Mais cela ne doit pas se savoir !
Personnellement, je ne souhaite pas l'arrivée au pouvoir de pseudo démocrates inféodés à l'Occident, évidemment. Et j'ose le dire : J'aimerais que les Frères Musulmans l'emportent, pour que l'Egypte largue complètement les amarres de l'Occident militaro-financier. Pour, aussi, ne pas priver les Egyptiens du résultat de leur vote. Enfin, et c'est plus subtil, pour un monde multi-polaire, aux visages divers, multiples, ici musulman, là chinois ou russe... Un monde multi-polaire, pour moi, n'est pas facteur d'instabilité, mais source non seulement de diversité, mais surtout d'équilibre géo-politique.
Bon sang ! Jusqu'à quand les "démocraties" occidentales, anglo-saxonnes, chercheront-elles à imposer leur vision du monde aux peuples qui n'en veulent pas ? C'est du terrorisme ! De la tyrannie, en tous cas... Et personnellement, connaissant les valeurs de l'Occident matérialiste, impérialiste, adorant les fausses idoles, je préfère celles de l'Orient, plus éthiques, plus libres par rapport à l'Argent-Roi, plus ancrées dans des traditions millénaires éprouvées. Autant dire que si l'Egypte donne le pouvoir aux Frères Musulmans, j'applaudirai. Ca suffit, l'ingérence de l'Occident ! Ca suffit la tyrannie de l'Argent, du Dieu-Mâmon !
En tous cas, je dis à nos frères et soeurs arabes: Ne vous laissez pas voler votre Révolution par les tenants de l'Occident ou du Nouvel Ordre Mondial (les deux coïncident désormais), restez vigilants et prêts à défendre le fruit de vos luttes ! Pour qu'il ne soit pas confisqué par l'Ennemi étranger de vos vies.....
Eva R-sistons
http://r-sistons.over-blog.com
TAGS: Révolutions arabes, révolutions de couleurs, révolutions orange, Iran, Chine, Russie, Medvedev, Obama, Poutine, Ahmadinejad, Ben Ali, Moubarak, Egypte, Tunisie, Sarkozy, Occident, Nouvel Ordre Mondial, Ukraine, MEDEF, UMP, PS, DSK
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A peine fini mon article, je trouve dans ma boîte courriels ce post, envoyé par un Lecteur, il rejoint mon analyse :
David Icke s'exprime sur la Révolution égyptienne
NB Eva : J'apprends qu'il s'agit d'un auteur controversé, abordant des thèmes comme ceux des reptiliens humanoïdes - je m'en désolidarise totalement. Par contre, cette analyse-là est intéressante, c'est elle seule que je mets en avant :
J’ai suivi l’euphorie compréhensible en Egypte en direct sur la chaine de télévision Al Jazeera, mais s’il vous plaît, on doit avoir ici de toute urgence un sens de la perspective… Il n’y pas eu de révolution à ce jour – un tyran odieux a disparu, mais on oublie que c’est aussi l’armée qui a imposé la volonté de ce tyran odieux depuis 30 ans et qui est désormais en charge et l’armée égyptienne n’est pas seulement contrôlée par les États-Unis, elle est financée par des ”aides” massive de l’armée américaine au deuxième rang après Israël.
Il est vrai que l’armée n’a pas tiré sur les manifestants comme elle l’aurait fait avant, mais elle l’a fait à l’époque lorsque ses maîtres en Amérique appelaient Moubarak à se retirer, ce qui a eu pour effet d’isoler les manifestants. Pourquoi le gouvernement des États-Unis ont ils donc débloqué la situation après l’appui à ce tyran pendant 30 ans ? Ce «Changement de régime» survient car ils misent sur l’Egypte un effet domino sur l’ensemble du Moyen-Orient pour promouvoir un peu plus leur plan.
