Face à Sarkozy, au MEDEF et à l'Union Européenne,
construire par en-bas
le tous ensemble
en même temps
Le pouvoir mène une guerre sans limite
contre les intérêts et les acquis des travailleurs
et la crise va accélérer cette régression sociale
dans des proportions dramatiques ;
face à cette situation, la France deviendra un pays de misère
pour les travailleurs si ceux-ci ne parviennent pas à construire un mouvement d'ensemble durable bloquant le profit capitaliste, comme en 36, en 68 ou comme en Guadeloupe actuellement, qui seul pourra faire plier le gouvernement et le patronat et permettre la satisfaction des revendications et des aspirations populaires.
D'un côté, des travailleurs du public et du privé, retraités, chômeurs... subissant la régression sociale et la crise capitaliste : salaires bloqués voire en baisse (comme à IBM ou chez Renault où les salaires n'augmenteront pas cette année et où les primes vont être fortement réduites) tandis que les prix montent, licenciements qui se multiplient (+ 100 000 chômeurs en janvier !), suppressions de postes massives dans le public, casse de l'hôpital, des universités et de l'Education nationale....
De l'autre, 54 milliards de bénéfices (+ 14 %) distribués aux gros actionnaires du CAC 40 pour 2008, des centaines de milliards d'euros publics versés sans aucun contrôle aux grandes entreprises, des milliards d'exonérations de cotisations sociales...
De l'argent et des moyens dans notre pays, il y en a bien. Mais il ne sert qu'à engraisser le grand capital au nom d'une politique unique euro-formatée et imposée aujourd'hui en France par Sarkozy et son gouvernement qui sont les commis des Bouygues, Lagardère, Bolloré, Rothschild et autres Pinault.
Face à cette situation, les mobilisations se succèdent depuis des mois et se ressemblent, massives et posant avec détermination les revendications populaires : augmentation des salaires, interdiction des licenciements et des délocalisations, retrait des contre-réformes euro-libérales (hôpital, Education de la maternelle à l'université...), refus des privatisations et de la casse des services publics, non à l'exploitation néo-coloniale dans les DOM...
Ces nombreuses luttes, qui ont débouché le 29 janvier sur une journée interpro d'une ampleur exceptionnelle, sont massivement soutenues par la population tandis que Sarkozy, décidé à maintenir coûte que coûte son programme de « rupture » thatchérienne, est de plus en plus impopulaire.
Dans ce contexte, l'affrontement entre le Travail et le Capital peut déboucher aussi bien sur une formidable victoire populaire que sur une défaite cuisante si les luttes à la base ne parviennent pas à trouver le chemin de l'unification.
Malheureusement, les directions syndicales françaises ont clairement choisi de tout faire pour empêcher la convergence des luttes et la construction d'un rapport de forces durable pour gagner, seul moyen de faire plier Sarkozy, le MEDEF et l'UE du Capital. Ce choix stratégique s'inscrit dans leur collaboration au sein de la direction de la Confédération Européenne des syndicats, financée par l'UE pour accompagner la construction européenne capitaliste, et dont le secrétaire général expliquait en décembre 2008 que les syndicats devaient désormais inscrire sur leurs banderoles le mot d'ordre : « sauver le capitalisme de lui-même ». Tout un programme au nom duquel les états-majors syndicaux français agissent pour canaliser les luttes et les empêcher de remettre en cause un système qui ne peut plus se survivre qu'en détruisant au quotidien les acquis sociaux et démocratiques du peuple.
C'est ainsi que, soumis à une très forte pression de la base militante et des luttes de la fin 2008, ils ont décidé d'une journée d'action le... 29 janvier pour s'empresser ensuite d'attendre et de laisser le gouvernement reprendre la main par l'annonce d'un « sommet social » le 18 février dont il était évident qu'il ne sortirait rien, avant d'en appeler à une nouvelle journée d'action le... 19 mars, qui porte qui plus est sur des revendications très éloignées de celles qui s'expriment dans les entreprises : la plate-forme des 8 organisations syndicales ne formule aucune exigence précise en matière de salaires ou demande aux travailleurs de faire grève pour « réglementer la sphère financière internationale ». Deux mois perdus pour les travailleurs mais deux mois gagnés pour le gouvernement contre la colère populaire alors que dans le même temps, rien n'a été fait pour assurer le solidarité et la convergence autour de la grève historique des Universités et de la Recherche, à laquelle les étudiants se joignent de plus en plus massivement, et de la grève générale en Guadeloupe laissée sans soutien pendant des semaines.
Sans parler de Chérèque dont la mission est de trahir chaque mobilisation, il est en particulier indigne que B. Thibault, intervenant en direct à la télévision au soir de la réunion du 18 février, n'ait critiqué que du bout des lèvres les « propositions » de Sarkozy alors que celui ci mène une guerre de classe contre les travailleurs et qu'en outre il n'ait mentionné la lutte des DOM ou des universités, ni même dit un mot sur l'assassinat d'un militant CGT en Guadeloupe, dans des circonstances troubles mais dans lesquelles le choix du pourrissement et de la tension par le gouvernement a de toute évidence beaucoup pesé.
