4 juin 2011 6 04 /06 /juin /2011 04:22

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Mes amis

 

Je passe le week-end en famille,

donc je me contenterai de vous recommander

la lecture de quelques articles,

spécialement sélectionnés à votre intention.

Certains sont décisifs pour comprendre notre monde !

Par exemple, enfin nous savons qui sont les familles

à l'origine des malheurs de l'humanité,

qui sont celles qui tirent toutes les ficelles,

bref les adversaires des peuples sont 

désormais clairement identifiés !

 

Ou encore, voici ce qui devrait se passer

sur les plan financier et économique...

Voici aussi comment nos ennemis divisent pour régner !

 

Et puis des révélations sur des affaires:

Lagarde, bactéries, pédophiles...

ou des articles intéressant votre vie quotidienne !

 

Bonne lecture, votre eva

 

Oligarchie financière: les huit familles derrière le cartel banquier privé international… L’ennemi des peuples a un nom et des visages !

le juin 3, 2011 par Résistance 71


Nouvel Ordre Mondial: le G8 nous promet la guerre et plus d’austérité… Tout va bien, le fascisme est en marche !…

 

Nous avons traduit ici un article de Dean Henderson qui décortique le panier de crabes de la haute finance internationale pour nous. Il confirme ici que les banques centrales n’ont de « centrale » que le nom, et qu’elles sont des entités privées, dirigées pour le profit et mettre le contrôle total de l’économie mondiale dans le moins de mains possible.

 

Les banques sont un outil d’oppression sans précédent et des armes de destruction massive qui doivent être éradiquées si nous désirons vivre libre. Le néo-esclavagisme orchestré par le cartel des banques privées et bel et bien en marche. Il suffit de lui dire NON pour que tout s’arrête et que nous reprenions notre destinée en main.


Oui, c’est aussi con que cela: être capable de dire NON ! en masse et s’y tenir…

– Résistance 71 –

Le cartel de la réserve fédérale: les huit familles  ------

par Dean Henderson

Global Research, le 1er Juin 2011 (Part one of a four-part series)

url de l’article original:

http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=25080

 

Les quatre cavaliers du sytème bancaire américain (Bank of America, JP Morgan Chase, Citigroup and Wells Fargo) possèdent les quatre cavaliers du pétrole (Exxon Mobil, Royal Dutch/Shell, BP Amoco et Chevron Texaco) en tandem avec Deutsche Bank, la BNP, Barclays et d’autres anciens pontes européens de l’argent. Mais leur monopole sur l’économie globale ne s’arrête pas aux limites des champs pétroliers.


D’après les déclarations d’entreprise 10K enregistrées avec la SEC (NdT: la commission des cotations boursières, le “shériff” de Wall Street, ou ce qui devrait l’être), les quatre cavaliers de la banque sont parmi les 10 actionnaires majeurs de pratiquement toutes les entreprises figurant dans le ghotta du Fortune 500 [1]

 

Alors qui sont donc les actionaires

de ces banques centralisant l’argent ?

 

Cette information est gardée de manière plus ferme. Mes demandes aux agences régulatrices bancaires concernant la question de savoir qui possède les actions des top 25 compagnies américaines tenant les actions des banques ont initialement reçu un status couvert par le Freedom of Information Act (NDT: loi sur la liberté de l’information, qui aux Etats-Unis prévoit d’empêcher le secret de l’information), avant d’être finalement refusées sous couvert de raisons de “sécurité nationale”. Ceci est très ironique, sachant que bon nombre d’actionnaires résident en Europe.

 

Un des monuments de la richesse de l’oligarchie globale qui possède ces compagnies de holding bancaire est la US Trust Corporation, fondée en 1853 et maintenant propriété de Bank of America. Un des récents directeurs de l’US Trust Corporation et administrateur honoraire était Walter Rothschild. D’autres directeurs furent Daniel Davison de JP Morgan Chase, Richard Tucker d’Exxon Mobil, Daniel Roberts de Citigroup et Marshall Schwartz de Morgan Stanley. [2] J.W. McCalister, un membre éminent de l’industrie du pétrole avec des entrées dans la maison des Saouds, écrivit dans le Grim Reaper, qu’il a obtenu des informations de banquiers saoudiens, qui citaient le fait que 80% de la banque fédérale de New York, de loin la plus puissante branche de la réserve fédérale, étaient détenus par juste huit familles, dont quatre résident aux Etats-Unis.

 

Ce sont les familles Goldman Sachs, Rockefellers, Lehmans et Kuh Loebs de New York, les Rothschild de Paris et de Londres, les Warburg de Hambourd, les Lazards de Paris et les Israël Moses Seifs de Rome.

 

CPA Thomas D. Schauf confirme les dires de McCallister, ajoutant que 10 banques contrôlent les douze branches de la réserve fédérale.

 

Il nomme N.M Rothschild de Londres, Rotshschild Bank de Berlin, la banque Warburg de Hambourg, la banque Warburg d’Amsterdam, Lehmans Brothers de New York, Lazard Brothers de Paris, la banque Kuhn Loeb de New York, la banque Israel Moses Seif de Rome, Goldman Sachs de New York et la banque JP Morgan Chase de New York. Schauf également cite William Rockefeller, Paul Warburg, Jacob Schiff et James Stillman comme étant les individus qui ont le plus d’actions à tire individuel dans la réserve fédérale. [3] Les Schiffs sont étroitement liés à Kuhn Loeb, les Stillmans de Citigroup, qui se marrièrent dans le clan Rockefeller au début du siècle.

