Je voulais écrire un article sur le voyage de Sarkozy aux Etats-Unis, sur l'alignement décrété par le Président, contre le désir des Français et contre les intérêts de notre pays... et puis j'ai eu la nausée... Lorsqu'on est attaché à l'indépendance toute gaullienne de la France, lorsqu'on est imprégné des idéaux de Gauche, pleinement de Gauche, alors les bouleversements infligés à notre pays sont insupportables. Bref, j'ai voulu marquer une pause. Etre moi-même. Partager avec vous quelques bribes d'enfance, quelques pensées, m'offrir une parenthèse, une ode à la Vie. Vous le savez, j'ai grandi dans un certain milieu, que je n'ai pas choisi. Mais l'ancrage à la terre m'est resté - et je crois que c'est la valeur la plus sûre qui nous soit donnée. Plongeons ensemble, voulez-vous, dans la "vraie vie"... Celle qui n'est pas frelatée, celle qui est aux antipodes de la direction que notre Président donne à la douce terre de France.... eva
Mes amis,
Dans un courrier que je reçois, il y a une invitation à participer à un Colloque sur le retour à la terre. Quel beau sujet ! A l'heure de l'urbanisation folle, à l'heure de la deshumanisation insensée, je crois qu'il est temps d'alerter nos concitoyens sur les vraies valeurs, celles qui sont éprouvées par le temps, celles qui fondent une vie sur des bases solides - oserais-je le mot ? Sur des racines solides.
Quoi ? On laisserait, sans réagir, nos campagnes devenir des déserts ? Et on laisserait nos agriculteurs se suicider ? Et on laisserait nos villages se dépeupler, se vider, se désespérer ?
Petit retour en arrière. La terre, j'y suis née. Dans la bonne terre de Normandie, chaude, rurale, rustique, accueillante. Mes parents y avaient une maison de maître, devenue avant le débarquement le quartier général des officiers de l'Armée allemande. Pendant que les quatre domestiques et le palefrenier se terraient dans l'abri, ma mère s'occupait des bêtes, en plein bombardements, trayant les vaches, bravant tous les dangers - et même les officiers, qui ignoraient qu'elle comprenait l'Allemand. Il fallait nourrir les animaux. J'ai encore le tableau du poulailler de la résidence secondaire familiale en Normandie. Et ce tableau montre les poules en liberté, heureuses de vivre - et un poulailler sur pilotis, plus grand que mon logement, car aujourd'hui tout est petit, tout est mesuré, tout est mesquin.
Inutile de dire que je suis scandalisée par le sort qui est réservé aux bêtes, aujourd'hui. Privées de liberté, d'espace, d'herbe, de lumière, entassées comme du bétail que l'on conduit à l'abattoir. Le traitement que nous infligeons aux animaux est révélateur: Notre sociétée est malade. Barbare. Elle va droit dans le mur ! Car elle ne respecte plus rien, que l'argent, conduisant les individus à se battre les uns contre les autres. Vous avez dit compétition - modernité ?
Wikipedia - aujourd'hui ... et hier (poulailler sur pilotis, http://poules.landaises.free.fr/elevage.htm)
Née en Normandie, en pleine terre, avec une mère prenant soin des animaux, et au milieu d'eux, comment ne pas être imprégnée des vraies valeurs ? Comme Tarah, dans Autant en emporte le Vent: "La terre, la terre ! Il n'y a que cela qui compte !" Et de surcroît, je suis Capricorne. La terre, encore. Je rêvais d'épouser un pêcheur - car j'ai la passion de la mer, de la voile - ou un agriculteur - car je suis imprégnée de la terre, façonnée par elle. Et des vraies valeurs, celles qui défient le temps, et que des hommes comme Sarkozy piétinent allègrement, ne respectant que l'argent, affamés qu'ils sont de pouvoir, de lucre et de renommée ...
