"Il y a deux histoires: l'histoire officielle, menteuse, puis l'histoire secrète, où se trouvent les véritables causes des évènements."
Honoré de Balzac (1799-1850), écrivain français
Histoire officielle, histoire secrète, grande Histoire,
par eva R-sistons à l'intolérable
Mes amis,
Je reçois un texte de Gilles Bonafi, avec cette citation d'H. de Balzac que je mets volontairement en valeur.
L'Histoire officielle, c'est par exemple la "glorieuse" (présentée comme telle, en tous cas, par les Médias vendus) libération de la Yougoslavie par les ennemis des divisions ethniques, soi-disant; la vraie histoire, c'est une opération menée par l'Empire, en mettant en scène un faux massacre ethnique, prétendue cause de la peu glorieuse désintégration d'une région slave, amie de la Russie, homogène, permettant à des peuples de vivre dans l'harmonie, et attachée aux valeurs communistes de solidarité. Les peuples ont gobé. Et au prix de massacres eux réellement effroyables, abondamment relayés par la presse aux ordres, la région s'est disloquée, morcellée (quel cadeau pour ceux qui rêvent de détruire les nations, les sentiments nationalistes, patriotiques, et de parcelliser les régions pour les affaiblir, de dresser les individus les uns contre les autres, bref de diviser pour régner), et au final, adieu l'influence russe, le communisme, l'unité, la solidarité, la fraternité....
L'Empire anglo-saxon a mis au pas la Région, et sous sa botte totalitaire; Aujourd'hui, l'OTAN domine le Kosovo, avec sa plus grande base aux portes de la Russie, pour mieux l'encercler et ensuite la broyer, et puis les citoyens se sont divisés, heurtés, des massacres eux bien réels ont eu lieu, enfin les Tsiganes ont été encore un peu plus persécutés. C'est le résultat d'une politique délibérée, impériale, contre les peuples, les nations, la paix, le socialisme. La suite, on la connaît. Avec un Kouchner, "l'humanitaire" assidu aux réunions du Bilderberg, pour orchestrer le remodelage de la Région au profit des grands conglomérats industriels et sur les larmes des peuples comme au mépris de la Géographie et de l'Histoire; et cela au coeur de l'Europe ayant promis la paix aux peuples ! Une imposture de plus. Aujourd'hui, la Région est démantelée, affaiblie, occupée par les tenants d'un Nouvel Ordre Monstrueux, aux couleurs anglo-saxonnes odieusement sataniques.
Occupation ! La France aussi est occupée. Le premier acte accompli par Sarkozy, en coulisses, aura été de réaménager les Services Secrets, ceux-là même qui sont actuellement à l'honneur avec l'affaire Reiss où nous avons pu entrevoir un pan de la vérité dissimulée aux citoyens. Et la DGSE est maintenant aux ordres. De la même façon, toutes les chancelleries, tous les Corps d'Etat, toutes les Grandes Administrations ont vu leurs effectifs modifiés . Grand nettoyage non ethnique, celui-là, mais partisan, et avilissant. Finie l'indépendance de la France, des individus au service d'une certaine idée de la France, toute gaullienne, il n'y a plus que des rampants, des valets, des courtisans, des robots, des reptiles, zélés relais d'un Pouvoir occulte abject qui ne dit pas son nom, mais qui broie toutes les valeurs républicaines et la démocratie. La France est occupée, et les Français ne le savent pas. L'ennemi n'est pas intérieur, comme on voudrait le faire croire, mais extérieur. La France est couchée, avilie, en voie d'anéantissement complet, même sa Presse est colonisée, réduite en esclavage, ravalant notre pays au 43e peu glorieux rang en matière d'indépendance. L'ignominie est aux commandes.
Sarkozy n'est pas seulement ordinaire, vulgaire, bling-bling, un "parvenu" ridiculisé en dehors de la France, et même croqué à cause de son état mental dans des ouvrages par une dizaine de spécialistes (personne ne parle jamais de ces livres, ni du très courageux "Sarkozy, Israël et les Juifs", d'ailleurs - belle démocratie !), il est aussi un adorateur de Mâmon, du Veau d'Or, de fausses valeurs, et loin d'aimer la France et de la servir, il la vend, l'offre, la désintègre au service de l'Etranger désireux de voir notre pays avili, couché, aux ordres, réduit à une coquille vide, nettoyé de son esprit frondeur, de son indépendance, de sa dignité, de sa grandeur.
