L'esclavage des Noirs est aussi un génocide,
TOUS sont graves et à dénoncer
Eva R-sistons
L'esclavage est l'une des plus grandes tragédies de l'histoire de l'humanité : 28 millions d'Africains ont été arrachés à leur terre et réduits à l'asservissement. Cette cause a été trop longtemps la grande oubliée, scandaleusement, comme s'il n'existait qu'un seul génocide qui comptait, celui d'une partie des Juifs. On se demande pourquoi, d'ailleurs. Y aurait-il des souffrances supérieures aux autres ? Au nom de quoi ? N'est-ce pas là une forme de racisme intolérable à dénoncer ? Il faudrait peut-être mettre un jour sur la table, ouvertement, franchement, la question de la surmédiatisation d'un seul génocide au détriment de tous les autres ; et à propos de racisme, il faudrait par la même occasion dénoncer l'incroyable arrogance de ceux qui osent estimer qu'il y a deux types d'individus, les Juifs et les Goys à éliminer comme des animaux (voir le Talmud). Voilà un scandale encore plus grave que la surmédiatisation d'un seul holocauste, comme si le reste était méprisable.
Tous les génocides sont insupportables, tous les racismes sont intolérables. Cette règle ne doit souffrir aucune exception. Et je tenais à la rappeler avant d'entamer ce dossier sur une page trop longtemps occultée (celle de la mise en esclavage d'une partie de la population noire) car elle dérangeait les Occidentaux persuadés de la supériorité de leur prétendue civilisation, et osant d'ailleurs se proclamer grands défenseurs de la démocratie alors que leurs actes (en Europe ou au sein de l'OTAN) contredisent sans cesse leurs paroles édifiantes.
Et en France, les principes de la République ne souffrent eux aussi aucune exception, ils doivent atteindre une dimension universelle et être défendus en tous temps et en toutes circonstances. Je le dis fermement.
Quant à l'affirmation de la diversité en France, elle repose sur un fondement historique, sur sa prospérité économique prenant en partie racine sur le travail de ces citoyens, et sur le sacrifice de nombre d'entre eux pendant nos guerres. La France, pour respecter ses valeurs, ses traditions, doit s'engager à extirper toute forme de discrimination. Et à ce propos, on peut saluer la présence, malgré un agenda très chargé, du nouveau Président, François Hollande, à la cérémonie du 10 mai commémorant la reconnaissance de l'esclavage en tant que crime contre l'humanité, en tant que génocide. Il faut voir là le symbole d'une France apaisée, unie, renouant avec ses principes universels de liberté, d'égalité, de fraternité.
Personnellement, je souhaiterais que l'on passe de la reconnaissance de ce génocide particulièrement inhumain à la repentance puis à la réparation, à l'indemnisation, d'une façon ou d'une autre, des descendants des victimes. Car la reconnaissance de la souffrance ne suffit pas. Les actes comptent plus que les paroles !
Donc, on a enfin reconnu, en France, la souffrance infligée à nos frères et soeurs noirs, notamment grâce à l'acharnement de Mme Taubira et à l'intervention de M. Jacques Chirac en personne, et l'Histoire leur en saura gré. L'homme blanc, occidental, est plus prompt à voir les manquements des autres que les siens. Et à tenter de masquer ses crimes racistes ou économiques, en particulier le commerce de la chair humaine sur lequel se sont édifiées tant de fortunes insolentes.
http://www.cartemartinique.com/la-martinique/histoire-de-la-martinique.php
Le calvaire des esclaves noirs
Razziés, déportés d'un continent à l'autre, ils ont tout enduré : Enfants arrachés à leur mère, esclaves enchainés à fond de cale (25 % de la cargaison ne survécut d'ailleurs pas au voyage) puis dans les plantations, privés de liberté, battus, humiliés... On leur a tout pris : Leur famille, la liberté, la dignité, leurs rêves, leur vie toute entière !