Alors, ne vous étonnez pas si je suis pétrie par la terre, comme un chêne jaillissant du sol, solide, défendant les vraies valeurs, la vie simple, les choses simples, au contact de la nature, des bêtes, des gens simples, prônant un retour à la terre... Il y a quelques années, lorsque j'accueillais chez moi les coeurs brisés, les malmenés par la vie, clochards, sortants de prison, prostituées, jeunes à la dérive, Compagnons d'Emmaüs en rupture, drogués..., je leur conseillais de s'installer à la campagne, de sortir de leurs cités ou du béton, pour redécouvrir les pierres, l'herbe, un rythme de vie naturel, les bêtes, les odeurs de la campagne, le goût de la vie, tout simplement... d'une vie qui n'est plus artificielle et même virtuelle !
wikipedia
Et ne vous étonnez pas si j'aime tant les Amerindiens, choyant par-dessus tout la terre, respectueux de tout ce qui vit, attachés aux vraies valeurs, à l'authenticité, à la sincérité, au partage.... Et ne vous étonnez pas si je suis une amoureuse de la vie, et de tout ce qui vit, et si je malheureuse quand on piétine la terre, le terrien, quand on inocule du poison au sol ou à l'eau, quand on rend impropres à la culture les terres en les bombardant, quand on méprise l'humain, quand on marchandise le vivant, et même quand on vend la terre, qui appartient à tous, finalement - y a-t-on pensé ?
Où sont nos villages d'antan, nos petits lopins de terre qu'on cultivait avec amour, qui nous nourrissaient tous, où sont les grandes maisons où toutes les générations se mêlaient, s'entraidaient, s'entrelacaient, où sont les petits commerces si charmants, nos herboristes, nos merceries, nos ferronniers, les repriseuses de chaussettes, le rempailleur, l'affûteur de couteaux, le garde-champêtre, le remplaceur de vitres cassées, et tous nos marchands-ambulants - et par-dessus tous nos agriculteurs, heureux de cultiver la terre, assurés d'en vivre...
Où sont nos bals-musettes, nos anciens discutant sur le pas de la porte, nos rues fleuries, nos bons feux de cheminée, nos fêtes champêtres, nos braconniers, même... où sont-ils ? Les enfants montaient dans les cerisiers, ils jouaient à la marelle et à la balle aux prisonniers, ou aux gendarmes et aux voleurs, ils pouvaient se battre sans que la Maréchaussée ne soit alertée, et quand ils n'étaient pas sages, la maîtresse leur tapait sur les doigts...
http://www.westimpact.com/Solet-Tsiganes-1.JPG
Ne vous étonnez pas si je regarde avec envie passer les roulottes, pardon, les caravanes, des Gitans, des nomades, eux qui vivent ensemble, autour d'un feu, n'ayant que le ciel pour toit et la terre qui appartient à ceux qui s'y allongent, eux qui ne sont pas attachés à l'argent, qui ne savent même pas compter, et qui ne font jamais de guerre... Allez les voir comme je l'ai toujours fait: Ils partageront le peu qu'ils ont, et ils sortiront leurs guitares et leurs tambourins !
Ne vous étonnez pas si en Amazonie ou dans les longhouses de Bornéo, en pleine jungle, j'ai partagé avec délices la vie simple de ceux qui font corps avec la terre, l'eau, l'air, se baissant pour cueillir les fruits, se redressant pour chasser, n'ayant nul besoin d'argent ou de commerces, vivant en osmose avec la nature, une nature si généreuse qu'elle fournit tout ce dont l'individu a besoin, même les plantes pour soigner ou les peaux de bêtes pour se vêtir... Peuples premiers... Et nous, que sommes-nous ? Peuples derniers, vraiment derniers ? Et si nous cessions de courir après le travail, les heures supplémentaires, l'argent, les rencontres virtuelles... et si nous partagions la terre, et si nous la cultivions en toute simplicité, et si nous nous rendions service entre voisins, et si nous échangions nos connaissances, et si nous nous accueillions tous, sans chercher à savoir si nous sommes blancs, jaunes ou noirs, chrétiens, juifs ou musulmans, handicapés ou gâtés par la vie.... et si on redécouvrait le goût des choses toutes simples, le plaisir d'une tartine de confiture, la joie des farandoles, le bonheur de la vie au grand air, le bonheur du partage, le bonheur du réel vraiment réel ?
