L’année 2011 s’est achevée. Bilan
Fukushima, un des plus forts séismes de mémoire d’homme, un tsunami dévastateur et une catastrophe nucléaire, qui a affaibli le Japon.
Les vœux 2012 du Boss de la Ripouxblique :
Chers cons-patriotes, chers veaux
Après quatre ans et demi avec un pouvoir absolu j’ai réussi à détruire l’image de la France en participant à des guerres illégales et en soutenant toutes les actions des américains que j’admire tant.
J’ai réussi à ruiner ce pays en ayant un déficit moyen de 5% depuis que j’en suis le Boss et même lorsque j’étais ministre des finances sous Balladur, alors que la gauche n’arrivait à faire qu’une moyenne de déficit de 1,2% par an. Ils sont vraiment minables, on ne joue pas dans la même cour des grands.
D’ailleurs jamais les affaires n’ont été aussi florissantes pour mes amis du Fouquet’s depuis que je suis aux affaires, ce qui montre mes capacités à diriger ce pays.
Lorsque j’étais ministre des finance sous Balladur j’avais réussi à vendre 800 tonnes d’or à son cours le plus bas.
Aujourd’hui j’ai encore fait mieux j’ai donné en gage au FMI les 2400 tonnes d’or qui nous reste et comme le FMI ne recouvrira jamais ses créances auprès des états en faillite, madame Lagourde pourra vendre notre or pour ses besoins.
De Gaulle avait constitué cette cagnote pour protéger la France, j’ai réussi à la faire disparaître sans que les veaux de Français s’en aperçoivent.
Grâce à moi la France devra entrer plus rapidement dans le Nouvel Ordre Mondial et se soumettre aux ordres du FMI.
Ainsi la concurrence avec les autres pays sera mieux équilibrée car nous allons instituer un SMIG mondial, bien sûr aligné sur les pays les plus pauvres, et un temps de travail limité à 16h par jour tous les jours de l’année.
Afin de vous éviter des transports inutiles nous allons obliger les entreprises à avoir des dortoirs pour ses esclaves, pardon pour ses salariés et aussi une boutique alimentaire pour que vous puissiez vous nourrir.
Il y aura tout de même un jour férié le premier mai, fête du travail et fête des Illuminatis et de leur Nouvel Ordre Mondial. Ce jour là les meilleurs éléments pourront rencontrer une personne du sexe opposé pour avoir un descendant si les gènes indiquent qu’on aura une descendance docile et travailleuse.
Pour éviter les charges inutiles les personnes ne pouvant plus travailler auront le choix de vivre sans revenu où de partir dignement avec un complexe médicamenteux euphorisant.
Chers veaux, j’espère que mon bilan calamiteux vous a con-vaincu et que vous allez me reconduire pour un second mandat à vie afin que je vous fasse découvrir l’enfer éternel qui vous fera regretter mon premier mandat de bonheur !
Vive les magouilles, vive ceux qui s’en mettent plein les fouilles pendant que la télé vous endort !
Naboléon le meilleur pour Lucifèr et le pire !
commentaire vu sur
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Par un cheminement dont je ne dévoilerai rien pour protéger mes sources, je suis en mesure de publier ici le texte intrégral des Voeux 2012 de Nicolas Sarkozy dans sa version non expurgée. En caractères gras, ce qui na pas été prononcé lors de l'allocution...
Mes Chers Compatriotes,
L'année 2011 s'achève. Elle aura connu bien des bouleversements.
Depuis le début de la crise, qui en trois ans a conduit à plusieurs reprises l'économie mondiale au bord de l'effondrement, je ne vous ai jamais dissimulé la vérité sur sa gravité, ni sur les conséquences qu'elle pouvait avoir sur l'emploi et sur le pouvoir d'achat, des conséquences évidemment aggravées par l’incurie de ma propre politique socioéconomique.
Cette crise qui sanctionne 30 années de désordres planétaires dans l'économie, le commerce, la finance, la monnaie, cette crise inouïe, sans doute la plus grave depuis la deuxième guerre mondiale, cette crise n'est pas terminée, et elle ne fait qu’amplifier de manière dramatique les conséquences de mes choix calamiteux.
Elle a entraîné dans la tourmente des pays comme la Grèce, l'Irlande, le Portugal, mais également des pays aussi puissants que l'Espagne et même l'Italie.
Dans la tempête, vous avez souffert. Je sais que la vie de beaucoup d'entre vous, déjà éprouvée par deux années difficiles, a été une fois encore durement mise à l'épreuve. Vous finissez l'année plus inquiets pour vous et pour vos enfants, et la politique que j’ai menée ne peut avoir eu qu’un effet encore plus anxiogène sur vous-même et sur vos proches.
Et pourtant il y a des raisons d'espérer. Nous devons, nous pouvons garder confiance dans l'avenir. Car si tant de pays ont connu des difficultés insurmontables, la France a tenu. Elle a résisté, et cela en dépit des multiples erreurs de gouvernance que j’ai commises.