La disparition de Moubarak a été annoncée par son vice-président, la marionnette des États-Unis, Omar Suleiman, le chef vicieux et meurtrier de la Direction générale Egyptienne du renseignement et du contrôle de la population par la pure terreur et qui a également accepté que des détenus musulmans arrêtés par les États-Unis soient torturés en Égypte d’une manière qui aurait été illégale en Amérique – C’est cela que l’on appelle une «restitution extraordinaire». [ndt : du pouvoir au peuple]
Et en attendant se placent désormais sous les “ailes de l’Amérique” (sous la protection d’”Illuminati”), un homme, Mohamed ElBaradei, qui est membre du conseil d’administration de l’International Crisis Group de Rothschild et son homme de main, George Soros, ainsi que son associé Zbigniew Brzezinski, qui se sont spécialisés dans le déclenchement et la manipulation des révolutions des «peuples» pour changer les régimes, tout en cachant la force qui est vraiment derrière tout cela.
Il est merveilleux de voir la joie du peuple égyptien à la fin de Moubarak, mais le travail n’est qu’à moitié fait, et si elle se termine ici rien ne changera. Révolutions des peuples “secrètement inspirées par l’argent et les organismes de George Soros en Géorgie, en Ukraine, en République tchèque et ailleurs aussi produit des moments d’euphorie lorsque se produit avec fracas la chute du régime, mais toute révolution du peuple ne peut être jugée que après avoir vu ce qui remplace qui est éliminé.
D’autres mouvements similaires ont par le passé été profondément déçus et désillusionnés et si l’Egypte ne se bat pas davantage avec détermination, tout espoir d’un vrai changement pourrait s’évanouir. El Baradei ne doit pas l’emporter, ni personne d’autre qui représente une quelconque force de contrôle et de répression.
Hors de la poêle ! dans la friteuse ce n’est pas une révolution…
Il vient de péter notre ballonne! Mais il a totalement raison. On a juste à regarder ce qui se passe actuellement en Tunisie, Rien n’a changé, mise à part le départ de Ben Ali, il a été remplacé par un autre pharaon qui est tout près de faire voter une loi pour les empêcher de manifester. On enlève un dictateur pour le remplacer par un autre, qui a été souvent choisi d’avance. Faut peut-être arrêter de laisser les autres choisir à notre place. En tout les cas je ne mettrai pas l’avenir de mon pays et de mes enfants dans la mains de l’armée.
Merci Rosa!
Jo ^^
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La dictature sur nos esprits
Désobéissance civile
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A méditer et à diffuser!!!
http://lafeerhaisy.canalblog.com/archives/2008/07/14/9921224.html
Voici la grenouille
et l' autruche
dans la société actuelle.
Il y a quelques années, André Glücksmann prônait la désobéissance civile au sujet du scandale du sang contaminé, qui « n’aurait peut-être jamais existé si, quand il était encore temps, quelqu’un avait civilement désobéi. »
Il est certain que le sang contaminé n’est qu’un exemple parmi bien d’autres : le nuage de Tchernobyl, le distilbène, l’amiante, l’encéphalopathie spongiforme bovine, l’hormone de croissance, les hormones dans la nourriture des animaux, les produits chimiques dans l’agriculture, les centaines de médicaments retirés parce qu’ils avaient tué, alors qu’ils avaient été mis sur le marché après de « longues études sur leur innocuité absolue ». Aucun des véritables responsables de ces délits n’a été sanctionné, excepté, parfois, quelques rares boucs émissaires.
La liste les tueurs potentiels toujours en liberté s’allonge tous les jours mais la plupart des consommateurs de médicaments chimiques l’ignorent la plupart du temps, comme le dernier « petit » scandale de l’Avandia®, qui a été occulté ou presque par les médias alors qu’il pourrait être responsable de plus de 4 000 attaques cardiovasculaires et de 9 000 défaillances cardiaques annuellement aux États-Unis. Selon l'EMA, l'Avandia® ne devrait plus être vendu en Europe d'ici « quelques mois ». Pourquoi ces délais ?
En janvier 2010, l'Afssaps a enfin supprimé le Sibutral®, utilisé pour le traitement de l'obésité car il réduit l'appétit, mais génère de nombreux effets secondaires graves comme l’hypertension artérielle et même des décès en raison de l'absence d'un suivi cardiovasculaire. Ces effets indésirables étaient connus depuis longtemps, parfois dès la mise sur le marché, ou prévisibles à cause de sa parenté chimique avec d’autres médicaments aux effets indésirables graves avérés. L'Italie a retiré le Sibutral® de ses pharmacies il y a 8 ans.