Et si nous disions non au virtuel, et si nous refusions toutes les peurs qu'on veut nous insuffler pour mieux nous asservir, et si nous retrouvions nos âmes d'enfants pour nous émerveiller, pour ré-enchanter le monde ? Et si nous refusions tous les jeux frelatés auxquels on nous demande de participer ?
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Et si, et si, et si...
Demain est un autre jour, et il peut être beau si nous le voyons beau, si nous le faisons beau, nous, tous ensemble !
Laissons les jongleurs de chiffres, de dollars, de crises, de pandémies, de guerres, ne nous occupons plus d'eux, rions d'eux, et puis retournons à la terre, cultivons-la, et la fraternité, et la simplicité de vie, alors oui, tout deviendra beau, car lorsqu'on sait regarder, le monde est si beau, si généreux, il nous suffit de cueillir à pleines mains, le bonheur est à notre portée ! Mais sortons des villes, sortons de la compétition, sortons de l'accumulation, sortons du frelaté, sortons de l'égoïsme, sortons de toutes les modernités qu'on veut nous imposer et qui ne sont que régression, seulement cela... la vie nous tend les bras ! Sans "eux", sans leurs fausses valeurs, sans leurs chaînes, sans leurs bourbiers...
Chiche ! On retrouve la vraie vie ?
Eva R-sistons
Clin d'oeil sur un personnage pittoresque,
surgi du passé pour nous le faire aimer...
Le Garde Champêtre va à la rencontre du public,accompagné de sa musique et de ses dégustations surprises, annonce les événements, conduit les défilés, maintient le contact avec le public de façon débonnaire et inspirée et entraîne la foule précisément là où vous désirez qu’elle se rende.
Avec sa bonne humeur et sa poésie burlesque le Garde Champêtre maintient le contact avec le public et entraîne la foule dans son sillon. Grâce à lui les passants deviennent les acteurs de leur lieu de vie.
Le Garde Champêtre poète burlesque et pittoresque, jamais à court d’un bon mot, est le fil rouge de la manifestation, un Monsieur Loyal à la gouaille intarissable, à l’aise avec toutes les générations ; c’est un passeur de paroles et d’émotions.
Le Garde Champêtre est un poète au grand coeur ; il fait naître des émotions en investissant les lieux stratégiques d'une ville (quartiers, marchés, foires, places...), il est le lien entre les différents spectacles ou animations et n'oublie jamais un petit geste de tendresse...
Pendant un festival : Le Garde Champêtre tel un ludion intervient, allant d’un spectacle à l’autre, d’une partie de la ville à l’autre, pour faire le lien entre les différents spectacles que vous avez choisis.
N'hésitez pas à le contacter par mail: ciebalsamo@wanadoo.fr
ou par téléphone au 06.16.67.66.31
C'est le moment ou jamais: Il fête cette année ses 10 ans de tour des mondes de France
http://legardechampetre.over-blog.com/
Remettre l'éthique
au centre des décisions stratégiques...
Philippe de Woot, Lettre ouverte aux décideurs chrétiens en temps d’urgence, Lethielleux/DDB Desclée de Brouwer, 2009.
Lors de la conférence organisée par l’ADIC (Association chrétienne des dirigeants et cadres) le 4 février 2010 à l’église Saint-Etienne de Froidmont, Philippe de Woot (professeur émérite de l’UCL) a repris les principaux thèmes de son livre et a complété un certain nombre de ceux-ci en lançant des pistes de réflexion que nous reprenons ci-dessous.