Ils ont été traités comme du bétail, marqués (plus de nom mais un simple code), celui qui volait ou frappait était condamné à mort, les fugitifs étaient poursuivis par des chiens dressés... Le Maître avait tous les droits, coups, carcan, chaîne, cachot... La civilisation "occidentale", prétendument supérieure, confine trop souvent à la barbarie ! Et là, après avoir dépeuplé l'Afrique pour peupler un continent, elle s'est enrichie sur le dos de millions d'êtres humains.
Au final, une vie entière de douleurs pour satisfaire les appétits de l'homme blanc, un destin tragique d'où ont d'ailleurs jailli les admirables negro spirituals, chants de détresse de tout un peuple meurtri, témoignages vivants de l'atrocité subie, endurée pendant si longtemps sans qu'aucune conscience ne soit heurtée.
http://www.africamaat.com/Histoire-de-l-esclavage-la
L'esclavage des Noirs est AUSSI un génocide - Distillerie
Le combat des abolitionnistes
Il a commencé à la fin du XVII e siècle, et n'a abouti que 2 siècles plus tard. Le Brésil fut le dernier pays d'Amérique à interdire l'esclavage, en 1888.
C'est dans la colonie française de St Domingue que les Noirs s'insurgèrent les premiers en 1791 afin de réclamer l'abolition de l'esclavage. Sous la conduite de Toussaint Louverture, ils l'obtinrent en 1793 sans conditions ; Cette rébellion marqua le début de la lutte pour l'émancipation. En 1807, l'Angleterre abolit la Traite, mais il fallut attendre 1848 avec Victor Schoelcher (Sous-Secrétaire d'Etat aux Colonies) pour obtenir l'émancipation complète, suivie plus tard d'une autre procédure d'émancipation, cette fois Outre-Atlantique.
La France, depuis la Révolution française, déclare que "tous les hommes naissent libres et égaux en droits", mais alors, par exemple, pourquoi les Roms sont-ils toujours traqués, chassés, persécutés ? Pourquoi 500.000 Tsiganes ont-ils été victimes de la terreur nazie ? Pourquoi hier ostracisait-on les Juifs, et aujourd'hui, pourquoi cette campagne de diabolisation des Musulmans préfigurant les Nuits de Cristal de demain ? A quoi sert-il de commémorer l'horreur, si c'est pour la perpétuer à nouveau ?
L'Occident croyait à sa supériorité, notamment en raison de la couleur de sa peau, il croyait que sa civilisation était supérieure aux autres - mais aujourd'hui, certes de manière plus feutrée, l'horreur n'est-elle pas toujours d'actualité ? J'irais plus loin : Notre 21e siècle ne pousse-t-il pas à son paroxysme la barbarie, en favorisant avec la mondialisation ultra-libérale l'accaparement des biens de la planète par une minorité au détriment de tous les peuples, et pire encore, en les sacrifiant ? Sans parler des atrocités du néo-colonialisme un peu partout dans le monde, orchestrées encore et toujours par l'Occident anglo-saxon, français, mais aussi israélien, désormais tous également arrogants et conquérants. Et ne parlons pas de la barbarie du Nouvel Ordre Mondial en gestation, qui dépassera tout en horreur !!!
Crimes contre l'humanité, ici Tsiganes arrêtés avant d'être déportés
Scène du film Liberty - Tony Gatlif - La "Shoah" des Tsiganes
Nouvelles formes d'esclavage, de servitudes
L'abolition de l'esclavage n'est pas synonyme d'émancipation des peuples, on est très loin de l'égalité réelle entre les individus. Certes, aujourd'hui, plus de racisme, plus d'idée de race inférieure, plus de ségrégation, mais l'âpre appât du gain, les intérêts économiques entraînant le "travail forcé", le "travail asservi", et surtout la banalisation de la marchandisation des humains assortie de toutes les formes de violence économique et sociale.
L'esclavage moderne revêt aujourd'hui de multiples formes, plus subtiles, plus discrètes, cachées sous le vernis de la démocratie.
Deux exemples de nouvelles formes de servitude :
- Industriels et patrons font la valise vers des états esclavagistes, fuyant ainsi les pays de droit social.