Histoire secrète, histoire officielle. La grande Histoire, elle, est faite par ceux qui sont courageux, libres, motivés, généreux, idéalistes. Debouts !
Gilles Bonafi, un blogueur comme on les aime, de talent, non aligné, attaché aux valeurs essentielles, nous livre une page sur l'histoire secrète de la Seconde Guerre Mondiale. Elle met aux prises un Vatican plus attaché à son rôle temporel que spirituel (quelle trahison du christianisme et du catholicisme en particulier), et les dignitaires du nazisme, ces individus qui n'aimaient pas leur prochain et le meurtrissaient. On savait que Rome avait couvert crimes et criminels, bien peu chrétiennement, voici un échantillon de ses activités. Peu glorieuses elles aussi.
A nous, citoyens, d'écrire la grande Histoire, de nous libérer de l'infâme - et de tous les infâmes. Et ils sont nombreux, aujourd'hui ! Alerte, l'intolérable est à nos portes. Et au coeur du pouvoir, même...
Eva R-sistons

La Commission des Crimes de Guerre de Yougoslavie, en 1946, aboutit à l'accusation d'une demi-douzaine de prêtres oustachis, parmi lesquels l'ancien franciscain Miroslav Filipovic-Majstorovic, commandant du camp de concentration de Jasenovac.
Ante Pavelic le Führer Croate chef des Oustachis surnommé « le boucher de dieu » et responsable de la mort de 840 000 êtres humains (juifs, orthodoxes, tsiganes, communistes) se cacha au Vatican après la guerre, déguisé en prêtre catholique.
Un rapport déclassifié (12 septembre 1947) du Counter Intelligence Corps, le CIC, les services secrets de l'armée américaine à Rome, prouve aujourd'hui qu'Ante Pavelic était caché par l'Eglise.
Le Vatican le fit passer ensuite en secret de Rome à Buenos Aires, vers le régime fasciste de Peron. Lors du décès de Pavelic, en décembre 1959, le pape Jean XXIII prononça personnellement la bénédiction à son égard.
Des filières d'exfiltrations appelées « Ratline » furent en effet mises en place par le franciscain Krunoslav Draganovic qui était un membre du mouvement oustachi afin de protéger les criminels de guerres nazis ou fascistes en se servant de l'or amassé par Ante Pavelic.
L'agent Emerson Bigelow de l'OSS fit un rapport le 21 octobre 1946 concernant un chargement d'or d'une valeur de 200 millions de francs suisses venant de la Banque Nationale de Croatie qui devait servir à financer ces filières. Source : U.S. News and World Report, A Vow of silence p 36, 30 mars 1998.
En plus de Pavelic, Adolf Eichman, Klauss Barbie, Josef Mengele, Franz Stangl (commandant des camps d'extermination de Sobibor et de Treblinka) pour les plus connus bénéficièrent de la filière « Ratline ».
La plupart des criminels nazis et oustachis furent exfiltrés vers l'Argentine où ils mirent en place les escadrons de la mort qui, avec l'aide de la CIA, furent chargés d'assassiner les activistes communistes.
Par exemple, Stangl a avoué que c'est l'évêque Mgr. Alois Hudal lui-même qui lui a fourni un logement, de l'argent et les papiers qui lui permettront ensuite de partir en Syrie (source : Gitta Sereny, « Au fond des ténèbres », Paris, Denoël pp. 311-314).
La plupart des catholiques ne sont pas au courant de cela et dans leur grande majorité, ils étaient contre le racisme et les massacres. En effet, le 14 mars 1937, Pie XI publia l'encyclique «Mit brennender Sorge», condamnant le paganisme et le racisme qui révulsa Hitler et une partie de la haute hiérarchie catholique.
