18 avril 2009 6 18 /04 /avril /2009 02:50
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http://socio13.wordpress.com/2009/04/17/intervention-devo-morales-a-lalba-je-veux-me-declarer-marxiste-leniniste-communiste-socialiste-et-quils-mexpulsent-de-loea/20071218phowww000711/#comment-11503


Le Sommet des Amériques :
Un moment important.


Le cinquième Sommet des Amériques a commencé,
à Port d'Espagne à Trinité-et-Tobago.

Pour la 1e fois, il se réunit dans les Caraïbes, ancienne colonie anglaise.

Officiellement, jusqu'ici 5 sommets (Le premier, en 1994, à Miami)

En 2005, G.W. Bush a claqué la porte. Lors de ce Sommet des Amériques, le Président du Vénézuéla avait mené l'assaut de l'hémisphère contre l'accord commercial prôné par George W. Bush.  Chavez avait dominé ce sommet, on retiendra surtout ses puissantes critiques contre les Etats-Unis.


La crise Cuba-Etats-Unis paralyse les discussions de ces sommets.
Puis, amorce de réconciliation USA-Cuba.

Chavez, et d'autres pays, jugent inacceptable la déclaration finale,
et menacent de ne pas la signer :

Le texte est «inacceptable car il ne contient pas de réponses
concernant la crise économique mondiale»,
ont déclaré lers membres de l'Alba réunis au Vénézuela.

Comment traiter de la crise ensemble,
avec des relances coordonnées,
alors que par le passé un pays comme l'Argentine
a appliqué les recettes du FMI, avec les conséquences
catastrophiques que l'on sait ?

Les membres de l'Alba veulent des solutions à la crise,
et que cesse l'embargo à l'encontre de Cuba.

Dossier pour comprendre la situation en Amérique Latine,
les différents traités qui la concernent.

Eva


Ce sommet à été créé pourquoi, au juste ?


C’était pour répandre le néolibéralisme en Amérique, from the North, right to the South.

C’était pour imposer la ZLÉA. La ZLÉA est morte en novembre 2005 à Mar del Plata, en Argentine.

Le sommet n’a donc plus sa raison d’être.

Ce sommet était un sommet d’imposition du néolibéralisme, les nains ont la ferme intention de le transformer en sommet humain ou à lui faire râler ses derniers râlements
http://www.legrandsoir.info/article8416.html



Sommet des Amériques :

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Voir :  http://fr.wikipedia.org/wiki/Sommet_des_Am%C3%A9riques


Le Sommet des Amériques

est une rencontre formelle des chefs d'État des 34 pays d'Amérique du Nord, Amérique centrale et d'Amérique du Sud. Le sommet est organisé par plusieurs structures intergouvernementales dont principalement l'Organisation des États américains.

Les autres rencontres au sommet :

Pays membres : (..) =


http://fr.wikipedia.org/wiki/Sommet_des_Am%C3%A9riques



Le panamericanisme

est un mouvement diplomatique, politique, économique et social qui cherche à créer, encourager et organiser les relations, associations et coopérations entre les états d'Amérique en vertu d'intérêts commun.


Le panaméricanisme a encouragé la création d'organisations tel l'Institut américain de l'enfance, le Banco Interamericano de Desarrollo, le Sommet des Amériques ou d'ouvrages comme la route panaméricaine.

Au XIXe siècle, il y eut des efforts de coopération dès les guerres d'indépendance avec Simón Bolívar (Grande Colombie) et José de San Martín, prenant pour exemple les États-Unis d'Amérique.

Henry Clay et Thomas Jefferson établissent les principes du panaméricanisme dès le début du XIXème siècle, duquel découle la doctrine Monroe, édictée en 1823.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Panam%C3%A9ricanisme



L'Union des Nations sud-américaines (UNASUR)

est une organisation supranationale économique et politique qui comprend les douze pays d'Amérique du Sud. Elle a été officiellement créée le 23 mai 2008, lors d'un sommet à Brasilia. La chef d'État chilienne Michelle Bachelet en a été élue présidente pour une année[1].

Ce projet a pris naissance dans un contexte d'opposition au ZLEA, « Initiatives pour les Amériques », lancé par George Bush en 1990 puis concrétisé en 1994 au Sommet des Amériques, et donc dans un contexte d'opposition à l'ingérence nord-américaine dans les affaires politiques et économiques latino-américaines. À court terme, il vise notamment à contourner le recours à l'Organisation des États américains (OEA), dont les États-Unis sont partie prenante, lors du traitement de problèmes spécifiquement sud-américains[2].

Les douze pays concernés ont signé le 8 décembre 2004 la Déclaration de Cuzco visant à la réunion du Mercosur, de la Communauté andine, du Chili, du Guyana et du Suriname en une seule communauté supranationale, la Communauté sud-américaine des nations (CSN), sur le modèle de l'Union européenne.