 

Eustace Mullins arriva aux même conclusions dans son livre “Les secrets de la réserve fédérale”, dans lequel il montre des diagrammes connectant la Fed et ses banques membres avec les familles Rothschild, Warburg, Rockefeller et autres. [4] Le contrôle exercé par ces familles sur l’économie globale ne peut pas être exagéré et est couvert volontairement du sceau du secret. Leur bras médiatique est prompt à discréditer toute information exposant ce cartel de banques privées comme étant une “théorie du complot”. Pourtant, les faits demeurent.


La maison Morgan


La banque de la réserve fédérale est née en 1913, la même année que mourut J. Pierpont Morgan et que la fondation Rockefeller fut créée. La maison Morgan présidait sur la finance américaine depuis le coin de Wall Street et Broad, agissant déjà en quasi banque centrale américaine depuis 1838, quand Georges Peabody la fonda à Londres.

 

Peabody était un partenaire d’affaires des Rothschilds. En 1952, l’enquêteur sur le Fed Eustace Mulins émit la suposition que les Morgans n’étaient de fait que les agents de Rothschild. Mullins écrivit que les Rothschilds “…préféraient opérer de manière anonyme aux etats-Unis derrière la façade de la JP Morgan and co”. [5] L’écrivain Gabriel Kolko écrivit “Les activités des Morgan en 1895-96 à vendre des bons du trésor or américains en Europe étaient basées sur une alliance avec la maison Rothschild.” [6]

 

La pieuvre financière Morgan enroula rapidement ses tentacules autour du monde. Morgan Grenfell opérait depuis Londres. Morgan et Ce depuis Paris. Les cousins des Rothschilds Lambert montèrent Drexel et compagnie à Philadelphie.

 

La maison des Morgans étaient impliquées avec les Astors, DuPonts, Guggenheims, Vanderbilts et les Rockefellers. Elle finança le lancement de AT&T, de General Motors, General Electric et DuPont. Tout comme les banques de Londres Rothschild et Barings, Morgan devint partie prenante dans la structure de bon nombre de pays.

 

Dès 1890, la maison Morgan prêtait à la banque centrale d’Egypte, finançait les chemins de fer russes, renflouait les obligations du gouvernememt provincial du Brésil et finançait des travaux publics argentins. Une récession économique en 1893 renforça la puissance financière de Morgan. Cette année là, Morgan sauva les Etats-Unis d’une panique bancaire, formant un groupement pour remonter les réserves fédérales avec un envoi d’une valeur de 62 millions de dollars d’or des Rothschilds. [7]

 

Morgan fut la force motrice derrière l’expansion occidentale des Etats-Unis, finançant et contrôlant les chemins de fer qui avançaient vers l’Ouest. En 1879 les chemins de fer centraux de New York, financés par Cornelius Vanderbilt-Morgan donnèrent des prix préférentiels à John D. Rockefeller pour son monopole pétrolier de la Standard Oil, scellant ainsi la relation Rockefeller/Morgan.

 

La maison Morgan alors tombe sous le contrôle familial Rothschild et Rockefeller. Un titre du New York Herald clame “Les géants du chemin de fer forment un trust gigantesque”. J. Pierpont Morgan qui déclara un jour “la compétition est un pêché” se réjouissait maintenant, “pensez un peu que tout le traffic ferrovière en compétition à l’Ouest de St Louis est placé sous le contrôle d’une trentaine d’hommes.” [8] Morgan et le banquier de d’Edward Harriman Kuhn Loeb obtenaient un monopole sur les chemins de fer, tandis que les dynasties banquières Lehman, Goldman Sachs et Lazard rejoignaient les Rockefellers à contrôler la base industrielle états-unienne. [9]

 

En 1903, les huit familles établirent le Banker’s Trust. Benjamin Strong du même organisme fut le premier gouverneur de la banque de la réserve fédérale de New York. La création de la réserve fédérale en 1913 fusionna la puissance des huit familles à la puissance militaire et diplomatique du gouvernement américain. Si leurs prêts internationaux n’étaient pas repayés, les oligarques pouvaient maintenant déployer les fusiliers marins américains (NdT: traduction la plus proche pour “US Marines ») pour collecter les dettes. Morgan, Chase et Citibank formèrent une alliance internationale syndiquée de prêteurs sur gage.

 

La maison Morgan était dans les petits papiers de la maison Windsor britannique et de la maison italienne de Savoie. Les Kuh Loebs, Warburgs, Lehmans, Lazards, Israël Moses Seifs et Goldman Sachs étaient également très proches des maisons royales européennes. Dès 1895, Morgan contrôlait le flot d’or qui entrait et sortait des Etats-Unis. La première vague des fusions américaines étaient dans sa prime enfance et était promue par les banquiers. En 1897, il y eut 69 fusions d’entreprises industrielles. En 1899, il y en eut 1200. En 1904, John Moody, le fondateur de Moody’s Investor Services, dit qu’il était alors impossible de séparer les intérêts des Rockefellers et des Morgans. [10]

 

La méfiance du public envers l’alliance se propagea. Beaucoup les considéraient comme des traitres à travailler avec le vieux système financier européen. La Standard Oil de Rockefeller, les aciers américains de Andrew Carnegie et les chemins de fer de Edward Harriman étaient tous financés par le banquier Jacob Schiff de  Kuhn Loeab, qui lui travaillait en relations étroites avec les Rothschilds d’Europe.

