21 janvier 2010 4 21 /01 /janvier /2010 05:43


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                                                              Menaces sur nos libertés: 
                                             Internet - de l'Italie à la France ?
                                                              (A relayer...)



L'entrée en vigueur d'un décret régulant la publication de vidéos sur Internet provoque un tollé

 

À la veille de l'entrée en vigueur d'un décret stipulant que les internautes devront obtenir l'aval du ministère des Communications avant de publier des vidéos sur Internet, la Toile italienne s'enflamme.

Par Nicolas DE SCITIVAUX (texte)

 

La liberté d’expression des internautes italiens est-elle remise en question ? C’est, en tous cas, ce qu’affirment certaines associations et certains hommes politiques après que le Parlement italien a adopté, en décembre dernier, le décret 169 - dit "décret Romani" - qui régule la publication de vidéos sur Internet.

Le texte prévoit que les Italiens sollicitent l’aval du ministère des Communications s'ils veulent "diffuser et distribuer des images animées, accompagnées ou non de son, sur Internet". Ce décret doit repasser devant une commission de l'Assemblée nationale, à la demande de l'opposition, avant de pouvoir entrer en vigueur.

Si le secrétaire d'État en charge des Communications, Paolo Romani, défend bec et ongle son décret, affirmant qu’il ne fait qu’appliquer la directive européenne 2007/65/CE sur les droits de diffusion, l’association Articolo21 estime, elle, que ce texte ne concerne pas la diffusion de contenus sur Internet. Et dénonce, dans un communiqué, une extension de "la discipline rigide du droit d’auteur aux fournisseurs Internet, à travers des dispositions dont les effets rappellent ceux de la controversée loi française [Hadopi, ndlr]". "[Ce décret] étend aussi le droit de correction aux journaux télévisés retransmis sur le Web […], ouvrant ainsi la voie à la possibilité de bâillonner tout type de contenu en ligne", poursuit-elle.

Contacté par France 24.com, Christian Engström, député européen du Parti Pirate, partage cette inquiétude. "Il est très inquiétant qu’un État membre de l'Union européenne commence à restreindre les conditions d’utilisation d’Internet, déplore-t-il. Nous souhaitons que l’Europe soit en pointe en matière de législation numérique, et il est déprimant de voir que certaines capitales veuillent nous faire revenir 20 ans en arrière. Il s’agit ici clairement d’une interprétation douteuse de la directive [européenne 2007/65/CE, ndlr]."

Un précédent dangereux ?

La France, où la loi Hadopi est entrée en vigueur en début d’année, pourrait bien prendre le même chemin que son voisin transalpin. En janvier dernier, lors d’une interview accordée à Radio Classique, le porte-parole de l’UMP, Frédéric Lefebvre, avait évoqué l’idée que le CSA (Conseil supérieur de l’audiovisuel) contrôle les contenus diffusés sur Internet, dans le but de "protéger les enfants".

Pour Laurent Le Besnerais, co-fondateur de l’Institut pour les libertés et la citoyenneté numérique (Ilcn), le risque existe effectivement. "Le but de la majorité, en France, n’est pas de s’arrêter à la loi Hadopi, explique-t-il à France 24.com. Elle veut aussi mettre en place la loi Lopsi [loi d'orientation et de programmation pour la sécurité intérieure, ndlr], qui contient tout un volet sur la pédopornographie sur Internet. L’intention est louable, certes, mais l'absence totale de transparence sur la façon dont les sites jugés dangereux seront désignés pose problème."

Le projet de loi Lopsi prévoit, notamment, un filtrage des sites indésirables, ce qui représente une atteinte directe au concept de neutralité des réseaux, estime encore Laurent Le Besnerais. Qui conclut : "Si l'on suit le discours de M. Lefebvre, oui, le contrôle de l’Internet par le CSA deviendra possible. La France se retrouvera alors dans le même cas que l’Italie."

http://www.france24.com/fr/20100119-Italie-adoption-decret-regulation-publication-videos-internet-tolle-liberte-expression

A relayer, merci Michel pour cet envoi reçu à l'instant

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Sélection de liens :


(..) Le fait que les Juifs vivent en sécurité partout et ne sont pas persécutés met Israël dans une situation inconfortable. Si les juifs vont bien partout, alors l'identité Juive est remise en question, et ainsi est la raison même de l'existence d'Israël. Le même Etat qui a été créé pour sauver les Juifs de la persécution, a besoin maintenant que les Juifs soient de nouveau persécutés pour qu'Israël puisse continuer d’exister. L’escalade du nettoyage ethnique des Palestiniens est l'un des moyens pour atteindre ce but (..)

 Les Palestiniens, qui essayent désespérément de comprendre ce qui est en train de leur arriver, sont pris dans cette folie et en sont les victimes. Ce n'est pas en raison de qui ils sont ou de quelque chose qu’ils ont fait qu'ils souffrent. C’est parce qu'ils ont eu le malheur de vivre sur la terre qu'un mouvement Sioniste névrotique est déterminé à prendre pour lui-même indépendamment du prix que cela peut coûter.  (..)