Le point culminant du conflit entre Pie XI, Hitler et Mussolini fut atteint en février 1939, lorsqu'à l'occasion du dixième anniversaire des accords du Latran, le pape convoqua tous les évêques d'Italie (le 11 février exactement) pour leur lire un discours dénonçant les guerres à venir et les persécutions raciales de l'Allemagne et de l'Italie. On l'assassina le 10 février, la veille de son discours.
D'après le cardinal Eugène Tisserant, ce sont Hitler et Mussolini qui firent assassiner Pie XI. Eugène Tisserant était un anti-nazi notoire dont les contacts fréquents avec le directeur de la Surveillance du territoire (DST), Roger Wybot, étaient connues et qui, de plus, était protégé par un agent du contre-espionnage français, Jacques de Pressac.
Roger Faligot, Jean Guisnel, Rémi Kauffer, Renaud Lecadre, dans « Histoire secrète de la V e République » (Paris, La Découverte, 2006), aux pages 603-607 écrivent:
"Le cardinal (Tisserant) avait été affecté en 1917 comme lieutenant au 4e bureau de l'état-major du détachement français de Palestine. Sa connaissance des langues orientales et de la région, où il avait étudié dix ans plus tôt, le fit passer au 2e bureau et à la tête d'un peloton de spahis."
Ancien officier des services secrets français et cardinal, il savait donc de quoi il parlait.
Source : http://www.cf2r.org/fr/notes-historiques/penetrations-du-bloc-de-est-au-vatican.php
De plus, Tisserant avait été nommé en 1957 gardien des archives secrètes du Vatican et préfet de la bibliothèque Vaticane. Il était donc particulièrement informé et connaissait la plupart des secrets de l'église.
Il déclara à la presse française en janvier que Pie XI avait été empoisonné par le médecin du Vatican qui était aussi le père de Clara Petacci, la maîtresse de Mussolini. Etrangement, Eugène Tisserant est mort quelques semaines plus tard, le 21 février 1972 exactement.
Dans leur livre « Le roman du Vatican secret » Baudouin Bollaert, Bruno Bartoloni confirment cette affirmation. Ancien rédacteur en chef au Figaro, maître de conférences à Sciences Po et à Paris II, Baudouin Bollaert a vécu six années à Rome comme correspondant permanent du Figaro, d'Europe 1 et de La Libre Belgique. Bruno Bartoloni a été correspondant de l'Agence France-Presse au Vatican pendant de longues années. Aujourd'hui, ce journaliste italien de renom suit l'actualité du Saint-Siège pour le Corriere della Sera et Paris Match.
Paris Match publia les révélations posthumes de Tisserant dans son numéro 1201 Du 13/05/1972.
Source : http://gillesbonafi.skyrock.com/2862553650-Pie-XI-a-ete-assassine.html
Pie XII
Eugenio Pacelli, devenu Pie XII, le 2 mars 1939 succéda à Pie XI, or, son parcours n'est pas anodin.
Il a en effet été nommé nonce apostolique en Bavière en 1917 (évêque la même année). C'est lui qui était chargé de la négociation de tous les concordats avec l'église (Lettonie, Bavière, Pologne, Roumanie, Allemagne).
Il existe un point que personne ne soulève. Le concordat signé entre l'Eglise et l'Allemagne sous Hitler permet en effet d'obliger chaque citoyen allemand à payer un impôt versé à l'Eglise (protestante et catholique), le grand retour de la dîme. D'ailleurs, le 26 mars 1957 la cour constitutionnelle allemande a reconnu la validité du concordat (signé avec Hitler) et les allemands paient aujourd'hui encore une dîme évaluée à plus de 8 milliards d'euros par an.
On le voit ici, Pie XII a passé la majeure partie de son temps en Allemagne ce que confirme l'extrait du rapport sur la conversation entre von Ribbentrop, ministre des Affaires étrangères du Reich nazi, et Pie XII du 11 mars 1940:
« Après que le ministre des Affaires étrangères du Reich lui eut transmis les hommages du Führer, le pape ouvrit l'entretien en rappelant ses dix-sept années d'activité en Allemagne. Il dit que ces années passées dans l'orbite de la culture allemande correspondaient certainement à la période la plus agréable de sa vie, et que le gouvernement du Reich pouvait être assuré que son cœur battait, et battrait toujours pour l'Allemagne ».
