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" Regardez ce qui se trame de l'autre côté de l'Atlantique,
le pays des libertés devient fasciste.
Ce sera le tour de l'Europe, soyez en certains "
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http://spiritalone.free.fr/illumi15.html
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FDA: Food and Drug Administration: administration de la nourriture et des médicaments
Le problème en achetant des métaux précieux c'est qu'il doit certainement avoir
Le mieux reste encore d'acheter du terrain agricole et de l'outillage de qualité...

Par le Mouvement politique d’éducation populaire (M’PEP).
Le 1er janvier 2011.
Considérant que les orientations de la gauche française ne relèvent pas de la « cuisine interne » des partis mais du débat public national, le Mouvement politique d’éducation populaire (M’PEP) lance un appel à tous les citoyens.
Puisque le Parti socialiste français se dit de gauche, et que deux de ses éminents adhérents pratiquent l'ultralibéralisme le plus débridé dans les institutions internationales, une clarification est nécessaire. Pour le M'PEP, on ne peut pas être de gauche et diriger l'Organisation mondiale du commerce (OMC) ou le Fonds monétaire international (FMI), piliers de l'ordre néolibéral mondial. Il faut choisir. Pascal Lamy, directeur général de l'OMC et Dominique Strauss-Kahn, directeur général du FMI ont choisi de se mettre au service de l'ultralibéralisme.
Le Parti socialiste français doit lui aussi choisir : soit il renonce définitivement à représenter la gauche, soit il exclut Pascal Lamy et Dominique Strauss-Kahn. À la veille des échéances politiques de 2012, la question devait être posée, et le M'PEP met les pieds dans le plat. Si vous pensez comme nous que Pascal Lamy et Dominique Strauss-Kahn n'ont rien à faire au Parti socialiste et, en y émargeant, portent préjudice à l'ensemble de la gauche, signez cet appel pour exiger leur exclusion.

- Appel pour exclure Pascal Lamy et D. Strauss-Kahn du Parti Socialiste
- La monnaie chinoise accélère son internationalisation
- L'ingérence de la prétendue Communauté internationale, ça suffit !
- Loukachenko triomphe. Tentative de révolution de couleur - Comité Valmy
- La grande crise financière – trois années déjà et ça continue
- Nos banlieues prises en otages par nos politiques
- Big Pharma nous cache qu'on peut maigrir gratuitement... Voici comment
- Pour un nouveau F.N. opposé à la 5e colonne euro-atlantiste hégémonique
- La logique d'exclusion du travail du Capitalisme financier
Attentats contre les chrétiens en Irak,
Côte d'Ivoire
ou Khodorkovski,
tout n'est que mensonges...
par eva R-sistons
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Médiamensonges: Afrique, attentats contre les...
Dessin de Mariali
2011-2012
Etats-Unis, Occident, France...
Sombres perspectives :
Il est toujours délicat de vouloir jouer les Pythie, a fortiori les Cassandre, lorsqu’il s’agit de tracer des perspectives pour l’année qui s’annonce. Sans indiquer avec précision que tel ou tel événement se produira en 2011, quelles peuvent être les tendances «
lourdes
» de l’année qui s’annonce
?
Un élément doit être constamment présent à notre esprit lorsque nous essaierons d’anticiper puis de décoder les événements de
2011
: l’élection présidentielle américaine qui se déroulera en novembre
2012. Les Républicains, dont l’aile droite domine aujourd’hui le parti, notamment par le biais du mouvement Tea Party, feront tout pour reprendre la Maison Blanche et faire chuter Obama, quitte à jouer les pompiers incendiaires en accélérant ou en favorisant le déclenchement de crises (sur les devises ou la dette publique, par exemple) qui feraient apparaître Obama comme incapable de les gérer correctement.
Vers une «
faillite
» programmée
?
En ce sens, on pourrait s’attendre à ce que les marchés perdent confiance dans la «
signature
» du gouvernement des États-Unis… ou d’autres États occidentaux. En effet, tout est en place pour le feu d’artifice
: la dette publique américaine approche aujourd’hui les 14
000
milliards de dollars, est en augmentation constante et va continuer de croître, compte tenu notamment des exemptions fiscales concédées aux Républicains par l’administration Obama après leur victoire aux élections de novembre
2010.
