Unis pour le pire... et pour l'Empire !
Introduction à cette parution
par eva R-sistons
Depuis plusieurs jours, on nous a préparés au "mariage du siècle", celui de William et de Kate, unis pour le meilleur... et pour l'Empire ! L'événement doit être d'importance : Les Médias aux ordres de l'Occident anglo-saxon doivent nous faire aimer d'abord la monarchie censée "unir, "rassembler", ensuite tout ce qui est anglo-saxon, même la City et son ultra-libéralisme financier fou, même les guerres habilement présentées comme étant faites "pour la démocratie ou pour protéger les peuples", même la culture et les valeurs des Anglais et des Américains. Joli lavage de cerveau, au service du Nouvel Ordre Mondial anglo-saxon qui doit tout unifier sous sa bannière ! Toutes les couleurs doivent se fondre en une, métissage et non diversité républicaine, Pensée Unique, idiome unique, Système unique - capitalisme ultra-libéral présenté comme le seul horizon possible, à travers une globalisation orchestrée par le couple anglo-américain et ses fidèles alliés israéliens et maintenant, aussi, européens... En d'autres termes, à travers ce mariage amplement médiatisé et glorifié (et avec FR2 la télé va-t-en guerre, via Pierre Servent un spécialiste des conflits et de l'Armée. Voilà qui est révélateur !), il faut faire rêver pour ne pas cauchemarder, ou plus exactement, il faut faire aimer à la population sa propre servitude.
Et pour la petite histoire, après la grande, sachez que ma mère, Mme Chaletzky, après avoir avec sa famille quitté, toute petite, l'Ukraine en 1917, avait atterri à Londres et s'était ensuite fiancée à un Lord. En faisant un voyage à Paris pour préparer son mariage, le hasard lui fit rencontrer mon père dont elle tomba éperdument amoureuse. Adieu l'Angleterre, le Lord, le mariage, et... la famille outragée, puisque ma mère rompit toutes les amarres et épousa mon père. Une telle audace fit qu'elle ne revit jamais sa famille. Enfin, le bel amour dura plus de cinquante ans, et c'est ainsi que j'apparus dans le meilleur des mondes pour ensuite, sous de telles auspices, lui envoyer de jolis pieds de nez. Bref, née dans l'anti-conformisme j'étais prédestinée à avoir une vie pas vraiment conventionnelle. Après l'acte insolent de la mère, voici que la GB a un nouveau grief, cette fois envers la fille qui la brocarde et même dénonce ses travers sinon ses crimes avec un plaisir inégalé. Gageons que les Services Secrets britanniques m'ont mise sur la liste des fidèles amis de la Couronne d'Angleterre. Pfff.... On n'échappe pas à la réalité, et la réalité de l'Angleterre, en ce jour de mariage princier, je vais la balancer... Tant pis, là encore, pour les convenances ! Anti-conformiste je naquis, anti-conformiste je poursuis...
Aujourd'hui, en ces jours de noces d'abord religieuses puis civiles du couple princier, j'appelle à demander la traduction de la Reine d'Angleterre devant la Cour Pénale Internationale pour crimes contre l'humanité. Tiens, les Nobel ont oublié de la couronner ? Après tout, Obama le va-t-en guerre a bien eu le prix.... Et tant d'autres amis du genre humain avant lui, de Kissinger à Elie Wiesel qui brûle d'entraîner le monde dans un conflit nucléaire contre l'Iran !
J'appelle aussi à songer à la mort d'une autre Princesse, Diana. Mort hautement suspecte. Ne savait-elle pas tout ce qui se tramait via la Couronne Royale ? Ne connaissait-elle pas les sombres plans du Royaume Uni pour la planète ? Et en aimant un Arabe, un Musulman, n'a-t-elle pas signé son arrêt de mort, à l'heure, justement, où le Nouvel Ordre Mondial trouve au travers de sa route assassine les valeurs du Coran ?
Et si les Révolutions arabes étaient conçues pour, en définitive, aligner les Arabes et les Musulmans sur le modèle anglo-saxon ambitionnant d'être unique, mondial, en plaçant à la tête de chaque Etat ses pions ?