De même, que penser des positions actuelles du secrétaire de la FSU et de la direction du SNES qui, contre l'avis même du syndicat FSU du Supérieur, refusent de soutenir les revendications des universitaires et des étudiants en grève reconductible, laissant une fois de plus du répit au gouvernement et retardant l'unification des revendications et des actions entre tous les personnels de l'Education ?
Quant au syndicat Solidaires qui, après le recentrage de la confédération CGT, occupe désormais le terrain « radical » sur le plan médiatique, il déclare que si la date du 19 mars est bien un peu tardive pour la convergence des luttes, l'essentiel est que l'unité syndicale ait été préservée.
Mais les travailleurs n'ont que faire d'une unité de sommet qui ne sert concrètement qu'à faire gagner du temps au pouvoir et à empêcher toute construction d'un rapport de forces pour gagner.
L'unité dont les travailleurs et la jeunesse ont besoin, c'est à la base, pour l'action et à partir des revendications réelles qui s'expriment dans les luttes :
- augmentation des salaires et SMIC à 1600 euros nets
- interdiction des licenciements et des délocalisations
- contrôle par les travailleurs des milliards donnés par le gouvernement
- pour la défense des services publics (Education Nationale, Hôpital,...)
- contre la casse des acquis sociaux (sécu, retraite après 37,5 annuités, à 50 ans pour les travaux pénibles)...
L'unité dont les travailleurs ont besoin c'est, en coordonnant au niveau national les mobilisations sectorielles à la base, pour construire un rapport de forces de haut niveau capable de battre Sarko-MEDEF.
Mais les directions syndicales jouent un rôle de frein au lieu de jouer celui du moteur. C'est donc par en-bas, à partir de nos syndicats et des luttes dans les usines, les services, les écoles, collèges et lycées ,les hôpitaux ou les universités, à partir des réunions interpro dans les communes ou les départements, à partir de coordinations articulant syndicat et AG de grévistes, que nous pourrons imposer le tous ensemble en même temps durable alors que d'ici le 19 mars, des journées de lutte sont annoncées le 5 mars (grève à l'Hôpital, début de la grève générale à la Réunion) ou le 11 mars (journée nationale dans les universités)....
En renouant avec le syndicalisme de classe et de masse qui fit la grande CGT et les acquis des travailleurs de France, salariés du privé, du public, jeunesse étudiante et lycéenne, couches sociales étranglées par Sarkozy, le MEDEF et l'UE, nous aurons la force de gagner. Avec ou sans les directions syndicales.
Le Capital bloque le pays et les travailleurs.
Bloquons le Capital !
Les DOM et l'Université montrent le chemin :
« Lyanache kont la pwofitation »
sur TOUT LE TERRITOIRE NATIONAL !
http://eldiablo.over-blog.org/article-28470352.html
sur le même blog :
Cette année, le MOVICE a placé, au centre de cette journée internationale d' action, la dénonciation des exécutions extrajudiciaires perpétrées par les forces armées colombiennes. Cette pratique consiste à tuer des civils, et les présenter ensuite comme des combattants morts au combat.. Cela permet aux militaires d'obtenir des récompenses ou de gonfler les chiffres de la guerre, encouragés en cela par des directives officielles.
A Paris, le rassemblement du 6 mars 2009
se tiendra à La Fontaine des Innocents,
Place Joachim du Bellay aux Halles à 18h.
Depuis son accession au pouvoir en 2002, le président Uribe, tout en niant l'existence du conflit, l'a exacerbé en polarisant davantage la société colombienne et en impliquant dangereusement la population civile dans le conflit. Il a bloqué systématiquement toutes les propositions alternatives qui appuient la défense des Droits de l'Homme et des issues humanitaires et de dialogue politique en Colombie. L'initiative de la société civile « Les Colombiens et Colombiennes pour la paix » qui a obtenu la libération de 6 otages des FARC il y a quelques semaines est l'objet d'une campagne odieuse de la part du gouvernement colombien et la vie de ses animateurs est en danger. Il en est de même de journalistes qui ont couvert ces libérations. Tous ont été fustigés publiquement par le chef de l'Etat. Criminaliser et stigmatiser les militants des organisations sociales, des syndicats, des défenseurs des Droits de l'Homme, des journalistes et l'opposition démocratique, revient à les désigner comme cibles des escadrons de la mort.
La Colombie est aussi le pays le plus dangereux au monde pour les syndicalistes. Ce pays détient en effet le record mondial de syndicalistes assassinés, déplacés de force, menacés de mort. 4.000 syndicalistes ont été assassinés en Colombie ces 20 dernières années, dont 474 en six ans de Présidence Uribe, 97 % de ces crimes sont impunis. Lorsque les conflits sociaux s'amplifient dans le pays, le gouvernement colombien répond par des balles et des arrestations arbitraires à l'exigence de justice sociale et de démocratie, comme il l'a fait contre la Minga, grande marche indigène et paysanne qui manifestait pacifiquement, en novembre dernier.
Enfin, tous les acteurs armés (guérilla, armée/paramilitaires ) violent le principe de distinction entre les combattants et les non combattants, au mépris de la vie et de la dignité de la population civile.