Si elle a tenu, si elle a résisté, si elle a réussi jusqu'à présent, à conjurer le doute qui déclenche la crise de confiance, c'est grâce au courage et au sang-froid dont vous faites preuve depuis 3 ans, c'est grâce à la solidité de nos institutions, c'est grâce à notre protection sociale qui, en dépit des attaques qu’elle a subies de ma part, garantit la solidarité dans l'épreuve, c'est grâce aux réformes que nous avons accomplies ces dernières années, et c’est surtout grâce à la passivité dont vous avez fait preuve alors que mes collaborateurs et moi avons tout fait pour saper vos droits et détruire progressivement les acquis du Conseil National de la Résistance. Je pense notamment à la réforme des retraites et à toutes les mesures visant à diminuer nos dépenses publiques qui ont permis à la France de garder la confiance de ceux qui lui prêtent leur épargne pour financer son économie, et qui ont surtout permis à mes amis du triangle Auteuil-Neuilly-Passy d’augmenter leurs profits.
Il ne s'agit pas de nier les difficultés que nous traversons. Mais dans ces épreuves, la France a su préserver l'essentiel. Je tiens à rendre un hommage particulier à toutes celles et à tous ceux d'entre vous qui, par leur travail, ont contribué au développement de notre économie et à la sauvegarde des intérêts de nos banquiers et de nos grandes fortunes.
Mes chers compatriotes,
Nous devons être courageux, nous devons être lucides.
Ce qui se passe dans le monde, annonce que l'année 2012 sera celle de tous les risques mais aussi de toutes les possibilités pour les oligarchies. De toutes les espérances pour les grands industriels et financiers, si nous savons relever les défis de la destruction assumée des modèles sociaux protecteurs. De tous les dangers pour le patrimoine des possédants, si nous restons immobiles.
Différer les choix parce qu'ils sont difficiles est la pire des options. Quand on décide trop tard, le prix à payer est plus cher. Les souffrances plus grandes, et je me refuse à voir entrer l’inquiétude du lendemain chez mes voisins de la Villa Montmorency.
En 2012, le destin de la France peut une fois encore basculer.
Sortir de la crise, construire un nouveau modèle de croissance des bonus et des profits de la spéculation, faire naître une nouvelle Europe, voilà quelques-uns des défis qui nous attendent. Je veux vous dire ma conviction qu'unis avec nos partenaires européens, nous serons plus forts pour y faire face et consolider ainsi les portefeuilles de mes invités du Fouquet’s, conformément aux garanties que je leur avais données le soir de mon élection.
Mais ces défis, ils s'imposent à nous. Nous ne pouvons ni les refuser, ni les repousser. Nous ne pouvons ignorer ce nouveau monde, faire comme s’il était encore possible de lutter contre le chômage et la précarité, dès lors que l’intérêt des puissants que je sers est contradictoire avec celui des humbles.
Dans cinq mois, nous avons une élection présidentielle. C'est une échéance importante. Le moment venu, vous ferez votre choix. Mais d'ici là, je dois continuer à agir pour mes amis Bouygues, Dassault, Lagardère car l'histoire des décennies à venir s'écrit maintenant et mon enrichissement futur passe par leur enrichissement immédiat.
Avec le Premier ministre, nous réunirons le 18 janvier prochain, les représentants des forces économiques et sociales de notre pays. J'écouterai d’une oreille distraite les propositions de chacun et, avant la fin du mois de janvier, nous prendrons et nous assumerons des décisions importantes pour consolider les intérêts du patronat, car les enjeux sont cruciaux.
La crise est grave, les circonstances sont exceptionnelles, les décisions doivent être à la mesure de cette gravité. C'est un devoir auquel je ne me déroberai pas comme je m’y suis engagé en mai 2007 auprès de mes soutiens ultralibéraux.
Je ne sous-estime pas les conséquences que peuvent avoir sur notre économie les agences de notation et les emballements des marchés financiers, ni non plus nos erreurs passées, en l’occurrence surtout les miennes, mais je le dis pour que chacun l'entende, ce ne sont ni les marchés, ni les agences qui feront la politique de la France mais les ploutocrates des ghettos friqués de l’Ouest parisien dont je suis le valet servile.
Au fond, la seule façon de préserver notre souveraineté, de maîtriser notre destin est de choisir, comme nous l'avons fait jusqu'à présent la voie des réformes structurelles visant à définitivement tuer dans l’œuf les espoir des classes populaires plutôt que celle des réactions à chaud qui ne font qu'ajouter à la confusion et au désordre sans restaurer la confiance des patrons du CAC40 dans la pérennité de leurs énormes profits.
Le problème posé n'est pas celui d'un nouveau train de réduction des dépenses pour l'année qui vient, du moins ne l’es-il pas tant que je ne suis pas réélu. Ce qui devait être fait a été fait par le Gouvernement, et la morosité des Français de plus en plus essorés montre que le Premier ministre et moi avons su pressurer la majorité pour assurer la prospérité de la minorité des grands titulaires de portefeuilles.