Les marchés pourraient donc commencer à douter
: cette montagne de dettes sera-t-elle un jour remboursée
? Doit-on continuer à prêter
? On «
découvrira
» alors que les «
Chinois
» font tout depuis deux ans pour réduire leur dépendance à l’égard de la dette américaine. On parlera rééchelonnement, menaces ou craintes de ne pas tout rembourser, bref une situation confuse qui pourrait engendrer deux types de conséquences.
En premier lieu, des conséquences politiques internes aux États concernés
: montée de la peur, donc du populisme, débats extrêmement tendus, postures messianiques ou salvatrices de certains hommes politiques qui voudront apparaître comme le recours ou la solution miracle… en résumé, les conditions seront réunies pour que la passion l’emporte sur la raison.
En second lieu, dans la coulisse, les «
vraies
» négociations débuteront entre les représentants des États et le lobby de la bancassurance, avec sur la table l’équation suivante
: «
Vous n’êtes plus capables de rembourser tout ce que nous vous avons prêté. Alors que comptez-vous faire
? Que nous proposez-vous en échange
?
»
À quelques nuances près, on devine déjà la réponse de la majorité des hommes et femmes politiques, en tout cas celle que donneront les Républicains américains ou, plus près de nous, le couple Sarkozy - Strauss-Kahn
: «
Accordez-nous une remise de dette partielle et nous nous engageons d’une part à ne plus accumuler les déficits, d’autre part à vous céder à bas prix les plus beaux morceaux du patrimoine de l’État, enfin à mettre en place une législation encore plus favorable à vos intérêts.
»
Dans ces conditions, on verra se mettre en marche – ou plutôt s’accélérer – des évolutions du type de celle que nous avons décrites dans 2050
: l’odyssée du servage, probablement à un rythme encore plus rapide que celui initialement imaginé par Standard & Poors.
lourde de conséquences…
Ce déclin des États occidentaux et, en premier lieu, de l’«
empire
» américain, va entraîner une poussée du sentiment anti-occidental dans le monde et le rejet d’un «
modèle occidental
» considéré comme dépassé, inefficace, vieilli. Pour s’en convaincre, il suffit de relire Le lion devenu vieux, de Jean de La
Fontaine
: tout y est dit.
Dans ce genre de circonstances, on jette en général le bébé avec l’eau du bain
: l’occasion sera trop belle pour tous les régimes autoritaires – Chine en tête mais n’oublions pas les extrémistes religieux ni les «
ânes
» de toutes origines – de fustiger les systèmes démocratiques en général et la démocratie occidentale en particulier, dénoncée alors comme la cause de tous les maux.
On peut donc s’attendre à voir la Chine, érigée en nouveau modèle, vanter son système économico-politique et, sur le plan militaire, se poser en rivale directe des États-Unis, notamment en mer de Chine et dans le Pacifique.
Et la France
?
Tradition colbertiste et jacobine oblige, la France est a priori mieux «
armée
» culturellement pour résister aux tempêtes qui s’annoncent. Mais deux éléments pourraient bien venir changer la donne.
En premier lieu, ce que j’appellerai la «
sarkoïsation
» croissante des esprits, d’ailleurs présente avant l’élection de Badinguet à la présidence
: individualisme, communautarisme et anti-intellectualisme en sont les piliers. Ces trois ingrédients favorisent la généralisation du chacun-pour-soi et des réflexes identitaires primitifs
: comme on «
ne comprend plus rien
» aux événements du monde, on tient «
les autres
» pour responsables de tout ce qui fonctionne mal et on se replie sur soi, accélérant l’émiettement de la société qui n’a alors plus de référent fédérateur (le roi, la nation…).
En second lieu, l’élection présidentielle de 2012. Tout est fait aujourd’hui pour préparer un pseudo-duel Sarkozy – Strauss-Kahn dans lequel la France sera la grande perdante (voir notre billet Bonnet blanc et blanc bonnet)
: tous deux se plieront aux volontés de l’establishment bancaire et financier, tous deux sont prêts à brader en cinq ans ce qu’il a fallu cinq siècles pour construire. La recherche, à l’occasion de cette élection, d’une «
véritable alternative républicaine
», crédible au niveau des idées, de leur mise en œuvre… et de la capacité à emporter l’élection, est donc une nécessité… qui aujourd’hui relève de la quadrature du cercle.