Parce que nous croyons aux côtés de la majorité des colombiens que l'avenir de ce pays ne peut pas être la guerre, Parce que des millions de victimes réclament vérité, justice, réparation et la garantie que les crimes contre l'humanité ne seront pas répétés, le 6 mars 2009 nous nous rassemblerons :
avec une solution politique négociée du conflit,
Pour un échange humanitaire des prisonniers
dans les plus brefs délais,
Pour encourager et accompagner ceux qui oeuvrent
pour la paix et l'arrêt de la barbarie,
Pour que les auteurs de crimes contre l' humanité
soient traduits en justice,
Pour la construction d'un État démocratique,
incluant et pluriel.
Au milieu du déluge de renflouages, de paquets de sauvetage et de stimulus, il n'y a aucune communication claire concernant exactement pourquoi sont prises ces mesures et comment elles entendent améliorer la vie des gens ordinaires. Il est évident que c’est délibéré. Si nous, les gens normaux de la planète, avions une compréhension commune de ce qui se passe réellement, nous déciderions que nous n’approuvons pas, nous conviendrions précisément du pourquoi nous n’approuvons pas et nous nous accorderions probablement sur ce que nous souhaiterions voir se produire à la place. Ceux qui contrôlent notre monde savent cela, aussi font-ils en sorte qu'aucune entendement commun ne perce ; ils ont besoin de la confusion. En fait, ils créent la confusion.
Ils le font parce que, si suffisamment de gens parvenaient vraiment à saisir ce qui se passe réellement sur cette planète, une masse critique pourrait être atteinte, et nous déciderions collectivement de ne plus tolérer la manière d’être du monde et, plus important encore, nous pourrions avoir une direction commune pour sortir de la pagaille.
Afin d’assurer que nous ne puissions développer cette direction commune, les contrôleurs, ou les Managers, comme les appelait Douglas Reed, veillent sans cesse à ce que nous soyons en état de confusion. La condition préalable à la réalisation de cette confusion, c'est que nous soyons maintenus en état de peur mutuelle constante, grâce auquel nous considérons les « autres » comme une menace, tant pour nous que pour nos biens, notre statut social, position au travail, place dans notre communauté, situation économique et même pour notre survie.
Nos sociétés ont été organisées de telle manière que les riches craignent les pauvres, la classe moyenne a peur des travailleurs syndiqués, les races et les croyances religieuses se craignent l’une l’autre, et ainsi de suite quasiment à l’infini. Nous rivalisons plutôt que coopérons et nous redoutons et haïssons plutôt qu'aimons et compatissons. Toutes nos religions, tous nos partis politiques, toutes nos croyances ont été manigancés de manière à nous maintenir en état de peur. Chaque société reflète dans la peur de son peuple les inégalités et l'injustice de sa structure sociale et le programme politique et social du gratin régnant.
Pour la plupart des gens dans les pays soi-disant « libres » du monde occidental, la peur est en général envers l’un l’autre, et envers l’étranger, qu'il soit immigrant ou « terroriste, » mais cette situation a changé, car nous avons de plus en plus conscience de l’effrayant pouvoir de l’État quand il manifeste sa brutalité contre nos manifestations, quand il rogne peu à peu nos « libertés » et engage nos nations dans des guerres et des exactions criminelles et immorales. Afin d'accumuler de plus grands pouvoirs pour lui-même, l'État manipule la peur des gens, sous prétexte de « guerre contre le terrorisme », « guerre à la drogue », d'immigration et d'insécurité économique. La superposition de la peur est un barrage constant à l'information contradictoire, la fausse information et la désinformation étant échafaudées de manière à ce qu'aucune image nette de la réalité ne puisse être perçue. En un mot, l'État utilise la technique du Transmarginal Inhibition [sorte de programmation pavlovienne, ndt] pour rendre la majorité des gens passifs, apathiques, dociles et confus.
Les gens en état de confusion perpétuelle sont impuissants et incapables d'action collective cohérente. La tactique a toujours été de diviser pour régner.
Il se déroule une lutte qui décidera de l'avenir de cette planète et de sa population. Contre les gens normaux se déploie un système morbide, dominé par des psychopathes de toutes races, croyances et couleurs. Ces psychopathes n’ont pas un objectif bien compréhensible pour les gens normaux ; leur but est le pouvoir, le pouvoir pour eux-mêmes. Ils ne poursuivent aucun objectif stratégique politique ou économique, il n'existe aucune terre précise qu'ils convoitent, ni degré de richesse qu’ils ambitionnent, car il n'y a pas suffisamment de terres, ni assez de richesses pour les satisfaire. Il n'existe pas non plus de limite à la souffrance qu’ils infligeront pour avoir l’air de se réjouir des bains de sang, des actes de torture et de la misère. Ils cherchent le contrôle absolu, aucun marché ni pourparler ne peut les satisfaire, il n'y a aucun traité qui puisse mettre fin à leur progression avide, ni principe qui puisse les limiter.
Chaque institution de notre monde, nos gouvernements, entreprises et religions, reflètent l’aliénation du psychopathe. Nous avons grandi et élevé nos enfants dans un monde dominé par cette morbidité et ces êtres.