Maintenant, il nous faut travailler en priorité pour la croissance des profits industriels et financiers, pour la compétitivité, pour la ré-industrialisation qui seules, nous permettront de créer des emplois sous-payés sur le territoire et du pouvoir d'achat accru pour les entrepreneurs les plus cyniques.
Trois sujets me paraissent dominer les autres.
Nous ne nous en sortirons pas en laissant de côté ceux qui souffrent déjà des conséquences douloureuses d'une crise dont ils ne sont pas responsables, je pense notamment aux traders qui ont vu leurs bonus gravement rabotés. Nous ne bâtirons pas notre compétitivité sur l'exclusion mais sur notre capacité à donner à chacun une place dans la Nation, et notamment dans la Nation de leur lieu de naissance, raison pour laquelle j’ai chargé Guéant d’augmenter massivement les reconduites aux frontières. C'est pourquoi, ceux qui ont perdu leur emploi doivent être l'objet de toute notre attention afin de limiter encore drastiquement leurs indemnités de chômage.
Nous devons changer notre regard sur le chômage, accepter de considérer ceux qui sont touchés pour ce qu’ils sont : des parasites de la société. Faire en sorte que la formation des chômeurs devienne la priorité absolue, afin que chacun puisse se reconstruire un avenir, le plus loin possible du territoire national et des bureaux de Pôle-Emploi. Former et pas seulement indemniser, tel doit être notre but, je pense notamment à former aux techniques de la pêche, de la chasse et de la cueillette pour survivre sans indemnités. Personne ne doit pouvoir s'exonérer de cette obligation ni être exclu de cette possibilité de vie saine au grand air.
Le deuxième sujet est celui du financement de notre protection sociale qui ne peut plus reposer principalement sur le travail, si facilement délocalisable. Il faut alléger la pression sur le travail et faire contribuer financièrement les importations qui font concurrence à nos produits avec de la main d'œuvre à bon marché, et c’est pourquoi je mettrai en place une TVA sociale de plusieurs points qui pénalisera certes le pouvoir d’achat des classes populaires mais allègera les charges de mes amis les patrons. Ce sujet est au cœur de tous les débats depuis des années. J'écouterai les propositions des partenaires sociaux puis, sans en tenir compte comme d’habitude, nous déciderons afin d’augmenter encore les dividendes des actionnaires.
Le troisième sujet, c'est celui des dérèglements de la finance qui vous choquent d'autant plus profondément qu'ils sont largement à l'origine des difficultés actuelles, ce qui d’ailleurs ne laisse pas de m’étonner, moi qui ait pourtant sauvé la planète à plusieurs reprises et éradiqué tous les paradis fiscaux.
Il faut faire participer la finance à la réparation des dégâts qu'elle a provoqués. C'est une question d'efficacité. C'est une question de justice, et vous savez à quel point je suis attaché à cette valeur, d’où mon action pour accélérer l’enquête sur le dossier Karachi. C'est une question de morale, et vous savez à quel point je suis là aussi attaché à cette valeur depuis ma tentative de nomination de mon fils Jean à la tête de l’Epad. La taxe sur les transactions financières doit être mise en œuvre, et je m’engage à tout faire pour que cela puisse se réaliser d’ici à 2050.
Mes chers compatriotes,
Mon devoir est de faire face et de vous protéger de toute tentative de révolte contre moi car, sachez-le, j’utiliserais le cas échéant tous les moyens à ma disposition pour préserver mes intérêts.
Vous pouvez être sûrs que j'assumerai jusqu'au bout et en totalité, les lourdes responsabilités que vous m'avez confiées et que je n'aurai de cesse d'agir au nom de l'intérêt général de tous ceux qui ont commandité mon accession au pouvoir et auxquels je rends régulièrement des comptes par l’intermédiaire du Groupe Bilderberg..
Chacun devra prendre ses responsabilités, c'est pourquoi j'appelle tous les décideurs des entreprises et de l'économie à tout faire pour préserver l'emploi, ou plus prosaïquement pour tenter de le faire croire. J'appelle tous les acteurs des services publics à redoubler de prévenance pour tous ceux qui ont besoin de notre solidarité : traders, banquiers, grands patrons, propriétaires fonciers.
Mes chers compatriotes,
J'ai confiance dans les forces de la France et dans la grande naïveté des Français.
Je suis certain du chemin qu'il nous faut suivre sur la voie de l’ultralibéralisme décomplexé.
A vous, à tous ceux qui vous sont chers, à nos soldats qui risquent leur vie hors de nos frontières pour sauvegarder les intérêts du grand capital, à leurs familles qui vivent dans l'anxiété et à tous ceux qui dans le monde luttent pour la liberté des affaires, j'adresse ce soir tous mes vœux de bonheur pour la nouvelle année.
Bonne année à tous.
Vive la République !