Allez, place aux réjouissances, place au sujet du jour revisité par moi : Les crimes de la couronne d'Angleterre, car tout ce que décide le gouvernement anglais est signé par le représentant, ou la représentante, de la Couronne. Voyez mon article ici sur la plus grande base militaire américaine, de Diego Garcia :
Il était une fois un petit paradis perdu en plein Océan indien, d'une beauté incomparable. 1500 descendants d'esclaves vivaient là, au milieu des cocotiers, chassant, pêchant, cultivant, heureux au milieu d'une nature généreuse leur donnant tout à profusion.
Oui, mais un jour les Anglais et les Etats-Unis décident d'y installer une base militaire. Le territoire est stratégique ! Alors, les deux pays s'entendent sur le dos des habitants. Petits arrangements entre amis sans scrupules ! Je te donne l'île, car les sujets de sa Gracieuse majesté avaient mis la main sur ce bout de terre, et tu me vends des armes à prix... d'amis, bien sûr !
Nous sommes dans les années 60; La persécution des Chagossiens commence: Animaux gazés. Privations de travail. Intimidations. Et pour finir, maisons brûlées, terres confisquées, déportations en plusieurs vagues. Les descendants d'esclaves, habitués à la soumission, à la résignation, ne se défendent pas. Et ils retrouvent les cales de navires; Les négriers sont de retour ! Plusieurs préfèrent se suicider.
(..) Troisième acte. Les Chagossiens, devenus citoyens britanniques, obtiennent le passeport et peuvent donc être protégés. Kafkaïen ! Car ils ne sont pas plus avancés. En théorie, ils sont citoyens de l'Ouest, du monde "libre". A condition, évidemment, de ne pas retourner chez eux.... Donc, Sa Gracieuse Majesté signe des décrets interdisant aux Chagossiens de retourner dans leur île. Le monde libre n'est sans doute libre que pour les Blancs..
suite ici :
http://r-sistons.over-blog.com/article-ile-de-diego-garcia-le-vrai-visage-du-capitalisme-anglo-saxon-monstrueux-51076065.html
http://sergeadam.blogspot.com/2011/03/libye-les-imperialistes-francais.html
L'Angleterre est l' ennemie de l'humanité,
par eva R-sistons
Sarkozy a été choisi par les tenants du Nouvel Ordre Mondial anglo-saxon pour liquider la France, et d'abord sa politique. La cause est entendue, les Français sont désormais les supplétifs des Anglais et des Américains pour faire leurs guerres, au bénéfice des financiers et des dirigeants de multinationales. Adieu l'indépendance de notre pays, l'OTAN nous tient sous son joug.
Et Sarkozy a brisé le couple franco-allemand au profit du franco-anglais. Le Gl de Gaulle, qui se méfiait par-dessus tout des Anglo-Saxons, doit se retourner dans sa tombe. Or donc, voici notre pays en train de guerroyer dans trois pays à la fois, pour commencer. Avec l'Angleterre de Cameron. Silence des Elus, silence des citoyens. Jusqu'à quand la complicité criminelle ?
Des guerres coloniales pour asseoir la puissance de la GB
Car l'Angleterre ne marie pas seulement ses Princes et ses Princesses, aux frais des contribuables - en pleine crise, alors que le Premier Ministre programme une austérité sans précédent pour les sujets de la Couronne britannique - , elle prend aussi la tête des croisades contre le genre humain. La voici avec notre Shérif en chef pour bombarder les Libyens du Colonel Kadhafi qui prend un peu trop de liberté avec l'Occident impérial (n'a-t-il pas eu l'idée de nationaliser le pétrole pour en faire profiter tous les Libyens ?). L'Angleterre qu'on veut à tous prix nous faire aimer est de toutes les guerres : D'Afghanistan comme d'Irak. Et à propos d'Irak, il paraît que notre bien-aimé Président aurait tout fait (bien qu'il se défende du contraire), pour y envoyer nos troupes !
Or donc, souvenez-vous: Blair était un chaud partisan de la guerre contre l'Irak, aux côtés de son compère Bush, afin de neutraliser un programme d'armes de destruction massive inexistant. Quels intérêts servait-il ? A quel prix ? Les Britanniques attendent toujours l'explication de sa participation à une guerre juridiquement illégale et politiquement illégitime. Sait-on, aussi, que Blair est, à l'instar des principaux dirigeants britanniques, ennemi des Droits de l'Homme ? Ainsi, le triste sieur a soutenu Bush et ses mesures anti-terroristes comme le transfert, à l'étranger, des hommes soupçonnés de terrorisme, pour mieux les torturer. Délégué par l'UE pour les affaires du Proche-Orient, on se demande ce que cet auto-proclamé chrétien y fait, à part percevoir des rémunérations sans doute substantielles.