Pourtant, le psychopathe a une faiblesse fondamentale. Comme tout prédateur rodant dans la nature, dont le manger dépend de leur camouflage, ils ont une peur immense d’être découverts. C'est cette peur innée d’être exposé domine une grande partie de ce qu'ils font et explique l’état d'immense peur et de confusion dans lequel ils nous maintiennent. La peur et la confusion du monde sont un stratagème délibéré des psychopathes pour éviter d’être découverts.
Nous ne pouvons lutter avec des armes de guerre contre les psychopathes et le système malsain qu'ils ont créé, car ils contrôlent la plus grande des machines de guerre que le monde ait jamais vu ; nous ne pouvons réussir par aucun autre moyen qu’une simple et toute-puissante révolution, une révolution de vérité. Pour que la vérité révèle le mensonge et que le psychopathe dépérisse à la lumière de la vérité.
Comme Saint Paul l’a admirablement déclaré, la vérité nous rendra en plus libres. Elle nous libérera de la peur et de la confusion, car la vérité n'est pas politique, religieuse ou autre, elle se dresse sur elle-même. Mais trouver la vérité n'est pas tâche aisée, car elle demeure cachée derrière des voiles et des voiles. Notre tâche est donc d’ôter sans pitié chaque voile ; sans pitié surtout pour nous-mêmes et la vague chaleur des mensonges religieux et philosophiques que nous avons utilisé comme de la laine sur nos yeux.
Nous découvrirons sur le monde et sur nous-mêmes des horreurs qui interpelleront tout ce que nous prenions pour acquis, mais, si nous n'avons pas le cran de faire face à ces horreurs, à ces vérités sur nous-mêmes et notre monde, nous perdrons, et le monde sombrera dans des ténèbres d’où il ne pourra plus jamais se redresser. Les psychopathes dominent le monde depuis des millénaires, mais aujourd'hui ils ont le pouvoir de détruire ce monde sans la capacité de comprendre ce que cela signifie réellement. Comme Andrew M. Lobaczewski l’a présenté dans Ponérologie politique, « Les microbes ne savent pas qu'ils seront brûlés vifs ou enterrés profondément dans le sol avec le corps humain qu’ils font mourir. »
Lorsque nous éliminons les mensonges, le système qui nous retient captifs ne ressemble plus au monde dans lequel nous pensions vivre. Toute limite et caractéristique du monde en lesquelles notre conditionnement nous faisait croire sont des illusions artificielles, créées tout simplement comme cadre de contrôle. Pour ceux qui mènent véritablement le monde, il n'y a pas de frontières ; pour eux il n'y a ni État nation, ni loi, ni moralité ; il n’y a que le pouvoir.
L'argent et l'économie ne sont que des outils d’obtention du pouvoir, de sorte que tout ce que nous observons dans le domaine économique et de l'argent découle tout simplement de l’accumulation perpétuelle de pouvoir. Pourtant, nous devons comprendre que le système, la Matrice, n'est pas quelque chose que nous découvrirons soudain un jour et que nous serons capables de désigner en disant : « voyez, elle est là, » car elle nous entoure ; tout ce que nous voyons est au mieux un simple reflet de ce qui se passe à des niveaux que nous ne pouvons pénétrer.
Dans cet esprit, revenons à la question de la confusion. Il nous semble que l'immense confusion entourant la crise économique est un élément clef pour percevoir la Matrice. Il nous semble que ceux qui mènent le monde, les Managers, comptent sur cette confusion pour faire en sorte que nous prenions une voie particulière qui est à leur avantage. Nous pensons que la voie qu’ils nous font descendre est proche d’une débâcle économique totale entraînant le naufrage de l'ordre social existant et l'imposition d’une dictature militaire ouverte. C’est la conséquence finale évidente de ce qu'ils font et c’est donc leur intention.
C'est précisément le scénario envisagé en novembre 2008 dans une monographie de l'Institut des Études Stratégiques intitulée « Known Unknowns : Unconventional 'Strategic Shocks' in Defense Strategy Development, » (Inconnus notoires : ‘Chocs stratégiques’ non conventionnels dans le développement de la stratégie de défense) dans laquelle il est indiqué : La violence civile répandue à l’intérieur des États-Unis pourrait en dernier recours forcer l’ordre établi à réorienter les priorités pour défendre l’ordre national élémentaire et la sécurité humaine. L’usage délibéré d’armes de destruction de masse ou tout autre moyen catastrophique, effondrement économique imprévu, détérioration du fonctionnement politique et de l'ordre légal, résistance interne déterminée ou insurrection, urgence sanitaire généralisée dans le public, et catastrophe naturelle et désastre humain sont autant de pistes pour un choc perturbateur dans le pays.
Il a dit que les banques, en particulier celles qui continuent encore à payer de grosses primes malgré qu’elles aient reçu des milliards de l’argent du contribuable, sont devenues des « cibles persistantes. » Il en va de même pour le siège social des compagnies multinationales et des autres institutions financières de la City, qui sont responsables de la crise financière.