Et vive la France !
par lundi 2 janvier 2012
http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/les-voeux-du-president-version-non-107265
http://www.syti.net/blog/Images/Sarkozy_SalutNazi.jpg
L’année 2011 s’est achevée. Bilan
Fukushima, un des plus forts séismes de mémoire d’homme, un tsunami dévastateur et une catastrophe nucléaire, qui a affaibli le Japon.
Certaines personnes estiment que la FEMA est en fait le véritable gouvernement secret des Etats- Unis: ce n’est pas un corps élu, elle n’est pas tenu d’informer le public, et elle dispose d’un budget secret et discrétionnaire de milliards de dollars. Cette organisation gouvernementale a plus de pouvoir que le Président des Etats-Unis ou que le congrès, elle a le pouvoir de suspendre des lois, déplacer des populations, arrêter et détenir des citoyen sans mandat de justice et sans procès, elle peut confisquer des propriétés, des stocks alimentaires, des systèmes de transports et peut suspendre la constitution. Ce n’est pas simplement l’entité la plus puissante des Etats-Unis, mais c’est aussi une entité qui n’a même pas été créée selon la constitution par le congrès. C’est le produit d’un ordre exécutif présidentiel. Le concept d’origine pour la création de la FEMA était d’assurer la survie du gouvernement des USA en cas d’attaque nucléaire. On lui avait aussi confié une mission de coordination en cas de désastres nationaux tels que tremblements de terre, déluge, ouragans.
La FEMA ne consomme que 6% de son budget dans la résolution de situations d’urgence. Le gros de son financement est utilisé pour construire des infrastructures souterraines pour la survie du gouvernement en cas de gros problème. Elle s’occupe également d’améliorer la surveillance des citoyens, et de mettre en place des dispositifs qui permettent d’interdire les déplacements civils et d’isoler des parties de la population. Elle peut diriger la Garde Nationale et prendre le contrôle des aéroports par exemple. (Source)
Voici donc le message de la FEMA pour 2012…
C O M M E N T A I R E S, E X T R A I T :
Merci à toute l’équipe de Liesi pour vos analyses quotidiennes et le partage de votre savoir
Pour information, les merdias commencent déjà à préparer les moutons, mardi prochain sur France2 sera diffusée une émission intitulée ” Une semaine sans électricité”
ça promet de grands moments….
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Cette célèbre affirmation du neveu du Prince Salina, Tancredi dans «le Guépard», suggère que la révolution correspondrait à une rotation, comme lors de la révolution de la Terre autour du Soleil, qui revient toujours à son point de départ. En clair, malgré les convulsions de l'année 2011, rien de nouveau sous le soleil, le «Printemps arabe»: qui, pour une grande part, a été fabriqué dans les officines occidentales, a d'une certaine façon tenu ses promesses. Les nouveaux pouvoirs arabes sont plus que jamais inféodés à l'Occident qui les a adoubés au même titre que les tyrans d'avant.
Chronologie de la débâcle des dirigeants arabes
2011 fut une année qui ne fut pas un long fleuve tranquille. Les pays arabes connurent des secousses. L'histoire pourrait-on dire, commence à Sumer. En l'occurrence, à Sidi Bouzid par l'immolation de Mohamed Bouazizi provoquant le début d'une vague de manifestations contre le pouvoir. Les pouvoirs occidentaux, à l'instar de la France, ont voulu conforter Ben Ali-en lui envoyant des munitions et en proposant de l'aider à mater la jacquerie- puis, le mouvement prenant de l'ampleur, les Occidentaux changent de cheval, comme ils l'on fait en lâchant le shah d'Iran en 1979, le 13 janvier 2011, Zine El Abidine Ben Ali s'enfuit de Tunisie pour se réfugier en Arabie Saoudite. Le 1er février, moins d'une semaine après la première manifestation, place Tahrir, au Caire, réclamant son départ, Hosni Moubarak, 83 ans, annonce qu'il ne briguera pas de sixième mandat. Les manifestations quotidiennes et la prise de distance progressive de l'armée auront raison de sa détermination. Il démissionne le 11 février, la Constitution est suspendue, le Parlement est dissous.
Oussama Ben Laden aura moins de chance. Le 2 mai, il est tué au Pakistan par les forces spéciales américaines qui prennent d'assaut le complexe d'Abbotabad où il s'était réfugié. Six mois après le soulèvement parti de Benghazi, dans l'est du pays, le 15 février, et avec l'aide des forces de l'Otan, les insurgés libyens atteignent Tripoli et font chuter le régime. Les combats se déplacent vers Syrte, sa ville natale, où le Guide de la révolution meurt lynché le 20 octobre, peu après sa capture. Au Yémen, Ali Abdallah Salah est attaqué puis après trois mois de soins en Arabie Saoudite a du céder le pouvoir. A Bahrein, les manifestants furent durement réprimés par le pouvoir aidé par l'Arabie Saoudite venue prêter main forte à l'émir. La presse occidentale est muette et les pouvoirs occidentaux regardent ailleurs,
Bachar el Assad est en train de vivre un scénario à la libyenne. Enfin, tous les gouvernements du Maroc, Tunisie, Lybie et Egypte ont vu le triomphe des partis religieux qualifiés, pour les besoins de la cause, par l'Occident de modérés
Dans la même charrette de la protection des intérêts de l'Empire et de ses vassaux, Laurent Gbagbo- ne pouvant plus servir- est arrêté le 11 avril à Abidjan, laissant la place au nouveau adoubé. Il sera transféré vers le CPI le 30 novembre pour être jugé.