Celle-ci a été rebaptisée Union des Nations sud-américaines lors du premier sommet énergétique sud-américain organisé au Venezuela à la mi-avril 2007.

Outre une communauté économique, le projet inclut à terme :

  • une monnaie commune ;
  • une citoyenneté et un passeport commun ;
  • un parlement commun.

Cet ensemble représentera, s'il se concrétise, une population de 360 millions d'habitants et sera, en superficie (17 millions de km²), la plus vaste union économique, monétaire et politique du monde.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Union_des_Nations_sud-am%C3%A9ricaines



La ZLEA, Zone de Libre-Echange des Amériques


Le
Sommet des Amériques s’est terminé par un accord pour lancer aux dates prévues, c’est-à-dire en janvier 2005, la zone de libre-échange des Amériques (ZLEA), qui englobera 800 millions d’habitants. Les États-Unis n’ont pas obtenu l’inclusion d’une « clause de transparence ».

http://fr.wikipedia.org/wiki/Janvier_2004

  

La Zone de libre-échange des Amériques ou ZLÉA (en anglais : FTAA ; en espagnol et portugais : ALCA) est une communauté économique qui pourrait succéder à l'ALENA. Ce projet est fortement poussé par le gouvernement des États-Unis. Il prévoit la suppression des droits de douanes sur plusieurs types de produits, notamment des produits manufacturés et agroalimentaires.

Il engloberait 34 pays, soit toute l'Amérique, sauf Cuba.


Ce projet est vivement critiqué, essentiellement en Amérique du Sud, par des
associations, des syndicats et des partis politiques car il aurait selon eux des conséquences sociales très négatives. Ce projet est notamment critiqué par l'important MERCOSUR qui regroupe le Brésil, l'Uruguay, l'Argentine, le Paraguay et depuis 2006 le Venezuela. (..)


27 juillet
2005 : Par un vote très serré (217 pour, 215 contre), le Congrès américain adopte un traité de libre échange avec six pays d'Amérique latine, l'ALÉAC (Accord de libre-échange d'Amérique centrale), une étape dans le processus de la ZLÉA. Celui-ci comprendra la République dominicaine, le Nicaragua, le Salvador, le Guatemala, le Honduras et le Costa Rica.

Pays membres :

Voir Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Zone_de_libre-%C3%A9change_des_Am%C3%A9riques

Accord de libre-échange nord-américain (ALENA)
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Membres de l'ALENA


L’ALÉNA ou Accord de libre-échange
nord-américain



est un traité créant une zone de
libre-échange entre les États-Unis, le Canada et le Mexique. Il est entré en vigueur le 1er janvier 1994.

L'ALÉNA résulte de l'extension d'un accord précédent qui ne concernait que le Canada et les É.-U. : l'ALE (« Accord de libre-échange »), dont il reprend une bonne partie des principes.


Les négociations ont été lancées par le gouvernement des
États-Unis sous la présidence de George Bush père (..) L'Accord a été signé le 17 décembre 1992 et est entré en vigueur le 1er janvier 1994.


Bien qu'il soit en partie une réponse au
Traité de Maastricht signé le 7 février 1992, l'ALÉNA, qui avait commencé par l'établissement d'un Marché commun, n'a pas vocation à créer des institutions supranationales à pouvoir législatif, comme l'Union européenne, étant plus proche d'un traité international d'ordre économico-financier....

Objectifs de l’ALÉNA[1] :

  • Éliminer les barrières douanières et faciliter les échanges transfrontaliers des biens et des services,
  • Assurer les conditions d’une concurrence équitable dans la zone de libre-échange,
  • Augmenter substantiellement les occasions d’investissement au sein des trois pays membres,
  • Fournir une protection et une application adéquate des droits de propriété intellectuelle dans chacun des territoires,
  • Adopter des procédures efficaces de mise en œuvre, d’administration conjointe et de résolution des litiges,
  • Approfondir la coopération trilatérale pour étendre les bénéfices de l’accord.
  • Protection de l'environnement et des conditions de travail.


Résultats :

L'ensemble des exportations canadiennes et mexicaines aux États-Unis ont plus que triplé depuis l'entrée en vigueur de l'ALENA en 1994.(..)


Monnaie commune :

Le projet d'une monnaie commune au Canada, États-Unis et Mexique n'a jamais été abordé officiellement par les gouvernements des pays de l'ALENA et n'est pas un de ses objectifs, bien qu'il ait fait et fait toujours l'objet de discussions informelles dans les milieux financiers nord-américains.


L'ex-président mexicain
Vicente Fox Quesada en a parlé en 2007 et a exprimé son espérance d'une meilleure intégration des pays de l'Alena y incluant une éventuelle monnaie commune.