- Le travail forcé. C'est de l'esclavage ! En particulier de la fin du 19 e siècle à la Seconde Guerre mondiale, le travail forcé a été général sur le continent africain, imposé par tous les colonisateurs (Kenya britannique, mines sud-africaines, Côte d'Ivoire..). D'ailleurs, un système juridique s'est mis en place, finalement d'essence raciste, refusant aux Africains les droits des citoyens. Que dire de l'apartheid sud-africain, par exemple ?
Quelle différence y-a-t-il entre un esclave et celui qui est forcé de travailler ? Le statut est différent. L'esclave appartient à son maître; Le travailleur forcé, lui, reste libre en droit mais dans les faits, il est réquisitionné et contraint de travailler. Les colonisateurs y ont trouvé leur compte, mais aussi les Elites locales, non seulement en tant que collaboratrices mais également pour renforcer cette forme d'esclavage juteuse pour elles.
Il convient aussi de dire que tous les aspects de la vie humaine deviennent marchandise, et toujours sous la houlette de l'Occident. Hier, nos frères et soeurs noirs étaient transformés en marchandises exportables, mais la "flexibilité" du travailleur, aujourd'hui, est une forme de domination du puissant sur le faible, ravalé au rang de pion à placer et à déplacer au détriment de sa vie de famille, au détriment de ses projets. Le travailleur devient ainsi la propriété du maître (d'ailleurs de plus en plus anonyme) qui décide de son sort, de sa délocalisation, du lieu de sa vie, de son salaire - continuellement amputé -, de ses horaires même le dimanche, de son rythme de travail, de son licenciement de moins en moins indemnisé... pour ne citer que ces exemples. Ainsi, la souffrance au travail entraîne de plus en plus de suicides. Vous avez dit "civilisation" ?
Notons aussi que l'esclavage a réapparu dans les camps de concentration, une entreprise délibérée d'exploitation et d'extermination. Esclavage d'exportation ou de déportation, c'est toujours la barbarie !
Pour nous Français, la honte de l'esclavage, quelle que soit sa forme, renvoie au manquement à nos valeurs républicaines, à la liberté de chacun, à l'égalité de tous, à la fraternité universelle. Elle aura été une abominable entorse à nos beaux principes qui étaient devenus des références incontournables pour les autres peuples. Et nos manquements, aujourd'hui, sont décriés dans toute l'Europe pourtant frileuse. Souvenez-vous du scandale qu'a provoqué le renvoi des Roms hors de nos frontières... D'ailleurs, pendant le mandat de Nicolas Sarkozy nous avons de plus en plus piétiné les valeurs qui sont pourtant le fondement de notre République !
Eva R-sistons
L'homme blanc et l'homme noir
http://kamitewoman.over-blog.com/article-histoire-de-l-esclavage-la-recreation-est-terminee-par-jean-philippe-omotunde-48530360.html
Généralités...
Parce que les Noirs négligent leur histoire, ils se laissent berner par des discours pseudo- historiographiques sans fondement scientifique, qui nuisent à la construction de l'image qu'ils se font de leur ancêtres. Ils sont ainsi victimes du double effet " kiss cool" historique : Au pays des aveugles, les borgnes sont rois !
1- Les plantations n'étaient pas des camps de concentration : Ah bon ?
Dans leurs ouvrages, les idéologues occidentaux qui prétendent être des "historiens", affirment que les plantations de cannes à sucre de l'époque esclavagiste, ne peuvent être comparées à des "camps de concentration", tout simplement parce que la politique de natalité y était encouragée contrairement aux camps allemands. On reconnait là, la patte des membres du fan Club d'Eric Zemmour !
2- Les plantations étaient bel et bien des camps de concentration !
Les données relatives à la Guadeloupe révélées par Lasserre, montrent qu’en 1671, il y avait sur 1513 couples possibles, 0, 71 enfants et plus d’un siècle après en 1790, on en était encore à 0,80 enfant par couple possible.
Pour la Martinique, Gabriel Debien montre qu’en 1763, il y avait 0,57 % de femme agées de plus de 17 ans ayant un enfant de moins de 6 ans.