Les désastres planétaires
L'année fut aussi horrible riche en catastrophes. Le 13 mars, un tsunami dévaste Fukushima détruisant du même coup les centrales nucléaires qui deviennent incontrôlables jetant dans l'atmosphère des particules radioactives; fin décembre la réaction est sous contrôle, les autorités parlent de quarante ans pour démonter les réacteurs. La région de Fukushima est devenue stérile. Contre toute attente, l'AIE annonce un renforcement du nucléaire à l'horizon 2030. L'échec de Durban concernant les changements climatiques laisse la porte ouverte à l'aventure. Plus rien n'est contraignant, le protocole de Kyoto est mort et un pays comme le Canada annonce qu'il sort du protocole. Il ne respectera plus son quota de pollution.
Par ailleurs, des inondations et des tempêtes sans précédent ont frappé l'Asie, l'Europe, l'Océanie. Selon les spécialistes, il faut s'habituer à ces phénomènes météorologiques violents. Plus de mille personnes ont été victimes du typhon Washi aux Philippines. Des vagues de froid et des chutes de neige en Europe suivi d'un brusque réchauffement ont entraîné des inondations dans plusieurs régions. «L'inondation en Australie est une première dans l'histoire de la météorologie australienne», a déclaré le chef du département de la climatologie de l'Institut de géographie de l'Académie des sciences de Russie Andreï Chmakine. «L'homme ne saurait présager ni prévenir les précipitations dans tel ou tel endroit», considère le climatologue. Il est temps de s'habituer aux anomalies naturelles. «Les catastrophes naturelles ont été plus nombreuses qu'en 2010. Nous vivons dans un climat extrême qui change brusquement. Les phénomènes météorologiques enregistrés en 2011 le confirment».(1)
2011 année de l'indignation?
Les journaux occidentaux, notamment français, arriment le ras-le-bol planétaire à un petit opuscule écrit par Stephane Hessel , ancien résidant français , qui a particpé à la Déclaration Universelle des Droits de l’Homem aux Nations Unis . Cet opuscule a servi de catalyseur à un malaise préxistant et qui ne demandait qu’à s’exprimer : «Les internautes du Monde.fr ont désigné comme personnalité de l'année cet infatigable défenseur des droits de l'homme, âgé de 94 ans. Pas étonnant, quand on sait que son livret judicieusement intitulé «Indignez-vous!», continue de provoquer un tourbillon planétaire. C'est donc lui! Le gentleman indigné, dont l'espérance est contagieuse. Une quarantaine de pays ont désormais accès au petit livre magique. L'Espagne lui a fait un triomphe. L'Allemagne aussi, qui en est à sa seizième réimpression. Les Etats-Unis - où les indignés de Wall Street brandissaient l'ouvrage - en sont à une cinquième réimpression. (...) Et ravi que ce joli mot d'indigné soit désormais repris par les jeunesses du monde entier pour marquer un sursaut, un élan, un refus de la fatalité, une prise de conscience collective.» (2)
Il est vrai que le désordre étant planétaire, les peuples se révoltent, certains en priorité pour la liberté, d'autres pour les conditions de vie devenues de plus en plus difficiles. «En 2011, lit-on dans le journal Le Monde, le peuple a fait son grand retour sur la scène de l'actualité, renversant des dictateurs, dénonçant les marchés financiers. Au sein de ces mouvements, des inconnus qui souvent s'engageaient, pour la première fois... (...) Ils ou elles sont égyptiens, russes, japonais, tunisiens, syriens, américains, israéliens, espagnols, norvégiens. Pourtant, ces inconnus ont, chacun à leur manière, bouleversé, en 2011, le cours de l'Histoire. Sans eux, pas de «Printemps arabe», de mouvement des «indignés», de mouvement organisé de solidarité lors de la catastrophe de Fukushima.» (3)