Certes, l'Angleterre a toujours, officiellement ou discrètement, pris part aux équipées les plus meurtrières. Les guerres ottomanes ont été provoquées par la Couronne d'Angleterre, pour démembrer et installer des hommes de paille. Le Califat portait ombrage à l'Empire ? Donc, on l'élimina. Et que dire des folles expéditions coloniales en Chine ou en Inde ? Le monde est rouge du sang versé par les Britanniques assoiffés de domination, de prédations et de pillage des ressources. Car l'expansion de l'Angleterre s'est faite en accomplissant partout les pires crimes. Pour devenir le centre du monde, la GB confisqua les richesses de continents entiers, elle perpétua le système esclavagiste, elle imposa partout son Etat colonial au détriment du développement local... Ainsi, les guerres meurtrières devinrent le socle de sa puissance financière.
Faut-il rappeler, aussi, que c'est au coeur de la City que se programment les guerres mondiales pour le seul profit des plus nantis ?
La City, centre mondial de la cupidité
Voici un résumé, à ma façon, de l'émission "Dans le secret de la spéculation financière", programmée par FR2 en pleine nuit, quand tout le monde dort.
Les banques, c'est un sport de gentlemen (sic). En se livrant à une spéculation effrénée, elles deviennent de plus en plus puissantes. Elles financent le grand commerce international. Au 19e siècle, par exemple, cela représente le quart du commerce mondial. Les banques d'affaires se développent aux côtés des banques de dépôts; l'épargne est utilisée pour d'importants projets industriels. Ces banques prennent beaucoup de risques. Sous M. Thatcher, qui misa tout sur la finance, elles prospérèrent. Puis des banques de dépôts fusionnèrent avec des banques d'affaires. Finies les banques de "gentlemen" ! Place aux méga banques, avec leurs traders, leurs endettements faramineux et leurs crises. Des crises qui vont peser sur les citoyens qui n'en sont pas responsables, car si les profits sont privatisés, les pertes sont socialisées.
Les banques de la City ont beaucoup de chance : On y croise la Reine d'Angleterre (sic). Mais elles ont changé, aujourd'hui: Davantage bling-bling, moins gentlemen. Il s'agit de gagner le plus d'argent possible, plus seulement de jouer aux courses: "Faire des tonnes de fric". Des tonnes !!! Et à la bourse, on joue avec l'argent des citoyens....
La City, c'est un petit club de blancs, un tout petit club avec des Blancs bien blancs qui prennent de plus en plus de risques, notamment avec des produits dérivés toujours plus complexes. On propose des crédits aux gains ahurissants, et les bonus, à la fin de l'année, récompensent les plus hardis. C'est la bulle de la City anglaise, où l'on est motivé uniquement par l'argent. Et tant pis si les produits dérivés explosent ensuite, les peuples paieront la facture. C'est ça, la banque "moderne". Le Marché, l'Argent, sont devenus une fin en soi, plus un moyen. Tous les risques sont permis, la communauté paiera. Elle est pas belle, la haute finance anglo-saxonne ? Pas étonnant qu'elle livre une guerre sans merci à la Finance Islamique, éthique, elle...
Et si vous voulez poursuivre le rêve anglais des Princes et des bergères qui épousent des Princes, sachez que les jolis jolis produits dérivés contribuent à déstabiliser le Système mondial. Mais malgré les pressions internationales, la City, ce produit 100 % british, n'a pas l'intention de changer. Après moi le déluge ! La spéculation plaît, car l'argent circule, circule, circule... Jusqu'à quand pourra-t-on poursuivre les dérégulations de l'ère Thatcher ? Le problème, pour la City, c'est que le centre de gravité de l'économie mondiale se déplace. En Chine, très exactement. De quoi susciter les ardeurs des industriels de l'armement contre ce pays...
Mais la City continue d'attirer les banques du monde entier : Ainsi, cinq nouveaux gratte-ciel sont en construction. Et les crédits distribués sont toujours plus risqués...