Ces « petits » scandales n’ont pas autant mobilisé les médias que celui du Vioxx®, qui était utilisé par environ deux millions de patients dans le monde, il était retiré du marché, car on estimait alors qu’il était responsable d’environ 28 000 attaques cardiaques et décès depuis sa mise en vente en 1999. A présent, nous savons que le nombre d’accidents cardiaques, attaques ou décès, pourrait s’élever à près de 140 000, rien qu’aux États-Unis. Les décès concerneraient 30 à 40 % d’entre eux. Or, nous ne devons pas oublier que ce poison a été choisi en 2003 comme « médicament de l’année » par plus de 6 000 généralistes dans le cadre du Medec qui récompense le médicament le plus « performant » de l’année sur le plan de la santé.
Tout cela pourrait être imputé à des erreurs involontaires, donc pardonnables, si on n’avait pas appris que le laboratoire avait donné à ses visiteurs médicaux des renseignements mensongers. Les résultats d’un procès qui a eu lieu en 2000 ont bien prouvé la collusion de Merck et de la FDA qui connaissaient l’existence des attaques cardiaques, alors que le laboratoire poursuivait la publicité pour son produit le soir à la télévision. Mais en France, où les laboratoires ont continué à le vendre et les médecins à le prescrire, l'Afssaps a déclaré : « Le risque de complication cardiovasculaire reste cependant faible et n'apparaît qu'à long terme. » Jusqu’à combien de morts le risque reste-t-il « faible » ? Nous sommes habitués à ce genre de protection depuis le désastre de Tchernobyl.
En outre, les effets secondaires des médicaments sont souvent décelés avec de gros retards, et la liste initiale de ces effets étant rarement exhaustive, elle peut être remise en cause à tout moment, même des dizaines d’années plus tard. Ainsi, en mai 2006, un rapport édifiant signalait que le Distilbène dont le scandale est oublié depuis longtemps serait aussi à l’origine d’une véritable série de suicides. La justice a alors demandé une expertise scientifique, car « aucune recherche approfondie n’avait été lancée sur ce sujet ». Que faisait l’Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) à l’époque ?
Actuellement, c’est le Médiator® qui est sur la sellette, mais il n’est que la partie visible de l’iceberg car l’omerta, cette loi du silence imposée par une mafia, concerne également la vaccination contre l’hépatite B dont on refuse d’admettre les milliers de victimes, celle contre le papillomavirus, qui a pris comme cobayes des milliers de jeunes filles, ou l’autisme généré par certains vaccins mais qui n’intéresse guère nos députés. Sans compter la « grippette » porcine qui représente un scandale international mais n’a pas fini de faire parler d’elle car les accidents vaccinaux (et non grippaux) se manifesteront peu à peu et pendant longtemps.
Qui est ou sera responsable des accidents ? Personne évidemment. Parfois, certains fabricants sont mis en examen, mais ils s’en tirent toujours à leur grand avantage et, surtout, aucun des responsables de la santé publique qui laissent faire sans jamais intervenir n’a été inquiété, ni les ministres de la Santé, ni les organismes chargés d’évaluer les risques sanitaires présentés par les médicaments, alors qu’ils sont tous grandement complices de la désinformation et des mensonges propagés par les fabricants et les medias.
Il ne nous reste plus qu’à espérer que le grand public va enfin cesser d’écouter les nombreux experts, juge et partie, qui sont à la solde d’une industrie aussi aveugle que criminelle et sortira de son autisme avant que de nouvelles catastrophes ne se manifestent, comme c’est devenu une habitude dans notre pays et même dans le monde.
Tous ces scandales ont de nombreux points communs et une même origine : l’appât du gain au détriment de la santé.
Cependant, après chaque scandale, d’éminents « spécialistes » nantis de l’absolution générale nous expliquent avec des trémolos dans la voix que les décisions incriminées étaient justifiées par les « données actuelles de la science », d’autant qu’à présent, à la notion de « responsable mais pas coupable » s’est ajoutée celle de « coupable mais pas condamnable ». Au fil des ans, dans tous les pays, les catastrophes sanitaires connaissent les mêmes phases de déroulement. L’industrie nous abreuve d’informations venant de scientifiques corrompus qui produisent des contre-expertises truquées et, alors que les rapports de maladies et de décès se multiplient, nos gouvernants persistent à se référer aux expertises sécurisantes, à nier toute relation entre le produit et ses effets délétères, et interdisent aux scientifiques contestataires de s’exprimer en public, n’hésitant pas à discréditer leurs travaux.