Et les citoyens
?
Sentiment d’un désordre croissant, d’une impossibilité à maîtriser les événements, d’une agitation à la fois vaine et inutile, le «
ressenti
» général est celui d’un malaise grandissant face à une évolution que l’on ne comprend plus, que l’on pressent funeste d’une manière générale mais dont on voudrait se protéger à titre individuel.
D’où la sarkoïsation des esprits évoquée plus haut. D’où aussi, car le verre n’est pas entièrement vide, des ébauches de réaction parfois maladroites, une volonté de comprendre ce qui se passe ou de réagir, en essayant d’éviter les écueils de la résignation ou du populisme.
On en voit les signes à travers le succès étonnant d’un ouvrage comme Indignez-vous
! par Stéphane Hessel, publié de manière confidentielle par une petite maison d’édition et qui a bénéficié d’un incroyable retentissement à travers le bouche-à-oreille et la blogosphère. Ou à travers l’appel, certes un peu naïf, de Cantona à vider nos comptes en banque afin de mettre à genoux le lobby bancaire. Dans les deux cas, des «
pessimistes actifs
» refusent de voir couler le bateau sans mot dire et/ou appellent à des formes de résistance, à une autre manière de voir le monde.
Une analyse un peu froide et dépassionnée nous montre cependant que nous sommes ici en présence de jacqueries, pas d’une véritable alternative (voir en ce sens Révolution ou jacqueries
?). Mais elles sont d’une part la preuve d’une lucidité face à la situation et de la volonté de ne pas capituler, d’autre part un pré-requis indispensable pour bâtir «
le monde d’après
».
Lundi
© La Lettre du Lundi 2011
http://lalettredulundi.fr/2011/01/02/2011-le-temps-des-perspectives/

Reykjavik et Dublin. Photos de Appelsin et Gariblu. - http://www.presseurop.eu/fr/content/article/72241-deux-iles-au-destin-lie
Tandis que les Médias
braquent les projecteurs
sur la soumission de l'Irlande au FMI,
ils font silence
sur la libération de l'Islande de ses chaînes !
Islande, la révolution silencieuse
Quand l’Islande réinvente la démocratie
l’Assemblée constituante a été élue en novembre
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Un jour, il y a quelques mois, un anglais passant par Paris, rencontré à la librairie Lady Long Solo, nous alertait sur la révolution en Islande. Quelle révolution ? On n’en entend parler nulle part. Une rapide recherche google ne donne rien du tout, aujourd’hui, ni en associant le mot « révolution », ni même « crise », où l’on ne trouve que des détails sur la crise financière, effectivement à l’origine de cette révolution, qui a eu lieu en 2008, dans ce pays d’à peine plus de 300 000 habitants, classé au deuxième rang mondial sur l’indice du développement humain, l’IDH, derrière la Norvège, à la veille de cette crise, en 2006.
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Confronté alors à la faillite brutale du système bancaire, le peuple était descendu dans la rue. Du jamais vu au pays des jeysers d’eau chaude. La droite avait aussitôt dû céder la place à la gauche. Et, pour commencer, les banques avaient été nationalisées. Notre informateur anglais en avait entendu parler pour les projets législatifs de liberté totale pour internet, tels que des sites anglais pensaient à s’héberger là. Plus encore, il insistait pour parler d’une véritable révolution, sans pouvoir la décrire plus, mais s’étonnant qu’on n’en ait jamais entendu parler.
Cherchant alors avec obstination, on a fini par voir des images du palais présidentiel assiégé par une foule qu’on qualifierait ici sans hésiter d’anarcho-autonome. En plus des drapeaux noirs, on pouvait deviner dans la foule une forte composante de citoyenneté de type écologiste. Et on comprenait que le pauvre malheureux flic, tout seul devant le palais présidentiel, ait rapidement dû se rendre sous la pression de la foule. Celle-ci, néanmoins pacifique, n’usait que de casseroles et autres objets bruyants, selon la méthode argentine du cacerolazo, qui a su s’avérer très payante aussi là-bas.
