20 août 2009 4 20 /08 /août /2009 01:38

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Islamisme, terrorisme du pauvre,
terrorisme d'Etat, plus dangereux encore.
Par Eva R-sistons


Mes amis

Je n'ai pas l'habitude de parler des Islamistes, pas par sympathie pour eux, j'ai toujours dénoncé tous les fanatismes, et d'abord religieux, tous les fondamentalismes qui font horreur à l'humaniste que je suis, respectant toute vie, je dénonce même les communautarismes qui nous séparent des autres, en créant des murs (et je déteste les murs entre les individus) au nom d'une vérité particulière, alors que nous sommes tous frères et soeurs en humanité, aimables dans notre diversité même. Comme le monde serait triste si tous pensaient de la même façon !!!

Si je ne parle pas des Islamistes, c'est tout simplement parce que les Occidentaux ne font que ça, les prenant pour cibles principales, les accusant de tous les maux pour ne pas voir les leurs qui provoquent sur toute la planète blessures, larmes, souffrances, ruines, morts prématurées... Je suis une femme de compassion, et quand mon prochain souffre, je souffre avec lui... Il est impossible de fermer les yeux sur les malheurs que nous, Occidentaux, provoquons par notre cupidité et par notre arrogance. Ceux que les Islamistes provoquent, en tuant des innocents, brutalement, sauvagement, sont bien réels, mais je ne supporte pas de les voir accusés en permanence; l'islamophobie, prétexte au bien commode choc de civilisations qui ne profitera en définitive qu'aux multinationales et à la Haute Finance, et que je dénonce en permanence notamment sur mon blog http://eva-communion.civilisations.over-blog.com, l'islamophobie conduit à désigner les Islamistes, et même plus généralement les Musulmans, en extrapolant, comme nos grands ennemis, coupables de tous les terrorismes. C'est intolérable, car si les Islamistes ont leur part de responsabilité du fait de leur fanatisme et souvent de leurs excès criminels, d'ailleurs montés en épingle, ils n'ont pas à devenir les boucs-émissaires, alors même que l'on tait, injustement (et rien ne m'est plus insupportable que l'injustice), les errements des fanatiques juifs et chrétiens, colons ou néoconservateurs évangéliques ou catholiques intégristes, et le néo-sionisme, lui-même ennemi de la grande religion juive et partisan du libéralisme le plus sauvage et même eugénique, comme des guerres hégémoniques, coloniales, voire racistes.


1sjz42.jpghttp://laplote.over-blog.fr à visiter


En un mot, je récuse avec force les dérives de l'Islam comme celles des autres religions, mais je m'élève contre le fait que seuls les Islamistes soient accusés, ostracisés, qualifiés de terroristes, en France, en Occident, et d'abord dans ce qu'il ne faut plus appeler nos Médias, car ils n'informent pas mais font sans cesse de la désinformation, de la propagande   Et pour compenser ce parti-pris envahissant, je fustige dans ce blog essentiellement les autres fanatismes, néoconservateur ou néo-sioniste. .

Or, je ne suis pas sûre que le terrorisme dont on fait état ne soit pas sur-évalué, et surtout instrumentalisé à des fins hégémoniques. D'ailleurs, je suis convaincue que la plupart des attentats sont perpétrés par l'Occident lui-même, pour nous dresser contre les Islamistes et plus généralement les Musulmans et (ou) les Arabes, afin de nous préparer au choc de civilisations juteux pour la Finance, à la guerre contre l'Iran, la Syrie, le Liban... et d'une façon plus générale, afin de désamorcer nos critiques envers les expéditions impériales de conquête des territoires pour mieux les soumettre aux multinationales, quel que soit le coût pour les peuples spoliés. Tout cela est d'un cynisme total, inacceptable pour une conscience éprise de justice, de paix, de fraternité.