De toute manière, tant que les rares responsables condamnés ne le seront qu’à des amendes, si importantes soient-elles, ils récidiveront car le risque est loin d’égaler le bénéfice. Le seul moyen de les empêcher de nuire est de les emprisonner avec des condamnés de droit commun, comme toute personne ayant commis un crime.
Dans son Carnet d’un biologiste, Jean Rostand constatait : « Je croyais qu’un savant était un homme qui cherche la vérité, alors que c’est souvent un homme qui vise une place ». Il est certain que tout scientifique consciencieux se pose des questions d’éthique à chaque moment, mais le consensus scientifique privilégie plutôt les recherches qui ne le perturbent pas trop, alors que le propre de la science devrait être de pouvoir sans cesse remettre en question des idées reçues. De la sorte, si notre société est loin d’être informée, les scientifiques eux-mêmes ne le sont pas de manière systématique. D’abord parce qu’ils ignorent souvent ce qui ne relève pas de leur strict domaine d’investigation, ensuite parce qu’ils n’ont pas toujours, dans ce même domaine, une vision univoque de la réalité.
Si une grande partie des scientifiques et des professionnels de santé a perdu toute conscience c’est parce que notre époque est celle de la compétition et de la surconsommation dans laquelle le profit règne à tous les niveaux, et qu’ils se sentent à l’abri de toute critique grâce au lavage de cerveau infligé à la population générale.
Il ne faut donc pas compter sur eux pour faire changer les choses, seuls les consommateurs peuvent agir. Or, dans son ouvrage Le Meilleur des mondes, écrit en 1932, Aldous Huxley prédisait l'avènement d'une dictature scientifique dont les sujets en viendraient à abandonner l'idée même de révolution. Visionnaire de génie, il décrivait une dictature parfaite qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s'évader et un système de dépendance où les esclaves, anesthésiés par la consommation et les divertissements, ne se poseraient aucune question et « aimeraient leur servitude ».
En 1961, lors d’une conférence donnée à Santa Barbara, en Californie, au sujet du contrôle du comportement humain, Aldous Huxley confirmait ses propos et anticipait : «Il existera, dans la prochaine génération, une méthode pharmacologique pour que les gens chérissent leur servitude et génèrent, pour ainsi dire sans plaintes, une sorte de camp de concentration pour des sociétés entières, alors que les peuples verront leur liberté confisquée, mais s’en réjouiront plutôt, car ils seront dépouillés de tout désir de révolte par la propagande et le lavage de cerveau prodigué par des méthodes pharmaceutiques. Et cela sera la révolution finale. »
Ne sommes-nous pas, aujourd’hui, dans ce « meilleur des mondes », où les informations frisent la propagande et le lavage de cerveau, où nos « gouvernants » s’érigent en maîtres à penser et ne supportent guère la contestation, et où le « bon peuple » est ravi de ne plus avoir à réfléchir puisque d’autres, évidemment « plus savants », le font pour lui.
Les citoyens ignorent encore que les grandes écoles et les Académies nous enseignent le savoir, mais pas la connaissance qui est un don rare et inné et encore moins le simple bon sens, qui semble disparaître peu à peu au cours du parcours universitaire pour laisser la place au même enseignement stéréotypé dans toutes les disciplines.
La religion et la politique sont considérées comme les deux principaux foyers d’endoctrinement, mais on peut leur ajouter la médecine moderne, qui n’est plus ni un art ni une science, comme elle le fut longtemps, mais une véritable religion car la confiance accordée de nos jours au corps médical relève plus du domaine de la foi et parfois même du fanatisme. On ne réfléchit plus, on « croit ». On écoute les diktats des « experts », la plupart du temps autoproclames, sans faire la moindre réserve quant à leur validité, oubliant souvent combien ceux-ci ont pu être démentis et ont même été au centre de certains scandales au cours des dernières années.