(..) Ce projet monétaire est revenu à l'actualité en octobre 2008 avec les crises financières.

Critiques :

L'ALÉNA est aussi confronté à l'opposition de groupes altermondialistes, luttant plus généralement contre le libre-échange, qui sous sa forme actuelle se limite uniquement à des zones commerciales et traités économiques et ne permet, selon eux, qu'aux biens et services marchands de circuler librement, sans accorder les mêmes droits aux populations. L'égalité en droits ne pourrait donc être obtenue que par des accords politiques ainsi qu'un codéveloppement, et non par une action libre du marché. Ainsi, le cas du Mexique est souvent mis en avant, car si l'ALENA a permis au Mexique de tripler ses exportations, il a également augmenté considérablement la dépendance économique du Mexique vis à vis des Etats-Unis [4]: agriculture dévastée par l'arrivée des produits américains subventionnés, plus de remesas que d'Investissements Directs à l'Etranger (IDE) entre le Mexique et les États-Unis, désormais 70 % du commerce mexicain s'effectue exclusivement avec son voisin du Nord.

Sur le plan national aux États-Unis, le réformateur Ross Perot, deux fois candidat à l'élection présidentielle où il obtient en 1992 le score de 18,9% des voix, a activement lutté contre ce traité. Le parti réformateur, dont il a été le leader, milite aujourd'hui encore pour son abrogation et a fortiori contre son extension.

Certaines critiques[réf. nécessaire] aux États-Unis, non étayées par la réalité économique selon plusieurs experts[réf. nécessaire], lui reprochent d'avoir délocalisé les emplois bien payés de ce pays au Canada et au Mexique, de ne pas avoir fait grand-chose pour les ouvriers américains [réf. nécessaire], d'être responsable de la stagnation économique dont souffre la classe moyenne américaine et d'avoir causé la montée des inégalités salariales. (..)


De son côté,
John McCain, le candidat républicain à l’élection présidentielle, déclare le 26 mars 2008 vouloir négocier un traité de libre échange avec l'Union européenne[7]. (..)


Zone de libre-échange. Etats membres :
Canada Canada
États-Unis États-Unis
Mexique Mexique

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Accord_de_libre-%C3%A9change_nord-am%C3%A9ricain




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États membres de l'ALBA.




L'Alba : Alternative Bolivarienne
pour les Amériques


L'Alternative bolivarienne pour les Amériques (ALBA) (Alternativa Bolivariana para los Pueblos de Nuestra América en espagnol) est une organisation politique, sociale et économique pour promouvoir la coopération dans ces domaines des pays de l'
Amérique latine et des Caraïbes. D'abord évoquée par Hugo Chávez, président du Venezuela, lors d'un sommet, en décembre 2001, des chefs d'Etat de la Communauté des Caraïbes, l'ALBA a été officiellement lancée en avril 2005, par la signature d'un « traité commercial des peuples » entre Cuba et le Venezuela. La Bolivie, le Nicaragua, la Dominique et le Honduras se sont depuis associés à l'initiative, qui visait d'abord à promouvoir une alternative à la ZLEA (Zone de libre-échange des Amériques) promue par Washington.


Histoire :

Elle a été pour la première fois évoquée par le président Chávez lors du 3ème sommet des chefs d’Etat de la Communauté des Caraïbes (Caricom), en décembre 2001, comme alternative à la Zone de libre-échange des Amériques promue par les États-Unis. Se réclamant en partie du « libérateur » Simon Bolivar, Chávez l'a décrite ainsi:

«  Il est temps de repenser et de réinventer les processus affaiblis et agonisants d’intégration sous-régionale et régionale dont la crise constitue la plus évidente manifestation d’un manque de projet politique commun. Heureusement, en Amérique latine et dans les Caraïbes, il souffle un vent favorable au lancement de l’ALBA en tant que nouveau schéma intégrateur qui ne se limite pas au simple commerce mais qui se fonde sur nos bases historiques et culturelles communes et qui vise à l’intégration politique, sociale, culturelle, scientifique, technologique et physique ».

L'Association bolivarienne pour les Amériques est officiellement née à La Havane, en avril 2005, par la signature d'un Traité commercial des peuples (TCP) entre le Venezuela et Cuba. Le but du traité est d'échanger des services médicaux cubains contre du pétrole vénézuelien.