Ensuite, le terrorisme d'Etat de l'Occident blanc, judéo-chrétien, est bien plus dévastateur. D'un côté, le pauvre qui n'a pas d'armes (et à qui on dénie même parfois le droit élémentaire de se défendre contre l'occupant, je pense en particulier aux Palestiniens, alors que l'Occident se donne le droit de posséder et de vendre les armes les plus destructrices) utilise son corps, sa personne, en l'offrant pour une cause libératrice (de l' oppression imposée), de l'autre le riche utilise les armes les plus sophistiquées pour une cause d'oppression, de domination, une cause coloniale, prédatrice, hégémonique. Quelle commune mesure entre un attentat "terroriste" tuant cinquante civils  innocents pour libérer son pays de l'ingérence étrangère, à défaut de pouvoir le libérer autrement (en étant armé comme l'adversaire), et les bombes même interdites larguées un peu partout sur la planète, faisant des centaines de milliers de victimes innocentes pour grossir des portefeuilles déjà scandaleusement pleins ??? Il faut raison garder, il faut relativiser les choses.

          attentat                             napalm sur Gaza (malformations ensuite)
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Alors oui, la pacifiste que je suis - qui préfèrera être tuée plutôt que de tuer mon frère ou ma soeur quels qu'ils soient - dit non aux méthodes violentes, toute vie est sacrée, précieuse, unique, mais en même temps je tiens à remettre les pendules à l'heure: Le terrorisme du pauvre est moins à dénoncer que celui des Etats riches, se croyant tout permis au nom de leur prétendue supériorité.

 

Voici le témoignage d'un homme entraîné malgré à lui à tuer, et qui, finalement, n'accomplira pas l'acte fatal sur ses propres frères. Il est révélateur des méthodes d'endoctrinement employées, au service de causes certes justes (en l'occurrence, la libération de l'Afghanistan de l'ingérence étrangère qui pille et tue même des innocents), mais qui ne justifient pas de tels moyens.  Pour ma part, je crois qu'une intelligente lutte non armée de libération, peut mener plus loin, et sans toutes ces victimes. 

Témoignage d'un Islamiste repenti (au demeurant lourdement condamné), ou comment une machine bien rôdée peut finir par transformer une âme pure, sincère, idéaliste, en machine à tuer. Les méthodes de conditionnement, qu'elles soient celles des Islamistes, ou des Occidentaux (lavage quotidien des cerveaux via les médiamensonges, par ex), sont intolérables. Elles ont conduit, jadis, tout un peuple à se ranger derrière un individu sans culture et psychopathe, Hitler, comme aujourd'hui elles risquent de nous amener à devenir des robots au service de causes qui ne sont pas les nôtres, comme celles des "guerres préventives, nucléaires, permanentes" de l'OTAN,  un organisme qui pour moi représente la forme la plus accomplie du terrorisme d'Etat.

 

Eva R-sistons à tous les intolérables, d'où qu'ils viennent 

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TAGS: Choc civilisations, Islamophobie, terrorisme, fanatisme, fndamentalisme, islamistes, néoconservateurs chrétiens, extrémistes juifs, colons, occupation, libération, judéos-chrétiens, Musulmans, Juifs, néo-sionistes, néo-évangéliques, catholiques intégristes, OTAN, médiamensonges, Afghanistan, Iran, Palestiniens, Syrie, Liban, Arabes, humaniste, communautarismes, hitlérisme...



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 L'homme qui devait mourir pour les talibans

TEMOIGNAGE - Abed, un Pakistanais de 22 ans, avait été endoctriné par les talibans pour commettre un attentat suicide sur un poste frontière afghan. Estimant avoir été floué, il a raconté son odyssée à notre reporter dans sa prison près de Kaboul.


Avant de les rencontrer, Abed (emprisonné à Pulli Charkhi depuis quinze mois) n'avait jamais entendu parler des talibans. Cinq mois d'endoctrinement religieux et politique plus tard, le jeune Pakistanais était prêt à «sacrifier (sa) vie pour l'islam». (Crédits photo : Paul Assaker)


Lorsque le détenu Abed, condamné à une peine de réclusion de vingt ans, est amené dans le bureau du surveillant chef, au sein du bloc 7 de haute sécurité de la prison de Pulli Charkhi, son allure n'est pas différente de n'importe quel jeune homme du peuple qu'on rencontre dans les bourgades du Pendjab, province orientale du Pakistan. Visage caramel ourlé d'une barbe noire et coiffé d'un petit bonnet brodé, saroual-kamiz beige, sandales hors d'âge, Abed ressemble à tous ces pauvres travailleurs intermittents qui louent leurs bras à la petite semaine pour échapper au chômage. Il s'assoit calmement, refuse poliment de prendre un morceau de pastèque amenée par les gardiens et, dans ce bureau sommaire où flotte une légère odeur de fromage rance, il commence, dès notre première question, à raconter en dari son hallucinante mésaventure.