( Source : Archives secrètes de la Wilhelmstrasse, RAM. 10 A).
Il fut donc directement impliqué avec von Papen dans la politique du Vatican qui a favorisé l'accession au pouvoir des nazis et surtout, c'est lui qui a donné l'ordre à Ludwig Kaas (un prélat catholique sous sa responsabilité directe), le dirigeant du Zentrum, de voter en faveur de Hitler en 1933.
Ludwig Kaas entretenait des relations de longues dates avec Pacelli lorsqu'il était nonce du pape en Bavière et en Allemagne. Kaas était devenu son conseiller car il était spécialiste des relations entre l'état et l'église catholique et professeur de droit canon. Il accompagnait souvent Pacelli dans ses voyages à Rome. Celui-ci lui fit d'ailleurs obtenir un poste à Rome de notaire papal le 20 mars 1934, et, le 20 août 1936, de secrétaire de la Congrégation de la Fabrique de S. Pierre (chargé de l'entretien et de l'administration de la Basilique), une récompense pour ses bons et loyaux services.
Le mystérieux Von Papen
Von Papen (1879 – 1969) fut vice-chancelier de Hitler du 30 janvier 1933 au 7 août 1934, puis ambassadeur, d'abord à Vienne (1934) ensuite à Ankara jusqu'en 1944.
Il fut le seul acquitté au tribunal de Nuremberg puis condamné par les tribunaux de dénazification. Face au tollé soulevé il purgera cinq ans dans une prison dorée avant de terminer chambellan du pape Jean XXIII en 1959, lui aussi récompensé pour bons et loyaux services. Il a d'ailleurs déclaré : « Le IIIème Reich est la première puissance du monde, non seulement à reconnaître, mais à traduire dans la pratique les hauts principes de la papauté. » (Robert d'Harcourt, résistant catholique, de l'Académie Française, Franz von Papen l'homme à tout faire...,journal L'Aube du 3 octobre 1946)
Joachim C. Fest, historien spécialiste du troisième Reich et mondialement reconnu, dans son livre « Les maîtres du IIIe Reich » publié en 1965, reconnaîtra le rôle prépondérant de von Papen dans l'avènement politique du nazisme.
Von Papen était en effet l'éminence grise du Zentrum avant d'en être exclu fin 1932. La Deutsche Zentrumspartei « Centre » était un parti politique catholique allemand, fondé en 1870 et dissout le 5 juillet 1933. En 1933, le dirigeant du Zentrum était un prélat catholique Ludwig Kaas qui, avec l'appui de von Papen fit voter son parti en faveur d'Hitler et lui accorda donc les pleins pouvoirs en lui permettant d'atteindre la majorité des 2/3 au Reichstag, majorité obtenue par l'arrestation avant le vote des députés communistes.
Bien sûr, le Zentrum n'émit aucune protestation.
La loi du 24 mars 1933 visant au « soulagement de la détresse du peuple et de l'État » (Gesetz zur Behebung der Not von Volk und Reich vom 24. März 1933), que certains ont nommé loi des pleins pouvoirs, était une loi allemande adoptée le 24 mars 1933 qui donna à Adolf Hitler le droit légal de gouverner par décret, c'est-à-dire de promulguer des lois sans en référer au Reichstag.
Le vote de cette loi eut lieu juste après l'attentat qu'Hitler avait provoqué en brûlant le Reichstag. Afin de modifier la constitution, il fallait en effet une majorité des 2/3 des voix soit 430 voix or, il manquait à Hitler 90 voix. Les deux partis catholiques, le Zentrum et le BVP (Le Bayerische Volkspartei (BVP - Parti populaire bavarois) fournirent 91 votes.
Tout le monde savait à l'époque que cette loi conduirait à la dictature et il est intéressant de constater que Hitler a pris le pouvoir de façon « démocratique ».
C'est encore Eugénio Pacelli, futur Pie XII qui ordonna au Zentrum de s'auto-dissoudre, laissant seul le NSDAP, le parti nazi. Sa responsabilité était totale.