Le TCP est signé une année plus tard, le 29 avril 2006, par Evo Morales, le président de la Bolivie[1], quelques jours avant que ce dernier annonce sa volonté de nationaliser les hydrocarbures. Les trois chefs d'États s'engagent à lutter contre l'analphabétisme et le chômage, tandis que Cuba s'engage à prendre en charge les soins ophtalmiques des Boliviens qui ne pourraient s'offrir ces traitements.[1]

Le 16 janvier 2007 les nouveaux Présidents des Républiques du Nicaragua (Daniel Ortega) et d'Équateur (Rafael Correa) ont annoncé de concert leur intention de participer à l'ALBA. Le Nicaragua a depuis rejoint l'ALBA[2], mais l'Equateur a finalement fait part, en juin 2008, de sa décision de ne pas intégrer l'organisation [3]. Rafael Correa avait posé comme précondition à l'intégration de son pays que Caracas rejoigne la Communauté andine, organisation que le Venezuela avait quitté en 2006 suite à la signature d'accords de libre-échange entre les Etats-Unis, la Colombie et le Pérou.

En janvier 2008, la Dominique rejoint l'ALBA.[4]

Le 25 août 2008, le président conservateur du Honduras Manuel Zelaya signe un accord pour que son pays rejoigne l'ALBA[5] (..) L'executif s'est en outre distancé de la posture antiaméricaine de Chavez, revendiquant par la voix d'un conseiller son "non-alignement".


Le 16 avril 2009, "Le sucre, système unique de compensation régionale (pour le commerce) est né", a déclaré le président vénézuélien après la signature d'un accord sur ce point entre les participants au sommet de l'Alba qui se tenait jeudi à Cumana.

Buts :


Sur le plan économique, l'ALBA vise à favoriser la logique coopérative, plutôt que la création d'une zone de libre-échange avec les Etats-Unis qui passe par un abaissement des
droits de douanes, voire leur suppression. Elle s'oppose ainsi directement au « consensus de Washington » qui prônait dans les années 1990 la déréglementation et l'implémentation de mesures néolibérales. Plutôt que d'ordonner des privatisations, l'ALBA favorise au contraire le secteur public [7].

Le Venezuela peut compter sur ses ressources pétrolières pour convaincre certains Etats de la région, énergiquement dépendants. L'ALBA ambitionne par exemple de créer une compagnie pétrolière commune, Petrosur, une équivalente à l'échelle de l'Amérique latine de Petrocaribe, qui regroupe des Etats membres du CARICOM. Outre Petrosur, TeleSUR, une télévision commune conçue comme sorte d'Al Jazeera pour l'Amérique latine, a été lancée en 2005, afin de concurrencer les chaînes CNN et ABC. Le capital de TeleSUR est réparti entre le Venezuela, l'Argentine, Cuba et l'Uruguay (dans l'ordre d'importance).

Des transferts de technologie sont aussi mis en œuvre [7].

Mais la coopération pourrait s'étendre à d'autres domaines :

  • en matière de santé : Cuba a déjà passé des accords de coopération en matière de santé avec le Vénézuela : ce dernier livre du pétrole à un tarif préférentiel en échange de l'envoi de médecins par Cuba [7].
  • a termes, la défense des Etats pourrait également faire l'objet de coopération renforcée.

Outre les gouvernements, l'ALBA est dotée d'un Conseil des Organisations Sociales, qui représentent les mouvements sociaux, et est doté du même statut que le Conseil des Ministres [7]. Aussi appelé Conseil des mouvements sociaux, celui-ci est ouvert aux associations de pays d'Amérique latine n'ayant pas rejoint l'ALBA [7].


http://fr.wikipedia.org/wiki/Alternative_bolivarienne_pour_les_Am%C3%A9riques



Cuba - Obama :

Le président cubain Raul Castro (Reuters)

 

Le président cubain Raul Castro (Reuters)

 

Le gouvernement cubain est prêt à discuter "de tout" avec Washington, y compris des droits de l'Homme, des prisonniers politiques et de la liberté de la presse, a déclaré, jeudi 16 avril, le président cubain Raul Castro... tant que cela se faisait "sur un pied d'égalité".

Obama appelle Cuba à faire le prochain pas
pour montrer son "respect des droits de l'Homme", en vue d'une amélioration des relations américano-cubaines.
Le président mexicain avait alors qualifié les sanctions américaines d'absence de stratégie : "Nous (L'Amérique latine) ne pensons pas que l'embargo ou l'isolation de Cuba soit une bonne mesure pour que les choses changent".
Un peu plus tôt jeudi, la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton avait également envoyé le même type de message depuis Haïti.

L'Embargo en question

Lundi, Barack Obama avait décidé d'autoriser les Américains d'origine cubaine à voyager librement vers Cuba et à transférer des fonds de manière illimitée vers l'île communiste.
Le lendemain, Fidel Castro avait estimé que l'administration Obama n'était pas allée assez loin dans l'assouplissement des sanctions, visant l'embargo commercial en place depuis 47 ans entre les deux pays. (Avec AP)

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/international/ameriques/20090417.OBS3632/raul
_castro_pret_a_discuter_de_tout_avec_les_etatsunis.html




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Publié le 17 avril 2009   - Photo Reuters

 Sommet des Amériques:
L'Alba juge «inacceptable»
la déclaration finale

Le Venezuela, Cuba, la Bolivie, le Nicaragua, le Honduras, La Dominique et Saint-Vincent, qui composent le bloc de l'Alternative bolivarienne pour les Amériques (Alba), jugent «inacceptable» la déclaration finale prévue à l'issue du sommet des Amériques, a annoncé vendredi Hugo Chavez.