De surcroît, tous les pouvoirs utilisent la peur pour mieux dominer, et ceux qui font profession de « savoir » pratiquent savamment cette stratégie parfaitement efficace qui permet d’obtenir la dépendance des citoyens.
Comme le disait Machiavel : « Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes ».
Cet instrument de manipulation, qui permet d’abolir tout sens critique et d’exploiter la crédulité des populations en les maintenant dans l’ignorance des faits essentiels de l’existence, a toujours été utilisé, mais à présent il opère sur une plus grande échelle grâce aux multiples moyens de diffusion. Les religions nous ont appris à croire aux dogmes sans chercher à les comprendre. Nous persistons à appliquer cette règle bien établie en écoutant les injonctions de despotes, non plus religieux certes, mais tout aussi tyranniques. Et le dogmatisme médical actuel pourrait être comparé aux pratiques de l’Inquisition qui brûlait tout ce qui dépassait son entendement ou pouvait mettre en péril l’hégémonie de l’Église catholique.
Le meilleur exemple et le plus récent est celui de la « pandémie » d’hystérie générée par la peur, savamment orchestrée, du modeste virus H1N1. Fort heureusement, nombreux sont ceux qui ont refusé d’être entraînés par cette folie collective, mais certains n’ont pas eu cette indépendance d’esprit que chacun d’entre nous devrait posséder et qui fait tellement défaut au commun des mortels.
Alors que la majorité des populations mondiales a résisté aux menaces gouvernementales et médiatiques, des centaines de milliers de gens se sont tout de même précipités sur les centres de vaccinations, tendant le bras vers l’aiguille vénérée comme s’il s’agissait du Saint-Sacrement, sans se poser aucune question sur la sainteté du rite, se fiant seulement aux grands prêtres de la religion des vaccins qui voulaient les protéger des atteintes du diable, en l’occurrence le virus de la grippe. Les rites et les dogmes perdurent, seuls les dieux que l’on adore et le diable que l’on redoute ont changé de visage.
Évidemment personne n’a dit que le diable était fabriqué de toute pièce par des pontifes à la solde de l’industrie qui nous menaçaient depuis plusieurs années d’une « pandémie » grippale, sans bien savoir laquelle.
Il est surprenant de voir que dans notre pays où Voltaire et Diderot ont théoriquement détrôné la superstition et le fanatisme, la sagesse n’est guère de mise et les lavages de cerveaux qui vont bon train chez nous causent des dégâts irréparables.
Comme l’avait remarqué le Dr Gustave Le Bon dans son ouvrage Les opinions et les croyances : « L’immense majorité des hommes ne possède guère que des opinions collectives. Les plus indépendants eux-mêmes professent généralement celles des groupes sociaux auxquels ils appartiennent. » À ses yeux, l'homme descend de plusieurs degrés sur l'échelle de la civilisation et devient un barbare dès qu'il fait partie d'une foule organisée. Il se laisse impressionner par des mots, des images qui n’auraient aucun impact sur chacun des individus isolés, mais en foule, il commet des actes contraires à ses intérêts les plus évidents et à ses habitudes les plus connues. Combien d’entre nous ont vraiment des opinions personnelles sur ces sujets et, dans ces cas, combien osent les exprimer ?
Et le Dr Le Bon ajoutait : « L'individu en foule est un grain de sable au milieu d'autres grains de sable que le vent soulève à son gré. » Nous sommes comme ces grains de sable soulevés au gré des courants d’« informations » qui tourbillonnent autour de nous et balaient nos idées personnelles.
Or dans De la désobéissance et autres essais, paru en 1982, le psychanalyste humaniste Erich Fromm nous prévenait : « L’homme qui ne peut qu’obéir est un esclave [...]. L’obéissance pourrait très bien être la cause de la fin de l’histoire humaine ». Nombreux sont ceux qui pensent de cette manière et s’inquiètent de l’obéissance passive de nos contemporains bien-pensants. Mais pour être libre, il faut être informé, et la véritable information ne circule, à vrai dire, que dans certains magazines à tirage limité, et sur Internet où elle est noyée dans un fourre-tout parfois inextricable. Aussi, devons-nous apprendre à devenir responsable, à ne pas céder à la crainte du jugement des autres, à la peur habilement distillée par des pouvoirs qui refusent de prévoir comment et pourquoi leurs brillantes inventions actuelles deviendront les calamités de demain, car la simple logique leur échappe. Quant aux technocrates, à l’instar des cartels de l’industrie, ils ne raisonnent qu’à court terme et refusent de prendre en compte les effets pernicieux engendrés par leurs décisions actuelles, mais qui n’apparaîtront qu’à long terme. Tous ces profiteurs semblent oublier leurs descendants qui risquent de payer très cher cette inconséquence et ce manque de conscience.