Pour Saint Domingue, le même auteur révèle que de 1741 à 1772, sur une plantation de 120 esclaves, il n’y a eu que 2 enfants par an. Après, même avec 50 esclaves de plus, le nombre était resté le même.
Sur une autre plantation de 150 esclaves, on a noté 6 naissances en 1787, 5 en 1789 et un seul en 1790.
Ainsi, on le voit bien, les colons n’ont jamais encouragé la natalité pour éviter de réduire leur profit et les seules plantations où la natalité a été quelque peu prise en considération sont celles des.... pères Jésuites, dominicains ou autres venus soit-disant évangéliser les Nègres. Ces données sur la natalité ont été encore soulignées le Marquis de Fénelon en Guadeloupe et en Martinique. Il constata aussi que c’était le seul avantage que ces plantations "religieuses" accordaient à leurs esclaves. On est très loin du catéchiste !
Ainsi, le taux de fécondité des femmes a été particulièrement mis à mal, en raison des conditions de vie inhumaine, sur les plantations. Selon l’étude de G. Debien, peu de femmes parvenaient à être fécondes et les colons préféraient acheter en permanence de nouveau captifs plutôt que d’encourager la création de familles.
3- L'esclavage des Noirs est aussi un Génocide !
C’est le point le plus discuté du débat car par « Génocide » on entend une "extinction raciale" immédiate et massive.
Mais la véritable question est la suivante : Quelle est légitimement la durée d’extinction en dessous de laquelle on ne reconnaît pas l’aspect génocidaire d’un Crime contre l’humanité ? 5 minutes ? 50 minutes ? 5 ans ? 50 ans ? En réalité, il n'y a aucune durée, seule compte l'issue finale.
Ainsi, si on tient compte des données chiffrées relatives à l'espérance de vie, dévoilées par Gabriel Debien, les plantations françaises de St Domingue (Haïti), on découvre ceci :
o Sur la plantation Cottineau, 58 % des esclaves achetés en 1773 étaient décédés en 1774,
o Sur la plantation Constand, 51 % des esclaves achetés en 1764 étaient mort en 1767,
o Sur la plantation Grandhomme, 5O % des esclaves achetés en 1764 étaient décédés en 1768.
o Sur la caféière Guiton, on a 32 % de morts entre 1767 et 1768.
On constate alors que pour les plantations de :
o Cannes à sucre, en l’espace de 2 à 8 ans, 100 % des esclaves achetés à un moment x, avaient déjà rendu l’âme,
o Café, en l’espace de 3 à 4 ans, 100 % des esclaves achetés à un moment x, avaient rendu l’âme.
N’a-t-on pas ici, la preuve formelle qu’il s’agit bien d’un génocide calculé combinant les aspects suivants :
o Kidnapping d’enfants appartenant à un groupe ethnique,
o Altérations physiques et mentales portés à un groupe ethnique précis,
o Atteinte à la personne humaine,
o Altération de la fécondité féminine naturelle et des naissances,
o Meurtre programmé d’individus utilisés comme « bêtes de somme ».
5- Récréation kamite...
En Mai 2006, le prof. Steven Han proclamait dans le Monde Diplomatique, pour masquer l’aspect génocidaire des plantations sucrières, que « Les plantations de cannes à sucre n’étaient pas des abattoirs : elles fonctionnaient selon un système de travail fondé sur l’exploitation et l’oppression, auquel les esclaves s’adaptaient et contre lequel ils luttaient tout à la fois ».
Mais en disant cela il se contredisait lui-même, car préalablement il avait consigné sur la même page, dans un passage relatif à l'économie sucrière, que « L’économie sucrière réalisait alors des bénéfices considérables et les planteurs estimaient moins coûteux de faire travailler leurs esclaves jusqu’à l’épuisement et d’en racheter pour remplacer ceux qui succombaient que d’encourager leur reproduction naturelle ». (..)