Avigail Abarbane 
 
Né en Israël en 1964, Avigail a fait ses deux années obligatoires dans l'armée Israélienne en 1982...

http://www.alterinfo.net/La-folie-croissante-d-Israel_a41658.html


La campagne contre la burqa marque un tournant anti-démocratique en France


Le consensus de plus en plus large au sein de l'élite politique française autour d'une loi interdisant la burqa a des implications profondes et inquiétantes. Présentés au mépris de l'opinion publique et de la constitution, les préparatifs à l'institutionnalisation d'une discrimination d'Etat contre certaines formes d'expression religieuse musulmane marquent une orientation vers des formes de gouvernement ouvertement antidémocratiques.
La participation et la bénédiction apportées par des forces considérées comme de « gauche » à une campagne d'extrême droite contre la population immigrée a été essentielle à sa réussite. (..)

De plus, cela relève d'une décision bien réfléchie de la part de l'élite dirigeante d'établir les bases d'une forme de gouvernement autoritaire, se dispensant du principe de légalité. Une loi contre la burqa, si elle n'était pas censurée par le Conseil constitutionnel, établirait un précédent pouvant servir à faire passer d'autres exceptions à l'article 1 de la constitution, lequel déclare que « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale".

http://www.alterinfo.net/La-campagne-contre-la-burqa-marque-un-tournant-anti-democratique-en-France_a41642.html . 


15 thèmes qui vont monter en puissance en 2010
15 thèmes clefs 2009 qui vont s'évanouir en 2010

http://fonzibrain.files.wordpress.com/2009/07/geab-nc2b041-1.pdf

 



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                             DES ALIMENTS DE PLUS EN PLUS
                              BASES SUR LA DENATURATION


Eloge de la nature, abandon de l'instinct grégaire et du vénal

Vivons en pleine possession de nos moyens jusqu'à 99 ans 
et non pas handicapés dès 50 ans !

 

Si nous désirons vivre en bonne santé, dépasser les 90 ans sans problème, il nous faut à tout prix éviter les produits du terroir (légumes, céréales, fruits, animaux) cultivés sur des terres déséquilibrées, élevés (animaux) en batterie. Ces produits passant par la suite, bien souvent, par des filières où ils subissent des transformations intolérables.

Une terre saine, équilibrée, pas d'intrants (engrais de synthèse NPK) autres que naturels dans les sols (compost, équilibre magnésio-potassique, rapport carbone/azote = 33) fertilisant en poudre volcanique, poudre de roche, broyats de branchages), assolements favorisés par des plantes (trèfle, luzerne) apportant l'azote naturel. Les élevages conduits dans le même respect (produits naturels, litière, relative liberté). Pas de produits transformés par la chaleur, pas d'additifs chimiques quels qu'ils soient ou les dérivés des produits nanotechnologiques, et évidemment non irradiés. Utiliser, surtout dans les villes une complémentation alimentaire afin de chasser des cellules toutes les pollutions qui encombrent l'air, l'eau, les aliments industriels. Voir le mémento des additifs sur site http://daudon.free.fr, rubrique biologie. Voir aussi site Wholesale Nutrition.

Ce bref résumé pour affirmer que si ces critères sont conservés, non seulement nous nous porterons bien mieux mais nous obligerons, par nos achats de produits sains, l'agroalimentaire à  rectifier ses erreurs ne proposant, par la suite; que des produits naturels et frais.

Nous devons informer nos différents magasins de notre décision de ne plus nous laisser empoisonner. Notre santé est en jeu; leur survie économique aussi si nous savons les instruire de notre irrévocable décision pour notre survie.

 
Accepter que les cultivateurs emploient les pesticides, fongicides, herbicides, engrais de synthèse, que les éleveurs utilisent les hormones, les antibiotiques, les tranquillisants et médicaments divers, que la chaîne alimentaire des produits alimentaires introduisent les conservateurs et colorants, anti-oxygènes, émulsifiants, épaississants, exhausteurs de goût, acidifiants non naturels nous paraît être une regrettable négligence puisque le consommateur est roi et aujourd'hui suffisamment au courant du danger de ces produits. Refuser l'achat est un moyen puissant pour faciliter le changement. Economie de marché oblige.


1 Loi du Professeur Vincent – Tout produit oxydé entraîne souvent un déplacement de notre terrain sanguin vers des zones oxydées et basiques où règnent en maître les virus.


2 Hypothèse de Diégo Der – Toute absorption de produits alimentaires, trop blutés ou obtenus par procédés chimiques, dépossèdent l'aliment obtenu de ses qualités premières. Ainsi les farines blanches sont-elles privées du germe de blé riche en acides aminés, sels minéraux et vitamines. L'huile obtenue à chaud perd sa vitamine E et ses omégas 3,6,9, extraite de surcroît avec de la soude caustique ! Plus l'aliment perd ses qualités d'origine moins il nourrit, moins il équilibre le corps, plus l'on mange et plus l'on grossit; encore bien davantage si ces aliments sont bourrés d'additifs qui neutralisent les vitamines. N'oublions pas de cuire nos aliments à la vapeur douce. Car tout corps cuit est un corps mort.


Constats et rapport des Docteur Matthias Rath, Gilbert Crussol .