Né en 1987, fils aîné d'un Pendjabien parti travailler en Arabie saoudite, Abed quitte l'école dès l'âge de 11 ans. Avec ses quatre frères et ses deux sœurs, il vit à Multan, chez sa mère, femme au foyer nourrissant sa famille grâce aux mandats que lui envoie son mari. La plupart du temps il est au chômage, mais travaille un moment comme apprenti chez un boulanger. Son frère cadet se débrouille mieux, qui trouve un emploi fixe dans une fabrique artisanale de meubles. En 2007, un loueur de main-d'œuvre lui trouve un contrat à 150 roupies (3 dollars) par jour, pour travailler à Karachi, dans le quartier de Manzoor Colony, dans une PME qui fabrique des bonbonnes d'eau réfrigérée en plastique. Là, un certain Abdul Rafur, originaire comme lui de Multan, mais employé d'un niveau supérieur - il est peintre d'affiches publicitaires - se lie d'amitié avec lui. Comme Abed, Abdul Rafur n'est pas un musulman très strict : il ne se rend à la mosquée que pour le prêche du vendredi. À l'occasion des vacances de l'Aïd-el-Kébir, en décembre 2007, tous deux rentrent ensemble à Multan, pour célébrer en famille la grande fête musulmane. Le surlendemain, Abdul Rafur propose à son ami de l'emmener à ses frais visiter les magnifiques montagnes du Waziristan.

 

Le piège
de l'endoctrinement

 

À leur descente d'autocar à Wanna, Abdul Rafur et Abed se dirigent à pied vers le bazar, où le premier offre au second un somptueux dîner. Puis Abdul Rafur amène Abed «chez de vieux amis», où les deux jeunes hommes vont passer la nuit. Le séjour se prolonge ; les hôtes sont d'une amabilité parfaite ; Abed ne saisit pas tout de suite qu'il est tombé chez des talibans. Au demeurant, ne lisant jamais les journaux, il ne sait pratiquement rien sur eux. Ces charmants garçons de Wanna commencent à lui enseigner le Coran et les «hadiths» du Prophète. Cette formation plaît à Abed, qui aspire à devenir un bon musulman. Puis les talibans commencent à montrer à Abed des vidéos sanglantes, présentant les corps déchiquetés de femmes et d'enfants, «massacrés dans les villages par les bombes lâchées par les drones» des Américains, qualifiés de «grands ennemis de l'islam et des musulmans».

«J'ai tout de suite été choqué. J'ai senti quelque chose de très fort dans mon cœur. Comment ces Américains pouvaient-ils se permettre de tuer des femmes et des enfants qui ne leur avaient rien fait ?», poursuit Abed de sa voix douce, tout en refusant la cigarette que lui offre notre interprète.

À la fin de son premier mois à Wanna, Abed réalise qu'il ne voit plus son ami Abdul Rafur dans les parages. «Oh, il est parti il y a deux jours, lui expliquent ses nouveaux amis talibans, mais, toi, tu peux rester chez nous autant que tu voudras.»

Entrecoupées de prières et de repas délicieux, les séances d'endoctrinement religieux et politique se poursuivent. Un soir, Abed est présenté au mollah Nazir, 35 ans, grand chef taliban de Wanna, qui l'accueille avec chaleur, lui offrant immédiatement son amitié. Au bienveillant et pieux Nazir, qui ne se déplace jamais sans son colt à la ceinture et trois gardes du corps armés de kalachnikov, tout le monde s'adresse avec grand respect.

Lors d'une séance d'enseignement religieux, les talibans révèlent à Abed un «hadith» du Prophète dont il n'avait jusque-là jamais entendu parler : «Celui qui meurt en martyr dans la guerre sainte obtiendra, le jour du Jugement dernier, que Dieu fasse passer 70 membres de sa famille directement de l'enfer au paradis.»

Quelques semaines plus tard, un soir qu'Abed se trouve en tête-à-tête avec lui, invité à prendre le thé, il ose lui dire : «Cheikh Nazir, je suis profondément révulsé par ce que ces étrangers font aux musulmans. Comment pourrais-je participer à la guerre sainte que vous menez ?

