Suspens USA !
Le sort du monde se décide maintenant !
L'American "planetarium" way of life !
Quelques lignes,
juste pour dire :
Qu'est-ce qu'ils vont nous concocter,
les apprentis sorciers de la clique bush ???
Vous croyez que ces grands manipulateurs,
ces "champions" de la démocratie,
vont accepter, le cas échéant,
le verdic des urnes ?
Pas du tout !
Les paris sont ouverts !
Qu'est-ce qu'ils nous préparent ????
Attachez vos ceintures !
La suite au prochain numéro....
Sale pays qui ne fait aucun cas de ses citoyens !
D'un oeil, ce 2.11.8, à 21 h 30, je regarde sur la Chaîne Parlementaire le document sur les sauveteurs du 11 septembre, tous ces anonymes qui ont proposé leur aide après les événements.
Une réplique, si révélatrice : "La vie humaine ne pèse pas lourd face à la Loi du Marché". Des Américains désabusés : "Je crois que ce pays et ce gouvernement sont détraqués". Et cet autre, parlant de Bloomberg, le Maire : "Il a sali la réputation de cet homme (demandant Justice) pour ne rien avoir à payer, pour ne pas avoir de procès".
40.000 sauveteurs ont travaillé sur le site de ground Zéro, 70 % sont malades ou invalides, des dizaines sont morts. Non pris en charge. La solidarité à l'Américaine...
Pendant ce temps, au pays si décrié par l'Occident bien pensant, Cuba, Castro en personne prend en mains la protection de son peuple avant l'arrivée du cyclone. Un mort seulement à déplorer...
Les faits parlent d'eux-mêmes, non ? Eva
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Zola aujourd'hui. Les malheurs de Job.
Et puisque nous sommes dans la tragédie humaine,
voici l'univers de Zola. En 2008 !
C’est l’histoire de Job.
Une histoire sombre.
Si vous aimez le Bling-Bling, les soirées « people », ou des week-end chic chez Bernard ARNAULT – ou chez DSK/Anne Saint-Clair, au choix – , l’histoire de Job n’est pas pour vous.
Job est Lorrain. Il a 14 ans quand il quitte volontairement l’école pour les hauts-fourneaux.
Son père est soudeur chez WENDEL – comme le grand-père. Très bien vu, une force de la nature. On l’appelle « Le King ».
Le King meurt à 57 ans d’un cancer du poumon.
A l’époque, le véritable responsable du cancer du poumon était le tabac. Soudure, émanations toxiques, facteurs professionnels ? ça c’était bon pour les médecins « rouges ». Les vrais médecins, les autres, les non subversifs, savaient que pour lutter contre le cancers du poumon, il suffisait d’augmenter le prix du paquet de cigarettes
(Ai-je parlé a passé ?)
Le King meurt donc d’un cancer du poumon.
Et Job est embauché dans les aciéries WENDEL. Mais comme il est trop jeune – pensez donc, 14 ans ! – on lui confie le poste de commissionnaire. Il porte le courrier à l’aciérie, au laminoir, aux hauts-fourneaux.
« Je ne vous dis pas comme j’avais peur quand je traversais la petite passerelle au-dessus de la fonte qui coulait à 1100° ! »
(Haut-fourneau de Joeuf Sarcilor, Conservatoire de la photo)
C'est là que notre ami JOB a travaillé.
A 16 ans, on l’engage au laminoir, à la fabrication de rails de chemin de fer.
Le bloom – c’est-à-dire la barre d’acier – mesure 20 m de long et arrive sur le train à rails à une température de 950°. Pour fabriquer les rails, il faut passer le bloom dans trois cannelures différentes. Job ripe (glisse) le rail tout rouge dans les trois cannelures à l’aide d’une barre à mines de 1m50 de long. Elle pèse 35 kg. Une rampe d’arrosage permet de refroidir le métal.
« C’était tellement chaud, que j’étais obligé de tremper la barre à mines dans l’eau toutes les demi-heures pour la refroidir ! »
Les pieds sont exposés à une température qui avoisine les 100°. Job les trempe dans l’eau pour les refroidir. Il porte un pantalon, une veste, des gants en amiante.
Le bruit est infernal.
A 18 ans, on lui propose de conduire les ponts roulants. Il accepte.
« C’était moins fatiguant que le laminoir, mais au-dessus du blooming il y avait de la poussière, de la vapeur, de la graisse, de la calamine, du souffre… »
La cabine est recouverte de plaques d’amiante. Job passe en permanence la tête hors de la cabine, au-dessus de la cage de laminage.