Le président avait plié bagage. Un nouveau gouvernement s’était institué. Mais, quelques temps plus tard, celui-ci avait la mauvaise idée de proposer le remboursement de la dette des banques vis-à-vis du Danemark ou de la Grande Bretagne. Le peuple est de nouveau descendu dans la rue. Un référendum sur la question était imposé par volonté populaire, et une petite majorité de 93% rejetait l’accord prévu par les gentils gouvernants.
Parmi les informations glanées, cette image saisissante de l’agora dans les bains publics chauds, où le peuple s’assemble tous les matins pour débattre de comment refaire le monde.
Consécration de cette révolution, l’élection d’une Assemblée constituante, le 27 novembre 2010, événement peut-être plus considérable que la nuit du 4 août 1789 où était votée l’abolition des privilèges, dont on ne se serait pas aperçu sans la vigilance de Truks en vrac, de notre ami B.Bec, du Gers, relayant le CADTM, ou de Jean-Luc Mélenchon, qui trouve là une similitude avec ses propres thèses constitutionnalistes, mais ne semble pas voir plus loin que le bout de son nez anti-capitaliste.
Merveille de la désinformation. Un événement aussi considérable qu’une véritable révolution démocratique, telle qu’on n’en a jamais vue en Europe, peut se produire sans que la presse, ni google, ne permettent d’en savoir quoi que ce soit. C’est sûr qu’à l’heure de la consolidation anti-démocratique que vivent la plupart des pays européens, l’exemple islandais ne fait pas vraiment l’affaire de nos régimes policiers, qui montrent là encore leur aptitude à verrouiller rigoureusement la conscience collective.
On aimerait assurément en savoir plus sur cette révolution islandaise. Voilà des mois que Paris s’éveille rêve de téléporter sa rédaction pour un reportage approfondi au pays des chasseurs de baleines et d’utopie. S’immerger dans les bains chauds de la révolution démocratique fait certes envie, surtout vu du cœur de notre hiver sécuritaire.
Il faut s’imaginer les 25 « simples citoyens » qui vont plancher sur la constitution idéale. Le souffle de l’humanité devrait se retenir. Où l’on verra probablement qu’il n’est pas difficile de faire mieux que toutes les figures de pseudo-démocraties qui se sont déclinées jusqu’ici sur les cinq continents.
Cet article se voudrait un appel à qui aurait plus d’informations sur cette extraordinaire histoire islandaise. On peut écrire à l’auteur : michelsitbon@gmail.com Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. , ou moi-même, et je relayerai avec plaisir.
Depuis le samedi 27 novembre, l’Islande dispose d’une Assemblée constituante composée de 25 simples citoyens élus par leurs pairs. Son but : réécrire entièrement la constitution de 1944 en tirant notamment les leçons de la crise financière qui, en 2008, a frappé le pays de plein fouet.
Depuis cette crise dont elle est loin d’être remise, l’Islande a connu un certain nombre de changements assez spectaculaires, à commencer par la nationalisation des trois principales banques, suivie de la démission du gouvernement de droite sous la pression populaire. Les élections législatives de 2009 ont amené au pouvoir une coalition de gauche formée de l’Alliance (groupement de partis composé des sociaux-démocrates, de féministes et d’ex-communistes) et du Mouvement des Verts de gauche. C’était une première pour l’Islande, tout comme la nomination d’une femme, Johanna Sigurdardottir, au poste de Premier ministre.
Très vite, le nouveau gouvernement se trouve face à un problème épineux : le règlement aux Pays-Bas et au Royaume-Uni d’une dette de 3,5 milliards d’euros suite à la faillite d’Icesave, banque en ligne dont les opérations étaient tournées principalement vers ces deux pays. Sous la pression de l’Union européenne, à laquelle les sociaux-démocrates souhaiteraient adhérer, le gouvernement fait voter en janvier 2010 une loi autorisant ce remboursement, ce qui reviendrait, pour chaque Islandais, à débourser pendant huit ans une somme d’environ 100 euros par mois. Mais le président de la République refuse de ratifier la loi, dont le texte est alors soumis à un référendum. À plus de 93%, les Islandais votent contre le remboursement de la dette (6 mars), et depuis le problème reste en suspens.