- Mon cher Abed, je suis désolé, tu es jeune et sans expérience militaire, je ne peux me permettre de t'emmener au combat contre les infidèles avec mes hommes !

- Mais, cheikh Nazir, j'aimerais tellement me rendre utile, et avoir ma part dans votre djihad !

- Franchement, le seul moyen que je vois pour te faire participer à notre djihad est que tu te fasses exploser au milieu des soldats infidèles. Mais tu sais, tu n'es pas obligé d'accepter. Même chez nous, les héros sont rares. Quelle que soit ta décision, tu resteras toujours notre ami…

- Cheikh Nazir, ma décision est prise, je suis prêt à sacrifier ma vie pour l'islam !»

À partir de ce moment-là - le lavage de cerveau a duré en tout plus de cinq mois -, les choses vont aller très vite.

 

«Juste avant d'appuyer sur le bouton,
n'oublie pas de crier “Allah Akbar” !»

 

Un matin, Nazir arrive avec deux talibans, dont il ne donne pas les noms à Abed. Le mollah lui dit : «Ces deux hommes vont te conduire à ta cible, qui est un check-point ( dans son dari rustique, Abed utilise le mot anglais). Tous les soldats qui tiennent les check-points sont des infidèles. Tu feras exploser le camion qu'on te confiera au milieu d'eux. Prends cette grenade. Au cas où les détonateurs n'auraient pas fonctionné, sors du camion, mêle-toi aux soldats et fais-toi exploser. Surtout, ne te fais pas prendre vivant !»

Les deux talibans et Abed quittent aussitôt Wanna dans une vieille Datsun, direction plein ouest. Bientôt ils laissent les lacets montagneux de la route goudronnée pour un chemin de terre. Vers midi, ils s'arrêtent, pour faire ensemble ce qui devra être la dernière prière terrestre d'Abed. Ils repartent, franchissent la frontière internationale à un endroit non gardé et vide de toute présence humaine. Les voici dans la province afghane du Paktika, ayant laissé derrière eux la zone tribale pakistanaise du Waziristan. Mais Abed n'en sait rien.

La Datsun rejoint bientôt une route de bien meilleure qualité. Sur le bord, un vieux camion peinturluré et bâché les attend. Son chauffeur se met immédiatement à apprendre à Abed à le conduire : «Tu passes la seconde, et tu restes comme ça jusqu'au check-point. En conduisant, tu ne cesseras de chuchoter Allah Akbar» (Dieu est grand). Le nouveau taliban désigne à Abed quatre boutons répartis sur le tableau de bord. «Chacun est relié à un détonateur. Si le premier ne fonctionne pas, tu appuies sur le second, et ainsi de suite jusqu'au quatrième. Si l'explosion ne se fait toujours pas, voici un cinquième bouton. Tu le presses, il nous enverra un signal, et nous activerons immédiatement le détonateur à distance que nous avons installé comme dispositif de secours. Tu as bien compris ?»

Les trois talibans étreignent chaleureusement Abed. Alors qu'il grimpe dans la cabine, ils lui hurlent, couvrant le bruit du moteur, une dernière instruction : «Juste avant d'appuyer sur le bouton, n'oublie pas de crier très fort “Allah Akbar” !»

Au bout de quelques kilomètres, Abed distingue le check-point. Il doit ralentir car il y a des voitures qui y font la queue. C'est plein de militaires en uniforme.

«Je suis surpris. Ils ne sont pas blancs ! Je les entends se parler en pachtoune et en dari. Certains, à l'écart, ont retiré leur casque, pour faire leur prière sur un petit tapis. Il n'y a pas là un seul étranger. Je réalise soudain que je ne suis entouré que par des musulmans ! Il n'y a pas ici un seul infidèle ! Nazir m'a menti ! Je me sens floué. Je descends du camion, m'approche d'un officier de police et lui tends la grenade, que je n'ai pas dégoupillée.»

L'officier emmène Abed dans son bureau, qui lui raconte toute son histoire. Puis l'officier lui explique où il se trouve : au poste frontière afghan officiel de la bourgade d'Angora Ada, province du Paktika. Abed réalise qu'il a fait une boucle du nord au sud en territoire afghan, d'abord dans la Datsun, puis au volant du camion. L'officier invite Abed à dîner et à passer la nuit chez lui. Le lendemain, Abed est confié à un détachement de l'ANA (Armée nationale afghane), qui le conduit, pour interrogatoires, au bureau provincial des services de renseignements afghans. Ce n'est que quarante jours plus tard qu'Abed fera son entrée au bloc 7 de la prison de Pulli Charkhi, où il croupit maintenant depuis quinze mois.