Voilà, résumée à ma manière, l'émission sur la City.
La City est le grand pivot de la Finance internationale. On y trouve les principaux apôtres de la financiarisation de l'économie, surtout depuis que la dame de fer, M. Thatcher, a impulsé le "modèle" anglo-saxon au coût social terrifiant, qui d'un côté libéralise et enrichit toujours plus, de l'autre appauvrit la masse des citoyens. Et tout cela est glorifié lors des fameux "Discours du Trône". Mais les Médias préfèrent relayer les jolis mariages princiers aux vilaines politiques financières qui accroissent le fossé entre fortunés et pauvres.
Parce que ce que l'on se garde bien de dire, c'est que le Royaume Uni est le champion du capitalisme financier impitoyable, de la spéculation, de l'usure, de la compétitivité, du dumping social même aux dépens de ses partenaires, de la flexibilité, des bas salaires, des législations sociales rétrogrades, des licenciements faciles... et de l'inégalité des revenus. Le travail est sacrifié au capital, l'individu à l'argent. Alors, elle est pas belle, la mariée anglaise ?
Le mariage de la finance et du militaire
Il ne faut pas s'étonner, ensuite, si on la dépeint sous ses plus beaux attraits, princiers, et si le mariage est commenté, outre la soubrette du CRIF (Marie Drucker), par un expert militaire, Pierre Servent, sur l'inénarrable FR2, ou si le mariage est survolé par des avions de chasse, des bombardiers... Tout un symbole ! "Ce sont les tornados qui sont engagés dans le ciel libyen ou en Afghanistan", commente Pierre Servent. Après tout, le beau marié n'est-il pas en grande tenue d'officier, tout juste sorti de sa base militaire aérienne ? Car la GB, c'est d'abord la finance, ensuite le militaire. Et c'est ce qu'on se garde bien de nous rappeler. Le mariage de William et Kate n'est-il pas d'abord et avant tout un formidable coup de pub pour l'Angleterre et, finalement, pour le Nouvel Ordre Mondial anglo-saxon ? C'est-à-dire pour une société de privilégiés qui vampirisent la planète entière et osent, en prime, financer les plus belles noces avec l'argent de citoyens toujours plus soumis à de sanglantes politiques de rigueur budgétaires !
Alors, en ces jours de festivités royales, souvenons-nous : L'Angleterre est l'ennemie des peuples. Loin de s'extasier devant ses fastes, nous devons impitoyablement rejeter ses modèles. Au moins si nous voulons assurer un avenir à nos enfants !
Eva R-sistons
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TAGS : GB, Prince, William, Kate, Reine d'Angleterre, Inde, Libye, finance, Chine, Empire Ottoman, Pierre Servent, Marie Drucker, FR2, City, Afghanistan, Irak, Blair, Marché, Thatcher, Bush, Arabes, Coran, Kadhafi, Prix Nobel, OTAN, Droits de l'Homme, Califat, Nouvel Ordre Mondial, Elie Wiesel, Kissinger, Prix Nobel, Diana...
Les crimes
de la couronne d'Angleterre
L'Occident, la G.B. en Chine....
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(..) Vous parlez d'égal à égal, avec ceux qui se sont comportés en maîtres du monde, pendant des siècles. Aveugles, ils ne se rendent même pas compte, qu'ils ne le sont plus. Dans votre réussite, ils y voient le basculement prochain du rapport de forces. Ils le redoutent, car cela remet en cause leur règne sans partage dans la domination, et le sentiment de supériorité, à l'égard du reste de la planète.
Ils ne souhaitent, en conséquence, qu'une chose : entraver votre développement, en vous isolant, vous divisant. Comme ils le font dans d'autres pays, ou sur d'autres continents. Comme ils l'ont fait dans votre pays. Mais tout cela, vous le savez...
Au nom de beaucoup de français, à qui nos médias soi-disant "libres" ne donnent pas la parole, je voudrais vous présenter nos excuses, et mes excuses personnelles.
Oui, "Excuses". Mais, auparavant, je voudrais vous demander "Pardon"...