La plupart des maladies sont dues à des carences, principalement en vitamines C, E et acides aminés. La meilleur façon de redresser un terrain ou de guérir d'un trouble quelconque est bien de refaire le plein de vitamines, acides aminés, enzymes, sels minéraux, oligo-éléments.

Ainsi peut-on faire échec, aux maladies cardiaques, diabète, cancers, telles sont les conclusions de ces deux docteurs. Vous trouverez les livres du Dr Matthias Rath sur son site et voici les coordonnées du Dr Crussol dont je joins quelques documents. Annette la nutritionniste pourra répondre à la plupart de vos questions, vous proposant de multiples compléments alimentaires (naturels, sans sucre, ni colorant) en attendant que vous vous rééquilibriez et les circuits se normalisent. Téléphone : 01.47.55.48.76 entre 9 heures et 19 heuires même le samedi, voire le dimanche).

 

Constat et rapport de Diégo Der

Il semble très vraisemblable que toute fatigue chronique des émonctoires puisse venir des métaux lourds contenus dans nos cellules. Les allergies diverses, l'intolérance aux laitages, amidons ont assez souvent pour cause la fragilité de ses mêmes émonctoires fatigués par les incessants va et vient du mercure ou autre métaux dans le corps. Voir le livre du Dr Joachim Mutter : L'amalgame dentaire. Editions Alternatif. Enfin si vos problèmes ne disparaissent pas après des soins naturels, sachez que toute maladie inflammatoire, toute maladie chronique a comme cofacteur les métaux lourds que le corps ne peut rejeter seul. Voir le site http://daudon.free.fr et rubriques biologie, médecine. Sur la page d'entrée vous retrouverez les principaux symptômes d'un empoisonnement au mercure. Bientôt sur internet une conférence du Dr Klinghardt sur ces empoisonnements, naguère "inguérissables" et les traitements adéquats.

Pour information et respect de l'article N°223-6 du nouveau Code pénal.

 

Les membres du bureau du PFP


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Une interprétation de la crise :
 

Notre interprétation de la crise est la suivante :

- il y a excès mondial de capacité de production, dû essentiellement à la globalisation et à l'investissement très important dans les pays émergents ;

- l'excès de capacité devrait normalement faire baisser la profitabilité des entreprises ; en réaction à cette évolution, les entreprises ont essayé de réduire les salaires, d'où, dans beaucoup de pays, le recul de la part des salaires dans le PIB, qui amplifie l'insuffisance de la demande par rapport à la capacité ; elles essaient aussi de devenir leader dans leur activité pour bénéficier de marges d'oligopole ;

- l'excès de capacité de production pousse les Etats à mener des politiques non coopératives visant à accroître le taux national d'utilisation des capacités : stimulation du crédit par les politiques monétaires très expansionnistes (d'où les bulles spéculatives sur les prix des actifs, l'excès d'endettement et les crises) ; sous-évaluation du taux de change dans les pays émergents.


Il s'agit bien d'une lecture marxiste (mais conforme aux faits) de la crise : suraccumulation du capital (par "l'euphorie" des entrepreneurs) d'où baisse tendancielle du taux de profit ; réaction des entreprises à cette baisse du taux de profit par la compression des salaires, du capital, la concentration et l'obtention de rentes, d'où sous-consommation ; réaction, qui ne peut pas être efficace à long terme, des Etats par le développement du crédit et des activités spéculatives, comme substituts (palliatifs) à l'insuffisance de la production ; par le recours au commerce extérieur.

lire l'intégralité ici : http://cib.natixis.com/flushdoc.aspx?id=51136 
 .

                                                      


                       La voix de la terre :


Écoutez là,
Une voix m’a donné rendez-vous,
Cette voix, écoutez là c’est un bijou
Un bonheur au dessus de tout,
C’est la voix de la Terre qui réclame
Plus d’amour entre nous.
Écoutez là,
Cette voix doit percer le silence,
Cette voix elle me caresse,
Elle donne la chance,
Elle souffle sur le monde immense.
C’est la voix de la Terre pour que
L’on soit plus solidaire entre nous.
C’est le cri des glaciers, les larmes des forêts
La complainte des marrais.
Écoutez c’est la voix de la Terre comme le respect en nous.
Ecouter là…
Une voix m’a donné rendez-vous
Cette voix,
Ecoutez là c’est un bijou
Un bonheur au dessus de tout,
C’est la voix de la Terre
Pour que l’on soit plus solidaire entre nous,
Ecoutez là, la voix de la Terre.
 
 http://mariereveuse.over-blog.com/article-la-voix-de-la-terre-43154832.html.


Primauté à la culture !

 "L’encre du savant vaut mieux que le sang du martyr », affirme Mohamed, le Prophète de l’islam, et dans le Talmud, cette idée forte, émouvante : « Le monde ne se maintient que par le souffle des enfants qui étudient.