 

Plusieurs états de l’ouest des Etats-Unis bannirent les banquiers. Le populiste William Jennings Bryan fut trois fois le candidat présidentiel démocrate de 1896 à 1908. Le thème central de sa campagne anti-impérialiste fut de dire aux citoyens que les Etats-Unis étaient en train de tomber dans le piège de “l’esclavage financier au capital britannique”. Teddy Roosevelt battît Bryan en 1908, mais fut forcé à la suite de ce feu de brousse anti-impérialiste de faire passer le décret anti-trust. Il s’attaqua ensuite au trust de la la Standard Oil.

 

En 1912 eurent lieu les auditions Pujo, qui s’occupèrent des concentrations de pouvoir à Wall Street. La même année, Mme Harriman vendît ses parts substantielles de la banque du New York Guaranty Trust à J.P Morgan, créant ainsi Morgan Guaranty Trust. Le juge Louis Brandeis convainquît le présidfent Woodrow Wilson de terminer les situations d’inter-relations de comités directeurs. La loi anti-trust Clayton fut passée en 1914.

 

Jack Morgan le fils et successeur de J. Piermont, répliqua en demandant aux clients de Morgan Remington et Winchester d’augmenter la production d’armement. Il décida que les Etats-Unis devaient entrer dans la première guerre mondiale. Pressé par la fondation Carnégie et d’autres instances de l’oligarchie, Wilson céda. Comme Charles Tansill écrivit dans “L’Amérique s’en va en guerre”: “Même bien avant que la poudre ne parle, la firme française des frères Rothschild câbla à Morgan and co à New York suggérant le flottement d’un prêt de 100 millions de dollars, dont une partie substantielle serait laissée aux Etats-Unis pour payer les dépenses françaises pour des achats de produits américains.”

 

La maison Morgan finança la moitié de l’effort de guerre américain, tout en recevant des commissions pour avoir introduit des sous-traitants comme General Electric, DuPont, les aciers Américain, Kennecott et ASARCO. Tous étaient des clients de Morgan. Morgan finança également la guerre des Boers britannique en Afrique du Sud et la guerre franco-prussienne. La conférence de la paix de Paris en 1919 fut présidée par Morgan, qui mena les efforts de reconstruction à la fois de l’Allemagne et des alliés. [11]

 

Dans les années 1930, le populisme refît surface après que Goldman Sachs, Lehman et autres banques eurent profité du crash de 1929. [12] Le président du comité bancaire du parlement américain Luois McFadden (démocrate-New York) dit de la grande dépression: “ce ne fut pas un accident. Ce fut planifié… Les banquiers internationaux pensèrent à créer une situation de désespoir afin de pouvoir en émerger comme nos dirigeants absolus.”

 

Le sénateur Gerald Nye (démocrate-Dakota du nord) présida une enquête sur les munitions en 1936. Nye conclua que la maison Morgan précipita les etats-unis dans la première guerre mondiale pour protéger des emprunts et pour créer un essor de l’industrie de l’armement. Nye produisit plus tard un document dont le titre était “La prochaine guerre”, qui réferrait cyniquement au “truc de le vielle déesse démocratie”, par lequel le Japon pourrait-être dupé dans une seconde guerre mondiale. En 1937, le secrétaire à l’intérieur Harold Ickes, mit en garde de “l’influence des 60 familles américaines”. L’historien Ferdinand Lundberg plus tard écrivit un livre ayant le même titre. Le juge de la cour suprême de justice William O. Douglas décria “l’influence de Morgan… la plus pernicieuse dans la finance et l’industrie aujourd’hui.”


Jack Morgan répondit en rapprochant les Etats-Unis de la seconde guerre mondiale. Morgan avait des relations très étroites avec les familles Iwasaki et Dan, les clans les plus riches du Japon, qui possédaient Mitsubishi et Mitsui respectivement, depuis que ces deux compagnies émergèrent des shogunats du XVIIème siècle. Quand le Japon envahit la Manchourie et massacra les paysans de Nankin, Morgan minimisa l’incident. Morgan avait aussi d’étroites relations avec le fasciste italien Benito Mussolini, tandis que le nazi allemand Dr. Hjalmer Schacht était la liaison entre la banque Morgan et l’allemagne durant la seconde guerre mondiale. Après la guerre, les représentants de Morgan rentrèrent Schacht à la Bank for International Settlements (BIS) à Bâle en Suisse. [13]

 

La maison Rockefeller


La BIS est la banque la plus puissante du monde, une banque centrale globale pour les huit familles qui contrôlent les banques centrales de presque toutes la nations occidentales et des pays en voie de développement. Le premier président de la BIS fut le banquier de Rockefeller Gates McGarrah, un officiel de la Chase Manhattan Bank et de la réserve fédérale. McGarrah était le grand-père de l’ex-directeur de la CIA Richard Helms. Les Rockefellers, tout comme les Morgans, avaient des relations très étroites avec Londres. David Icke écrit dans “Les enfants de la matrix”, que les Rockefellers et les Morgans n’étaient que des “prête-noms” pour les Rothschilds. [14]

 

La BIS est une propriété de la réserve fédérale, de la banque d’angleterre, de la banque d’italie, banque du canada, banque de suisse, banque de hollande, banque fédérale allemande et la banque de france..

