« Le but des Rockefeller et de leurs alliés est de créer un gouvernement mondial unique combinant le Supercapitalisme et le Communisme sous la même bannière, et sous leur contrôle. (…) Est-ce que j’entends par là qu’il s’agit d’une conspiration? Oui, en effet. Je suis convaincu qu’il y a un tel complot, d’envergure internationale, en planification depuis plusieurs générations, et de nature incroyablement maléfique. »
Lawrence Patton McDonald Congressiste américain tué dans l’attaque d’un vol de la Korean Airlines. Message public diffusé en 1976.
N’existe t-il pas des confidences relatives à un Nouvel Ordre Mondial depuis des lustres ?
Encore un complotiste… un vrai celui-là qui est de l’autre côté de la barrière…
« Nous aurons un gouvernement mondial, qu’on le veuille ou non. Reste à savoir si le gouvernement mondial sera établi par consentement ou par conquête ».
— James Paul Warburg, 17 février 1950, au Conseil des Relations Internationales des États-Unis.
Et voilà qu’aujourd’hui les Bush, Obama, Attali, Sarkozy et Cie nous parlent de la nécessité d’un Gouvernement mondial parce que LES ETATS SONT INCAPABLES DE RESOUDRE UNE CRISE QUI ECLATE PAR HASARD.
Hasard ?
David Rockefeller, le 23 septembre 1994 :
« Tout ce dont nous avons besoin est une crise majeure appropriée, et les nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial ».
Justement, nous y voici… Alors, malgré l’évidence qui aveugle, il n’y a vraiment pas de COMPLOT ! On ne doit pas savoir lire les phrases des « grands hommes » de la même manière. La pire calamité qui puisse arriver à l’homme du XXI° siècle, est d’être aveuglé par l’évidence et la vérité. Nous sommes « complotistes » parce que nous disons tout simplement la vérité. Et ceux qui prétendent le contraire sont nécessairement dans le mensonge et des menteurs. Au fait, le Père du mensonge n’est-il pas le Prince de ce monde ?
Ah oui, la mystique… Mais nos mondialistes ne se gênent pas pour affirmer :
« Personne n’entrera dans le Nouvel Ordre Mondial à moins qu’il ou elle ne fasse le serment de vénérer Satan. Personne ne fera parti du Nouvel Age sans recevoir une initiation Luciférienne. »
David Spangler, directeur de l’Initiative Planétaire, un projet des Nations Unies.
Vive donc l’occulte et la magie pour les enfants sous forme de distraction…
Alors franchement, ne trouvez-vous pas magnifique que les ETATS-NATIONS soient en train de SAUTER comme par magie aujourd’hui, tout en emmenant l’ensemble de la classe moyenne occidentale vers la paupérisation ?
Il y aura 41 ans, sous le règne du Président Georges Pompidou, dans un entretien accordé à la revue Entreprise (ancêtre de la revue l’Expansion) et publié en page 62 à 65 du n°775 de cette revue en date du 18 juillet 1970, Edmond de Rothschild, aujourd’hui décédé, quatre ans avant qu’il ne fonde la section européenne de l’aujourd’hui célèbre Commission Trilatérale, créée aux Etats-unis par David Rockefeller et Zbignew Brzezinsky (mentor d’un cartin Barack Obama), et quatre mois avant le décès brutal et inopiné (rupture d’anévrisme) du Général de Gaulle à Colombey, déclarait déjà (en haut de la seconde colonne de la page 64 de cet entretien :
« Le verrou qui doit sauter à présent, c’est la nation ! »
Un authentique visionnaire ? Bien sûr…
Et la paupérisation de la classe moyenne se traduira par la perte des assurances-vie et le cash en banque… Tiens, ces mêmes groupes oligarchiques qui rêvent de gouvernement mondial depuis des décennies, ont réussi à instruire le petit Lénine (le Ben Laden de l’époque) qui nous dit en 1919 à Bakou :
« Dans un premier temps, nous détruirons les empires des pays capitalistes. (Ceci fut réalisé à la suite des deux Guerres mondiales, n.d.l.r.)