C’est dans ce contexte que l’Islande décide de modifier sa constitution, qui en fait n’a jamais été vraiment rédigée : lorsqu’en 1944 la république avait été proclamée, on s’était contenté de recopier dans les grandes lignes la constitution du Danemark, pays dont l’Islande dépendait depuis plusieurs décennies, en remplaçant simplement le terme de “roi” par celui de “président de la République”. C’est donc une nouvelle constitution qu’il s’agit d’écrire entièrement, et pour cela on a décidé de faire confiance au peuple souverain. Il y a eu d’abord un appel à candidatures (tout le monde pouvait se présenter à l’exception des élus nationaux, à condition d’avoir dix-huit ans révolus et d’être soutenu par au moins trente personnes) auquel ont répondu 522 citoyennes et citoyens. C’est parmi eux qu’ont été élus les 25 constituants.
Ces derniers commenceront à se réunir à la mi-février et rendront leur copie avant l’été. Parmi les propositions qui reviennent le plus souvent, on peut noter la séparation de l’Église et de l’État, la nationalisation de l’ensemble des ressources naturelles et une séparation claire des pouvoirs exécutif et législatif.
Certes, l’Islande n’est qu’un petit pays d’environ 320 000 habitants. Elle donne cependant là une belle leçon de démocratie aux grands États dont la France : songeons que, dans notre pays, la réforme constitutionnelle de 2008 a été entièrement rédigée à l’Élysée, et que les parlementaires ne l’ont adoptée qu’à deux voix près après avoir été soumis pendant des semaines à des pressions intolérables de la part du chef de l’État.
[Source : truks en vracs ; CADTM]
http://www.parisseveille.info/quand-l-islande-reinvente-la,2643.html
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« Ceux qui produisent tout n’ont rien et ceux qui ne produisent rien ont tout » Alexandre Jacob-1905
Silence Médias sur une authentique révolution exemplaire: En Islande !
Trouvé sur Bellaciao
http://changementclimatique.over-blog.com/article-meme-aujourd-hui-la-revolution-est-possible-64098804.html
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Mouvement planétaire, cliquer sur link link
La démosophie contre le sacrifice des peuples par le Nouvel Ordre Mondial
et Un livre que tout lecteur de ce site doit lire: Démosophie (tout sur le NWO)
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De la soumission à l'esclavage ?
(..) Depuis longtemps, nous n’avons plus qu’une position dans la communauté humaine : celle de «rester soumis » ! De soumis à esclaves, il ne reste plus qu’un petit pas qu’est en train de franchir le « Nouvel Ordre Mondial ».
Imaginez qu’ils disparaissent et que vous soyez responsable de vous-même, alors vous seriez LIBRE, car décideur de votre vie (..).
Et si nous refusions d'être soumis puis esclaves ? Liberté et responsabilité
Les Juifs en France,
très intéressant débat à voir,
2 conceptions tranchées : Sionisme intransigeant,
et judaïsme humaniste.
Les Juifs comme Sophie Ernst, on les aime,
on en voudrait davantage ! Par exemple,
(vidéo 2), elle reconnaît
que l'opération de Gaza fût une boucherie...
C'est dans la vidéo 2 qu'on voit bien les différences !
Et combien une Sophie Ernst fait plus
contre l'antisémitisme, que son bouillonnant antagoniste
juif comme elle.Eva R-sistons
Débat en deux parties, suite
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http://www.youtube.com/watch?v=-LlXDSnPnkg
http://www.youtube.com/watch?v=FSa8X37zZ3I
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USA : Discrètement, on se prépare
à se débarrasser des vieux malades !
(..)
28 décembre 2010 (Nouvelle Solidarité) – Par une directive du chef de l’Agence fédérale américaine des programmes publics de santé, Charles Berwick, les plus de 65 ans et les malades chroniques couverts par Medicare auront droit à une visite médicale annuelle pour leur proposer de choisir au plus vite leurs procédures de soins de fin de vie. Ils seront fortement incités à signer un testament biologique autorisant les médecins à les priver de traitement lorsqu’ils seront trop malades ; des médecins qui seront rémunérés en fonction du nombre de contrat de soins de fin de vie qu’ils feront signer. La Présidence Obama met donc discrètement en place les « tribunaux de la mort » dont elle se défendait publiquement il y a encore quelques mois (..)
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C O M M E N T A I R E S : I C I