http://socio13.wordpress.com/2009/04/17/intervention-devo-morales-a-lalba-je-veux-me-declarer-marxiste-leniniste-communiste-socialiste-et-quils-mexpulsent-de-loea/20071218phowww000711/#comment-11503 Le Sommet des Amériques :
Un moment important.
Le cinquième Sommet des Amériques a commencé,
à Port d'Espagne à Trinité-et-Tobago.
Pour la 1e fois, il se réunit dans les Caraïbes, ancienne colonie anglaise.
Officiellement, jusqu'ici 5 sommets (Le premier, en 1994, à Miami)
En 2005, G.W. Bush a claqué la porte. Lors de ce Sommet des Amériques, le Président du Vénézuéla avait mené l'assaut de l'hémisphère contre l'accord commercial prôné par George W. Bush. Chavez avait dominé ce sommet, on retiendra surtout ses puissantes critiques contre les Etats-Unis.La crise Cuba-Etats-Unis paralyse les discussions de ces sommets.
Puis, amorce de réconciliation USA-Cuba.
Chavez, et d'autres pays, jugent inacceptable la déclaration finale,
et menacent de ne pas la signer :
Le texte est «inacceptable car il ne contient pas de réponses
concernant la crise économique mondiale»,
ont déclaré lers membres de l'Alba réunis au Vénézuela.
Comment traiter de la crise ensemble,
avec des relances coordonnées,
alors que par le passé un pays comme l'Argentine
a appliqué les recettes du FMI, avec les conséquences
catastrophiques que l'on sait ?
Les membres de l'Alba veulent des solutions à la crise,
et que cesse l'embargo à l'encontre de Cuba.
Dossier pour comprendre la situation en Amérique Latine,
les différents traités qui la concernent.
Eva
Ce sommet à été créé pourquoi, au juste ?
C’était pour répandre le néolibéralisme en Amérique, from the North, right to the South.
C’était pour imposer la ZLÉA. La ZLÉA est morte en novembre 2005 à Mar del Plata, en Argentine.
Le sommet n’a donc plus sa raison d’être.
Ce sommet était un sommet d’imposition du néolibéralisme, les nains ont la ferme intention de le transformer en sommet humain ou à lui faire râler ses derniers râlements
http://www.legrandsoir.info/article8416.html
Sommet des Amériques :
Voir : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sommet_des_Am%C3%A9riques
Le Sommet des Amériques
est une rencontre formelle des chefs d'État des 34 pays d'Amérique du Nord, Amérique centrale et d'Amérique du Sud. Le sommet est organisé par plusieurs structures intergouvernementales dont principalement l'Organisation des États américains.
Les autres rencontres au sommet :
Pays membres : (..) =
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sommet_des_Am%C3%A9riques
Le panamericanisme
est un mouvement diplomatique, politique, économique et social qui cherche à créer, encourager et organiser les relations, associations et coopérations entre les états d'Amérique en vertu d'intérêts commun.
Le panaméricanisme a encouragé la création d'organisations tel l'Institut américain de l'enfance, le Banco Interamericano de Desarrollo, le Sommet des Amériques ou d'ouvrages comme la route panaméricaine.
Au XIXe siècle, il y eut des efforts de coopération dès les guerres d'indépendance avec Simón Bolívar (Grande Colombie) et José de San Martín, prenant pour exemple les États-Unis d'Amérique.
Henry Clay et Thomas Jefferson établissent les principes du panaméricanisme dès le début du XIXème siècle, duquel découle la doctrine Monroe, édictée en 1823.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Panam%C3%A9ricanisme
L'Union des Nations sud-américaines (UNASUR)
est une organisation supranationale économique et politique qui comprend les douze pays d'Amérique du Sud. Elle a été officiellement créée le 23 mai 2008, lors d'un sommet à Brasilia. La chef d'État chilienne Michelle Bachelet en a été élue présidente pour une année[1].