Dans un second temps, nous occuperons ces empires. (Pour réaliser ce second point il importait que la France abandonnât ses colonies à Staline ! n.d.l.r.)
Dans un troisième temps, nous créerons une crise économique sans précédent.
Dans un quatrième temps, nous créerons une crise sociale telle que l’Europe tombera comme un fruit mûr. »
Mais au fait : dans Europe n’y a t-il pas EURO ?
Mais alors, il n’y a aucune surprise à relever que les agences de notation dépendent de WALL STREET et que le marxisme comme la révolution bolchevique furent financés par… WALL STREET. Marx fut un employé du cartel bancaire et il fut reçu à Wall Street avec grande pompe.
Donc Lénine n’invente rien… ce n’est qu’un perroquet… un de ces révolutionnaires haineux manipulés par des gens bien plus intelligents que lui.
Excusez ces délires… je vais vraiment finir par me croire complotiste. Heureusement, N. Sarkozy est là pour me rappeler ce qu’est le monde REEL :
« C’est un véritable New Deal à l’échelle planétaire qui est nécessaire. Un New Deal écologique et économique. Au nom de la France, j’appelle tous les États à se réunir, pour fonder le nouvel ordre mondial du XXIème siècle« .
Allocution de Nicolas Sarkozy devant l’Assemblée générale de l’ONU, 25 septembre 2007, Assemblée générale de l’ONU.
Il faut voir le monde tel qu’il est et arrêter de se mentir à soi-même.
Le club des complotistes – Hasard… vous avez dit hasard ou COMPLOT ?
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Supposons que tout ce que vous savez n'est pas seulement faux, mais qu'il s'agit de mensonges soigneusement rédigés. Supposons que votre esprit est rempli de fausses croyances - sur vous même, sur l'histoire, sur le monde qui vous entoure - implantées là par des forces puissantes, de façon à vous leurrer dans la complaisance. Votre liberté est par conséquent une illusion. Vous êtes en fait un pion dans ce complot, et votre rôle est celui d'un crédule qui doit prendre son rang, si vous faites parti des chanceux.
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Nouvelles du site Eveil2011 :
Courriel de Jonathan:
cosmos_2012@live.ca
12 juillet 2011
Isabelle (Conscience du Peuple)
Le site Éveil 2011 est hors connexion depuis quelques heures et plusieurs s'interrogent sur la raison de cette faille technique (erreur 403). Je n'ai aucune nouvelle, alors si quelqu'un peut nous informer sur ce qui se passe, ce serait apprécié. Merci.
La répression qui vient :
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Publics concernés : administrations centrales des ministères de l’intérieur et de la défense, représentants de l’Etat, militaires et fonctionnaires en charge des missions de maintien de l’ordre public.
Objet : modification du régime juridique relatif à la dispersion des attroupements.
Entrée en vigueur : immédiate.
Notice : en application de la loi n° 2009-971 du 3 août 2009 relative à la gendarmerie nationale qui a supprimé la réquisition à l’égard de la gendarmerie nationale, le présent décret précise les modalités d’emploi de la force et les conditions d’usage des armes à feu pour le maintien de l’ordre public. Lien
On peut constater que les autorités sont conscientes de ce qui va arriver… Derrière le discours de la « reprise » on se prépare plutôt à la « catastrophe » et aux insurrections.
Voir aussi :
![François Fillon Arrêté publié au J.O le 1er juillet tire a bal réel ....](http://f5.img.v4.skyrock.net/f53/tenfiotenwo/pics/3011932663_1_9_Af6c5jHC.jpg)
En application du V de l'article R. 431-3 du code pénal, outre les armes à feu prévues à l'article précédent, est susceptible d'être utilisée pour le maintien de l'ordre public, à titre de riposte en cas d'ouverture du feu sur les représentants de la force publique
Pourquoi le gouvernement se donne-t-il aujourd'hui le droit de tirer à balles réelles sur les citoyens qui manifestent ?