«En 2011, bon nombre de puissants de ce monde ont chuté et une foule d'anonymes, de Tunis à Tripoli, de la place Tahrir à la Puerta del Sol, en passant par Aden, Manhattan ou Tel-Aviv, a surgi d'un peu partout. Des jeunes, de 20 à 30 ans, souvent diplômés, férus de nouvelles technologies et déçus par un monde en pleine dislocation économique et sociale, que les systèmes politiques n'arrivent plus à contrôler. En 2011, d'un seul clic, la génération Facebook est passée du virtuel au réel, de l'indignation à l'engagement, le jour dans la rue, la nuit devant l'écran... Le 15 mai en Espagne, «los indignados» envahissent la Puerta del Sol. Ils disent: «Nous n'avons rien inventé. Nos pères sont les manifestants du «Printemps arabe». Nous ne faisons que reproduire leur combat car nous luttons aussi contre une dictature, celle des marchés.» (...) Et le 17 septembre, New York. Des dizaines de milliers de personnes veulent occuper Wall Street et se définissent comme «les 99%», par opposition au 1% des Américains qui totalisent à eux seuls 42% de la richesse du pays.»(...) (3)
Dans une contribution d'Euractiv, nous découvrons jutement le nouveau concept: «L'année horrible»: «Il y a un an, lit-on, les analystes qualifiaient l'année 2010 d'«annus horribilis» pour l'Europe. (...) C'est bien entendu la crise de la dette qui a fait les gros titres. Les décideurs politiques commencent à craindre un démantèlement de la zone euro et de l'UE, ils parlent de la «pire époque depuis la Seconde Guerre mondiale», alors que le fossé entre les Européens se creuse et que le populisme foisonne. Les pays de l'UE donnent l'impression d'une suite de dominos qui s'effondre au fil des chocs économiques: après la Grèce, la Pologne et l'Irlande en 2010, la pression s'est intensifiée sur l'Espagne et l'Italie. (..) Les Grecs, outrés par les mesures d'austérité prises par leur gouvernement, sont descendus dans les rues ».(4)
« Les «Indignés» ont manifesté contre le chômage et le capitalisme en Espagne. (...) Après la promesse d'un Printemps arabe, est arrivé l'automne qui a été synonyme de désenchantement pour l'Union. Les élections en Tunisie ont propulsé un parti islamiste au pouvoir. Les élections égyptiennes ont eu lieu dans la violence. En Libye, l'Otan a participé une guerre menée par la Grande-Bretagne et la France sous prétexte de mettre en place une zone d'exclusion aérienne. Le leader libyen, Kadhafi, a été tué dans des circonstances plus que suspectes. (...) Herman Van Rompuy, a écrit sur Facebook: 2011 pouvait ressembler à une «annus horribilis», mais qu'elle se révèlerait une «annus mirabilis». (4)
Indignés contre les pouvoirs de l'argent, unissez-vous!
Robert Fisk s'en prend aux journalistes coupables, s'en prend, et violemment, aux banquiers et aux agences de notation qui agissent en propriétaires des pays et des peuples, aidés par des gouvernements veules et des journalistes soumis. J'ai le sentiment, écrit-il, que le journalisme censé traiter de l'effondrement du capitalisme a atteint de nouveaux tréfonds que même le Moyen-Orient ne peut surpasser en termes de soumission sans frein à ces institutions et à ces «spécialistes» de Harvard qui ont justement contribué à déclencher tout ce désastre criminel. Commençons par le «Printemps arabe» - en soi une distorsion verbale grotesque du formidable éveil arabo-musulman qui ébranle le Moyen-Orient - et les parallèles minables avec les mouvements de contestation sociale dans les capitales occidentales. Nous avons été abreuvés d'articles sur comment les pauvres ou les défavorisés de l'Ouest auraient «puisé» dans le manuel du Printemps arabe, comment les manifestants aux Etats-Unis, au Canada, en Grande-Bretagne, en Espagne et en Grèce auraient été «inspirés» par les gigantesques manifestations qui ont fait tomber les régimes en Egypte, en Tunisie... C'est idiot ». (5)
Pour lui, il n'y a pas à faire de comparaison: «Ce qui a poussé les Arabes, écrit-il, à descendre par dizaines de milliers, puis par millions dans les rues des capitales du Moyen-Orient, c'est une dignité revendiquée, ainsi que le refus d'admettre que les dictateurs locaux et leurs familles étaient de fait les propriétaires de leurs pays. Les Moubarak, Ben Ali, les rois et émirs du Golfe (et de Jordanie) s'imaginaient tous qu'ils jouissaient de l'usufruit de l'ensemble de leurs nations. L'Egypte appartenait à Moubarak Inc., la Tunisie à Ben Ali & Cie (et à la famille Traboulsi), la Libye à Kadhafi & Fils, et ainsi de suite. Les martyrs arabes contre la dictature sont morts pour prouver que ces pays appartenaient à leurs peuples. (...) Et c'est là que réside le vrai parallèle avec l'Occident. Les mouvements de protestation visent effectivement le monde des affaires - une cause tout à fait juste - et les «gouvernements»(5).