Hartshorn, qui organise régulièrement des réunions d'information sur les causes possibles des troubles civils, a déclaré que l'état d'esprit dans certaines manifestations a récemment changé, avec des activistes qui ont de plus en plus « l'intention de descendre dans la rue pour créer des troubles contre l'ordre public. »
L'alerte arrive à la suite de violentes manifestations contre le traitement de l'économie en Europe. Au cours des dernières semaines, les agriculteurs grecs ont bloqué les routes à cause de l’échec à relever les prix agricoles ; un million de travailleurs ont pris part à des manifestations en France pour demander une plus grande protection de l'emploi et des salaires ; et les manifestants se sont affrontés à la police de Reykjavik en Islande.
Au Royaume-Uni, le mois dernier, des centaines de travailleurs de la raffinerie pétrolière ont lancé une grève sauvage contre le recours aux travailleurs étrangers.
Des rapports du renseignement indiquent que « des activistes connus » sont aussi de retour dans les rues, et les policiers affirment qu'ils vont fomenter des troubles. « Ces gens pourraient bien motiver les gens, mais ils n'ont pas la capacité de mettre réellement à exécution les manifestations, » a déclaré Hartshorn. « Manifestement, le ralentissement économique, le chômage, les saisies, changent cela. Soudain, il existe pour les gens la possibilité d’une manifestation de masse. »
Dans son From Smoke to Smother (De la fumée à en étouffer) (1948), Douglas Reed prévoyait exactement ce scénario quand il écrivait sur la Dictature Mondiale qu’il voyait monter sous le couvert de l'Organisation des Nations Unies, introduite grâce aux « pouvoirs d'urgence », à la « direction du travail » et au « rationnement du pain. »
Nous avons désormais les « pouvoirs d'urgence » en place : le Patriot Act, la loi relative aux commissions militaires, etc aux Etats-Unis, les lois relatives au terrorisme au Royaume-Uni (pour n'en nommer que quelques-unes). Bientôt nous aurons la « direction du travail, » car, l'économie tombant en ruines, pour les compagnies mondiales, travailler pour l'État ou grâce à l'État deviendra une nécessité face à la famine. En temps voulu, avec la débâcle du commerce mondial et de la structure sociale, il y aura sans aucun doute quelque sorte de « rationnement du pain. » Que ce soit un véritable rationnement ou plutôt un simple moyen de privation contre ceux qui ne s'inclinent pas devant le pouvoir de l'empire étasunien et israélien.
Pourtant, nous voyons à présent que l'Organisation des Nations Unies pourrait avoir toujours été une couverture. Depuis 50 ans, les fondamentalistes chrétiens et les théoriciens de la conspiration des États-Unis et d’ailleurs, déclament avec véhémence sur le Nouvel Ordre Mondial de l'ONU tout en décrivant les États-Unis en bastion des libertés et seule puissance qui puisse s'opposer à l'ONU et au monde. Cela a rendu les gens très imaginatifs incapables de voir où se trouve le véritable danger.
Même Douglas Reed considérait l'ONU comme l’organisme supranational qui imposerait la première Dictature Mondiale. Et à quel point s’est-on trompé quand on voit l'invasion de l'Irak fondée entièrement sur des armes imaginaires, les brimades envers l'Iran parce que ce pays est sur le chemin de l'hégémonie des États-Unis et d’Israël, pendant que le génocide éhonté perpétré par Israël est passé inaperçu encore moins abordé par les Nations Unies impuissantes ?
De la même manière, nous serons confrontés à un ou plusieurs organismes supranationaux établis, comme l'Organisation des Nations Unies l’a été, au prétexte du « plus jamais ça. » Cette fois, le « plus jamais ça » est d'ordre économique, mais il deviendra militaire à la suite de l'agitation sociale et de la violence étatique. Les mêmes mensonges seront débités pour justifier ces institutions, comme dans les années 40, et, encore une fois, il y aura cachés derrière ces repoussoirs ce qui dirige véritablement le monde : les États-Unis et Israël.
Les Managers ont conçu cette crise, sa forme, portée et ampleur, de manière à ce que nos gouvernements ne puissent rien faire en dehors des limites qui leur sont imposées, même s’ils voient et comprennent dans quel piège nous sommes tous.
La crise bancaire a été manigancée habilement grâce à la transformation de la banque en casino mu par la cupidité à haut risque, permise par la fourberie de la disparition de toute réglementation, et au surplus de la masse monétaire. Le système bancaire est d’une nature telle qu'il aboutit inévitablement à l’endettement poussé par la bulle du prix des actifs, qui extirpe des millions aux prisonnier de la dette et fait perdre des milliards aux esclaves. Année après année, les fusions bancaires ont abouti à un petit nombre de banques qui en viennent à dominer le monde, avec pour conséquence inévitable le fait que l'existence même du système entier repose désormais sur leurs épaules.
Pourtant, on a délibérément permis à ces banques d’être dirigées de façon désinvolte et immorale, avec très peu de supervision adéquate. De même, le monde est devenu dominé par un petit nombre de compagnies mondiales qui contrôlent l'accès à l'énergie, à l'alimentation, et aux autres choses essentielles et non essentielles de la vie. Nos systèmes politiques sont devenus otages de l'intérêt de ces empires bancaires et corporatistes. Nos gouvernements sont tellement dominés par eux que l’administration étasunienne a été qualifiée de « gouvernement Sachs » en référence au nombre de postes ministériels occupés par des gens de Goldman Sachs.