Pourquoi un tel arrêté maintenant ?
La Nation est-elle en péril, en guerre civile ?.
Ou bien les gouvernants et autres "dilapideurs" prévoient-ils après d'autres pays d'Europe, la "faillite" (comme ils disent ) de la France, et craignent-ils des révoltes sociales, des émeutes ?
Ne voient-ils pas trop de pays où les citoyens se révoltent contre un pouvoir abusif ?
Ne voient-ils pas, en France même, trop de citoyens en rupture avec un système qu'ils cherchent à maintenir coûte que coûte et qui est en train de s'effondrer?
extraits de :
http://tenfiotenwo.skyrock.com/3011932663-Francois-Fillon-Arrete-publie-au-J-O-le-1er-juillet-tire-a-bal-reel.html
Et je vous laisse méditer sur l'ensembleDéCLASSIFICATION 2 : ETAT D'URGENCE!
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Il y a seulement quelques années, une idéologie à la mode - la croyance dans l'efficacité de l'économie de marché libre de toute entrave - a mené la planète au bord de la ruine.
Même à son apogée, entre le début des années 1980 et 2007, le capitalisme américain orienté vers la dérégulation n'a permis qu'à une poignée de gens, les plus fortunés du pays le plus riche de la planète, de s'enrichir encore davantage.
En réalité, durant les 30 ans de montée en puissance de cette idéologie, année après année, le revenu de la grande majorité des Américains a stagné ou baissé.
La croissance de l'économie américaine n'avait pas de caractère durable. Elle ne pouvait se prolonger qu'au moyen d'une consommation financée par une montagne de dettes toujours croissante, une grande partie du revenu national bénéficiant uniquement à une petite minorité.
Je faisais partie de ceux qui espéraient que la crise financière apprendrait aux Américains et à d'autres une leçon sur la nécessité de plus d'égalité, plus de régulation et un meilleur équilibre entre le marché et l'Etat. Malheureusement cela n'a pas été le cas. Bien au contraire, une résurgence des idées économiques de droite, suscitée comme toujours par des considérations idéologiques et la défense d'intérêts particuliers, menace à nouveau l'économie mondiale - ou à tout le moins l'économie de l'Europe et de l'Amérique où ces idées continuent à prospérer.
Aux USA, cette résurgence droitière qui nie les lois fondamentales des mathématiques et de l'économie menace d'entraîner le pays à la faillite. Si le Congrès décide de dépenses qui dépassent les revenus, le budget connaîtra un déficit, un déficit qu'il faudra financer. Plutôt que de comparer les programmes de dépenses publiques avec le coût d'une hausse d'impôt pour les financer, la droite veut agir sans discernement. Refuser toute hausse de la dette publique contraint à financer les dépenses exclusivement par la fiscalité.
Cela ne répond pas à la question de savoir quelles dépenses doivent être prioritaires. Si le payement des intérêts de la dette publique ne l'est pas, un défaut est inévitable. Par ailleurs une baisse des dépenses en ce moment, en pleine crise due à une idéologie qui soutient aveuglement l'économie de marché, va prolonger le ralentissement.
Il y a 10 ans, au milieu d'un boom économique, les USA avaient un tel excédent qu'il pouvait pratiquement combler la dette publique. Des réductions d'impôt et des guerres inappropriées, une récession majeure et la hausse des dépenses de santé publique (alimentées en partie par l'administration Bush qui voulait donner toute liberté à l'industrie pharmaceutique pour fixer les prix, alors que l'argent public était en jeu) a rapidement transformé un large excédent en un déficit record en temps de paix.