 

L’historien Carroll Quigley écrivit dans son épique livre “Tragédie et Espoir” que la BIS faisait partie d’un plan, celui de “créer un système mondial de contrôle financier dans des mains privées et capable de dominer le système politique de chaque pays et l’économie du monde dans son entiereté… un contrôle s’exerçant de manière féodale par les banques centrales du monde agissant de concert à travers des accords secrets.” Le gouvernement américain avait une méfiance historique à l’égard de la BIS, et fit pression sans succès pour qu’elle soit abandonnée en 1945 à la conférence de Bretton-Woods. Au contraire de cela, la puissance des huit familles fut exacerbée avec la création par la conférence de Bretton-Woods du FMI et de la banque mondiale. Le banque fédérale américaine ne prit des parts à la BIS qu’en Septembre 1994. [15]

 

La BIS détient au moins 10% des fonds de réserve d’au moins 80 banques centrales au monde, du FMI et autres institutions multilatérales. Elle sert d’agent financier pour les accords internationaux, collecte les informations sur l’économie globale et sert de prêteur ou de dernier rempart pour éviter un effondrement financier global général.

 

La BIS fait la promotion d’un agenda de fascisme monopolistique capitaliste. Elle donna un prêt de soudure à la Hongrie dans les années 1990 pour assurer la privatisation de l’économie de ce pays. Elle servit de canal de financement d’Adolf Hitler pour les huit familles, emmené par Henry Schroeder des Warburgs et la banque Mendelsohn d’Amsterdam. Un certain nombre de chercheurs assument que la BIS est en fait le centre du blanchiement d’argent du traffic de drogue global. [16]

 

Ce n’est pas une coïncidence si la BIS a son QG en Suisse, la cache financière préférée pour la richesse de l’aristocratie globale et quartier général de la loge franc-maçonne P2 italienne Alpina et Nazi International. D’autres institutions que contrôlent les huit familles inclues le Forum Economique Mondial (Davos NdT), la Conférence Mnnétaire Internationale et l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC).

 

Bretton Woods fut une aubaine pour les huit familles. Le FMI et la banque mondiale étaient centrales à ce “Nouvel Ordre Mondial”. En 1944, les premiers bons de la banque mondiale furent amenés par Morgan Stanley et la First Boston. La famille française Lazard devint plus impliquée dans les intérêts de la maison Morgan. Lazard Frères, la banque d’investissement la plus importante de France, est la propriété de Lazard et des familles David-Weill, vieille tradition bancaire de Gênes représentée par Michelle Davive. Un directeur récent et PDG de Citigroup fut Sanford Weill.

 

En 1968, Morgan Guaranty lança Euro-Clear, une banque basée à Bruxelles spécialisée dans le système de négoce des sécurités Eurodollar. Ce fut la première aventure automatique. Certains appelèrent Euro-Clear “la bête”. Bruxelles sert de QG pour la nouvelle banque centrale européenne (BCE) et pour l’OTAN.

 

En 1973, les officiels de Morgan se rencontrèrent secrètement aux Bermudes pour opérer la résurrection illégale de la vieille maison Morgan, 20 ans avant que la loi Glass Steagal fut abandonnée. Morgan et les Rockefeller donnèrent l’apport financier de départ pour Merrill Lynch, la propulsant dans le top 5 des banques d’investissement américaines. Merrill Lynch est maintenant une partie de Bank of America.

 

John D. Rockefeller utilisa sa richesse du pétrole pour acquérir Equitable Trust, qui avait absorbé plusieurs grandes banques et entreprises dans les années 1920. La grande dépression de 1929 aida Rockefeller à consolider sa puissance. Sa banque Chase, mergea avec la banque de Manhattan de Kuhn Loeb pour former la banque Chase Manhattan, ainsi cimentant une relation familiale de longue durée. Les Kuhn-Loeb avaient financé, avec les Rothschilds, la quête de Rockefeller pour devenir le roi du pétrole. La banque National City Bank de Cleveland donna les fonds à John D. Rockefeller dont il avait besoin pour s’embarquer dans le monopole de l’industrie pétrolière américaine. La banque fut identifiée dans une enquête du congrès comme étant une des trois banques des Rothschilds aux Etats-Unis dans les années 1870; quand John D. créa pour la première fois la Standard Oil dans l’état de l’Ohio. [17]

 

Un des associés de Rockefeller dans la Standard Oil était Edward Harkness dont la famille fut amenée à contrôler Chemical Bank. Un autre fut James Stillman, dont la famille contrôlait Manufacturers Hanover Trust, Les deux banques ont mergé sous l’ombrelle de JP Morgan Chase. Deux des filles Stillman marièrent deux des fils de William Rockefeller. Les deux familles contrôlent une grosse part de Citigroup également. [18]

 

Dans les affaires des assurances, les Rockefellers contrôlent Metropolitan Life, Equitable Life, Prudential and New York Life. Les banques de Rockefeller contrôlent 25% de tous les biens des 50 plus grandes banques commerciales des Etats-Unis et 30% de tous les biens des 50 plus grosses compagnies d’assurance aux Etats-Unis. [19] Les compagnies d’assurance, la première aux Etats-Unis fut créée par les franc-maçons, jouent un rôle important dans la donne de l’argent de la drogue aux Bermudes.

 

Les entreprises sous contrôle des Rockefeller incluent Exxon Mobil, Chevron Texaco, BP Amoco, Marathon Oil, Freeport McMoran, Quaker Oats, ASARCO, United, Delta, Northwest, ITT, International Harvester, Xerox, Boeing, Westinghouse, Hewlett-Packard, Honeywell, International Paper, Pfizer, Mororola, Monsanto, Union Carbide et General Foods.