William L. Shirer, dans livre « Le IIIe Reich — Des origines à la chute », écrivit que von Papen a été « plus responsable de l'avènement d'Hitler que tout autre Allemand » or, il ne faut pas perdre de vue qu'il était lui aussi sous les ordres directs du futur Pie XII.
Après le concordat, von Papen ira plus loin. Il comptait en effet tout faire pour se débarrasser des SA, la Sturmabteilung (Section d'assaut) l'organisation paramilitaire du NSDAP (le parti nazi) qui prônait une révolution sociale et effrayait la droite conservatrice fidèle à l'église.
Le soutien de l'église et des grandes multinationales avait pour condition l'abandon d'une politique économique et sociale que certains jugeaient communiste.
Le 17 juin 1934, il prononça donc le fameux discours à l'université de Marbourg qui signa l'arrêt de mort des SA.
Il les accusa donc d'utiliser des « méthodes terroristes dans le domaine de la justice » et surtout affirma que « l'Allemagne ne saurait vivre dans un état de troubles perpétuels, dont nul ne voit la fin ». Savamment orchestré et relayé par les médias (le Frankfurter Zeitung) ce qui était étrange dans un pays hyper contrôlé, le discours fit l'effet d'une bombe dans l'opinion.
Hitler ordonna donc le massacre, la nuit des longs couteaux, qui eut lieu du 29 juin au 2 juillet 1934.
Ernst Röhm avec une centaine d'officiers de la Sturmabteilung furent sauvagement assassinés et remplacés par les SS. Un millier d'arrestation brisa net la SA. Hitler en profita pour faire assassiner Jung, von Bose et Klausener qui avaient participé au discours de Marbourg.
On le voit ici, c'est l'intervention directe de von Papen qui a tout déterminé et d'ailleurs, Hitler lui en voudra énormément. Il n'avait pas supporté que l'on décide de ce qu'il fallait qu'il fasse, des orientations de son parti, mais il n'avait pas le choix, des forces supérieures étaient en jeu. Ainsi, le 7 août 1934, il obligea von Papen à démissionner. Pourtant, il restera un fidèle soutien de la politique allemande et Winston Churchill, dans son ouvrage « L'orage approche », raconta que le but d'Hitler en nommant von Papen ambassadeur en Autriche était de « miner la position des personnalités marquantes de la politique autrichienne, ou les gagner à la cause allemande ».
D'ailleurs, après l'Anschluss, l'annexion de l'Autriche par l'Allemagne nazie en 1938 il obtiendra du cardinal Innitzer qu'il ordonne que toutes les églises d'Autriche prient pour Adolf Hitler à chacun de ses anniversaires et arborent le drapeau à croix gammée.
Le Vatican désirait en effet briser l'Hégémonie de la Prusse protestante en faisant entrer l'Autriche catholique au sein du Reich.
Le Mercure de France du 15 janvier 1934 à la page 262 explique par ailleurs :
« Au Vatican, on avait, pendant longtemps, pensé, en effet, à changer le centre de gravité du Reich grâce à l'Anschluss : la compagnie de Jésus travailla ouvertement dans ce sens, surtout en Autriche. Or, l'on sait à quel point Pie XI compte sur elle pour faire triompher ce qu'il appelle « sa politique ».
Annie Lacroix-Riz, professeur d'histoire contemporaine à l'université Paris VII publia dans Golias, n° 63, novembre-décembre 1998, p. 52-59 une étude dont une partie est intitulée « La politique Vaticane jusqu'aux années trente » et dont voici un extrait essentiel pour comprendre:
« De cette politique à l'Est, la dimension anti-serbe - les Serbes apparaissant comme les
principaux ennemis de l'expansion autrichienne - s'imposa avec une continuité totale, sans négliger un seul pontificat, à commencer par celui de Léon XIII, ouvert l'année même de la naissance définitive de la Serbie au congrès de Berlin de 1878...