Le bruit est encore plus infernal qu’au laminage.
« Pour « faire glisser le lingot », on utilisait des graisses minérales à 1000°. Lorsque je prenais ma douche, l’eau coulait toute noire et quand je toussait, je crachais également noir »
A 27 ans, il demande sa mutation à Fos sur Mer.
Le paradis !
Oui, pour Job, comme pour la plupart de sidérurgistes lorrains, descendre dans le Sud, c’est le paradis !
Suite à http://www.basagana-ramon.com/article-24339587.html
Naissance d'un monde multipolaire
avec l' OCS (suite). Contre la
Politique d'égoïsme économique
Une réunion du Conseil des chefs de gouvernement des pays membres de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS), notamment consacrée à la crise financière mondiale, s'est tenue les 29 et 30 octobre à Astana (Kazakhstan). L'OCS regroupe la Chine, le Kazakhstan, le Kirghizstan, l'Ouzbékistan, la Russie et le Tadjikistan. L'Iran, le Pakistan, l'Inde et la Mongolie ont le statut d'observateurs.
Le Premier-ministre russe Vladimir Poutine s'y est fait l'avocat d'un monde multipolaire en train de se constituer : selon lui, la confusion qui règne dans l'économie mondiale et sur les marchés financiers témoigne du changement dans les relations internationales. "Le déclin de la politique d'égoïsme économique s'est dévoilé dans toute sa splendeur", a-t-il conclu (http://fr.rian.ru/world/20081030/118026599.html).
Le chef du gouvernement chinois Wen Jiabao pour sa part a dévoilé une série de propositions en vue d'intensifier la coopération avec les Etats membres de l'OCS, visant à simplifier le commerce et les investissements, à créer un réseau régional d'infrastructures (énergie, transports, communications) et à resserrer les liens entre les cercles d'affaires (http://fr.rian.ru/world/20081030/118028547.html).
La Chine, dont les échanges avec les pays de l'OCS entre janvier et août ont atteint 55,8 milliards de dollars (+35% en glissement annuel), espère que cet indicateur atteindra 80 à 100 milliards de dollars à la fin de l'année. Il existe une l'Union interbancaire de l'OCS qui devrait se réunir dans quelques jours en Chine pour étudier une stratégie commune de résistance à la crise financière mondiale (http://fr.rian.ru/business/20081030/118029435.html). Un des apects de cette stratégie pourrait être le renoncement progressif au dollar comme monnaie de réserve et d'échange (http://fr.rian.ru/world/20081030/118032387.html).
Le premier ministre kirghiz Igor Tchoudnov a proposé quant à lui d'élaborer une Stratégie de sécurité alimentaire de l'OCS -
http://fr.rian.ru/world/20081030/118026787.html.
En marge du sommet le Premier ministre chinois a rencontré le premier vice- président iranien Parviz Davoudi (http://www2.irna.ir/fr/news/view/menu-374/0810313421174450.htm).
FD
http://atlasalternatif.over-blog.com/article-24333838.html
Liens :
Comment restreindre le pouvoir des lobbies ?
http://www.marcfievet.com/article-23781894.html
Le commerce des drogues explose sur Internet
http://www.marcfievet.com/article-24334979.html
Ségolène Royal : La Social-Démocratie est un modèle périmé
http://sego-dom.over-blog.com/article-24333946.html
L'Europe doit soutenir l'Amérique Latine
http://cbparis.over-blog.com/article-24333553.html
La chasse aux immigrés. Brisons la Loi du Silence
http://david.cabas.over-blog.fr/article-24358879.html
Merci les crises,
la restauration
et le capitalisme vous sauront gré
Le soldat DSK vient à peine d’être sauvé de la forfaiture que ne le voilà-t-il pas reparti à guerroyer pour réclamer une nouvelle virginité en faveur de son institution le FMI. Oublié que cette institution « la peste » et sa consoeur la Banque mondiale « le choléra » sont directement responsables des politiques d’ajustement structurel et des tendances lourdes d’appauvrissement et du recul dans tous les domaines de l’Afrique. Les injonctions de disqualification des Etats, de privatisation et de libéralisation ont fait reculer les économies africaines d’un siècle et ont remplacé l’économie coloniale de pillage des Etats par une économie dictatoriale et prédatrice des multinationales.