Placé dans une cellule de quatre, en compagnie de trois détenus de droit commun, Abed passe ses journées à faire des petits travaux d'artisanat et à lire le Coran. Il ne manque jamais de faire ses cinq prières quotidiennes.

Lorsque nous lui demandons ce qu'il dirait au mollah Nazir et à son agent recruteur Abdul Rafur si, par extraordinaire, il les avait un jour en face de lui, Abed répond avec un sourire triste : «Je les regarderais droit dans les yeux et je ne leur dirais qu'une seule chose : au nom de Dieu, pourquoi, pourquoi, pourquoi avez-vous détruit ma vie ?»

http://www.lefigaro.fr/international/2009/08/20/01003-20090820ARTFIG00003-l-homme-qui-devait-mourir-pour-les-
talibans-.php?yahoo=1
 




 

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commentaires

E
Salut, Spart !!! Comme je l'ai écrit un jour, mieux vaut mourir debout que vivre couché ! M'agenouiller devant les ordures qui dirigent le monde, jamais ! cordialement eva
C
1 J'ai beaucoup apprécié "Janus" avec la fine analyse concise de la situation.2 et Oui, Hélas triste constat à part trois sites: l'Huma - Marianne- et rue 89 ,les sites de la presse ont été pratiquement tous "domestiqués" et muselés.3 j'ai illico signé la pétition des médecins urgentistes.<br /> Tous ensemble  Résistons  et luttons jusqu'à la "Libération"!"Papy Coincoin"
E
Malaya, mon travail consiste à mettre à jour les mensonges, le vôtre (toi et lecteurs), à répercuter !!! On se complète...Ton site, j'aurais voulu regarder, mais le son m'a fait fuir, c'est toujours pareil, on déconseille le son..cordialement eva
M
Bonsoir!Je suis ravie de voir une femme si courageuses que tu es. Ce que tu écrit est la vérité, malheureusement si triste! En fait le problème pour moi est dans la conscience des gens, de la population mondiale. Certes maintenant on se relève petit à petit et on découvre les mensonges, la desinformation que nous subissons, mais la majorité l'ignore. C'est si triste et si malheureux! Nous avons oublier l'histoire, l'heritage intellectuel et nous devenons victimes de notre propre ignorence, de notre degré de conscience. Cordialement!
E
Reçu  (publié avec accord intéressé):_______________________________________Ce message vous est envoyé par un visiteur grâce au formulaire de contact accessible en bas de page de votre blog: r-sistons.over-blog.com LienColvertChère Eva, notre sympathique caricaturiste Laplote m'ayant parlé de vous, je suis allé sur votre blog : beau et "bien éthiquement" en phase avec nos idées et objectifs:anti: -capitaliste-guerre-profits maxima-xénophobie & racisme-pro laic dans le respect des croyances et des opinions non fascistes ou extrémistes.En plus comme nous sommes "en phase" pour Résister je vous ai présenté sur notre site-blog Spartakoïd : http://libre-expression.toile-libre.org/ et sur nos liens.Si réciproquement vous vouliez bien nous présenter ,ce serait avec plaisir-----------------------------Une idée mûrit :c'est tout en gardant précieusement chacun son individualité et son indépendance il serait bon de s'"unir dans la Résistance"Peut-être un site avec une bannière qui unifie et un "dispatching" présenterait aux visiteurs tous les blogs résistants dans leur diversité qui le désirent.(L'idée de bannière nous est venu de l'écran noir contre Hadopi)Salutations "confraternelles" ."Le canard sauvage" Colvert

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  • : Le blog d' Eva, R-sistons à l'intolérable
  • : Eva à 60 ans.Blog d'une journaliste-écrivain.Analyse des faits marquants de l'Actualité,non-alignée,originale,prophétique,irrévérencieuse. Buts: Alerter sur les menaces,interpeller,dénoncer l'intolérable,inciter à résister. Alternance articles Eva et liens infos non officielles. Ici,pensée et parole libres. Blog dénaturé par over-blog le 1.2.15,il sera transféré sur Eklablog
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