Le texte est «inacceptable car il ne contient pas de réponses concernant la crise économique mondiale», ont déclaré les membres de l'Alba réunis depuis jeudi au Venezuela, dans un texte lu publiquement par le président vénézuélien Hugo Chavez.

  
Le Sommet des Amériques, qui se déroule de vendredi à dimanche à Trinité-et-Tobago, est la première grande réunion des pays latino-américains avec la nouvelle administration américaine de Barack Obama.

  
Le projet de déclaration finale du sommet «exclut de manière injustifiée Cuba, sans mentionner le consensus qui existe dans la région pour condamner l'embargo (américain contre l'île) et les tentatives d'isolement», de celle-ci, a encore annoncé le président vénézuélien.

 

L'Alba est le bloc créé en 2004 par le Venezuela et Cuba afin de contrecarrer le projet d'une Zone de libre-échange des Amériques (Zlea), promu par les Etats-Unis. Il a depuis été rejoint par la Bolivie, le Nicaragua, le Honduras, la Dominique et Saint-Vincent.

  
Ses membres souhaitent imposer le dossier cubain dans le programme de discussions, dont il est officiellement absent.


http://www.cyberpresse.ca/international/200904/17/01-847647-sommet-des-ameriques-lalba-juge-inacceptable-la-declaration-finale.php 

Sur ce lien cyberpresse, on pourra lire :

 

(Cliquer sur ces 8 articles du blog Changement de Société)


                          A Visiter absolument :
                       Le Site du cercle Bolivarien,
                                 http://cbparis.free.fr/


Suite dossier Sommet des Amériques :
http://r-sistons.over-blog.com/article-30376184-6.html#anchorComment



 