Ce projet a pris naissance dans un contexte d'opposition au ZLEA, « Initiatives pour les Amériques », lancé par George Bush en 1990 puis concrétisé en 1994 au Sommet des Amériques, et donc dans un contexte d'opposition à l'ingérence nord-américaine dans les affaires politiques et économiques latino-américaines. À court terme, il vise notamment à contourner le recours à l'Organisation des États américains (OEA), dont les États-Unis sont partie prenante, lors du traitement de problèmes spécifiquement sud-américains[2].
Les douze pays concernés ont signé le 8 décembre 2004 la Déclaration de Cuzco visant à la réunion du Mercosur, de la Communauté andine, du Chili, du Guyana et du Suriname en une seule communauté supranationale, la Communauté sud-américaine des nations (CSN), sur le modèle de l'Union européenne.
Celle-ci a été rebaptisée Union des Nations sud-américaines lors du premier sommet énergétique sud-américain organisé au Venezuela à la mi-avril 2007.
Outre une communauté économique, le projet inclut à terme :
- une monnaie commune ;
- une citoyenneté et un passeport commun ;
- un parlement commun.
Cet ensemble représentera, s'il se concrétise, une population de 360 millions d'habitants et sera, en superficie (17 millions de km²), la plus vaste union économique, monétaire et politique du monde.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Union_des_Nations_sud-am%C3%A9ricaines
La ZLEA, Zone de Libre-Echange des Amériques
Le Sommet des Amériques s’est terminé par un accord pour lancer aux dates prévues, c’est-à-dire en janvier 2005, la zone de libre-échange des Amériques (ZLEA), qui englobera 800 millions d’habitants. Les États-Unis n’ont pas obtenu l’inclusion d’une « clause de transparence ».
http://fr.wikipedia.org/wiki/Janvier_2004
La Zone de libre-échange des Amériques ou ZLÉA (en anglais : FTAA ; en espagnol et portugais : ALCA) est une communauté économique qui pourrait succéder à l'ALENA. Ce projet est fortement poussé par le gouvernement des États-Unis. Il prévoit la suppression des droits de douanes sur plusieurs types de produits, notamment des produits manufacturés et agroalimentaires.
Il engloberait 34 pays, soit toute l'Amérique, sauf Cuba.
Ce projet est vivement critiqué, essentiellement en Amérique du Sud, par des associations, des syndicats et des partis politiques car il aurait selon eux des conséquences sociales très négatives. Ce projet est notamment critiqué par l'important MERCOSUR qui regroupe le Brésil, l'Uruguay, l'Argentine, le Paraguay et depuis 2006 le Venezuela. (..)
27 juillet 2005 : Par un vote très serré (217 pour, 215 contre), le Congrès américain adopte un traité de libre échange avec six pays d'Amérique latine, l'ALÉAC (Accord de libre-échange d'Amérique centrale), une étape dans le processus de la ZLÉA. Celui-ci comprendra la République dominicaine, le Nicaragua, le Salvador, le Guatemala, le Honduras et le Costa Rica.
Pays membres :
Voir Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Zone_de_libre-%C3%A9change_des_Am%C3%A9riques
Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) |
|
Membres de l'ALENA |
L’
ALÉNA ou
Accord de libre-échange
nord-américain
est un traité créant une zone de libre-échange entre les États-Unis, le Canada et le Mexique. Il est entré en vigueur le 1er janvier 1994.
L'ALÉNA résulte de l'extension d'un accord précédent qui ne concernait que le Canada et les É.-U. : l'ALE (« Accord de libre-échange »), dont il reprend une bonne partie des principes.
Les négociations ont été lancées par le gouvernement des États-Unis sous la présidence de George Bush père (..) L'Accord a été signé le 17 décembre 1992 et est entré en vigueur le 1er janvier 1994.
Bien qu'il soit en partie une réponse au Traité de Maastricht signé le 7 février 1992, l'ALÉNA, qui avait commencé par l'établissement d'un Marché commun, n'a pas vocation à créer des institutions supranationales à pouvoir législatif, comme l'Union européenne, étant plus proche d'un traité international d'ordre économico-financier....