Le rôle de l'Occident est connu. Celui des Musulmans et des Juifs, moins. Donc, coup de projecteur sur eux. Musulmans, pour commencer. Entre le 7e et le 19 e siècle, des millions d'Africains ont été razziés et vendus par des négriers musulmans, une traite passée sous silence comme celle des Juifs. Voici 2 points de vue différents sur les négriers musulmans (eva):
Après l’occupation de l’Amérique et des Indes occidentales, et durant trois cent cinquante ans, la traite des esclaves a perduré. Les côtes africaines — où les Africains de peau noire furent capturés et apportés de l’intérieur des terres puis embarqués à bord des bateaux — étaient connues comme les Côtes des Esclaves. Pendant seulement un siècle (de 1680 à 1786), le nombre de gens libres ayant été capturés et asservis seulement pour les colonies britanniques s’élève, selon l’évaluation des auteurs britanniques, à 20 millions d’êtres humains. Sur une durée d’un an seulement (1790), il est dit que 75.000 êtres humains ont été capturés et envoyés pour des travaux forcés dans les colonies. Les bateaux utilisés pour transporter les esclaves étaient exigus et sales. Ces malheureux africains ont été jetés dans les cales des bateaux comme du bétail, empilés les uns sur les autres jusqu’au plafond, et bon nombre d’entre eux ont été enchaînés à des poutres en bois sur lesquelles ils pouvaient à peine se mouvoir tellement ils étaient à l’étroit. Ils ne recevaient pas de nourriture convenable, et s’ils tombaient malades ou étaient blessés, aucun traitement médical ne leur était prodigué. Les auteurs occidentaux eux-mêmes déclarent qu’au moins 20% du nombre total des personnes capturées pour l’esclavage et le travail forcé ont péri durant leur transport de la côte africaine vers l’Amérique. Ils ont également estimé que le nombre de personnes qui ont été capturées pour l’esclavage par les diverses nations européennes pendant l’apogée de l’institution esclavagiste atteint la centaine de millions au bas mot.
Voici l’histoire des personnes qui dénoncent les Musulmans jour et nuit pour leurs considérations sur l’esclavage. C’est comme si un criminel pointait du doigt un homme innocent.
Maintenant examinons rapidement la position et la nature de l’esclavage dans l’Islam ! L’Islam essaya de résoudre le problème des esclaves qui étaient en Arabie en encourageant par différentes manières les propriétaires à libérer leurs esclaves. Les Musulmans furent avisés que pour l’expiation de certains de leurs péchés, ils devaient affranchir leurs esclaves. Libérer un esclave de son propre chef était considéré comme un acte de grand mérite, à tel point que le Prophète déclara que les membres d’un individu qui libérerait un esclave seraient protégés du Feu de l’Enfer, et ce, en contrepartie des membres de l’esclave qu’il avait libéré. Le résultat de cette politique fut tel que lors du Califat orthodoxe [1], tous les anciens esclaves de l’Arabie furent libérés. Le Prophète libéra à lui seul quelque soixante-trois esclaves (..) De même, d’autres compagnons du Prophète libérèrent un grand nombre d’esclaves. Les détails sont donnés dans les traditions et les livres d’histoire sur cette période.
Ainsi, le problème des esclaves en Arabie fut résolu sur une courte période de trente ou quarante ans.
Après cela, la seule forme d’esclavage qui fut conservée dans la société islamique était celle des prisonniers de guerre, capturés sur le champ de bataille. Ces prisonniers de guerre étaient maintenus par le gouvernement musulman jusqu’à ce que le gouvernement adverse acceptât de les reprendre en échange des soldats musulmans faits prisonniers, ou par le paiement d’une rançon. Si les soldats capturés n’étaient pas échangés contre les prisonniers de guerre musulmans, ou que personne ne payait leur rançon, le gouvernement musulman les distribuait aux soldats de l’armée qui les avait capturés. C’était une manière plus humaine et plus appropriée de se défaire d’eux au lieu de les détenir comme du bétail dans des camps de concentration, en les contraignant aux travaux forcés et, si leurs femmes étaient également capturées, en les poussant à la prostitution.