« Je crois que nous sommes entrés dans une phase où la folie nous guette et la barbarie nous menace et c’est là que le cri prophétique devrait être poussé . »
« Un auteur récent disait que le Barbare est celui qui oublie son humanité. Notre système oublie son humanité. Notre système est un système mécanique. C’est un système froid, rationnel, sans cœur. »
« Je voudrais proposer l’idée que les dirigeants d’entreprise devraient avoir une vision nouvelle. Pour moi, l’entreprise nouvelle, ce serait trois choses :
- redéfinir sa finalité. Ce qu’on enseigne dans les écoles, c’est la pensée de Milton Friedman : le rôle social de l’entreprise et l’enrichissement de l’actionnaire. Définir la finalité de l’entreprise en termes financiers alors qu’on crée des produits, des biens, des services, un progrès, c’est une folie et c’est malheureusement ce que toutes nos business schools continuent à enseigner ;
- remettre l’éthique au centre du débat et au centre des décisions stratégiques ;
- élargir la concertation : les patrons éclairés font des partenariats avec des ONG, s’engagent dans la construction européenne, dans les réseaux de responsabilité sociale. »
La nouvelle entreprise serait celle qui rééquilibrerait autrement l’esprit d’entreprise, le leadership éthique et l’engagement politique au sens grec du terme, l’entreprise participant au débat public.
Dans le derrnier chapitre de son livre, qui s’ouvre par deux citations, l’une d’Ezechiel et l’autre d’Isaïe, l’ouvrage de Ph. De woot prend une dimension prophétique. N’est-il pas dans la droite ligne des textes évangéliques quand il dit : « La transformation de notre système économique ne se fera durablement que si les hommes et les femmes qui l’animent se sont eux-mêmes transformés », lorsqu’il interpelle les chefs d’entreprise : « Allons-nous nous laisser tenter par la démesure et l’orgueil prométhéen… ou resterons-nous conscients de notre fragilité, d’une fraternité à partager, compatissants, à l’écoute des autres… ? » ou lorsqu’il s’adresse à chacun d’entre nous : « Si l’on est chrétien, comment ne pas vouloir transformer notre système économique ? ». Et le livre se termine par un très beau texte de Dom Helder Camara, ce prophète des temps modernes qui, en paraphrasant le credo, dit ceci : « J’ose croire au rêve de Dieu même : un ciel nouveau, une terre nouvelle où la justice habitera. »
Geo REGNIER ? L’Entreprise et l’homme, année 2010, premier trimestre, 87e année, pp.28-29.
http://sos-crise.over-blog.com/article-remettre-l-ethique...
http://alainindependant.canalblog.com/archives/2010/03/31...
Lire aussi :
http://sos-crise.over-blog.com/article-l-ancien-et-le-nou...
Liens actualité :
Pour la Campagne Boycott désinvestissement sanctions (BDS) à l'égard d'Israël, l'heure est semble-t-il en France à la criminalisation et aux attaques diffamatoires. La tribune publiée par Me Michaël Ghnassia sur Le Monde.fr du 24 mars n'en est qu'un exemple. La rhétorique déployée par ce dernier renvoie un geste citoyen pour obtenir l'application du droit international, le boycott, à une "hérésie morale". Le boycott a pourtant une histoire en forme d'arme des sans-armes, que Me Ghnassia semble bien oublier : boycott des bus de Montgomery en 1955 à l'appel de Martin Luther King, boycott de l'Afrique du Sud contre l'apartheid à la fin des années 1970… A une échelle plus modeste, en janvier 2001, des ouvriers de Calais et Ris-Orangis menacés de licenciements appelaient à boycotter leur propre compagnie, Danone.