Pardon, au nom du Passé, pour avoir envahi votre pays, nous être livrés à des atrocités et participé à son pillage, pendant un siècle
Vous, vous n'avez jamais envahi l'Europe. Ni aucun autre continent, d'ailleurs. Votre Grande Muraille, est là pour en témoigner. Vous avez toujours voulu vous défendre des agressions extérieures, et vous concentrer sur votre unité. Ce qui ne fut pas une entreprise facile, dans votre immense pays, au cours des siècles de votre histoire. Une des plus longues de l'humanité.
Nous, nous avons envahi votre pays. Nous avons contribué à son pillage, pendant un siècle. Il est si grand, que nous nous sommes réunis à plusieurs pour le faire.
Quand vos autorités ont interdit l'usage et l'importation de l'opium en 1839, nous n'avons pas apprécié. Ce trafic était géré par nos amis britanniques, à partir de leurs possessions en Inde, de la province du Bengale plus précisément. Faire rentrer la drogue à partir du port de Canton (Guangzhou), était une véritable mine d'or pour beaucoup en Occident. Civils, militaires, politiciens...
Les promoteurs de ce trafic, à l'origine d'immenses fortunes personnelles, ainsi que de celle des politiciens européens qu'ils soudoyaient, méritaient d'être pendus. Ils ont été anoblis par la Couronne britannique... Une bonne partie de la Chambre des Lords actuelle est constituée, ainsi, des héritiers de ces trafiquants, de ces dealers. Nous, dans notre République, il n'y a plus de titres de noblesse, on donne des promotions, des décorations ou, mieux, des rentes de situation.
Les puissances occidentales ont considéré votre refus d'importer la drogue, produite et transportée par les occidentaux, comme une atteinte grave au "Libéralisme Economique". On n'a pas le droit d'interdire, dans le commerce international. C'est un blasphème. Du moins, quand l'Occident le décide...
Alors, on vous a fait la guerre, sachant que vous n'aviez pas les moyens de la soutenir. On vous savait en difficulté, à l'époque. C'était l'occasion idéale. Ce fut officiellement la "Première Guerre de l'Opium", de 1839 à 1842. L'essentiel, de l'effort militaire était assuré, initialement, par les britanniques. Etaient réunis dans cette coalition (l'OTAN n'existait pas encore), la Grande-Bretagne, la France, l'Allemagne, les Etats-Unis et le Japon.
Les britanniques, par le traité de Nankin de 1842, vous ont donc obligé à importer la drogue, vous arrachant Hong-Kong par la même occasion. Tout le monde s'y est mis. Les Etats-Unis vous ont imposé le traité de Wanghia (ou Wangxia), en 1844. Nous, français, en avons profité pour vous imposer le traité de Whampoa (ou Huangpu), la même année. (..)
http://stanechy.over-blog.com/article-18658527.html
http://www.solidariteetprogres.org/IMG/arton5467.jpg?1263205559
L'Empire britannique :
Connaître votre ennemi pour le battre
"Aucun impérialisme Européen, y compris l’impérialisme Britannique aujourd’hui, n’est fondé sur un territoire géographique. Il se fonde sur l’organisation internationale du contrôle de la monnaie. Et cette monnaie est réellement contrôlée par des intérêts privés, par des individus qui forment un concert d’intérêts privés, qui établissent le contrôle de la monnaie, sa création et sa gestion. Et les États-Nations sont subsidiaires à côté de ce contrôle international de la monnaie.
L’Empire Britannique, qui s’est développé par ce processus, n’est rien d’autre que ça. Ce n’est pas l’empire du peuple du Royaume-Uni. C’est l’Empire d’un consortium international, de ce type d’intérêts, dont le contrôle sur la monnaie est utilisé pour contrôler les nations."
extrait du webcast de Lyndon LaRouche du 8 septembre 2009
Les coup de théâtre et de tonnerre qui accompagne la désintégration du système financier et monétaire international, sont autant de balles et d’obus sifflants sur un champ de bataille. Chacun doit comprendre cette guerre qui fait rage, car elle oppose aux conceptions humanistes et progressistes d’un monde d’États-Nations souverains en développement mutuel, celles d’un Empire, d’une oligarchie dévorant ses sujets pour mieux en assurer le contrôle dans le chaos qui vient.