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E
<br /> <br /> DOCUMENT DES PAYS DE L’ALBA POUR LE V e SOMMET DES AMERIQUES<br /> Publié 18 avril 2009 Amérique latine 0 Commentaires <br /> <br /> <br /> <br /> Caracas, 17 avril. ABN.- Les pays qui sont membres de l’Alternative Bolivarienne pour les peuples de notre Amérique (ALBA) considèrent inacceptable le document final du sommet des Amériques et réclament un débat de fond sur la réponse qui doit être apportée à la crise financière internationale.<br /> Pour cette raison,ils sont tombés d’accord sur une déclaration conjointe qu’il apporteront au Ve sommet des Amériques, et qui dit textuellement les choses suivantes: <br />  <br /> Document des pays de l’Alternative Bolivarienne pour les Peuples de Notre Amérique (ALBA) pour le Ve sommet des Amériques.<br />  Cumaná (Venezuala), 17 avril 2009<br /> Les chefs d’Etat et de gouvernement de Bolivie, Cuba, la Dominique, le Honduras, le Nicaragua et le Venezuela, pays membres de l’ALBA, nous considérons que le projet de Déclaration du Ve sommet des Amériques est insuffisant et inacceptable pour les raisons suivantes:<br /> - Il ne donne pas de réponse à la question de la crise économique globale, alors que celle-ci constitue le plus grand défi auquel l’humanité ait du faire front depuis des décades et la plus sérieuse menace de l’époque actuelle pour le bien être de nos peuples.<br /> <br /> Il exclue injustement Cuba, sans faire mention du consensus qui existe dans la région pour condamner le blocus et les tentatives d’isolement dont son peuple et son gouvernement ont été l’objet sans cesse, de manière criminelle. <br /> Pour ces motifs, nous les pays membres de l’ALBA considérons qu’il ne peut y avoir consensus pour adopter ce projet de déclaration et à partir de là, nous proposons de soutenir un débat de fond sur les thèmes suivants: <br /> <br />  <br /> 1. Le capitalisme constitue une menace mortelle pour l’humanité et la planète. Ce que nous sommes en train de vivre est une crise économique globale de caractère systémique et structurelle et pas une crise cyclique de plus. Ceux qui pensent qu’avec un injection d’argent de provenance fiscale ainsi qu’ avec d’autres moyens de régulation on pourra résoudre cette crise se trompent lourdement.<br /> Le système financier est en crise parce qu’il représente en valeur papier six fois la valeur réelle des biens et services qui se produisent dans le monde. Il ne s’agit pas d’un défaut de régulation du système mais c’est une part constitutive du système capitaliste qui spécule avec tous les biens et valeurs pour obtenir le plus grand profit possible. Jusqu’à présent, la crise économique est à l’origine de 100 millions de plus d’affamés et plus de 50 millions de nouveaux chômeurs et ces chiffres tendent à augmenter.<br /> 2. Le capitalisme a provoqué la crise écologique afin de soumettre la vie de la planète à la prédominance du marché et du profit. Chaque année il se consomme un tiers de plus que ce que la planète est capable de régénérer. A ce rythme de destruction du système capitaliste, nous allons avoir besoin de deux planètes terre pour l’année 2030.<br /> 3. La crise économique globale, celle du changement climatique, celle alimentaire et énergétique sont le produit de la décadence du capitalisme qui menace l’existence de la vie et de la planète elle-même. Pour éviter ce dénouement il est nécessaire de développer un modèle alternatif au système capitaliste.<br /> Un sytème de:- Solidarité et complémentarité et pas de concurrence ;- Un système d’harmonie avec notre mère terre et non de saccage des ressources naturelles;- Un système de diversité culturelle et pas d’écrasement des cultures et d’impositions de valeurs culturelles et de styles de vie étrangers aux réalités de nos pays;- Un système de paix basé sur la justice sociale et pas sur des politiques et des guerres impérialistes;- En résumé, un système qui respecte la condition humaine de nos sociétés et peuples et ne les réduit pas à être de simples consommateurs ou marchands.<br /> 4. Comme expression concrète de la nouvelle réalité du continent, les pays latino-américains et caraïbéens avons commencé à construire nos propres institutions, qui plongent leurs racines dans notre histoire commune qui remonte à notre Révolution indépendantiste, et constitue un outil concret d’approfondissement des processus de transformation sociale, économique et culturelle qui auront à consolider notre pleine souveraineté. L’ALBA-TCP( Traité du Commerce des Peuples), Petrocaribe (1) ou l’UNASUR (2), pour citer seulement les créations les plus récentes, sont des mécanismes d’union solidaire créés dans le feu de ces transformations, avec l’intention manifeste de renforcer l’effort de nos peuples pour aller vers leur propre libération.<br /> Pour affronter les graves effets de la crise économique globale, nous, les pays de l’ALBA-TCP, avons choisis des moyens innovants et transformateurs, qui cherchent des alternatives réelles à l’ordre économique international déficient et à ce que ne peuvent pas ses institutions défaillantes. Ainsi, nous avons mis en place un système unique de compensation régional, le Sucre, qui inclut une unité de compte commune, une chambre de compensation de paiement et un système unique de réserves.<br /> Egalement, nous avons impulsé la constitution d’entreprises visant à satisfaire les besoins fondamentaux de nos peuples, en établissant des mécanismes de commerce justes et complémentaire, qui laissent de côté l’absurde logique de la concurrence effrénée.<br /> 5. Nous reprochons au G20 d’avoir triplé les ressources du Fonds monétaire international, alors que ce qui est réellement nécessaire est d’établir un nouvel ordre économique mondial qui inclut la transformation totale du FMI, de la Banque mondiale et de l’OMC qui en imposant leurs conditions néolibérales ont contribué à cette crise économique globale.<br /> 6. Les solutions à la crise économique globale et la définition d’une nouvelle architecture financière internationale doivent être adoptées avec la participation des 192 pays qui entre le 1er et le 3 juin se réuniront en conférence des Nations Unies sur la crise financière internationale, pour proposer la création d’un nouvel o