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Or toute l'essence et l'éthique de la Campagne BDS se situe à ce point précis : à l'heure où ni la communauté internationale, ni l'Union européenne et encore moins la France, ne jouent leurs rôles dans l'application des résolutions internationales votées par l'ONU, il s'agit bien de construire un mouvement citoyen, "par le bas", exerçant des pressions économiques et politiques sur Israël afin qu'il applique les résolutions votées par les Nations unies. C'est cela, la Campagne BDS, et rien que cela : l'exigence du droit, et de tout le droit, à l'heure où les puissances internationales abandonnent justement ces "sans-droits" que sont aujourd'hui les Palestiniens.
Michaël Ghnassia écrit à juste titre que "la justice des hommes s'est construite sur ce principe de la responsabilité individuelle, qui est aujourd'hui un droit fondamental à valeur constitutionnelle, consacré par la Déclaration des droits de l'homme et l'ensemble des conventions internationales". Or c'est justement à cette notion de responsabilité individuelle que nous appelons. Responsabilité individuelle de citoyens, qui s'interrogent sur les Accords d'associations entre Israël et l'Union européenne qui ne valent, comme l'indique leur article 2, que si Israël "respecte les droits de l'homme". Responsabilité de consommateurs également : lorsque l'entreprise israélienne Agrexco/Carmel, exportant fleurs, fruits et légumes, compte s'installer dans le port de Sète, nous sommes en droit de dénoncer le fait que cette entreprise exporte 70 % des productions des colonies israéliennes installées dans les territoires de Cisjordanie (en toute illégalité, selon les normes du droit international), et de refuser d'en consommer les produits.
Me Michaël Ghnassia écrit encore que "l'objet de cette campagne-propagande n'a finalement pour but que de réduire une nation, composée d'individus aux opinions et aux engagements aussi différents que ceux qui peuvent exister en France, en un unique ennemi désincarné et sans humanité : l''Israélien' ou le 'sioniste'". Or, faut-il aussi le rappeler, la campagne de boycott, de désinvestissement et de sanctions, lancée à l'initiative d'acteurs politiques, syndicaux et associatifs palestiniens, a été reprise et soutenue en Israël même par des mouvements pacifistes et anticolonialistes israéliens, qui, comme la Coalition des femmes pour la paix alimente depuis quelques années un site nommé "A qui profite l'occupation" (Who Profit from the Occupation?), permet de cibler les entreprises israéliennes et étrangères impliquées dans la colonisation. C'est cela qu'omet de dire Me Michaël Ghnassia : la Campagne BDS n'a justement aucune couleur confessionnelle. Elle s'étend de la société civile palestinienne aux mouvements anticolonialistes israéliens, des syndicats britanniques au Conseil des étudiants de Berkeley (Californie) demandant à leur université de se désinvestir de sociétés américaines impliquées dans la fabrication d'armes israéliennes. C'est peut-être ce caractère pluriel, internationalisé et antiraciste de la Campagne BDS qui fait peur aujourd'hui à un gouvernement israélien dans lequel l'extrême droite tient plusieurs ministères, dont celui des affaires étrangères. Et qui explique le déferlement de dénégations et de mensonges à l'encontre d'une campagne internationale de boycott n'ayant qu'un seul objectif reconnu : l'application du droit.
Signataires :
Ivar Ekeland est ancien président de l'université Paris-Dauphine et président de l'Aurdip (Association des universitaires pour le respect du droit international en Palestine),
Annick Coupé est porte-parole de Solidaires,
Nahla Chahal est coordinatrice de la Campagne civile pour la protection du peuple palestinien,
Michèle Sibony est co-présidente de l'Union juive française pour la paix,
tous sont membres de la Campagne BDS France.
Tout est à transformer pour créer de nouvelles raisons d'espérer.
http://alainindependant.canalblog.com/archives/2010/04/03/17460852.html
http://www.toutsaufsarkozy.com/cc/article02/EkZppZlVFlAOYYbtgg.shtml
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