Pourtant, comme le disait Sénèque au IVe siècle avant J.C. : « La sagesse ne demande pas beaucoup d’instruction », et il faut espérer que le bon sens n’a pas totalement déserté la planète, bien que, parfois, il soit légitime de se poser la question.
Heureusement une partie de la population commence à prendre conscience que tous ceux qui détiennent un pouvoir en profitent impunément et que la plupart des hommes politiques sont, de gré ou de force, les otages des compagnies industrielles qui pourraient influencer leurs carrières.
Toutefois, la majorité, non seulement des Français mais aussi des populations mondiales, est ravie de ne pas être informée et ne cherche surtout pas à l’être. Cela lui poserait de nombreux problèmes, l’obligerait à réfléchir alors qu’elle n’en a pas la moindre envie, et installerait chez elle des états d’âme, des peurs, des culpabilités et, surtout, risquerait de provoquer la remise en question de tout un système de vie et de pensée.
Comme l’explique Noam Chomsky, philosophe radical de réputation internationale et professeur pendant plus de cinquante ans au MIT (Massachussets Institute of Technology) : « Les médias ne représentent qu'une toute petite partie de la vaste machine de propagande. Il existe un système d'endoctrinement et de contrôle beaucoup plus vaste, dont les médias ne sont qu'un rouage : l'école, l'intelligentsia, toute une panoplie d'institutions qui cherchent à influencer et à contrôler les opinions et les comportements, et dans une large mesure à maintenir les gens dans l'ignorance. »
Pour sa part, Georges Bernanos avait, lui aussi, prévu ce qui nous attend si nous acceptons l’esclavage qu’on cherche à nous imposer. « Je pense depuis longtemps que si un jour les méthodes de destruction de plus en plus efficaces finissent par rayer notre espèce de la planète, ce ne sera pas la cruauté qui sera la cause de notre extinction, et moins encore, bien entendu, l’indignation qu’éveille la cruauté, ni même les représailles et la vengeance qu’elle s’attire, mais la docilité, l’absence de responsabilité de l’homme moderne, son acceptation vile et servile du moindre décret public.
Les horreurs auxquelles nous avons assisté, les horreurs encore plus abominables auxquelles nous allons maintenant assister, ne signalent pas que les rebelles, les insubordonnés, les réfractaires sont de plus en plus nombreux dans le monde, mais plutôt qu’il y a de plus en plus d’hommes obéissants et dociles ». Bernanos avait un don de prophéties car, à cette époque, la situation était loin d’être aussi préoccupante que de nos jours.
Devant la puissance financière des fabricants de médicaments, pesticides, herbicides, OGM et autres poisons, et la persistance méprisante de leur mainmise sur l’économie et la politique de santé, nous risquons d’être contraints à développer la désobéissance qui est une arme que n’apprécient ni les laboratoires ni les gouvernements qui les cautionnent. Dans notre lutte contre Goliath, le refus d’obéir aux ordres peut être la seule arme efficace.
Toutefois, comme l’avait aussi constaté Gandhi, il est plus facile de croire ce qu’on nous affirme officiellement, de source « sûre », que de s’aventurer dans l’indépendance intellectuelle. En fait, le conformisme et l’inertie ont de tout temps été les plus sérieux obstacles à l’évolution de l’humanité.
Ils sont nombreux à prôner une certaine désobéissance civique si elle peut contribuer à sauver la Terre et ses habitants. Déjà, au milieu du XIXe siècle, David Henry Thoreau, enseignant, philosophe, poète américain et écologiste avant l’heure prônait la résistance individuelle à un gouvernement qu’il jugeait injuste, qui tolérait l’esclavagisme et menait une guerre de conquête au Mexique, contre tous les droits individuels et contre toute morale. Il est considéré comme à l'origine du concept contemporain de non-violence. Dans son essai La Désobéissance civile Thoreau affirmait ses positions politiques et idéologiques et proposait une philosophie de résistance non violente qui influença des figures politiques, spirituelles ou littéraires telles que Léon Tolstoï, Gandhi et Martin Luther King.