Les États-Unis se sont fondé, à partir du meilleur de la culture humaniste européenne, en opposition à l’Empire Britannique et ses conceptions dégradantes de l’Homme. C’est ce sens de mission, trop rarement incarné par les dirigeants américains mais chaque fois de manière décisive, que vous découvrirez dans le film 1932.
Les perspectives de l’« économie secrète »
Leibniz et Swift contre l’émergence de l’Empire britannique
III. Keynes démasqué : Un malthusien au service de l’Empire britannique
IV. La Théorie générale de Keynes
I - II. Keynes et le combat
pour un nouveau Bretton Woods
La PAC : ce grand combat contre l’Empire britannique
Russell, Wells, Huxley, Comment la science a été dévoyée au XXe siècle
Aux origines de l’entente cordiale avec l’Angleterre : Fachoda, quand les nuées portent l’orage
Le véritable Système américain d’économie politique contre le libre-échange
Mercenaires sans frontières, les « chiens de guerre » de la mondialisation financière
Le Pont terrestre eurasiatique, le chemin vers la paix
Le réchauffement global d’Al Gore : instrument d’un nouvel impérialisme environnemental
Comment Londres et Wall Street ont mis Hitler au pouvoir
(.) le danger que représente une oligarchie financière déterminée à dominer le monde sous couvert de globalisation financière
L’ombre de l’accord Sykes-Picot plane sur l’Asie du Sud-Ouest
Redessiner la carte politique pour y créer des sphères d'influence
L’origine des calomnies contre LaRouche aux Etats-Unis :
Des scribouillards au service d’une coterie de banquiers
Platon contre Aristote : la République contre l’oligarchie
De la Pax Romana à la Pax Americana : combattre la folie des empires
La guerre de l’oligarchie contre l’Etat-nation : le cas de Bertrand Russell
« L’Etat, la City et l’euromarché » :
comment l’oligarchie a créé la bulle financière
http://www.solidariteetprogres.org/sp_Dossier_EmpireBritannique.php
http://sos-crise.over-blog.com/article-la-revolte-des-irlandais-promet-un-bloody-sunday-pour-la-city-61682297.html
(..) il s’agit d’un plan de renflouement des banques imposé par la Banque centrale européenne (BCE) elle-même. Les établissements bancaires basés à Dublin faisaient partie intégrante du réseau offshore de la City de Londres pour mener spéculation, pillage économique et évasion fiscale au détriment des peuples et des nations d’Europe. Par ses actes, la BCE confirme, si besoin était, qu’elle est elle aussi partie intégrante de l’Empire financier de la City. (..)
http://www.solidariteetprogres.org/article7674.html
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Le terrorisme islamiste,
une spécialité londonienne ?
(..) Suite à des attentats terroristes sur leur sol, les gouvernements d’Egypte, de Libye, de Jordanie, de Turquie, d’Iran, de Russie, de France et d’autres nations, envoyèrent des protestations diplomatiques au Foreign Office britannique concernant l’hébergement d’organisations terroristes.
En 1997, le Parlement britannique répondit clairement qu’il n’avait nullement l’intention d’intervenir : il refusa en effet de modifier la loi qui permet à ces organisations de financer et de recruter pour des opérations armées, l’argument étant que ces opérations n’allaient pas à l’encontre des intérêts britanniques !
Le Royaume-Uni a régulièrement refusé de coopérer avec d’autres nations pour arrêter des terroristes en activité sur son sol. Les seules exceptions eurent lieu lorsque la pression fut mise par les autorités américaines.
Depuis 1995, l’Executive Intelligence Review a largement documenté les opérations menées depuis la Grande-Bretagne pour déstabiliser d’autres nations. La plupart des nations victimes de ces actes terroristes sont quasi-systématiquement à majorité musulmane. (..)
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(sur mon blog R-sistons à l'intolérable)
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Atlande – Le monde britannique
Sommaire (extraits) :
(..)
Les « mondes britanniques »
LES FONDEMENTS DE LA PUISSANCE
Economie de la GB et du monde britannique
Le monde britannique et la mer
L’Inde britannique (1815-1931)
Elan missionnaire et évangélisation
L’Empire dans les débats politiques
Le mouvement ouvrier britannique et l’Empire
Londres capitale impériale
- Deux îles et quatre nations : le premier cercle
- Les Britanniques et le monde
- Mobilités et migrations dans le Royaume-Uni
- Les Britanniques hors du RU : expatriations, migrations, acculturations
- L’histoire impériale des migrations
http://blog.passion-histoire.net/?p=4965
Pendant que vous reluquiez les Windsor, Obama léchait la City !