Objectifs de l’ALÉNA[1] :
- Éliminer les barrières douanières et faciliter les échanges transfrontaliers des biens et des services,
- Assurer les conditions d’une concurrence équitable dans la zone de libre-échange,
- Augmenter substantiellement les occasions d’investissement au sein des trois pays membres,
- Fournir une protection et une application adéquate des droits de propriété intellectuelle dans chacun des territoires,
- Adopter des procédures efficaces de mise en œuvre, d’administration conjointe et de résolution des litiges,
- Approfondir la coopération trilatérale pour étendre les bénéfices de l’accord.
- Protection de l'environnement et des conditions de travail.
Résultats :
L'ensemble des exportations canadiennes et mexicaines aux États-Unis ont plus que triplé depuis l'entrée en vigueur de l'ALENA en 1994.(..)
Monnaie commune :
Le projet d'une monnaie commune au Canada, États-Unis et Mexique n'a jamais été abordé officiellement par les gouvernements des pays de l'ALENA et n'est pas un de ses objectifs, bien qu'il ait fait et fait toujours l'objet de discussions informelles dans les milieux financiers nord-américains.
L'ex-président mexicain Vicente Fox Quesada en a parlé en 2007 et a exprimé son espérance d'une meilleure intégration des pays de l'Alena y incluant une éventuelle monnaie commune.
(..) Ce projet monétaire est revenu à l'actualité en octobre 2008 avec les crises financières.
Critiques :
L'ALÉNA est aussi confronté à l'opposition de groupes altermondialistes, luttant plus généralement contre le libre-échange, qui sous sa forme actuelle se limite uniquement à des zones commerciales et traités économiques et ne permet, selon eux, qu'aux biens et services marchands de circuler librement, sans accorder les mêmes droits aux populations. L'égalité en droits ne pourrait donc être obtenue que par des accords politiques ainsi qu'un codéveloppement, et non par une action libre du marché. Ainsi, le cas du Mexique est souvent mis en avant, car si l'ALENA a permis au Mexique de tripler ses exportations, il a également augmenté considérablement la dépendance économique du Mexique vis à vis des Etats-Unis [4]: agriculture dévastée par l'arrivée des produits américains subventionnés, plus de remesas que d'Investissements Directs à l'Etranger (IDE) entre le Mexique et les États-Unis, désormais 70 % du commerce mexicain s'effectue exclusivement avec son voisin du Nord. Sur le plan national aux États-Unis, le réformateur Ross Perot, deux fois candidat à l'élection présidentielle où il obtient en 1992 le score de 18,9% des voix, a activement lutté contre ce traité. Le parti réformateur, dont il a été le leader, milite aujourd'hui encore pour son abrogation et a fortiori contre son extension.
Certaines critiques[réf. nécessaire] aux États-Unis, non étayées par la réalité économique selon plusieurs experts[réf. nécessaire], lui reprochent d'avoir délocalisé les emplois bien payés de ce pays au Canada et au Mexique, de ne pas avoir fait grand-chose pour les ouvriers américains [réf. nécessaire], d'être responsable de la stagnation économique dont souffre la classe moyenne américaine et d'avoir causé la montée des inégalités salariales. (..)
De son côté, John McCain, le candidat républicain à l’élection présidentielle, déclare le 26 mars 2008 vouloir négocier un traité de libre échange avec l'Union européenne[7]. (..)
Zone de libre-échange. Etats membres :
Canada
États-Unis
Mexique
http://fr.wikipedia.org/wiki/Accord_de_libre-%C3%A9change_nord-am%C3%A9ricain
L'Alba : Alternative Bolivarienne
pour les Amériques
L'Alternative bolivarienne pour les Amériques (ALBA) (Alternativa Bolivariana para los Pueblos de Nuestra América en espagnol) est une organisation politique, sociale et économique pour promouvoir la coopération dans ces domaines des pays de l'Amérique latine et des Caraïbes. D'abord évoquée par Hugo Chávez, président du Venezuela, lors d'un sommet, en décembre 2001, des chefs d'Etat de la Communauté des Caraïbes, l'ALBA a été officiellement lancée en avril 2005, par la signature d'un « traité commercial des peuples » entre Cuba et le Venezuela. La Bolivie, le Nicaragua, la Dominique et le Honduras se sont depuis associés à l'initiative, qui visait d'abord à promouvoir une alternative à la ZLEA (Zone de libre-échange des Amériques) promue par Washington.