E
Reçu ce courriel qui a sa place ici : (je vous renvoie au blog cité)Bonsoir Eva !Je suis déjà passé sur un de tes blogs !Tu es très prolifique...et bien jolie !Excuse ma franchise de poète mais c'est un bien joli compliment !Tes prises de positions sont en ton honneur...Et je suis vraiment heureux de partager avec toi, ces points de vues, très engagés !Je suis algérien et tout n'est pas aussi merveilleux qu'on essaye de vous le faire croire.Reçois ma chère amie mes hommages et surtout l'expression de ma plus sincère admiration ! Je sais que tu as roulé ta bosse un peu partout et cela forge l'esprit et le tempérament ! Une femme d'esprit et de cœur...Amicales pensées.Mon blog : http://goutdemiel.over-blog.net/Viens ! Cela me ferait plaisir surtout si tu laisses des commentaires !Bisous.   Kamel
E
Pour une fois, ce n'est pas lui la star... Si Hugo Chavez a été le meilleur à l'applaudimètre à son arrivée au sommet des Amériques, ce n'est que parce que Barack Obama s'était faufilé par la petite porte. Lire la suite l'article<br /> <br /> <br /> <br /> Articles liés<br /> <br /> <br /> <br /> Barack Obama propose un nouveau partenariat aux Amériques et un "nouveau départ" à Cuba <br /> Une journaliste américaine condamnée à huit ans de prison en Iran pour espionnage <br /> Le premier geste de Barack Obama à l'égard de Cuba <br /> Plus d'articles sur : États-Unis <br /> <br /> <br /> <br /> Discussion: États-Unis<br /> <br /> <br /> <br /> La preuve en était faite quelques instants plus tard, lorsque le président américain est entré à son tour dans la salle où les dignitaires de 34 pays étaient rassemblés. Le tonnerre d'applaudissements et l'ovation debout n'ont plus laissé aucun doute: personne n'avait été accueilli avec autant de chaleur que le nouveau "yankee" en chef...<br /> Des applaudissements ont à nouveau interrompu Barack Obama quand il a promis un "partenariat d'égal à égal" avec chacun des pays de la région et s'est engagé à réparer la relation des Etats-Unis avec Cuba.<br /> L'habituellement flamboyant Hugo Chavez pendant tout ce temps est resté inhabituellement calme, ne pipant mot et n'intervenant pas pendant la cérémonie d'ouverture.<br /> Soit un réel contraste avec le précédent sommet des Amériques, en 2005, où le président vénézuélien avait mené l'assaut de l'hémisphère contre l'accord commercial prôné par son ennemi juré, George W. Bush.<br /> Si Hugo Chavez demeure populaire parmi les dirigeants de la gauche latino-américaine, son étoile s'est considérablement affaiblie avec le changement de locataire à la Maison Blanche, une fois parti le président Bush que tous avaient adoré détester.<br /> "Au bout du compte, Chavez est un pur produit de Bush", note Marta Lagos, de l'institut de sondages Latinobarometro, basé au Chili. "Il n'aurait jamais existé si Bush ne s'était pas opposé à lui de cette manière".<br /> "Je crois que l'élection d'Obama l'a déstabilisé. Bush était une cible tellement parfaite", renchérit Peter Hakim, président du centre de réflexion Inter-American Dialogue, dont le siège se trouve à Washington.<br /> Signe des temps nouveaux, la poignée de main Obama-Chavez avant le début du sommet vendredi, et à l'initiative d'Obama, a été très chaleureuse, le Vénézuélien lançant à l'Américain (en anglais): "je veux être votre ami". Ce à quoi Obama lui a répondu (en espagnol): "Comment vas-tu?" (como estas?).<br /> Et Chavez de commenter, à propos de cette brève mais souriante première rencontre: "Je crois que ça a été un bon moment. Je crois que le président Obama est un homme intelligent, à la différence du précédent président des Etats-Unis".<br /> Le président vénézuélien n'est cependant pas allé jusqu'à abandonner ses vieilles habitudes, s'en prenant peu après à plusieurs reprises à la "domination des Etats-Unis" sur l'Organisation des Etats américains (OEA), ou au fait que le sommet des Amériques lui-même a vu le jour en 1994 pour servir les intérêts du grand voisin du Nord.<br /> Il joue aussi les patriarches "chenus" à Port-of-Spain: Chavez est en effet le seul des dirigeants présents à avoir assisté aux deux précédents sommets des Amériques.<br /> Le "seul vieux" a noté aussi "un courant de rénovation très positif" à ce sommet, tous ces petits jeunes étant selon lui "disposés à inaugurer une nouvelle ère, basée sur l'indépendance, le respect, le développement".<br /> Selon plusieurs analystes, Chavez ayant perdu sa némésis aujourd'hui se cherche: en pleine phase de réajustement, il doit évaluer comment continuer à s'en prendre aux Etats-Unis honnis sans toucher à l'hyper-populaire Obama... AP<br />  <br />  <br /> http://fr.news.yahoo.com/3/20090418/twl-usa-venezuela-obama-chavez-224d7fb.html