 

La fondation Rockefeller a des liens très étroits avec les fondations Carnegie et Ford.

 

D’autres aventures philanthropiques de la famille incluent le fond des fréres rockefeller, Rockefeller Institute for Medical Research, General Foundation Board, Rockefeller University et l’Université de Chicago, qui vomit régulièrement un flot continu d’économistes d’extrême droite, apologistes du capital international, incluant Milton Friedman.

 

La famille possède 30 Rockefeller Plaza, où l’arbre de Noël national est allumé chaque année et le Centre Rockefeller. David Rockefeller fut instrumental dans la construction des tours du WTC. La maison de famille des Rockefeller est un complexe dans la partie bourgeoise de New York appelée Pocantico Hills. Ils possèdent également un duplex de 32 pièces sur la 5ème avenue à Manhattan, un manoir à Washington DC, le ranch Monte Sacro au Vénézuéla, des plantations de café en Equateur, plusieurs fermes au Brésil, une grande propriété à Seal Harbor, dans le Maine et des stations balnéaires dans les Caraïbes, Hawaïï et à Porto Rico. [20]

 

Les familles Dulles et Rockefeller sont cousines. Allen Dulles créa la CIA, assista les nazis, couvra l’assassinat de Kennedy de la commission Warren et fît une alliance avec la confrérie des Frères Musulmans pour créer des assassins conditionnés. [21]

 

Son frère John Foster Dulles, fut président des trusts bidon de la Goldman Sachs avant l’effondrement de la bourse en 1929 et aida son frère à renverser des gouvernements au Guatémala et en Iran. Tous deux étaient membres de la société secrète Skull & Bones, du Conseil en Relation Etrangère (CFR) et franc-maçons au 33ème degré. [22]

 

Les Rockefellers furent instrumentaux pour former le club de Rome et son agenda de dépopulation, dans leur propriété familale de Bellagio en Italie. Leur propriété de Pocantico Hills donna naissance à la Commission Trilatérale. La famille est une pourvoyeuse de fonds importante pour le mouvement eugéniste, qui accoucha d’Hitler, du clonage humain et de la forme courante d’obsession génétique sur l’ADN qui court dans les cercles scientifiques américains.

 

John Rockefeller Junior fut à la tête du conseil de la population jusqu’à sa mort. [23] Son fils du même nom est un sénateur élu pour la Virginie de l’Ouest. Son frère Winthrop Rockefeller fut lieutenant gouverneur d’Arkansas et demeure l’homme le plus puissant de cet état. Dans une interview avec le magazine Playboy en Octobre 1975, le Vice-président Nelson Rockefeller, qui était aussi gouverneur de l’état de New York, articula les vues globalistes et arrogantes de sa famille de cette façon: “Je crois absolument dans une planification mondiale totale de l’économie, des affaires sociales, de la politique, de l’armée…”


Mais de tous les frères Rockefeller, c’est le fondateur de la commission trilatérale et président de la banque Chase Manhattan David qui propulsa l’agenda fasciste de la famille sur la scène globale.

 

Il défendît le Shah d’Iran, le régime d’apartheid d’Afrique du Sud, et la junte militaire de Pinochet au Chili. Il fut le plus grand financier du CFR, de la commission trilatérale et (pendant la guerre du Vietnam), du comité pour une paix effective et durable en Asie, une aventure affairiste pour ceux qui faisaient leur argent et vivaient du conflit.

 

Nixon lui proposa d’être son secrétaire au trésor (ministre des finances, NdT), mais Rockefeller déclina l’offre, sachant que sa puissance était bien supérieure en étant à la tête de la banque Chase Manhattan. L’écrivain Gary Allen écrivit dans son livre “Le dossier Rockefeller” en 1973: “David Rockefeller a rencontré 27 chefs d’état, incluant les dirigerants de la Chine et de l’URSS.”

 

En 1975, après Le coup de la Nugan Hand Bank et de la CIA contre le premier ministre australien Gough Whitlam, son successeur nommé par la couronne britannique se dépêcha d’aller aux Etats-Unis où il rencontra Gerald Ford après avoir rencontré David Rockefeller. [24]

 

[à suivre...]

 

[1] 10K Filings of Fortune 500 Corporations to SEC. 3-91

[2] 10K Filing of US Trust Corporation to SEC. 6-28-95

[3] “The Federal Reserve ‘Fed Up’. Thomas Schauf. www.davidicke.com 1-02

[4] The Secrets of the Federal Reserve. Eustace Mullins. Bankers Research Institute. Staunton, VA. 1983. p.179

[5] Ibid. p.53

[6] The Triumph of Conservatism. Gabriel Kolko. MacMillan and Company New York. 1963. p.142

[7] Rule by Secrecy: The Hidden History that Connects the Trilateral Commission, the Freemasons and the Great Pyramids. Jim Marrs. HarperCollins Publishers. New York. 2000. p.57

[8] The House of Morgan. Ron Chernow. Atlantic Monthly Press NewYork 1990

[9] Marrs. p.57

[10] Democracy for the Few. Michael Parenti. St. Martin’s Press. New York. 1977. p.178

[11] Chernow

[12] The Great Crash of 1929. John Kenneth Galbraith. Houghton, Mifflin Company. Boston. 1979. p.148