Plutôt que se débarrasser des prisonniers de guerre d’une manière si cruelle et indigne, l’Islam préféra les répartir dans la population (..)
Dans les guerres modernes nous constatons également que si un gouvernement est complètement mis en déroute, sans possibilité de négociation pour les prisonniers de guerre, et que l’ennemi vainqueur obtient facilement des prisonniers, l’expérience a prouvé que les prisonniers de guerre de l’armée vaincue étaient maintenus dans des conditions beaucoup plus mauvaises que celles des esclaves (..) "
Extrait du livre « Les Droits de l’Homme en Islam » de Cheikh Al-Mawdûdî
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L’anthropologue musulman Malek Chebel révèle les pratiques d’asservissement dans le monde islamique et leur inquiétante persistance
Quel que soit l’exploiteur, occidental ou arabo-musulman, l’esclavagisme est un crime contre l’humanité qu’il faut éradiquer du monde entier
« Aujourd’hui encore le constat demeure affligeant. Je regrette que de nombreux musulmans, arabes ou non, ne semblent éprouver de plaisir, hélas, qu’en accomplissant l’inverse de ce que recommande si clairement le Prophète, et s’emploient sans vergogne à répudier leurs femmes et à mettre en servitude leurs domestiques. Au Koweït comme au Qatar, en Arabie Saoudite ou à Dubaï, l’employeur a depuis longtemps remplacé le négrier. «Esclaves économiques», Philippins, Indiens, Malais, Bangladais se sont substitués aux anciens captifs d’Afrique, Habachis et Zandj. Au Maroc se pose aujourd’hui la question des domestiques, ces «petites bonnes» non rémunérées, corvéables à merci, qu’on réquisitionne jour et nuit, et que les autorités elles- mêmes évaluent à plus de 1 million. Que dire aussi des eunuques à La Mecque ! Oui, en 2007, des eunuques gardent toujours les lieux saints de l’islam !
Soyons clairs, je n’attaque ni un pays en particulier, ni l’islam en tant que religion. Mais son dévoiement, qui n’en finit pas de faire des ravages. Il faut que l’Islam retrouve sa vraie nature et rejoigne enfin les grandes civilisations libératrices. »
Les Juifs et l’esclavage des Noirs : Acte 1
http://www.afriqueredaction.com/article-35075427.html
Le martyre et l’holocauste des nègres par les juifs trafiquants esclavagistes. Par Roger Dommergue Polacco de Ménasce
Quand la communauté noire internationale va-t-elle demander des réparations à la communauté juive pour l’immense préjudice que lui a causé le commerce juif des esclaves ?
Quand dressera-t-on un monument commémoratif de ce crime de lèse-humanité à ne jamais oublier ? Parmi ceux qui accompagnaient Christophe Colomb à son arrivée en Amérique, il y avait cinq juifs : Luis de Torres, Marco, Bernal, Alonzo de la Calle, Gabriel Sanchez. Ils persuadèrent Colomb de capturer 500 Indiens et de les vendre comme esclaves à Séville en Espagne. Les juifs furent chassés d’Espagne en 1492 et du Portugal en 1497.
Ils s’installèrent aux Pays-Bas où ils fondèrent « la Compagnie hollandaise des Indes Occidentales » (c’est à dire l’Amérique). En 1654, Jacob Barsimson fut le premier juif à émigrer de Hollande vers New Amsterdam (New York). De nombreux juifs le suivirent, s’établissant sur la côte et commerçant avec les autochtones. Le premier à exercer ainsi ce métier fut Layman Lévi qui échangeait des pacotilles venues de Hollande contre de précieuses fourrures. Les juifs Nicholas Lowe et Joseph Simon prirent alors part à ce fructueux commerce. Lowe eut l’idée de vendre du rhum aux Indiens sans méfiance. En un rien de temps la ville portuaire de Newport comptait 22 distilleries.