« La première de ces valeurs, c’est l’universalité, à savoir que l’humanité est une. De ce fait, c’est une faute impardonnable que de transiger sur les principes fondamentaux sous l’éternel prétexte que les autres ne seraient pas prêts à les adopter. Il n’y a pas de droits de l’homme pour l’Europe, et d’autres droits de l’homme pour l’Afrique, l’Asie ou pour le monde musulman…Aucun peuple sur terre n’est fait pour l’esclavage, pour la tyrannie, pour l’arbitraire, pour l’ignorance, pour l’obscurantisme, ni pour l’asservissement des femmes. Chaque fois qu’on néglige cette vérité de base, on trahit l’humanité et on se trahit soi-même. »

Amin Maalouf affirme qu’on ne pourra sortir par le haut du dérèglement qui affecte le monde qu’en donnant la primauté à la culture et à l’enseignement (..)

http://alainindependant.canalblog.com/archives/2010/01/19/16546415.html




Haïti : au-delà des effets d’annonce

La résistance des juges face à l’image du terrorisme

et de nombreuses nouveautés sur le site :

http://www.voltairenet.org/



PÉTITION : SOUTIEN A L'ASSOCIATION KOKOPELLI
http://www.cyberacteurs.org/actions/form.php?id=40 


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VENEZUELA le venin de la desinformation 
 GRAVE CRISE FINANCIERE AU JOURNAL "LE MONDE" qui confond le Venezuela et le Brésil !!

BOLIVIE Paris célèbre le triomphe de Evo
VENDREDI 22 JANVIER FETE DE L'ESPOIR ET DE LA JOIE
Fête Evo Morales et l'Ekeko

HAITI Notre coeur saigne
Haïti, doublement maudite
Pauvre Haiti

CUBA la manipulation médiatique continue...
Zoé Valdès et Karl Zéro ou la déontologie accouplée



Sarkozy tel qu'en lui-même:
"Si je n'étais par président de la République, je t'aurais démonté la gueule!", ils m'ont assuré que c'était mot pout mot ce qu'avait dit le président, ajoutant: "Croyez-vous qu'on puisse oublier un truc pareil?"

http://www.lepost.fr/article/2010/01/21/1899011_clash-sarkozy-fogiel-c-est-du-brutal.html#xtor=AL-235



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Le chat d'Agora Vox

ACTA : Le traité secret
qui pourrait changer la face d'Internet

Si le traité ACTA venait à être appliqué, l’internet tel qu’on le connait aujourd’hui serait radicalement changé. Le traité renforce de façon démesurée le pouvoir du copyright (ou du droit d’auteur, en l’occurrence la différence est insignifiante), forcera les fournisseurs de services sur internet à faire la police du copyright, rendant du même coup l’hébergement de contenus générés par les utilisateurs impossible à assumer financièrement, il mettra en place des sanctions pour les utilisateurs violant le copyright, comme de leur couper l’accès à l’internet après trois avertissements, et exigera que les supports informatiques soient inspectés aux frontières (disques dur, lecteurs mp3, etc.). Ceux qui contiendraient des fichiers copyrightés téléchargés de façon illégale seraient détruits, et leur possesseurs se verraient infliger une amende.

Parmi les informations qui ont fuité du traité ACTA – toujours en négociation -, on trouve aussi la possibilité pour les ayants droits d’accéder aux informations personnelles d’un internaute, suspecté d’avoir téléchargé un contenu copyrighté, sans avoir besoin de recourir à un juge. En bref, Hadopi, à coté, ce n’est pas grand chose, mais c’est un bon début.

Les négociations autour du traité ACTA se font en dehors de tout cadre, aucune organisation internationale comme l’OMC ne les supervise. Elles ont commencé en 2006 entre les USA, la Commission Européenne, la Suisse et le Japon. Depuis, l’Australie, le Canada, l’Union Européenne, la Jordanie, le Mexique, le Maroc, la Nouvelle Zélande, la Corée, Singapour et les Emirats Arabes Unis se sont joints aux négociations.

Ce traité est négocié dans le plus grand secret, mais en mai 2008, Wikileaks.org a publié un document en révélant de nombreux éléments. C’est plus récemment que l’opinion publique a été alertée, grâce à l’EFF dans un premier temps, puis à ReadWriteWeb US en fin d’année dernière.

Beaucoup d’analystes en France voient le couple Hadopi/Loppsi comme un premier pas dans la mise en application du traité ACTA. Les récentes loi impactant l’usage de l’internet enEspagne et en Italie font penser que c’est une partie de l’Europe qui est en train de mettre en application ce traité, avant même qu’il soit signé.

Mais comme le montre les dernières évolutions législatives concernant Internet en Italie, ce n’est pas seulement le téléchargement ‘pirate’ qui est visé par ACTA, mais bien l’ensemble du web 2.0 et de la capacité qu’a donné l’internet à tous de s’exprimer (sans même parler du logiciel libre, nous reviendrons sur ce point ultérieurement). L’obligation faite aux services ‘web 2.0′ de faire la police obligerait de facto la plupart des plateformes de blog à fermer, tout comme les autres sites proposant d’héberger gratuitement les contenus des internautes.

La pression monte pour plus de transparence

Le traité ACTA a donné lieu a 6 réunions de négociation jusqu’ici, une septième se tient à la fin de ce mois à Mexico. Chose étonnante, la pression semble avoir au moins eu un effet : la transparence est enfin à l’ordre du jour.

Google, qui s’est engagé pour la Net Neutrality et ne voit pas d’un bon œil le traité ACTA, a organisé une table ronde la semaine dernière à Washington D.C. pour débattre du projet de traité.