[13] Chernow

[14] Children of the Matrix. David Icke. Bridge of Love. Scottsdale, AZ. 2000

[15] The Confidence Game: How Un-Elected Central Bankers are Governing the Changed World Economy. Steven Solomon. Simon & Schuster. New York. 1995. p.112 [16] Marrs. p.180

[17] Ibid. p.45

[18] The Money Lenders: The People and Politics of the World Banking Crisis. Anthony Sampson. Penguin Books. New York. 1981

[19] The Rockefeller File. Gary Allen. ’76 Press. Seal Beach, CA. 1977

http://www.globalresearch.ca/PrintArticle.php?articleId=25080                  Page 7 of 8

The Federal Reserve Cartel: The Eight Families                  6/2/11 9:26 AM

[19] The Rockefeller File. Gary Allen. ’76 Press. Seal Beach, CA. 1977

[20] Ibid

[21] Dope Inc.: The Book That Drove Kissinger Crazy. Editors of Executive Intelligence Review. Washington, DC. 1992

[22] Marrs.

[23] The Rockefeller Syndrome. Ferdinand Lundberg. Lyle Stuart Inc. Secaucus, NJ. 1975. p.296

[24] Marrs. p.53

 

Dean Henderson is the author of Big Oil & Their Bankers in the Persian Gulf: Four Horsemen, Eight Families & Their Global Intelligence, Narcotics & Terror Network and The Grateful Unrich: Revolution in 50 Countries. His Left Hook blog is at


www.deanhenderson.wordpress.com

http://resistance71.wordpress.com/

 

 

 

Additif,  Rappel


 

L’UMPS (UMP + PS) se partage invariablement le pouvoir depuis que De Gaulle a été poussé vers la sortie par deux envoyés de la banque Rothschild: Giscard et Pompidou. Auteurs tous les deux de la célèbre loi de 1973 abandonnant notre souveraineté monétaire aux banques privées et donc à Rothschild.

http://lesouffledivin.fr/2011/06/03/le-vrai-fascisme-cest-lumps/


 

 

A  lire  +  vidéos  INCONTOURNABLES

 


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http://img.over-blog.com/300x200/4/23/42/31/WikiStrike-photos/usa-faillite-17.jpg

 

L'establishment américain perd pied...

Les signes annonciateurs d'un effondrement des Etats-Unis se multiplient selon L.I.E.S.I.

Les signaux sont désormais entre l'orange et le rouge.

 

Ce vendredi viennent d'être publiées les créations d'emplois, l'économie US n'a crée que 54000 emplois alors que les analystes en prévoyaient 155 000...les embauches chutent, le chômage remonte.

 

Les déclarations de certaines sources liées à la finance ou au complexe militaro-industriel faites à la rédaction de L.I.E.S.I sont alarmistes :"Ceux qui savent vident leurs comptes...un phénomène constaté par les plus gros gestionnaires de fond. On connait des retraits de plusieurs dizaines de millions d'euros par jour". "Dans les grandes villes, certains sont pressés de liquider leur patrimoine immobilier et s'intéressent à la campagne. Ce n'est pas normal. On a l'impression que ces gens savent quelque chose car ils sont pressés".

"Nous sommes débordés par des livraisons de lingots d'or et les lingots d'argent deviennent rares".

"Les grosses banques dégagent de l'Europe occidentale et des Etats-Unis".

"Les banques réduisent massivement leurs investissements pour 2012 en prévision d'un jeu de massacre aux Etats-Unis"..

"Prochainement, la géographie des Etats-Unis va être bouleversée et cela va faire très mal".

"D'ici 18 mois, de nombreuses banques européennes seront nationalisées".

"Nos clients qui investissent dans des assurances vie, vont tout perdre et on ne peut rien faire". Etc...!

 

Mais quel est donc ce scénario redouté par quelques professionnels de la finance ?

  La plupart disent qu'ils ignorent, mais tous partagent une certitude : ce qui va arriver entraînera la fin du système monétaire de l'après-guerre.

 

Toujours selon L.I.E.S.I un membre d'une des plus grosses banques française leur a confié :

"je connais ce milieu de la Haute finance, ses cadavres et toutes ses techniques. Il y a une chose dont je suis certain à cent pour cent: cette crise de l'immobilier américain n'est que le début d'un processus de mise à mort du système bancaire tel que vous le connaissez. Il sera matériellement impossible de s'en relever. Certes, banquiers et politiciens pourront encore maintenir le système quelques années, mais le prix à payer sera la ruine des Etats et des peuples. Quand on aura été jusqu'au bout, viendra la faillite des banques et la nationalisation de certaines. La grandes majorité des gens seont lessivés".

 

Un autre "initié" souligne que les Etats-Unis tentent de provoquer l'effondrement de l'Europe pour masquer l'état misérable de l'Amérique du Nord.

"Les Etats-Unis sont dans une situation si désespérée qu'ils n'ont pas d'autre solution que de précipiter l'effondrement de l'Europe de l'Ouest et de réunir les conditions nécessaires à une nouvelle guerre mondiale. Comme ils disposent d'hommes sous influence aux postes-clé, les résistances vont être brisées".

 

Ainsi s'explique la manière débilitante, suicidaire, avec laquelle les élites politiques européennes gèrent le cas de la Grèce. Le FMI et l'Union européenne ont injecté 110 milliards d'euros. Début mai, les autorités grecques s'interrogeaient sur leur maintien dans l'euro. Dans la foulée, un nouveau prêt de 25 milliards d'euros s'ajoute aux précédents. En fait, cela ne servira en rien aux grecs, puisque le cartel bancaire va récupérer cette somme...sous la forme d'intérêt pour 2012.