Toutes appartenaient à des juifs. L’intoxication alcoolique des Indiens et les massacres perpétrés en état d’ivresse sur les premiers colons européens sont dus à cette initiative juive. Newport, qu’on appela longtemps « Newport juif », devint un centre mondial du trafic d’esclaves avec l’Afrique. Les bateaux partaient de Newport vers l’Afrique Occidentale pour y capturer leur cargaison humaine noire. 128 bateaux qui débarquaient des esclaves à charleston appartenaient à des Juifs de Newport et de Charleston. La traite des esclaves était un monopole juif. Le juif Aaron Lopez joua un rôle très important dans ce monstrueux commerce de 1726 à 1774, il contrôla personnellement 50% de la traite de ces êtres humains dans toutes les colonies américaines.
En 1717 la première loge maçonnique fut fondée : 90% des membres en étaient juifs. Vingt ans plus tard la loge maçonnique King David fut fondée. Elle était entièrement juive ; Accompagnons le bateau « Abigaïl » du juif Aaron Lopez jusqu’en Afrique Occidentale. En mai 1752, il fut chargé de 34.000 litres de rhum, d’une énorme quantité de fers à mettre aux mains et aux pieds des Noirs qui seraient ramenés comme esclaves. Il y avait aussi pistolets, poudre, sabres, et une abondante camelote, comme fond de « commerce ».
Le capitaine Freedman était un juif. Trois mois plus tard ils abordaient la terre d’Afrique où de nombreux agents d’établissements juifs, travaillaient pour le compte des trafiquants d’esclaves, étaient sur place. Les choses se passèrent comme avec les Indiens : les chefs des tribus noirs étaient saoulés au rhum et vendaient or, ivoire et membres de la tribu. Souvent on menait les tribus noires à travers forêts et steppes jusqu’à la côte. Le trajet durait des semaines et beaucoup succombaient. Les cravaches empêchaient les colonnes d’esclaves de s’arrêter.
On abandonnait à une mort affreuse ceux qui ne pouvaient suivre. Des ossements jonchaient les pistes. Arrivés à la côte, ils étaient laissés dans leurs fers, inspectés comme du bétail, et gardés par des chiens féroces. On leur rasait le crâne et on les marquait au fer rouge, ce qui permettait de reconnaître les fugitifs. Pères, enfants, femmes étaient séparés et de désespoir certains se noyaient en se jetant à la mer Un voyage sans espace de trois mois était atroce. Manque de place, scènes de folie pour quelques centimètres carrés, matière fécale, fouets pour faire régner le calme.
Les femmes étaient violées par l’équipage. Les nombreux morts étaient jetés par-dessus bord. Historiens et statisticiens évaluent à 9 millions le nombre des victimes de cette horreur juive banalisée. Véritable holocauste celui-là. 11 millions ont dû survivre débarqués dans les ports américains où ils furent vendus dans de véritables marchés à bestiaux. Les bénéfices furent considérables : par exemple le voilier « la Fortuna » revint en Amérique avec 217 Noirs payés 4300 dollars et revendus 41.438 dollars.
Dans le nord des États-Unis le trafic d’esclaves était interdit. Les juifs Sandifortd Lay, Woolman, Solomon et Benezet oeuvrèrent afin qu’il devînt légal. L’institut Carnégie de Washington possède de nombreux documents qui prouvent de façon radicale que le vaste trafic d’esclaves fut un monopole juif, sur lequel les non-juifs n’avaient aucune participation. [...]
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http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/esclavage/abolition.asp.
Génocide tsigane à reconnaître, injustice historique à réparer (eva R ...
Un monument pour les homosexuels déportés - Reconnaissance de ...Spécial
Le néolibéralisme est une arme du guerre. l’Union européenne des 27 est 3 fois plus inégalitaire que les Etats-Unis d’Amérique et 69% plus que la Russie."
On approche d’une période sensible ou les monstres de la destruction des sociétés peuvent proliférer et agir au détriment des forces de construction du social tant au plan national qu’au plan continental.
http://www.legrandsoir.info/De-la-societe-francaise-clivee-et-trahie-par-ses-elites.html
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C O M M E N T A I R E S : I C I
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