Le débat qui s’est tenu lors de cette table ronde a été particulièrement intéressant et agité. Réunissant des représentants des lobbies et des partisans des libertés numériques, les échanges ont été vifs, et ont portés sur l’aspect législatif, l’économie, les problèmes éthiques soulevés par le traité ACTA, mais surtout sur la transparence, demandée à corps et à cri par tous (ou presque).

Le représentant des lobbies, Steven Metalitz (avocat de la MPAA et de la RIAA), a longuement défendu le traité et la nécessité du secret de sa négociation. Une position difficile mais on ne peut que saluer l’effort de dialogue. Pour lui, le secret est une condition nécessaire à la négociation avec les pays étrangers (entendez, entre autre, l’Europe, qui semble être en train, dans certains de ses pays membres, de le mettre en application).

L’autre point défendu par Metalitz frise le ridicule quand il affirme que le traité ne nécessitera pas que les lois des pays signataires soient changées. En effet, dans la mesure où les points du traité font d’ors et déjà l’objet de loi telles qu’Hadopi et Loppsi (ou celle de l’économie durable en Espagne), on peut imaginer que d’ici à la signature du traité, les lois nécessaires à son application soient déjà en place.

En France, ACTA n’a fait l’objet de quasiment aucun article dans la presse officielle, et des sources nous ont fait savoir que le sujet était carrément censuré dans certaines rédactions. Aucun groupe parlementaire n’a demandé la moindre commission d’enquête : circulez, il n’y a rien à voir.

A votre bon cœur messieurs dames…

Sans Wikileaks, ce traité serait encore à ce jour secret, nous ôtant la possibilité de comprendre ce qui se trame réellement en France, en Espagne, et en Italie en ce moment. Si vous aussi vous pensez que le rôle joué par Wikileaks est essentiel pour la démocratie, faites un don, ils ont besoin de notre soutien. Vous pouvez également adresser vos don à La Quadrature du Net, qui joue un rôle indispensable pour la défense des citoyens face à ACTA auprès, entre autre, de la Commission Européenne.
http://fr.readwriteweb.com/2010/01/20/a-la-une/traite-acta-censure-loppsi-hadopi/

Merci à Roland de m'avoir signalé cet article chez Fatahelbab

http://panier-de-crabes.over-blog.com/article-acta-le-traite-secret-qui-pourrait-changer-la-face-d-internet-43362674.html

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Bilderberg de tous les pays, unissez-vous!

« Dans l’Irak de l’après-guerre, employez les forces militaires pour garantir les intérêts vitaux des États-Unis et non pour bâtir une nation. » (Fondation Heritage).
Et, au cas où vous n’auriez pas encore tout à fait compris, un document de la même Fondation Heritage, daté du 25 septembre 2002, nous disait encore : « Protégez les infrastructures énergétiques de l’Irak contre les sabotages internes ou les attaques extérieures afin de restituer l’Irak aux marchés mondiaux de l’énergie et faire en sorte que les marchés de l’énergie américains et mondiaux aient accès à ses ressources. » [
1]     
Toute autre affirmation dans la presse traditionnelle ou dans la presse officielle n’est que propagande ou mensonge. Un point, c’est tout.

De quoi faire tourner

les rouages du capitalisme


Le moment crucial où le pétrole a fini par occuper le centre de la scène se situe au début du 20e siècle, lorsque les flottes maritimes des empires les plus puissants de la planète, celles de l’Allemagne et de la Grande-Bretagne, ont cessé de brûler du charbon pour adopter le pétrole. Dès lors, les destinées de la Perse et du monde arabe allaient occuper définitivement le centre des ambitions impérialistes de l’Occident au point qu’à présent, nous vivons (et mourons) toujours avec les retombées de ces ambitions. Les exemples les plus actuels sont la Palestine et l’Irak et nous ne parlons pas des deux guerres mondiales au cours desquelles la lutte pour le pétrole et son contrôle fut au centre des préoccupations de tous les belligérants.


« Toutefois, on a rarement discuté le fait que, bien avant 1914 déjà, les objectifs géopolitiques stratégiques de la Grande-Bretagne comprenaient non seulement l’écrasement de sa plus grande rivale industrielle, l’Allemagne, mais, via les conquêtes de la guerre, l’acquisition d’un contrôle britannique sans conteste sur cette matière précieuse qui, en 1919, s’est révélée comme la matière première stratégique du développement économique à venir – le pétrole. » — « A Century of War » (Un siècle de guerre), F William Engdahl, p. 38. [2]

   
Le pétrole a étendu le rayon d’action des navires de l’empire en leur permettant de faire le tour du monde sans avoir besoin de refaire le plein, ce qui a permis à la marine britannique de s’assurer le contrôle complet des océans et des routes commerciales de la planète. L’un des objectifs de la Première Guerre mondiale fut de refuser à l’Allemagne l’accès aux gisements de pétrole récemment découverts dans ce qui est l’Iran actuel. Cela voulait dire contrôler l’accès au Moyen-Orient, où la mainmise britannique sur le canal de Suez (« volé » aux Français) finit par déterminer la destinée du peuple de la Palestine et, de fait, de la totalité du Moyen-Orient.
Naturellement, le pétrole n’est qu’une composante mais, sans lui, rien d’autre ne fonctionne, et surtout pas une armée mécanisée. Sans pétrole, rien de ce dont le monde moderne dépend ne fonctionne.