Histoire :
Elle a été pour la première fois évoquée par le président Chávez lors du 3ème sommet des chefs d’Etat de la Communauté des Caraïbes (Caricom), en décembre 2001, comme alternative à la Zone de libre-échange des Amériques promue par les États-Unis. Se réclamant en partie du « libérateur » Simon Bolivar, Chávez l'a décrite ainsi:
- « Il est temps de repenser et de réinventer les processus affaiblis et agonisants d’intégration sous-régionale et régionale dont la crise constitue la plus évidente manifestation d’un manque de projet politique commun. Heureusement, en Amérique latine et dans les Caraïbes, il souffle un vent favorable au lancement de l’ALBA en tant que nouveau schéma intégrateur qui ne se limite pas au simple commerce mais qui se fonde sur nos bases historiques et culturelles communes et qui vise à l’intégration politique, sociale, culturelle, scientifique, technologique et physique ».
L'Association bolivarienne pour les Amériques est officiellement née à La Havane, en avril 2005, par la signature d'un Traité commercial des peuples (TCP) entre le Venezuela et Cuba. Le but du traité est d'échanger des services médicaux cubains contre du pétrole vénézuelien.
Le TCP est signé une année plus tard, le 29 avril 2006, par Evo Morales, le président de la Bolivie[1], quelques jours avant que ce dernier annonce sa volonté de nationaliser les hydrocarbures. Les trois chefs d'États s'engagent à lutter contre l'analphabétisme et le chômage, tandis que Cuba s'engage à prendre en charge les soins ophtalmiques des Boliviens qui ne pourraient s'offrir ces traitements.[1]
Le 16 janvier 2007 les nouveaux Présidents des Républiques du Nicaragua (Daniel Ortega) et d'Équateur (Rafael Correa) ont annoncé de concert leur intention de participer à l'ALBA. Le Nicaragua a depuis rejoint l'ALBA[2], mais l'Equateur a finalement fait part, en juin 2008, de sa décision de ne pas intégrer l'organisation [3]. Rafael Correa avait posé comme précondition à l'intégration de son pays que Caracas rejoigne la Communauté andine, organisation que le Venezuela avait quitté en 2006 suite à la signature d'accords de libre-échange entre les Etats-Unis, la Colombie et le Pérou.
En janvier 2008, la Dominique rejoint l'ALBA.[4]
Le 25 août 2008, le président conservateur du Honduras Manuel Zelaya signe un accord pour que son pays rejoigne l'ALBA[5] (..) L'executif s'est en outre distancé de la posture antiaméricaine de Chavez, revendiquant par la voix d'un conseiller son "non-alignement".
Le 16 avril 2009, "Le sucre, système unique de compensation régionale (pour le commerce) est né", a déclaré le président vénézuélien après la signature d'un accord sur ce point entre les participants au sommet de l'Alba qui se tenait jeudi à Cumana.
Buts :
Sur le plan économique, l'ALBA vise à favoriser la logique coopérative, plutôt que la création d'une zone de libre-échange avec les Etats-Unis qui passe par un abaissement des droits de douanes, voire leur suppression. Elle s'oppose ainsi directement au « consensus de Washington » qui prônait dans les années 1990 la déréglementation et l'implémentation de mesures néolibérales. Plutôt que d'ordonner des privatisations, l'ALBA favorise au contraire le secteur public [7].
Le Venezuela peut compter sur ses ressources pétrolières pour convaincre certains Etats de la région, énergiquement dépendants. L'ALBA ambitionne par exemple de créer une compagnie pétrolière commune, Petrosur, une équivalente à l'échelle de l'Amérique latine de Petrocaribe, qui regroupe des Etats membres du CARICOM. Outre Petrosur, TeleSUR, une télévision commune conçue comme sorte d'Al Jazeera pour l'Amérique latine, a été lancée en 2005, afin de concurrencer les chaînes CNN et ABC. Le capital de TeleSUR est réparti entre le Venezuela, l'Argentine, Cuba et l'Uruguay (dans l'ordre d'importance).
Des transferts de technologie sont aussi mis en œuvre [7].