Cette situation indique comment remédier au déficit américain : il faut remettre le pays au travail en stimulant l'économie, mettre fin à des guerres stupides, limiter les dépenses militaires, brider le prix des médicaments et enfin augmenter les impôts, au moins pour les plus riches. Mais la droite ne veut rien de tout çà et réclame au contraire davantage de baisses d'impôt pour les entreprises et les contribuables les plus riches, ainsi qu'une baisse des dépenses d'investissement et de protection sociale, ce qui mettrait en danger l'avenir de l'économie américaine et réduirait à rien ce qui reste du contrat social. En même temps le secteur financier américain exerce un maximum de pression pour échapper à toute réglementation, de manière à revenir à la situation antérieure alors même qu'elle conduit au désastre.
La situation est à peine meilleure en Europe. Alors que la Grèce et d'autres pays de l'UE sont confrontés à une crise de la dette, la solution en vogue consiste simplement à les pousser à adopter des mesures d'austérité et de privatisation auxquelles on a tant eu recours dans le passé, avec pour seul effet de rendre les pays concernés plus pauvres et plus vulnérables. Cette politique a échoué en Asie de l'Est, en Amérique latine et ailleurs et elle échouera aussi en Europe - d'ailleurs elle a déjà échoué en Irlande, en Lettonie et en Grèce.
Il existe une alternative : une stratégie de croissance soutenue par l'UE et le FMI. La croissance donnerait l'espoir que la Grèce remboursera sa dette, de ce fait les taux d'intérêt baisseront et l’Etat aura plus de latitude pour faire des investissements stimulant la croissance. La croissance en elle-même accroît les revenus fiscaux et réduit les dépenses sociales telles que les indemnités de chômage. Et la confiance retrouvée dope encore davantage la croissance.
Malheureusement les marchés financiers et les économistes de droite prennent le problème à l'envers : ils croient que l'austérité va générer la confiance et que la confiance va générer la croissance. En réalité l'austérité mine la croissance, ce qui affaiblit la position budgétaire de l’Etat ou à tout le moins se traduit par une amélioration bien moindre que celle promise par les partisans de l'austérité. Quoi qu'il en soit, la confiance est ébranlée, ce qui met en mouvement une spirale descendante.
Avons-nous besoin d'une autre expérience qui sera chère payée si nous appliquons des idées qui ont déjà échoué à de multiples reprises ? Si l'Europe ou les USA ne parviennent pas à restaurer une croissance saine, cela aura des conséquences négatives pour toute l'économie mondiale. Si les deux échouent ce sera désastreux - même si les principaux pays émergents atteignent une croissance durable. Malheureusement si la sagesse ne l'emporte pas, c'est la direction vers laquelle se dirige le monde.
Project Syndicate
17/01/2010 - "L’austérité ne fait que retarder la solution des problèmes"
Marianne : Vous mettez en cause les politiques de rigueur adoptées par les pays européens. Angela Merkel, Nicolas Sarkozy et la Commission européenne présentent ces politiques comme indispensables pour les pays de la zone euro. Pensez-vous qu’une autre politique est possible avec la monnaie unique ?
Toutefois, "le péril demeure" pour la zone euro, selon M. Stiglitz. "L'incertitude reste la même qu'il y a six mois. On savait alors que l'Irlande allait connaître une crise violente. On savait que les réformes indispensables pour la viabilité à la long terme de la zone euro devaient être réalisées", ajoute-t-il. Et si "l'Espagne a eu la chance d'entrer dans la crise avec un excédent budgétaire et un faible pourcentage de dette par rapport à son produit intérieur brut" et que l'Italie, "très endettée, a pu limiter son déficit budgétaire", la situation "reste précaire", affirme l'économiste.
A lire :
http://fr.news.yahoo.com/vit-utiliser-dargent-depuis-15-ans-175500379.html
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Non il n'existe pas de « guerre propre » ! Michel Collon nous envoie un reportage depuis la Libye. Il nous montre ce que les bombes de l'OTAN peuvent faire loin des caméras de télévision.
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ATTENTION, CERTAINES IMAGES PEUVENT CHOQUER.
voir ici si la vidéo ne s'affiche pas : http://vimeo.com/26309684
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BIENTOT DISPONIBLE :
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