« L’Energy Bulletin du 17 février 2007 détaillait la seule consommation de carburant des avions, navires, véhicules terrestres et installations diverses du Pentagone, ce qui en fait le plus gros organisme consommateur de pétrole dans le monde. À l’époque, la marine de guerre américaine avait 285 navires de combat et de soutien et quelque 4.000 avions opérationnels. L’armée de terre américaine disposait de 28.000 véhicules blindés, de 140.000 engins roulants à mobilité élevée et à usages divers, de plus de 4.000 hélicoptères de combat, de plusieurs centaines d’avions à géométrie fixe et de 187.493 autres véhicules roulants. À l’exception de 80 sous-marins et porte-avions nucléaires, qui répandent une pollution radioactive, tous les autres véhicules du Pentagone fonctionnent au pétrole. » [3]

   
Les médias traditionnels voudraient vous faire croire que toute personne qui s’écrie « Pétrole ! » quand on il est question de l’Irak est une espèce de barjo, du genre prétendant avoir été kidnappé par des extraterrestres, ou pas moins qu’un partisan des théories du complot.

En 2003, quand les Américains et les Britanniques ont envahi l’Irak, j’ai été frappé par les plaidoyers désespérés de la presse traditionnelle pour dire que l’invasion n’avait rien à voir avec le pétrole et accuser ceux qui prétendaient que le pétrole avait tout à voir avec l’invasion d’être de stupides partisans de la théorie du complot vivant sans nul doute dans la fameuse zone 51.

« Les théories de la conspiration abondent (…). D’autres prétendent qu’elle a été inspirée par le pétrole (…). Cette théorie est une absurdité de dimension. » — The Independent, 16 avril 2003.


Par contre, les compagnies pétrolières n’étaient pas les dernières à se bousculer au portillon à propos du rôle central du pétrole dans l’invasion de l’Irak, en se faisant l’écho de ce qui se disait du côté de la Fondation Heritage :

« Je dirais que les compagnies pétrolières américaines en particulier (…) attendent beaucoup de la perspective de voir l’Irak s’ouvrir aux affaires [après le renversement de Saddam] », déclare un cadre de l’une des plus grandes compagnies pétrolières de la planète.


« Ce qu’ils [les néo-conservateurs de l’administration Bush] envisagent, c’est une dénationalisation, après quoi ils partageront le pétrole irakien entre les compagnies pétrolières américaines (…). Nous reprenons l’Irak, y installons notre régime, produisons du pétrole selon les possibilités maximales et disons à l’Arabie saoudite d’aller au diable. »  – James E. Akins, ancien ambassadeur des États-Unis en Arabie saoudite.



« Cela va probablement sceller la fin de l’OPEP. » – Shoshana Bryen, directrice des projets spéciaux du JINSA (Institut juif des questions de sécurité nationale), qui ajoute : « Après la chute de l’Irak et la privatisation de son pétrole, ce sera chose faite. »


« Les compagnies américaines vont tirer le gros lot, avec le pétrole irakien. » – Ahmed Chalabi, dans The Washington Post.


Dans « The Future of a Post-Saddam Iraq: A Blueprint for American Involvement » (L’avenir d’un Irak après Saddam : un plan pour l’engagement américain), une série de documents de la Fondation Heritage élaborent un plan de privatisation du pétrole irakien et du reste de l’économie du pays. [4]

S’agit-il d’une conspiration ? En fait, cela dépend du sens que vous donnez à ce mot. Les définitions du dictionnaire anglais sont les suivantes :

    1. Action de conspirer.
    2. Un plan malveillant, illégal, traître ou clandestin fomenté en secret par deux ou plusieurs personnes.
    3. Une réunion de personnes dans un but secret, illégal ou malveillant.
    4. Juridiquement : un accord entre deux ou plusieurs personnes prévoyant de commettre un délit, un acte frauduleux ou tout autre acte répréhensible.
    5. Tout concours de circonstance dans une action, toute combinaison visant à faire apparaître un résultat escompté.

J’aurais pensé que, collectivement, tout concordait, dans la description de l’invasion de l’Irak. Après tout ce que Bush et Blair avaient mijoté pour tromper le monde en fabriquant des preuves de la présence en Irak d’armes de destruction massive (ADM), afin de justifier l’invasion normalement illégale du pays. Ils ont conspiré (avec d’autres) pour détruire un pays et voler ses ressources. Il s’agit donc bien d’une conspiration.

Cela dit, il y a ceux qui vont beaucoup plus loin en affirmant qu’il y a une conspiration mondiale remontant à au moins cent ans et réunissant les classes politiques des États-Unis et du Royaume-Uni qui, en compagnie des puissantes banques et des grands conglomérats de l’énergie, a toujours cherché à contrôler la planète, ses ressources, ses marchés et sa main-d’œuvre. Mais s’agit-il d’une conspiration ou tout simplement de l’impérialisme faisant ce qu’il fait le mieux : piller, assassiner et coloniser ? En d’autres termes, avons-nous besoin d’une conspiration pour expliquer les événements ? D’autant qu’il s’agirait d’une conspiration remontant à un siècle au moins ? Cela ne change rien à l’affaire : nous sommes toujours confrontés aux mêmes forces.