Mais la coopération pourrait s'étendre à d'autres domaines :
- en matière de santé : Cuba a déjà passé des accords de coopération en matière de santé avec le Vénézuela : ce dernier livre du pétrole à un tarif préférentiel en échange de l'envoi de médecins par Cuba [7].
- a termes, la défense des Etats pourrait également faire l'objet de coopération renforcée.
Outre les gouvernements, l'ALBA est dotée d'un Conseil des Organisations Sociales, qui représentent les mouvements sociaux, et est doté du même statut que le Conseil des Ministres [7]. Aussi appelé Conseil des mouvements sociaux, celui-ci est ouvert aux associations de pays d'Amérique latine n'ayant pas rejoint l'ALBA [7].
http://fr.wikipedia.org/wiki/Alternative_bolivarienne_pour_les_Am%C3%A9riques
Cuba - Obama :
Le président cubain Raul Castro (Reuters)
Le gouvernement cubain est prêt à discuter "de tout" avec Washington, y compris des droits de l'Homme, des prisonniers politiques et de la liberté de la presse, a déclaré, jeudi 16 avril, le président cubain Raul Castro... tant que cela se faisait "sur un pied d'égalité".
Obama appelle Cuba à faire le prochain pas
pour montrer son "respect des droits de l'Homme", en vue d'une amélioration des relations américano-cubaines.
Le président mexicain avait alors qualifié les sanctions américaines d'absence de stratégie : "Nous (L'Amérique latine) ne pensons pas que l'embargo ou l'isolation de Cuba soit une bonne mesure pour que les choses changent".
Un peu plus tôt jeudi, la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton avait également envoyé le même type de message depuis Haïti.
L'Embargo en question
Lundi, Barack Obama avait décidé d'autoriser les Américains d'origine cubaine à voyager librement vers Cuba et à transférer des fonds de manière illimitée vers l'île communiste.
Le lendemain, Fidel Castro avait estimé que l'administration Obama n'était pas allée assez loin dans l'assouplissement des sanctions, visant l'embargo commercial en place depuis 47 ans entre les deux pays. (Avec AP)
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/international/ameriques/20090417.OBS3632/raul
_castro_pret_a_discuter_de_tout_avec_les_etatsunis.htmlPublié le 17 avril 2009 - Photo Reuters
Sommet des Amériques:
L'Alba juge «inacceptable»
la déclaration finale
Le Venezuela, Cuba, la Bolivie, le Nicaragua, le Honduras, La Dominique et Saint-Vincent, qui composent le bloc de l'Alternative bolivarienne pour les Amériques (Alba), jugent «inacceptable» la déclaration finale prévue à l'issue du sommet des Amériques, a annoncé vendredi Hugo Chavez.
Le texte est «inacceptable car il ne contient pas de réponses concernant la crise économique mondiale», ont déclaré les membres de l'Alba réunis depuis jeudi au Venezuela, dans un texte lu publiquement par le président vénézuélien Hugo Chavez.
Le Sommet des Amériques, qui se déroule de vendredi à dimanche à Trinité-et-Tobago, est la première grande réunion des pays latino-américains avec la nouvelle administration américaine de Barack Obama.
Le projet de déclaration finale du sommet «exclut de manière injustifiée Cuba, sans mentionner le consensus qui existe dans la région pour condamner l'embargo (américain contre l'île) et les tentatives d'isolement», de celle-ci, a encore annoncé le président vénézuélien.
L'Alba est le bloc créé en 2004 par le Venezuela et Cuba afin de contrecarrer le projet d'une Zone de libre-échange des Amériques (Zlea), promu par les Etats-Unis. Il a depuis été rejoint par la Bolivie, le Nicaragua, le Honduras, la Dominique et Saint-Vincent.
Ses membres souhaitent imposer le dossier cubain dans le programme de discussions, dont il est officiellement absent.
(Cliquer sur ces 8 articles du blog Changement de Société)
A Visiter absolument :
Le Site du cercle Bolivarien,
http://cbparis.free.fr/
Suite dossier Sommet des Amériques :
http://r-sistons.over-blog.com/article-30376184-6.html#anchorComment