« En revanche poursuit Robert Fisk , ce qu'ils ont découvert, un peu tard, certes, c'est que depuis des décennies, ils ont foi dans une démocratie frauduleuse: ils votent sagement pour des partis politiques, qui confient ensuite leur mandat démocratique et le pouvoir du peuple aux banques, aux cambistes en produits dérivés et aux agences de notation». Concluant avec lucidité, Robert Fisk désigne les dictateurs en Occident: «Les banques et les agences de notation sont devenues les dictateurs de l'Ouest. (...) Goldman Sachs et la Royal Bank of Scotland sont désormais les Moubarak et les Ben Ali des Etats-Unis et du Royaume-Uni, chacun engloutissant la richesse du peuple sous forme de primes et de bonus bidons offerts à leurs patrons sans pitié, animés d'une cupidité infiniment supérieure à ce que pouvaient imaginer leurs frères en dictature arabes, pourtant rapaces. (...) Cela me rappelle tellement la façon tout aussi veule qu'ont tant de journalistes américains de couvrir les événements au Moyen-Orient, évitant bizarrement toute critique directe d'Israël et expliquant, aiguillonnés par une armée de lobbyistes pro-Likoud, pourquoi la «médiation» américaine dans le conflit israélo-palestinien est digne de confiance, pourquoi les gentils sont des «modérés», les méchants des «terroristes»(.) Nous, en Occident - nos gouvernements -, avons créé nos dictateurs. Mais contrairement aux Arabes, nous ne pouvons pas y toucher.»(5)
Et en Algérie où en sommes-nous?
Robert Fisk pense que le Monde arabe a changé, Nous pensons qu’il n'en est rien! Tout est comme avant, les chevaux ont changé de cavaliers mais celui qui règle les courses est toujours l'Occident. Cela nous donne l'opportunité de parler de l'Algérie qui est à la veille du 50e anniversaire. Beaucoup ont cru que la contagion arabe allait atteindre l'Algérie. Il n'en fut rien, après une jaquerie pour les matière premières vite éteinte avec quelques barils de pétrole, tout redevient comme avant. Le peuple las et «ayant eu son printemps en 88,» a payé sa dîme, 200.000 morts plus tard. Pendant que tous les peuples arabes contemplaient ce qui se passait dans le laboratoire de l'islamisme en Algérie. Ceci étant dit ce sont de fausses certitudes! Il est vrai que les Etats-Unis ont définitivement décidé que notre pays est sur la «bonne voie». Il n'est donc plus question de nous prodiguer un «printemps».
Ce qui restera en 2011 en Algérie après que les partis politiques aient torpillé les fondements des réformes c'est le travail du Cnes dont le président a sillonné le pays prodiguant çà et là, la bonne parole, à telle enseigne que l'on croyait à une diversion du pouvoir pour gagner du temps. Et pourtant, c'est un véritable programme de gouvernement auquel aboutit cet audit du peuple d'en bas, de ses espoirs dans cette feuille de route qui contient objectivement des avancées majeures si elles venaient à être mises en oeuvre; la e-adminsitration, une nouvelle vision de l'éducation et un plaidoyer pour «une utilisation durable des ressources énergétiques».
Le temps presse, il nous est compté, il faut mettre à profit ce sursis pour mettre en place sans délai les réformes en tournant le dos aux légitimités du passé. Ce n'est certainement pas l'agitation frénétique des partis qui fera émerger des députés fascinés par l'avenir. 2012, année du cinquantenaire, sera décisive pour l'Algérie et plus largement pour la paix du monde.
1. http://www.alterinfo.net/2011-bilan-des-cataclysmes_a68406.html
2. Annick Cojean: Stéphane Hessel, gentleman indigné. Le Monde.fr 23 12 2011
3. http://www.lemonde.fr/m/article/2011/12/23/les-anonymes-heros-de-l-histoire-en
marche_1621786_1575563.html#xtor=EPR-32280513-[NL_M_le_magazine_du_monde]-20111223-[titres_haut]
4. Ana-Maria Tolbaru, Georgi Gotev 2011-annus-horribilis-ou-annus-mirabilis euractiv.com/fr/ -news
5. Robert Fisk The Independenthttp://www.courrierinternational.com/article/2011/12/26 /les- banques -et-les-agences-de-notation-sont-les-dictateurs-de-l-occident
Professeur Chems Eddine Chitour
Ecole Polytechnique enp-edu.dz
http://www.alterinfo.net/ALORS-QUE-L-ANNEE-2011-A-ETE-HORRIBLE-2012-sera-decisive-pour-le-Monde_a68861.html
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Mongolie... Mon grand-père maternel était Mongol !
Jardin d'Eden, pour Attali le porte-parole du Nouvel Ordre Mondial §.
Mais qui a d'immenses ressources naturelles, or, pétrole, charbon...
Suivez mon regard:
Un territoire immense, peu habité, avec un mode de vie original,
un territoire situé entre Chine et Russie,
alors que l'Occident rêve d'attaquer ces deux pays,
et surtout, un territoire au sous-sol si prometteur inexploité..
A l'heure de la mondialisation totalitaire,
l'Occident ne tolèrera pas longtemps un pays indépendant, différent,
il faudra lui imposer le modèle unique,
ultra-libéral, matérialiste, concurrentiel, consumériste,
sauvage, brutal, inhumain, belliqueux...
Sous peu, à mon avis, ce territoire attirera tous les prédateurs
alléchés par les profits et la situation stratégique du territoire...
A quand une Révolution de couleurs ? A quand des bases militaires US ?
Observons de près ce jardin d'Eden, il sera bientôt dévasté !