La question adéquate est celle-ci : Pourquoi les médias traditionnels privés ou publics insistent-ils sur le mot « conspiration » pour semer la dérision sur toute personne mettant en question l’orthodoxie en vigueur ? La réponse est tout de suite évidente : le mot « conspiration » a été déformé afin de lui faire signifier, non pas ce qu’en dit le dictionnaire, mais tout ce qui pourrait contredire les raisons avancées par nos maîtres politiques sur le pourquoi des événements qui se produisent.

L’histoire est truffée de toutes sortes de conspirations entre États et/ou sociétés, de l’incendie du Reichstag à la provocation du golfe du Tonkin ou au renversement par la CIA et ITT d’Allende au Chili, ou encore aux ADM inexistantes de l’Irak. D’où le besoin de dissocier le pétrole de l’affaire Irak/Iran/Afghanistan, au cas, précisément, où des gens en viendraient aux justes conclusions quand aux raisons profondes de certaines choses qui se passent.

Par conséquent, on mutile le langage afin de servir les objectifs de la classe patronale et l’opération reçoit un coup de main de la part des fanas de la conspiration réelle qui voient toute chose comme une conspiration, remontant parfois des siècles en arrière et impliquant des cabales secrètes de l’une ou l’autre espèce. Le fait de rattacher la gauche à cette bande sert à déprécier nos arguments et il ne fait aucun doute que voilà l’objectif réel de la chose.

Il ne fait aucun doute non plus que la classe du crime international noue des contacts, intrigue et planifie. C’est précisément ce à quoi sert le Council on Foreign Relations (CFR), tout comme Chatham House (l’Institut royal des affaires internationales), son équivalent britannique. Les deux organisations ont été mises en place dès les premières décennies du 20e siècle en tant que renforcement de l’« Alliance anglo-saxonne ». Un survol des membres du CFR illustre le fait que les principaux gouvernements occidentaux sont tous, effectivement, des serviteurs du Grand Capital.

À l’instar du groupe Bilderberg, composé de « capitaines d’industrie » internationaux et de décideurs clés des classes politiques des principaux États capitalistes. Mais s’agit-il bien d’une conspiration ? À un certain niveau, non. Après tout, il est absolument légitime que les classes dirigeantes planifient et organisent. Et c’est pourquoi Washington DC craquent aux entournures avec toutes ces « Fondations » et « Commissions d’experts ». Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, des milliards de dollars des finances publiques et privées ont été versés dans ces organisations. Leur objectif ? Propager le « libre marché » et contrer toute opposition par des moyens légaux ou tordus.

« (…) les hommes les plus puissants du monde se sont rencontrés pour la première fois » à Oosterbeek, aux Pays-Bas [il y a plus de cinquante ans], « ont débattu de l’avenir du monde », et ont décidé de se rencontrer chaque année en secret. Ils se sont appelés eux-mêmes le Groupe Bilderberg, dont les membres représentent le gratin des élites du pouvoir mondial, venues généralement d’Amérique, du Canada et de l’Europe occidentale. Ils portent des noms familiers comme David Rockefeller, Henry Kissinger, Bill Clinton, Gordon Brown, Angela Merkel, Alan Greenspan, Ben Bernanke, Larry Summers, Tim Geithner, Lloyd Blankfein, George Soros, Donald Rumsfeld, Rupert Murdoch, d’autres chefs d’État, des sénateurs influents, des membres du Congrès et des parlementaires, des huiles du Pentagone et de l’Otan, des membres des monarchies européennes, des gens des médias triés sur le volet et d’autres personnes, invitées – comme si de rien n’était, par de simples notes, comme Barack Obama et ses collaborateurs les plus importants. » — « The True Story of the Bilderberg Group » (La véritable histoire du groupe Bilderberg), par Daniel Estulin. [5]


Il est clair que le capitalisme moderne a évolué, en quelques générations qui se chevauchent, avec toute l’apparence d’une conspiration dans le sens le plus large du terme et dans toute sa sophistication : il emploie une immense armée d’agents comprenant des éléments clés des médias et des universités, des gens du monde des affaires, des décideurs à la fois à l’intérieur et à l’extérieur des gouvernements. Une « conspiration » pour maintenir le capitalisme en tant que seule modèle autorisable de société, mais comment pourrait-il en être autrement ?  Les enjeux sont simplement trop importants et, pour le prouver, il nous suffit de voir comment cette puissante élite internationale de gens du monde des affaires, des gouvernements et des médias a conspiré pour liquider le COP15 [le sommet de Copenhague, 15e du genre] sans tenir compte le moins du monde des conséquences que cela entraînerait.

Les liens de famille, d’éducation et d’affaires – avec l’État en tant que « médiateur » – ont créé ce qui est devenu aujourd’hui un réseau international mettant en rapport les classes dirigeantes des États capitalistes les plus puissants. Voilà pourquoi ils ont un Groupe Bilderberg, c’est l’endroit où les magnats des affaires, la classe politique, les médias sélectionnés et les universitaires peuvent se rencontrer et formuler les stratégies et les tactiques nécessaires dans un monde où les communications, aujourd’hui, se font pour ainsi dire de façon instantanée. Cela ne se verra plus, des gouvernements qui produisent des déclarations non en ligne avec le « consensus », comme cela arrive encore de temps à autre, avant que l’illusion ne soit rapidement rompue.