2 mai 2011 (Nouvelle Solidarité) – Vendredi après-midi, alors que le monde entier avait les yeux rivés sur la famille royale britannique, le secrétaire au Trésor américain a discrètement exhibé la soumission des institutions américaines à la City de Londres. Tim Geithner a annoncé que l’administration Obama allait exempter le marché des devises (Forex) de la nouvelle régulation Dodd-Frank sur les chambres de compensation, lui permettant de se maintenir hors-la-loi.
Le Forex est le centre du système mondial : il brasse 4000 milliards d’équivalent dollar chaque jour, [*] dont 80% d’opérations spéculatives, c’est-à-dire de pillage et de destruction économique. Le centre de ce système ? Londres ! La City est le premier centre mondial des échanges de devises puisqu’elle centralise 37% des transactions sur les rives de la Tamise, loin devant son vassal new-yorkais. C’est elle qui fait la tendance. Si l’on ajoute à sa part les autres centres Forex situés dans sa sphère d’influence directe – Hong Kong, Singapour, le Canada et l’Australie – la capitale britannique à la mainmise sur la quasi-totalité du système monétaire mondial.
L’on doit d’ailleurs faire ici la différence entre Londres, capitale de l’Etat anglais, et la City de Londres, véritable Etat dans l’Etat, avec son propre gouvernement, sa propre police, et sa propre justice, tout en siégeant au Parlement britannique et en contrôlant la Banque d’Angleterre.
Avec la chute de l’Empire colonial britannique après la deuxième Guerre mondiale et la mise en place des accords de Bretton Woods voulus par Franklin Roosevelt à cette fin, la City s’est engouffrée dans le vide juridique d’une finance offshore qu’elle a inventé pour détourner et capter les flux de capitaux. Le Forex d’aujourd’hui, un marché de gré à gré échappant à toute autorité publique, est l’aboutissement du système eurodollar lancé dans les années 1950 et qui a définitivement pris le contrôle de l’économie mondiale après la fin officielle de Bretton Woods en 1971. 4000 milliards de dollars par jour, à raison de cinq jours ouvrables par semaine, c’est 1 million de milliards de dollars (20 fois le PIB mondial) joué chaque année sur la « valeur » de la monnaie qui est dans vos poches, hors de tout contrôle de vos élus.
Obama avait tenté de faire croire à ceux qui le voulaient bien, que sa réforme financière affirmait l’autorité de l’Etat face aux marchés. Aujourd’hui, même le New York Times , qui n’est pas répertorié sur la liste des ennemis de la City et de Wall Street, s’insurge : « le vide juridique de la loi [Dodd-Frank] – pour lequel se sont battus les banquiers et leurs amis, y compris le gouvernement – permet au secrétaire au Trésor d’exempter ces instruments. »
La sénatrice démocrate Maria Cantwell, connue pour avoir combattu les vides juridiques ouverts par la loi Dodd-Frank, a vivement dénoncé l’attitude de la Maison-Blanche : « Je ne peux pas croire que la première décision du gouvernement pour mettre en place la loi Dodd-Frank aille contre la transparence. L’idée que les marchés de devises ne sont pas porteurs de risque est grotesque ; nous savons désormais qu’ils nécessitent des milliers de milliards pour être renfloués. Dès lors qu’il y a manque de transparence, l’on ouvre la porte aux abus. »
Le talon d’Achille de cet empire financier, qui n’est qu’un vaste empilement de titres et créances sans aucune valeur ni légitimité, est qu’il repose sur la « banque universelle » qui réunit sous le même toit spéculation et argent de vos dépôts, ce qui lui permet d’être protégée en cas de chute. Le fil de l’épée de la nouvelle résistance populaire doit être de redécouper les banques en morceaux pour garder ce qui est bon et laisser mourir le reste dans un coin plutôt que sur nos têtes. Adoptez Glass-Steagall et la City périra.
http://www.solidariteetprogres.org/article7696.html
Notre tract 1er Mai : Libérons-nous de la tyrannie des banques d’affaires ! Mobilisons-nous pour les générations futures !