 

Malgré le plan d'austérité, la baisse des salaires et des retraites, (alors que l'inflation des biens nécessaires pour vivre explose), la hausse des impôts et des taux, les privatisations en cascade, financièrement rien ne s'arrange pour la Grèce. Pire, cela aggrave la récession : effondrement de la productivité et de la consommation intérieure sont au rendez-vous. Comme il est mathématiquement impossible à la Grèce de rembourser ses dettes et ses intérêts, les agences de notations trouvent de plus en plus de justificatifs pour abaisser la note de la dette grecque et les taux d'intérêt atteignent 20% ! N'importe quelle banque centrale prêterait à 0% pour aider un pays en difficulté avant que la contagion ne s'étende, mais la BCE est sous la coupe de personnages liés à Wall-Street. Leur boulot est de ruiner le pays.

 

En agissant comme ils le font, les eurocrates mènent l'Europe à une guerre civile généralisée. Pourquoi agissent-ils ainsi contre la simple raison et le devoir civique?

Ce qui arrive à DSK devrait les faires réfléchir, si tant est qu'ils en soient encore capables.

 

La plupart de pays européen vont donc passer sous le rouleau compresseur du cartel bancaire.

Voila pourquoi les investisseurs se disent que les Etats européens seront insolvables au cours des prochains trimestres. D'où la ruine des placements en assurance vie. Même les dettes d'Etat ne vaudront plus grand chose.

 

"Les Etats-Unis qui sont en apparence les maîtres du monde, voient leur puissance se réduire. Ils seront confrontés à des difficultés de très grande nature" .

C'est ce qu'exprimait l'ancienne éminence grise de François Mitterand, Jacques Attali, sur France2

le 10 mai 2011..!

 

http://millesime.over-blog.com/article-l-establishment-americain-perd-pied-75594060.html

 

A lire aussi :

Quels événements peuvent mettre le feu aux poudres ? Quel impact ?

 

.

 

Cela fait trois ans que je cherche un moment
pour traiter ce sujet : " Diviser pour régner".
J'ai reporté ce moment à cause de la
multiplicité des documents amassés.
En attendant, voici un article qui aborde cette question
eva R-sistons
.
Un entretien avec Mahdi Darius Nazemroaya
La balkanisation de la Libye :
les plans des États-Unis et de l’OTAN

Cet entretien avec Mahdi Darius Nazemroaya réalisé le 26 avril 2011 traite de l’impasse de la guerre en Lybie, et de la stratégie du Pentagone et de l’OTAN pour diviser ce pays. Il aborde également le rôle de la Turquie et de l’Allemagne, ainsi que les plans de l’Union européenne d’envoyer une force de maintien de la paix. Il souligne l’importance économique de Misrata.


11 mai 2011

The_Balkanization_of_Libya_texte.jpg


XU JINGJING : Il semble que la coalition occidentale ait ralenti ses actions durant les trois dernières semaines. À votre avis, quelles sont les raisons de cette impasse ?

NAZEMROAYA : L’impasse en Libye est calculée. Les États-Unis et l’OTAN veulent maintenir une impasse stratégique entre le Gouvernement libyen à Tripoli et le Conseil transitoire à Benghazi. Ils se servent de cette impasse pour manipuler à la fois Tripoli et Benghazi. Plus les parties seront fatiguées et affaiblies, plus elles seront disposées à se tourner vers les États-Unis et ses partenaires de l’OTAN pour mettre fin au conflit. Le Conseil transitoire sera également enclin à faire davantage d’offres aux États-Unis et à l’UE. Le régime libyen à Tripoli demandera aux États-Unis et a l’UE de mettre fin au conflit et fera aussi des concessions. Les États-Unis et l’UE veulent que les deux côtés, à Benghazi et à Tripoli, soient plus dépendants de Washington et de Bruxelles comme arbitres de la situation en Libye.


Le résultat final sera que la Libye va se transformer en ce que les États-Unis et l’Europe de l’Ouest voulaient qu’elle soit depuis la fin de la seconde guerre mondiale en 1945. Leur objectif est de faire de la Libye un pays divisé. Ils sont experts en cela. Ce sont des experts à dresser les gens les uns contre les autres et à détruire des nations.

 


Les divisions

( titre ajouté par eva )

 

Ils ont divisé les Arabes qui devraient n’être qu’une seule nation.

Ils ont contribué à diviser le peuple de l’Inde.

Ils ont divisé les Slaves du sud dans les Balkans.

Ils ont divisé les peuples de l’Asie du Sud-est.

Ils ont travaillé à diviser l’île de Taiwan de la Chine continentale.

Ils ont œuvré pour que l’Ukraine se batte contre la Russie.

Avec Israël et l’Arabie Saoudite, ils ont divisé politiquement les Palestiniens et les Libanais.

Maintenant les États-Unis et l’UE ont l’intention de diviser davantage les Arabes,

et de créer aussi des divisions dans les pays d’Afrique

et d’Amérique du Sud.

Et ils continuent à diviser les musulmans en les identifiant comme chiites ou sunnites.

Ils continuent aussi à travailler d’arrache-pied pour diviser la Russie, l’Iran et la Chine.


Avant 1951, les États-Unis, la France, l’Italie et la Grande-Bretagne avaient tous des accords entre eux pour diviser la Libye en sphères d’influence et ils ont même tenté d’empêcher la Libye de devenir un pays uni et indépendant. Ces puissances impérialistes voulaient à l’origine que la Libye soit divisée en trois territoires distincts. Le peuple libyen s’y est farouchement opposé.