Nous sommes dans un monde où les forces économiques dominantes sont composées de quelque deux cents sociétés importantes. Ces sociétés, de fait, font en sorte que leurs gouvernements respectifs appliquent des mesures favorables à leur survie et une prospérité croissante à leurs principaux actionnaires. La chose logique à faire pour ces sociétés est de s’allier autour de problèmes qui les affectent toutes. Je serais extrêmement surpris si le Groupe Bilderberg ou quelque chose dans le genre n’existait pas.

Et les problèmes sont aisés à comprendre. L’accès aux matières premières, leur contrôle et leur possession ; l’accès à une main-d’œuvre bon marché ; la liberté de mouvement pour le capital ; et, las but not least, la neutralisation des défis à la domination du capital où qu’ils se présentent.

Déployé contre nous, le peuple, il y a un immense appareil de contrôle et de manipulation qui comprend les fondations gouvernementales, « non »-gouvernementales, privées, les médias de l’État et les médias inféodés aux sociétés, les « loisirs et programmes d’amusement » sous toutes leurs formes merveilleuses, les commissions d’experts, les instituts et institutions, les fondations, les académies et universités, les organes officiels et officieux, à la fois nationaux et transnationaux, les associations, les ONG et les « ONG », les associations caritatives et « caritatives », tous et toutes étant lourdement subventionnés par l’État et/ou par les sociétés. Qui a besoin des « Illuminati », quand nous avons tout ce déploiement ligué contre nous ?
suite ici (notes)
http://www.michelcollon.info/index.php?view=article&catid=6&id=2498&option=com_content&Itemid=11
 
Internet, Lire aussi :
ACTA : Internet bientôt contrôlé mondialement ? 
LOPPSI passera à l’Assemblée le 9 février

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Merci pour les articles concernant l'avenir d'Internet. Très inquiétant.
Par contre, il existe une solution : le réseau Freenet qui est un réseau totalement anonyme et crypté, idéal pour échapper à la censure. Voici l'article Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Freenet. J'ai eu l'occasion de le tester : ça marche bien quoique un peu lent et peu fourni. L'installation du logiciel d'accès ne pose pas de problème particulier : il suffit de bien lire la documentation et de bien suivre les indications à l'écran.
Amitiés, Yann


C O M M E N T A I R E S  :  I C I

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commentaires

E
<br /> <br /> Ed,<br /> <br /> <br /> ??????, eva<br /> <br /> <br /> <br />
E
<br /> <br /> but the whirligigs were originally displayed in the yard of the Gehrke’s north Grand Coulee home, where they welcomed visitors from around the world.<br /> <br /> <br /> <br />
E
<br /> Cher Tigrenoir,<br /> <br /> Lopsi n'est qu'un prétexte pour commencer à restreindre notre liberté ! Cordialement, eva<br /> <br /> <br />
T
<br /> Par rapport a la LOPSI II, ils tentent de nous faire croire que en bloquant les sites pédophiles en France, du jour au lendemain tout ça va s'éffondrer et disparaitre ? Qu'ils nous prennent pour<br /> des idiots tient, le seul et unique moyen de vraiment en finir avec ça, ça serait de créer une police internationale devant traquer les sites, les serveurs et les personnes et les arrèter par la<br /> force là, avec leur système LOPSI, si il n'est réellement dédié qu'a ça, ce que personne ne croient bien entendu, on se contenterai de bloquer les sites,et de dire "on en a pas chez nous, ça<br /> n'existe pas", ça rappel pas a certains un certains nuage radioactif qui était partis de Tchernobyl ? Et ensuite, mettont qu'ont soient vraiment mauvaises langue, et que ça serve à ça, qu'est ce<br /> qu'il nous dis qu'il ne vont pas bloquer ensuite les sites sur la liberté de la presse, les jeux en lignes, les sites des autres partis politiques : rien, car on sait tous que ça va se passer comme<br /> ça ALors je trouve que utiliser le motif de la pédophilie sur internet pour justifier un bloquage complet de l'internet : ceux qui ont imaginés cette idée sont sans doute pire que les pédophiles<br /> eux même, car ils utilisent ce motif sans se soucier le moins du monde de tous ces gamins et gamines qui sont violés et qui vivent l'enfer au quotidien : dans un certains sens, ils exploitent eux<br /> aussi ces gamins Ces personnes là devraient avoir honte, et devraient démissioner sur le champ de toutes les fonctions administratives qu'ils occupent, qu'ils soient ministres, sénateurs, députés,<br /> et dans le même temps président de conseil généraux ou régionaux ou maires la seule possibilité de rédemption que je veux bien leur laisser, c'es de créer une commission permettant de créer cette<br /> police dont je parle plus haut<br /> <br /> <br />
E
<br /> Merci  Yann,<br /> <br /> je l'ai mis dans CET article, et sur le dernier (nanotechnologies)<br /> <br /> cordialement eva<br /> <br /> <br />

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