Vienne s'appuya ouvertement dans sa mission anti-serbe sur la Curie et sur ses prélats, en tête desquels figurait Stadler,évêque croate de Sarajevo depuis les années 1890, chef de fait des jésuites voués à la catholicisation des masses, et décrit en ces termes par le consul de France à Sarajevo: « il estdevenu en peu de temps un des gros capitalistes de Bosnie-Herzégovine comme il en est aussi un des politiciens les plus actifs. Ses seules préoccupations semblent être de thésauriser et d'autrichianiser ». « Très allemand d'origine et de sentiments », d'une extrême violence, cette brute était un spécialiste de la conversion forcée, dont les épisodes répétés étaient rapportés avec indignation par les diplomates français: les musulmans, population de même souche que tous les Slaves de cet ensemble balkanique, mais constituée des héritiers des propriétaires fonciers qui avaient emprunté à l'ère de la conquête ottomane la religion du vainqueur, et que Vienne s'efforçait de séduire contre les Serbes, se plaignaient à cet égard du prélat presque autant que les Serbes orthodoxes.
La ligne Stadler, fixée par Vienne et le Vatican, incarnait la ligne d'expansion du germanisme et du catholicisme contre le slavisme et l'orthodoxie adoptée dans la perspective du règlement de comptes imminent. Le régime impérial, après avoir transformé en arsenal, croatisé et catholicisé en masse, de gré ou de force, la Bosnie-Herzégovine qu'elle dirigeait de fait depuis le congrès de Berlin de 1878,
l'annexa enfin en octobre 1908.»
Surtout, c'est Eugénio Pacelli qui a oeuvré en faveur d'une politique de conversion dans les pays orthodoxes, l'axe central de la politique de l'église dans les pays de l'Est.
Outre les soutiens de l'église, Hitler pouvait aussi compter sur ceux de la grande finance et des grandes multinationales. Ford, IBM, IG Farben, finançaient ainsi à tour de bras le régime d'Hitler. Le grand père de Georges Bush fut lui-même impliqué et tous désiraient un pouvoir fort de type fasciste permettant la fusion de l'église, des entreprises et de l'état.
Hitler avait d'ailleurs été consacré « homme de l'année » par le magazine Time en janvier 1939.
http://erichunt.net/wp-content/uploads/2009/09/timejanuary1939.jpg
Nous le voyons ici, l'histoire officielle doit être réécrite. La seconde guerre mondiale (l'œuvre au noir fasciste et nazie) devrait être analysée sous l'angle d'une guerre qui a surtout exterminé les athées communistes, les juifs et les orthodoxes, une guerre de religion, une croisade, ce que personne (ou presque) ne fait.
"Il y a deux histoires: l'histoire officielle, menteuse, puis l'histoire secrète, où se trouvent les véritables causes des évènements." Honoré de Balzac (1799-1850), écrivain français

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Jean - Brice
Modification de la loi relative à l'election
du président de la république au suffrage universel
je vous invite à lire attentivement ce qui suit:
Savez - vous, chers concitoyens, qu’il existe une loi qui empêche le Peuple de choisir LIBREMENT ses candidats à l’élection présidentielle.
RÉSULTAT : depuis trente ans, la France a les mêmes dirigeants dont l’incompétence n’a d’égale que l’arrogance.
D’où la coupure totale des « élites » avec le Peuple qui s’est traduite dans les votes du 21 Avril 2002 et du 29 Mai 2005.
Le Livre "L'IMAGINATION ET LE POUVOIR" a été terminé début 1986 : néanmoins, sa conception est bien antérieure à cette date. A la fin des années 70, l'auteur était inquiet de la dérive politique du pouvoir en place qui comme on le verra, sous couvert de continuité avec la politique gaulliste amenait petit à petit l'opinion à adhérer à une stratégie radicalement différente et dont les résultats concrets étaient une augmentation continuelle du chômage et une aggravation des inégalités
En Janvier 2007, Jean-Brice interpelle JF Kahn
sur la réintroduction de l'étalon Or
... Cette politique est relativement simple à énoncer, mais beaucoup plus difficile à appliquer. Je me résume : elle est toute entière contenue dans la Conférence de Presse du Général DE GAULLE, le 4 Février 1965 et des articles concomitants du « Monde » de Jacques RUEFF. Elle consiste à réintroduire l’Étalon/or dans le Système Monétaire International : loin d’être une utopie, ce système a fonctionné de 1447, première conférence de Gênes à 1922, 2èmè conférence de Gênes, et n’a pas été remis en cause pendant cette période ...