Déstabilisé, dépecé, pollué, bombardé, pillé...
Alerte, Mongols, préservez vote liberté !
Eva R-sistons
§ http://blogs.lexpress.fr/attali/2011/08/15/un-jardin-deden/
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Quelle année 2012 ?
Par eva R-sistons
2012 sera celle que nous ferons.
En étant résignés, ou en disant non à l'intolérable.
La France est gaullienne,
qu'elle se souvienne de son esprit de résistance.
La France outragée, la France brisée, mais la France pas vaincue !
Levons-nous, chacun à notre façon.
Moi, en informant, puisque c'est ma spécialité.
Chacun en a une ! Des exemples ?
Les informaticiens, aujourd'hui, ont un pouvoir immense.
Les consommateurs aussi, en choisissant la simplicité de vie
et en empruntant à leurs amis pour contourner les banksters.
Vous avez le sens de l'humour ?
Le dessin est une arme terrible ! La Parole aussi !
Saltimbanque, dans les rues vous mimez notre Président.
L'inspiration ne vous manquera pas !
Regardez le dessin de notre ami Laplote, plus bas...
La maman au foyer a des voisines,
et elle connaît les parents d'élèves.
Elle aussi, comme tous, peut devenir journaliste; En informant !
Le tam-tam de la forêt fonctionne bien.
C'est pour ça qu'ils veulent tuer nos bistrots !
Vous êtes retraité(e) et vous connaissez l'informatique ?
Formez vos voisins et vos voisines,
montrez-leur le chemin de l'info alternative, la vraie !
Et puis organisez-vous pour faire face à toute éventualité :
Vendez votre voiture et achetez une fourgonnette
que vous aménagerez en camping-car.
Il y a bien quelque part le terrain d'un ami, d'un parent,
d'un militant engagé ! Organisez votre survie,
sortez des villes, et pensez au matériel solaire §.
Une fois de plus, je vous le dis:
Soyez prévoyants, créatifs, et solidaires !
Et si vous avez la foi, c'est encore mieux :
Vous serez plus fort, plus forte, pour affronter
les temps difficiles à venir !
Et n'oubliez pas: Rien n'est jamais sûr !
Qui sait ? Nous aurons peut-être une bonne surprise,
la vie regorge d'imprévus !
eva R-sistons
Hommage à un Lecteur-Ami-Blogueur
disparu fin décembre, Observeur :
Je vais faire un article sur lui, prochainement (sur mon blog sos-crise).
Le voici jeune, et puis le voici moins jeune.
Observeur, ami virtuel depuis au moins deux ans, il m'avait écrit, et nous avons correspondu presque tous les jours jusqu'au 10 décembre - 2 jours plus tard, il était dans le coma. Il nous a quittés, gouailleur et toujours éveillé, lucide, j'adorais son franc-parler, sa pensée incisive, son esprit boug
Trankiloo nous a annoncé le décès d’Observeur vendredi
http://liesidotorg.wordpress.com/2011/12/30/le-gouvernement-fait-de-la-resistance/#comments
Tu peux retrouver leur “dialogue” sur ce site même, à la date du 15 août
http://liesidotorg.wordpress.com/2011/08/15/lelysee-a-raison-detre-inquiet-apres-le-15-aout-2011/#comments
En hommage à Observeur, que je citais même sur ce blog
de temps à autre, je donne ce lien :
Et cette vidéo, que le poète en lui aurait aimé (Offerte sur le Liesi en son honneur), 1 mn 40 magnifique, le vol du Condor :
Je suis triste de voir cette petite grande âme nous quitter. Il était seul, il n'aimait pas la société que nous construisons par notre apathie ou par notre résignation. Et il ferraillait contre elle, mais toujours dans l'espoir que le pire n'arrivera pas. Les croyants savent que les préférés de Dieu sont les coeurs généreux. Heureux ceux qui ont soif de justice ! Et qui viennent en aide à leur prochain, surtout pauvre. Comme Observeur ! Dieu,il ne voulait pas en entendre parler. Et il l'insultait sans cesse ! Beaucoup trop pour ne pas le chercher à sa manière... De toutes façons, Dieu reconnaîtra les siens. Et celui-là avait du coeur.... Paix à son âme, comme disent les Lecteurs du Liesi qui avaient apprécié ses échanges musclés et généreux !
Tu nous manques déjà, cher Observeur !
eva R-sistons
Le titre de ce post commence par Observeur.
Pour laisser une cicatrice de lui sur Internet, au moins !
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http://www.temoignages.re/local/cache-vignettes/L300xH388/gandhi-8ac2e.jpg
« Nous avons à réaliser maintenant le plus beau défi
que notre humanité ait jamais eu à relever au cours de son histoire :
arrêter nos propres programmes d’autodestruction,
et transformer la société par une évolution de l’art de vivre…
SOYEZ LE CHANGEMENT
QUE VOUS SOUHAITERIEZ VOIR DANS LE MONDE ! »
Gandhi
C O M M E N T A I R E S : I C I