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SOMMET DES AMERIQUES<br /> NOUVELOBS.COM | 18.04.2009 | 18:08<br /> 12 réactions<br /> Les deux présidents se sont à nouveau serrés la main, au deuxième jour du sommet des Amériques, à Trinidad-et-Tobago. "Les Etats-Unis veulent un nouveau départ avec Cuba", a également affirmé Barack Obama.<br /> <br /> <br /> <br /> Poignée de main entre Barack Obama et Hugo Chavez au sommet des Amériques (Sipa)<br /> <br /> Le président vénézuélien Hugo Chavez a continué samedi 18 avril à se montrer conciliant à l'égard de son homologue américain Barack Obama, en lui offrant un livre, au sommet des Amériques à Trinité-et-Tobago. Le livre intitulé "les Veines ouvertes de l'Amérique latine" traite du pillage des ressources de l'Amérique latine du XVe siècle au XXe. Ouvrage de référence pour la région, écrit par l'Uruguayen Eduardo Galeano, grand nom de l'écriture sud-américaine, le livre est volontiers cité par Hugo Chavez.<br /> "J'ai beaucoup à apprendre"<br /> Barack Obama a échangé une nouvelle poignée de mains avec le président vénézuélien, samedi matin, après celle très commentée de la veille, au cours d'une rencontre avec plusieurs présidents sud-américains, affirment des sources vénézuéliennes.  "J'ai beaucoup à apprendre et je me réjouis à l'idée d'écouter", a déclaré Barack Obama, au début de la rencontre avec les dirigeants de l'Unasur, organisation économique et politique réunissant l'Argentine, le Brésil, la Bolivie, le Chili, la Colombie, l'Equateur, le Paraguay, le Pérou, l'Uruguay et le Venezuela.<br /> Une nouvelle direction avec Cuba<br /> La veille, Barack Obama s'était prononcé pour "un nouveau départ" dans les relations entre les Etats-Unis et Cuba dans son discours d'ouverture du sommet des Amériques. Le président américain avait estimé qu'il était possible de faire avancer les relations entre les deux pays "dans une nouvelle direction". "Les Etats-Unis veulent un nouveau départ avec Cuba. Je sais qu'il y a un long voyage à faire pour dépasser des décennies de méfiance, mais il y a des mesures cruciales que nous pouvons prendre vers une nouvelle ère", a-t-il précisé.Alors que les dirigeants des Amériques sont réunis pour deux jours dans les Caraïbes, le secrétaire général de l'organisation des Etats américains, Jose Miguel Insulza, a suggéré par ailleurs d'inviter Cuba à participer à ces rencontres à l'avenir.<br /> Castro prêt à discuter<br /> Ces propos sont intervenus au lendemain des déclarations du dirigeant cubain Raul Castro, qui a affirmé que le régime communiste était prêt à discuter "de tout" avec Washington. Raul Castro répondait ainsi à l'annonce, par Barack Obama, d'un assouplissement des conditions de voyage et de transfert d'argent vers l'île."Parler pour parler ne m'intéresse pas", affirme également le président américain dans son discours. "Mais je pense que nous pouvons faire avancer les relations entre les Etats-Unis et Cuba dans une nouvelle direction".Obama a souligné que ce serait un mauvais choix d'arbitrer entre "s'en tenir à la politique inflexible regardant Cuba ou dénier les droits humains auxquels ont droit les Cubains".<br /> Un embargo "anachronique"<br /> Le porte-parole de la Maison Blanche Robert Gibbs avait précisé auparavant que les Etats-Unis n'abandonnent pas la demande de gestes concrets de Cuba dans le sens de la liberté, tels que la libération de prisonniers politiques, le libre passage des fonds envoyés par des Cubains expatriés à leurs familles dans l'île, ou la liberté de la presse.La présidente argentine, Christina Kirchner, a déclaré pour sa part en ouverture du sommet des Amériques que les Etats-Unis devaient lever leur embargo "anachronique" contre Cuba, une remarque qui lui a valu des applaudissements nourris. "Ne manquons pas la chance de construire une nouvelle relation avec Cuba" a-t-elle poursuivi, anticipant sur les propos de Barack Obama.<br /> Poignée de main Obama-Chavez<br /> Autre événement marquant du sommet: la poignée de main entre Barack Obama et Hugo Chavez, son homologue vénézuélien. D'après la présidence du Venezuela, ce geste était une initiative du locataire de la Maison Blanche. Les deux hommes se rencontraient pour la première fois. "J'ai accueilli Bush il y a huit ans avec la même main, a souligné Chavez, ajoutant : "Je veux être votre ami". Le dirigeant bolivarien a exprimé récemment le désir de remettre à zéro les relations de son pays avec les Etats-Unis. Mais Barack Obama a attenué la portée de la rencontre, indiquant qu'il avait juste demandé à Chavez "Comment ça va" en espagnol.<br /> "Un partenariat à égalité"<br /> A l'image de ce nouveau départ dans les relations avec Cuba et le Venezuela, Barack Obama a dit rechercher "un partenariat à égalité" avec les nations d'Amérique latine."Nous avons été par moment désengagés, et parfois nous avons essayé de dicter nos conditions" a reconnu le dirigeant nord-américain devant ses pairs. "Mais je vous promets que nous cherchons un partenariat à égalité" a poursuivi le chef de la Maison Blanche."Il n'y a pas de partenaire junior et de partenaire senior dans nos relations" a affirmé Barack Obama.<br /> "Nouveau chapitre d'engagement"<br /> Obama a tenté de donner une nouvelle image des Etats-Unis, coopérative et humble, devant les dirigeants des 33 autres nations de l'Organisation des Etats américains, même si son pays est le plus puissant du monde militairement et économiquement."Je suis ici pour lancer un nouveau chapitre d'engagement durable que mon gouvernement entretiendra" a promis le président des Etats-Unis. Il n'avait jamais voyagé plus au sud que le Mexique jusqu'ici. (avec AP)

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