Washington, Londres et Paris ont même eu des entretiens avec l’URSS sur l’établissement de trois mandats des Nations Unies appelés tutelles en Libye. Un de ces mandats aurait concerné la Cyrénaïque sous contrôle britannique, un autre le Fezzan sous contrôle français et le dernier la Tripolitaine sous contrôle italien. Les États-Unis supervisant l’ensemble. Mais les Soviétiques avaient des idées différentes sur la question et désiraient le mandat en Tripolitaine ou le partager avec l’Italie. Finalement, aucun accord ne put être conclu et la Libye devint indépendante après un débat à l’ONU.

 

suite ici :

Nouvel Ordre Mondial: Diviser pour régner (1) - La balkanisation de la Libye

Dessin de Laplote :

 

 http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20110531171123/

http://rustyjames.canalblog.com/archives/infos_geopolitiques_2011/index.html

.

Une terrible crise alimentaire mondiale se profile

http://www.alterinfo.net/Une-terrible-crise-alimentaire-mondiale-se-profile_a59529.html


 

 

Je termine avec 2 extraits de ces articles :

 

Alerte  ! Toujours moins de souveraineté !

 

Jean-Claude-Trichet.jpg 

Voici ce qu’a déclaré Jean-claude Trichet, patron de la banque centrale européenne : «Serait-ce trop audacieux, d’un point de vue économique, avec un marché unique, une monnaie unique et une banque centrale unique, d’envisager un ministre des Finances de l’Union?» Il propose donc un ministre des finances commun à tous les « états » de l’UE qui remplacerait ceux des différents pays membres.  Il est évident que le peu de marge de manœuvre qu’ont les nations européennes pour mener leur propre politique économique agace les mondialistes.

 

Le rôle de ce « super » ministre serait de s’ingérer directement dans la vie politique des états : «l’interdépendance signifie que les pays n’ont pas de facto une autorité interne complète. Ils peuvent expérimenter des crises causées entièrement par les politiques économiques néfastes menées par d’autres». Les domaines d’intervention du ministère des finances supra-national seraient dans un premier temps :«Premièrement, la surveillance des politiques budgétaires et de compétitivité. Deuxièmement, toutes les responsabilités typiques du pouvoir exécutif en ce qui concerne le secteur financier intégré de l’UE. Troisièmement, la représentation de la confédération européenne auprès des institutions financières internationales».

 

 

 

 

 

 

La Ripoublique et ses contre-valeurs...

 

L’important est que les « valeurs de la République » (franc-maçonne) soient bien inscrites dans leur esprit : immoralité, démocratisme, shoatisme, ethno-masochisme, mondialisme, individualisme, négation de tout ordre naturel, etc.

 

 

 

 

Pour conclure, je citerai Gandhi :

 

" Vous participez à un système machiavélique de manière plus efficace en obéissant à ses ordres et décrets. Un tel système ne mérite pas l’allégeance. L’obéissance à ce système équivaut à s’associer à l’enfer. Une personne intelligente résistera de toute son âme à ce système diabolique. " GANDHI

 

 

http://img.over-blog.com/300x374/2/47/37/13/Dossier-9---4-10/D10--juin-10/resister-NOM.jpg

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commentaires

E
<br /> <br /> Merci de ta fidélité, Willy ! Je t'embrasse eva<br /> <br /> <br /> <br />
E
<br /> <br /> Bonjour Lock<br /> <br /> <br /> je ne suis pas une spécialiste, lis Chronique agora, Liesi...<br /> <br /> <br /> il vaut mieux à mon avis perdre 4 % que (presque ?) tout<br /> <br /> <br /> Pour moi un seul placement sûr qui est d'ailleurs celui des + nantis : la terre. Même petit bout (de loisirs - cultivable, avec une caravane dessus à temps partiel)<br /> <br /> <br /> bonne soirée Laury, eva<br /> <br /> <br /> <br />
E
<br /> <br /> Tu as bien senti, Laury, que ça change de l'info officielle, bien à toi eva<br /> <br /> <br /> <br />
W
<br /> <br /> Merci chère Eva et excellent week-end !<br /> <br /> <br /> Bisous.<br /> <br /> <br /> <br />
L
<br /> <br /> Nos clients qui investissent dans des assurances vie, vont tout perdre et on ne<br /> peut rien faire". Etc...!<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Je crois que je vais retirer l'intégralité de l'argent que j'ai dans mon assurance vie.<br /> <br /> <br /> Mais ça m'enbête au fond, car j'ai investit dans des obligations qui ont perdus 4% de leur valeurs, si je retire maintenant, je perdrais 4% de ce que j'ai investi.<br /> Mais si je les laisse, je risque de perdre toute mon assurance vie à cause de cette crise.<br /> <br /> <br /> Alors, que faire ?  Dois-je retiré, OUI ou NON ?<br /> <br /> <br /> <br />

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  • : Eva à 60 ans.Blog d'une journaliste-écrivain.Analyse des faits marquants de l'Actualité,non-alignée,originale,prophétique,irrévérencieuse. Buts: Alerter sur les menaces,interpeller,dénoncer l'intolérable,inciter à résister. Alternance articles Eva et liens infos non officielles. Ici,pensée et parole libres. Blog dénaturé par over-blog le 1.2.15,il sera transféré sur Eklablog
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