Les guerres de l’or : Conflits militaires, or et crises de change (extrait du site Horizons et débats)
Nous allons très certainement vers une situation révolutionnaire !!!
La lueur d'espoir ne peut provenir que du peuple français dans son ensemble.
- Il a rejeté massivement Le Pen le 5 mai 2002 et cela d’autant plus efficacement que la clientèle de ce dernier fuit chez Bové.
- Il a soutenu totalement M. Chirac dans son opposition à la guerre en Irak et par là a clairement désigné nos adversaires en refusant l’Empire.

Le livre d’Élisabeth Weissman fait partie de ces ouvrages dont on redoute de poursuivre la lecture : chaque page annonce une horreur, une bonne raison de désespérer, même si, de ci delà, l’auteur nous concède une ou deux flammèches d’espoir.
Un livre de plus qui nous explique magistralement, avec rigueur et humanité, pourquoi et comment la classe dominante française met à mort l’État, les valeurs républicaines, la citoyenneté, la solidarité, la société au sens classique du terme.
Préfacé par ce grand résistant que fut, et demeure, Stéphane Hessel, La Désobéissance éthique nous introduit d’emblée dans le drame que connaissent trop de travailleurs français aujourd’hui : le suicide d’hommes et de femmes qui retournent contre eux la violence de leur existence en entreprise ou en usine. L’auteur rappelle la réaction spontanée des autorités face à ces actes, comme le mépris de Didier Lombard, P-DG de France Télécom, évoquant une « vague suicidaire ». Il ne leur suffit pas d’éviscérer les services publics : il leur faut stigmatiser ceux qu’ils broient.
Depuis, en gros, Chirac/Raffarin, les dirigeants français ont décidé d’appliquer au public les méthodes du privé. Comme le court terme et les gains de productivité sont privilégiés par rapport à l’intérêt général et aux investissements à long terme, mieux vaut amputer le pied d’un diabétique que de lui prodiguer des soins plus coûteux mais qui lui laisseront ses deux pieds.
Une seule solution : la résistance, dont la désobéissance est un des aspects. Weissman revient longuement sur l’action d’Alain Refalo et des collègues qui, à sa suite, ont refusé de ficher les élèves et d’accroître le fossé entre les gosses de riches et les gosses de pauvres. À l’inverse de Sarkozy qui est dans la « haine de l’autre », Refalo et les “désobéisseurs” (Weissman explique la différence entre les mots “ désobéisseur ” et “ désobéissant ”) sont dans la fraternité, la solidarité et le respect, simplement parce qu’ils estiment que les enfants doivent être protégés et non pas jetés dans la concurrence dès l’âge de trois ans.
suite ici :
http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=12948
Suite guerre déclarée aux blogueurs,
à la liberté, à la démocratie,
(au profit d'intérêts particuliers, partisans,
communautaristes même,
et non universels de paix et de justice,
comme sur ce blog)
(rappel: Article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme:"Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre... les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit" ) voir (http://r-sistons.over-blog.com/article-clotilde-reiss-une-ingenue-en-iran-dossier-iran-les-blogueurs-sont-ils-menaces-50623494.html , FDII)
Reçu cette plainte,
- email : flocompta@voila.fr
- desciption : http://r-sistons.over-blog.com/10-categorie-10463106.html Tout ce blog est antisémite et faux historiquement. c'est de la propagande qui amènera à la haine contre Israël et les Juifs.
- raisons : Selon la Loi française vous devez supprimer les pages qui sont à caractères racistes et antisémites. Nous avons déjà signalé ce blog à la FDII qui prendra contact avec vous. Merci d'avance pour votre intervention car ce blog n'est pas digne d'Over-blog ! Salutations
Censurez, censurez, il en restera toujours quelque chose
http://www.alterinfo.net/Censurez-censurez-il-en-restera-toujours-quelque-chose_a46382.html
Dupont-Lajoie: La dernière croisade
Un juif a porté plainte en déclarant avoir été molesté par une avocate et sa fille à cause de la kippa et du châle de prière qu’il portait dans un magasin de chaussures.