Les gouvernements de nos nations ne sont désormais plus que de simples marionnettes des banques et des compagnies qui dominent le monde, elles-mêmes marionnettes des Managers cachés qui imposent leur autorité grâce à la puissance militaire et l’État policier.
C’était tout le piège, conçu pour aboutir exactement à cette situation sans échappatoire évidente. Nos dirigeants politiques, nos fonctionnaires, nos banquiers et dirigeants d'entreprises, sont tous le produit d'un système qui leur a fourni un cadre de réalité fallacieux, limité et manigancé de telle sorte que le psychopathe monte au sommet et que le non-psychopathe devienne si désespérément contaminé qu'il pourrait aussi bien être psychopathe. Leurs croyances sur le monde sont tellement aliénées qu'ils se permettent de piller et détruire des populations et des nations entières, et se justifieront de la répression et de la destruction de leur propre peuple. On nous dit pourtant que nous devons nous en remettre à ces gens pour nous sortir de la chienlit qu'ils ont créé.
La grande majorité de ces gens n’ont pas créé sciemment ce gâchis, ils ont tout simplement participé à sa création parce que c'est leur manière d’être, c’est le reflet de leur nature, ils ne peuvent être autrement et ne pouvait rien faire d'autre.
Mais derrière eux se trouvent ceux qui sont très conscients des actions qu'ils prennent et qui ont un agenda clair et précis. La manière de travailler de ces Managers est simple, ils comprennent la nature des psychopathes, puisque c'est la leur, et les faiblesses des gens normaux, et ils jouent avec eux. Ils élaborent des environnements dans lesquels prospéreront les psychopathes et où deviendront dominants les points faibles des gens comme la cupidité et l'avarice. Le système capitaliste du marché libre est exactement ce genre de cadre, un milieu facile à truquer par les Managers pour créer tous les effets qu’ils souhaitent.
Le dénouement qu’ils ont voulu et cristallisé est l'effondrement du système, exactement comme nous le voyons ; l'inévitable bataille frénétique de leurs larbins pour les « solutions, » qui font elles-mêmes partie du plan, avec l’organisation simultanée du pillage des trésors nationaux dans le monde entier, de manière à arracher le maximum de richesses, augmente la dette de manière exponentielle et crée des personnages détestés dans les banques et chez les banquiers pour que les masses dirigent leur colère contre eux.
Chaque pièce de l'échiquier a sa raison d’être. Les dirigeants politiques sont choisis pour leur caractère, que ce soit Obama, pour son charisme apparent, au contraire de Bush, Brown, pour son air maussade, ou Sarkozy, pour son arrogance sans borne. Les banques ont été organisées de manière à faire faillite, pour ensuite solliciter l'argent public au dégoût et à la colère inévitable des masses. Les machines de guerre ont été endurcies au combat, le personnel militaire et policier conditionné à la mentalité « guerre à la terreur, un terroriste demeure dans chaque individu, » les gens ont suscité la peur et la confusion. La masse des gens a été réduite à une foule ignorante et confuse, aisément dirigée, manipulée dans la violence ou la soumission, exactement comme le souhaitent les Managers. À aucun moment les Managers ne peuvent être identifiés, car ils ne sont jamais sur l'échiquier.
Pour beaucoup, l'idée que notre monde est un échiquier géant est indigeste. Ceux-là retombent dans les illusions de la Matrice, recherchant toujours une explication plus confortable, plus rassurante. Comme le disait Douglas Reed, « Les hommes sont prompts à trembler devant les dangers imaginaires et lents à voir les vrais. »
Nous sommes entraînés vers l'apocalypse économique, l’effondrement de la société et la dictature totalitaire ; c’est aussi simple que ça. Refuser la réalité rend victime, l’affronter construit l’avenir des gens.
le 23 février 2009. Note du traducteur :
Pour creuser le sujet des Managers, ceux qui ne le connaissent pas encore peuvent se référer au Disclosure Project de Steven M. Greer (Révélations, en français, est trouvable sur Internet au format pdf). C’est peut-être le plus grand secret sur notre Terre. Cette réalité extraterrestre, et tout ce qui l’accompagne, science véritable, technologie de pointe extraordinaire et énergie libre et propre illimitée, serait maintenue cachée par un groupe d’hommes, les fameux Managers de Reed, grâce à un système de contrôle cloisonné impliquant plusieurs cercles concentriques de sous-fifres, militaires et autres, pas forcément tous corrompus. À mes yeux ces révélations sont confortées, par exemple, par le fait que des âneries bornées sont débitées à longueur de temps par les astrounoironomes du bigbanguisme dans les « prestigieuses revues » de désinformation scientifiques, alors que sont étouffées les évidences fructueuses de la Cosmologie du Plasma, divulguées comme ils le peuvent par les scientifiques de l’IEEE et les théoriciens de l’Univers Électrique. Le but des Managers serait de garder son bétail humain à sa botte (ça pourrait expliquer le mystère de la nécessité du parasitisme style tique sur Terre, un sommet de réalisation que ces Managers parferont certainement dans leur prochaine réincarnation sur Terre). | |
Articles de Simon Davies publiés par Mondialisation.ca http://mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=12481 et sur http://panier-de-crabes.over-blog.com/article-28526034.html |
Spécial Europe :
APPEL AUX FORCES
DU NON AU TCE
Nous avons travaillé ensemble pour défendre le NON au TCE en 2005. Sarkozy a méprisé le suffrage populaire, en faisant ratifier ledit TCE par le Parlement, avec la complicité des sociaux-libéraux. Depuis, les autorités européennes, néerlandaises et irlandaises continuent à défendre et à vouloir imposer ce traité, sans demander l’avis des citoyens, pire encore contre leur avis. Traité qui gravera dans le marbre la primauté du droit économique capitaliste sur les droits humains et sociaux, au dépens de la coopération, du bien commun, de l'intérêt général.