Olivier Clerc, écrivain et philosophe, s’est servi de la «métaphore de la grenouille » pour démontrer la situation actuelle. « Imaginez une marmite remplie d'eau froide dans laquelle nage tranquillement une grenouille. Le feu est allumé sous la marmite, l'eau chauffe doucement. Elle est bientôt tiède. La grenouille trouve cela plutôt agréable et continue à nager. La température continue à grimper. L'eau est maintenant chaude. C'est un peu plus que n'apprécie la grenouille, ça la fatigue un peu, mais elle ne s'affole pas pour autant. L’eau est cette fois vraiment chaude. La grenouille commence à trouver cela désagréable, mais elle s'est affaiblie, alors elle supporte et ne fait rien. La température continue à monter jusqu'au moment où la grenouille va tout simplement finir par cuire et mourir. Si la même grenouille avait été plongée directement dans l'eau à 50°, elle aurait immédiatement donné le coup de patte adéquat qui l'aurait éjectée aussitôt de la marmite. Cette expérience montre que, lorsqu'un changement s'effectue d'une manière suffisamment lente, il échappe à la conscience et ne suscite la plupart du temps aucune réaction, aucune opposition, aucune révolte ».
Olivier Clerc compare l’humanité actuelle à cette grenouille. Il est exact que les prédateurs ne manquent pas, mais les victimes sont consentantes, soit par ignorance, soit par négligence. Et il pose la question : « Sommes-nous déjà à moitié cuits ? », puis il conseille : « Alors si vous n'êtes pas, comme la grenouille, déjà à moitié cuits, donnez le coup de patte salutaire avant qu'il ne soit trop tard. » Seule une petite minorité de personnes dont la conscience est bien éveillée est capable de donner le coup de patte salutaire. D’autres, bien que partisans de ce changement d’un monde qui n’est plus supportable, pratiquent la politique de l’autruche car ils estiment qu’il est déjà trop tard, que de toute façon, ils sont trop peu nombreux pour avoir un impact quelconque, et qu’il faudrait une majorité de gens impliqués dans ce processus pour faire pencher la balance.
Ils ignorent sans doute que toutes les révolutions sont nées de petits groupes de citoyens déterminés, ce qui est logique, puisque selon la physique quantique nous sommes tous reliés.
Nous n’avons ainsi plus beaucoup de choix : ou bien nous pratiquons la désobéissance civile ou bien nous rejoignons les esclaves qui chérissent leurs bourreaux, annoncés par Aldous Huxley.
Sylvie Simon
L'esclave libéré
http://wizzz.telerama.fr/francky/photos/3344896290
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Une Lectrice-blogueuse, en commentaire, me signale ce post :
Etats-Unis
à la conquête de l'Est:
Révolutions de couleurs
fomentées par la CIA
Documentaire très intéressant de Manon Loizeau tourné en 2005, intitulé "États-Unis : à la conquête de l'est" qui explique comment la CIA fomente les révolutions afin de servir ses propres intérêts.
Les coups pourris du CFR (Council On Foreign Relations) et du Groupe Bilderberg par l'intermédiaire de la CIA...
George Soros n'a rien à faire de la démocratie. Son but est de renverser des états pour s'approprier des ressources naturelles (gaz, pétrole etc...)
"Dans ce documentaire tourné en 2005 Manon Loizeau dévoile ceux qui financent et fomentent les révolutions dans les pays de l’est traditionnellement favorable à la Russie. Très utile afin de comprendre la situation iranienne et les promoteurs du mouvement…"
Partie 1sur6
La suite ici :
http://www.dailymotion.com/user/jackyshow38/video/xaqa90_comment-la-cia-prepare-les-revoluti_news
Lire également l'article "La technique du coup d’État coloré " de John Laughland.
http://www.voltairenet.org/article163449.html
Comment la CIA prépare les révolutions colorées
C O M M E N T A I R E S : I C I
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