L’avocate conteste cette version et a porté plainte pour la gifle qu’elle aurait reçue.
Médiatisée par le BNVCA, l’affaire a été condamnée avec le plus grande fermeté par la LICRA, le CRIF et l’UEJF. Une affaire qualifiée d’antisémite.
Le ministre de l’intérieur a décidé de recevoir les dirigeants de la communauté juive afin de les rassurer et leur promettre de nouvelles mesures contre un antisémitisme qui gagne la France comme une gangrène.
- STOOOOP ! Reprenez tout, élève blogueur, vous vous êtes trompé ! Vous n’avez pas les bonnes infos.
- Comment ça ?
- Ce n’est pas un juif qui s’est fait molesté mais une femme musulmane voilée d’un niqab. On l’a traitée de « Belphégor » et on lui a dit : « Rentre dans ton pays ! ».
- Certains diront que c’est nul parce qu’en fait, c’est elle la victime. Si on la moleste comment rejoindra-t-elle les rangs de « Ni pute ni soumise » ?
- Ah ! Bon ça va alors ! De toutes façons, il n’y avait rien d’antisémite là-dedans…
- De toutes façons, elle va l’avoir dans l’os cette femme voilée avec la loi qui interdira la burqa. Une loi qui pourrait s’intituler : « Rentre chez toi avec ta burqa et n’en sors pas ! ».
Il y a 50 ans, aux Etats-Unis, on disait que ceux qui étaient noirs ne méritaient pas d’être américains, qu’ils étaient dangereux pour la sécurité et l’identité américaine alors on leur interdisait toutes sortes de choses. Parfois, certains les molestaient, mitraillaient leurs lieux de culte, souillaient de slogans injurieux les murs de leurs magasins. On molestait et comme c’était admis, on laissait passer quelques lynchages…
En France, dans les années 70, des ratonnades avaient lieu contre les arabes. Les « Dupont-la-joie » descendaient à dix contre un et ça cognait dur. Parfois, il y avait des morts. Une version moderne des lynchages en quelque sorte.
La burqa et le délire politico-juridique qu’elle entraîne, ne sont que la partie émergée d’un iceberg islamophobe. L’islamophobie et ses différentes déclinaisons sont très tendances aujourd’hui. Dupont-La-Joie a de quoi s’habiller pour exprimer ses profondes pensées.
Il y a par exemple, cet ensemble anticommunautariste brodé de laïcité avec son écharpe républicaine. Il se porte avec un béret basque. Très seyant dans les milieux intellectuels parisiens. Léger, il s’adapte à tous les temps, tous les partis, tous les tons. Il sera parfait pour discourir de la menace islamique pour la démocratie française ou pour participer à une émission avec Alain Finkielkraut et Pascal Bruckner.
Retenez la version féministe de cet ensemble avec sa jupe-culotte à revers de dentelle et le bonnet phrygien en éponge galvanisée.
Vos voulez affirmer vos valeurs sans fioriture. Vous apprécierez cette redingote bleu blanc rouge en laine de Saint-Cloud sur débardeur et pantalon moulant couleur kaki en cuir d’agneau non hallal aux clous estampillés « algérie française ». A porter avec une casquette kaki façon treillis de camouflage dans le djebel. Effet garanti dans les boucheries Hallal !
Le fin du fin nous vient des milieux chrétiens intégristes, c’est la soutane médiévale blanche à croix rouge et capuche façon templier. A porter avec une cagoule en cote de maille qui tombe délicatement sur les épaules pour en souligner la large carrure. Elle impressionnera toutes les femmes à niqab et leurs maris polygames.
Pour ceux qui veulent garder un tant soit peu de sobriété, il y a le prêt-à-porter. Créé par le styliste Eric Zemmour, ce costume trois pièces se porte sous un imperméable ample en cuir sombre. La veste a des renforts policiers aux épaules et le gilet porte l’inscription « authentiquement français » en lettres bleu blanc rouge. Le génie de Zemour a été de concevoir le pantalon et la veste à partir de modèles très à la mode dans les années 30. Idéal pour briller dans les réunions UMP.
On dit que Marine Le Pen le trouve très agréable à porter.