La crise économique et financière démontre une fois de trop les limites et impasses du capitalisme. Ses premiers bénéficiaires tentent de sauver leurs meubles. Selon le principe "socialisons les pertes, privatisons les profits " ils restent fidèles à leur obsession : la dérégulation, la privatisation à tout va !
Les discours sur les paradis fiscaux sont d'amères plaisanteries, quand l'on constate que les milliards consentis pour sauver les banques et les organismes financiers n'ont été accompagnés d'aucune mesure de régulation, de surveillance des bénéficiaires, voire de droit de contrôle de la part des États.
Notre objectif est d’organiser la riposte et donc de présenter des candidats ou des listes unitaires face aux sociaux-démocrates. Nous sommes tous pour une réappropriation de la création monétaire par les États souverains. Nous sommes tous pour un projet de société radicalement anti-capitaliste, vraiment socialiste, écologiste et démocratique et les nuances sont relativement minimes entres les différentes factions à gauche du Parti Socialiste. En clair, nous pensons que le capitalisme est profondément injuste socialement et dévastateur pour l’environnement. Nous voulons un projet de société radicalement différent qui s’inspire du meilleur des cultures politiques écologistes et socialistes en évitant, bien entendu, les erreurs du « socialisme historique ».
[…] texte complet de l’appel : http://lapetition.be/en-ligne/petition-3915.html
Par ailleurs, pour faire le plus de suffrages possibles, il faut trouver pour chaque élection les meilleurs candidats. Le programme est secondaire dans le sens où l’on ne peut pas définir exactement un projet de société qui reste à construire avec l’ensemble des citoyens. C’est finalement à chaque candidat se déclarant disponible pour un scrutin de donner sa vision et d’exposer ses convictions. L'objectif serait d'arriver à un seul candidat unitaire dans chacune des 577 circonscriptions de ce pays pour les prochaines élections législatives. Nous devons donc réussir à organiser avec l'ensemble des militants qui veulent retrouver un rapport de force avec les sociaux-démocrates, des primaires en bonne et due forme pour les élections législatives et présidentielles de 2012.
Mais nous n'en sommes pas là !
L’urgence c’est l’élection européenne !
[…]
Unies, elles peuvent envoyer un grand nombre de députés européens porteurs de ce projet et de cette démarche au Parlement de Strasbourg. Ce front commun une fois créé en France s’étendra pour défendre les véritables intérêts des citoyens européens.
Nous ne voulons pas de députés européens se coulant dans le moule institutionnel, mais de vrais combattants, capables de dynamiter les orientations anti-populaires du Parlement et de harceler la Commission Européenne, sanctuaire du capitalisme. Depuis 2005 et la lutte contre le TCE, nous avons des matériaux, des idées et des propositions aptes à donner corps à ce Front. Nous appelons donc à une mobilisation de tous les citoyens de la gauche du NON, pour envisager la constitution de ce front commun.
Pour signer l’appel : http://lapetition.be/en-ligne/petition-3915.html
http://marcjutier.over-blog.fr/
Marc Jutier
Les divergences entre les pays du sud de l’Europe - aimablement affublés de l’acronyme PIGS par la presse anglo-saxonne - et ceux du nord mettent-elles en péril la zone euro ? Jean Claude Werrebrouck analyse les différentes issues possibles et juge vraisemblable une remise en cause prochaine - mais sans doute subreptice, afin de sauver les apparences - du dogme de l’indépendance de la BCE suite sur
http://sos-crise.over-blog.com/article-28534772.html
et aussi sur ce lien 4 autres articles dans le prolongement :
« Cette crise a débuté aux États-Unis, mais c’est en Europe où elle pourrait se transformer en catastrophe, » avertit à son tour Wolfgang Münchau, éditorialiste au Financial Times, qui estime que la crise du crédit qui couve en Europe de l’Est pourrait emporter l’eurozone dans la tourmente. Que faire ?
Et aussi ce 3e article :
Si le gouvernement français a pu éviter un risque systémique avec le sauvetage in extremis de Natixis cette semaine, la menace de faillite en chaîne qui vient des institutions financières des PECO (Pays de l’Europe Centrale et Orientale) risque de faire éclater aussi bien la zone euro que l’Union européenne elle-même (..).
4e article :
Un Fonds monétaire européen (FME)
ne sauvera pas l’euro
5e article :
Europe de l'Est:Risque systémique avec répercussions sur la zone euro
Sélection de Liens :
- L’Europe et le “protectionnisme” ou l’art de se moquer des citoyens
- Europe de l’Est : risque systémique, par Ambrose Evans-Pritchard
- Immanuel Wallerstein: « Le système qui sortira de la crise sera très différent »
- LES PRESUMÉS-RESPONSABLES DE LA MORT DE JACQUES BINO ARRÊTÉS
- L’UE et l’euro survivront-ils le week-end ?
- GRECE : ATTAQUE A LA GRENADE CONTRE LE REFUGE DES MIGRANTS
- Crise : Scénarios pour l’euro - la crise qui pourrait couler la zone euro
- Europe de l’Est : risque systémique avec répercussions sur la zone Euro
- Georges Soros - c’est l’effondrement du système financier !
- Israël : Autoriser l'entrée des organisations de défense des droits humains
- La réalité sur les États-Unis et Israël
- avis de scientifiques japonais sur le "réchauffement climatique"
- témoignage audio sur la franc-maçonnerie et le compagnonnage
- le projet HADOPI
- "nouveau new deal mondial"
- le bonus des vampires
- guerre psychologique
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- L’Europe et le “protectionnisme” ou l’art de se moquer des citoyens
- Europe de l’Est : risque systémique, par Ambrose Evans-Pritchard
- G20 et darwinisme social2 mars 2009
Par Jacques Cheminade
Le triomphe de Darwin est clair au sein de notre caste politique : elle s’adapte à l’environnement. Les uns, comme Jean-Marie Colombani ou Claude Guéant, affirment que la crise n’était pas prévisible.
Les autres prétendent qu’ils l’avaient eux-mêmes prévue ou qu’ils savent bien qui était parvenu à le faire ...
Les uns, à la suite des experts d’outre-Manche et d’outre-Atlantique, proposent de stimuler la demande et de recapitaliser le système financier suivant une approche commune, en renonçant au protectionnisme, en établissant un système d’assurance global et en octroyant beaucoup plus de ressources au Fonds monétaire international. Il semble bien que le G20, qui réunira à Londres les principaux pays du monde, se dirige dans cette voie, qui est celle du désastre. En effet, il s’agirait alors, tout en ne régulant rien sérieusement, de renflouer à tout va les établissements financiers qui portent la responsabilité de la crise, les Etats avalant leurs effets toxiques sous la houlette du FMI.
L’on crée ainsi les conditions d’une hyperinflation ruinant les Etats, les économies, le pouvoir d’achat des ménages et toute culture fondée sur le développement mutuel. Dans ce contexte, la nationalisation des banques et la « gouvernance mondiale » deviennent des armes pour prétendre sauver le système monétariste existant, avec des holding bancaires privés-publics semblables à ceux de l’Italie mussolinienne. Ceux qui crient « Europe, Europe, Europe » ou « FMI, FMI, FMI », sans comprendre que le gendarme est l’ami du voleur, creusent leur propre tombe.
6 Compagnies juives détiendraient
96 % des médias mondiaux !
Bonjour le pluralisme ! Eva
http://www.jewwatch.com/jew-controlledpress-6-jewish-companies-96-percent-of-all-media.html
Top: Jewish Controlled Press: The Six Jewish Companies that Own 96% of the World's Media
Info : La colonisation en Cisjordanie va doubler ! DOUBLER !
"C'est de la provocation" (FR3 infos journal de 22 h 45)
Obama et la Palestine
Obama a, par conséquent, émis un message très clair, qui feint rejeter verbalement l’action d’Israël, mais qui a apporté le soutien réel des Etats-Unis à toutes ses actions criminelles dans les territoires occupés. Et ce, alors que les Israéliens s’emparent de toutes les terres qu’ils souhaitent en Cisjordanie et condamnent les Palestiniens à vivre dans des cantons. C’est la conclusion que l’on puisse tirer des actes d’Obama avant et après son investiture (..)
— Pensez-vous qu’il serait possible de poursuivre les responsables israéliens pour crimes de guerre contre les Palestiniens lors de l’offensive de Gaza ? Les Etats-Unis risquent-ils d’apposer leur veto au cas où l’affaire serait portée devant le Conseil de sécurité ?
Si une telle demande parvient au Conseil de sécurité, les Etats-Unis lui imposeront certainement leur veto. Mais il serait très difficile qu’une telle possibilité vienne à voir le jour. Si cela a lieu, alors les Etats-Unis devraient être, eux aussi, poursuivis. Car l’invasion de Gaza a été une opération israélo-américaine. A part le soutien diplomatique de Washington, les armes étaient pour leur majorité américaines, et ont été utilisées en violation des lois américaines et aussi, bien entendu, du droit international. Mais les Etats-Unis ont toujours pris leurs distances par rapport à toute juridiction internationale, que ce soit la Cour pénale internationale ou la Cour internationale de justice.
La loi implacable de l’Histoire dit que les puissants cherchent toujours à punir les crimes des autres, tout en restant eux-mêmes intouchables.
La guerre a poussé les Israéliens encore plus vers la droite ultranationaliste et raciste.
http://panier-de-crabes.over-blog.com/article-28292904.html