Grâce aux crises multiples et multiformes qui affectent le monde, dans les pays riches développés les Etats réinvestissent les sphères de la régulation financière pour éviter un effondrement des profits des banquiers, des assureurs et autres boursicoteurs d’envergure, responsables de ces crises. Ces derniers sont absous, ils n’ont pas de compte à rendre, à peine leur demande-t-on, y compris aux récidivistes impénitents, de masquer leur légèreté par une charte de déontologie dont ils seront les seuls rédacteurs, bénéficiaires et garants. Ils seront comme à l’habitude juges et parties.
Les pays pauvres quant à eux, ils sont invités à contribuer aux efforts de réhabilitation du capitalisme et à appliquer les recommandations, au choix, du G4, du G8 ou du G20 et à défaut, de la pire des institutions, le FMI, où les votes sont organisés de telle sorte que les Etats-Unis, champions incontestés du capitalisme mondial, seuls ou avec le concours de quelques larbins, peuvent faire ce que bon leur semble.
On dira après coup merci la communauté internationale d’avoir accepté un nouveau Bretton Woods qui plombera pour des générations la marche du monde.
http://www.france.attac.org/spip.php?rubrique1107
Résistance !
Le Prézydent a déclaré le 23 octobre: « Nous risquons d'être confrontés partout à la révolte des classes populaires. »
Et c'est un fait, les capitalistes multiplient les plans dits de « dégraissage », et « purgent » les secteurs jugés non rentables suivant en cela les consignes de M. Sarkozy, qui vient de déclarer : « La crise que nous traversons ne doit en rien retarder les réformes. Elle doit au contraire les accélérer. »
Donc, comme pour le 11 septembre
l'oligarchie financière va profiter
de la situation pour l'aggraver encore.
Aussi la révolte gronde dans le pays. Sarkozy a raison de s'inquiéter de cette fermentation pré révolutionnaire des classes populaires. Elle mûrit dans tout le pays. Le choc frontal entre les deux classes antagonistes est inévitable.
C'est mon humble avis, et malgré les ricanements sceptiques qu'il provoque quand je le profère, je le partage.
-A un pôle de la société, des dizaines de millions de braves gens rencontrent des difficultés de plus en plus grandes à boucler leur budget et sont saisis d’angoisse pour leur emploi et l’avenir de leur famille; les retraités, nos anciens, par millions s’inquiètent pour leur pension et leurs maigres économies…
Cependant que se multiplient les annonces de suppressions d’emplois, dans l’automobile, les chantiers navals, l’aéronautique, le bâtiment, la camif, la poste etc.....
-A l'autre pôle on se prépare à détourner 360 milliards de fonds publics au bénéfice des spéculateurs et des banquiers, et on ose présenter ce plan de pillage comme une mesure de sauvetage de "l’intérêt général".
Et pour ce faire les gnomes du Parlement , sous les applaudissements des banquiers et des spéculateurs viennent de veauter un plan de renflouement des banques, alimenté par le pillage du budget des hôpitaux, du logement, de l’instruction publique, etc..
Comment voulez vous que les choses perdurent?
Pour mémoire rappelons qu'en 1929, Roosevelt, le capital financier donc, décidait pour contrer la crise et sauver sa peau, une politique de grands travaux et de taxation des monopoles.
Aujourd'hui, alors que la crise est d'une ampleur supérieure, les ploutocrates n'ont même plus cette marge de manoeuvre, pour offrir ces concessions, limitées certes, mais permettant d'acheter la paix sociale.
Alors ce qui n'est plus possible pour l'Empire, le vampire, l'est encore moins pour son vassal parce qu'il faut bien comprendre que ce répugnant gouvernement Sarkozy-Kouchner-Dati-Amara, est autant un gouvernement anti-ouvrier que de l'anti-france.
C’est le symptôme politique de la défaite de ce qui restait d’une bourgeoisie française et d’un impérialisme français résiduel.
On ne peut plus désormais parler d’un « capital français », ni, partant, d’intérêts économiques spécifiquement français. D'ailleurs ce plan de pillage s’inscrit dans celui de la Banque centrale européenne : 1700 milliards pour les banques !
.
Le système est bloqué.
Pour maintenir sa domination, la mafia dirigeante, afin de ne pas être submergée par la terrible vague populaire qui grossit à l'horizon, compte sur d'autres digues de protection:
-les appareils de la gôche putréfiée, PS/PC/et autres vers, qui acceptent "l'union sacrée" pour sauver les banques.
- les directions syndicales corrompues.
- l'abrutissement par la presse, le sport, le cinéma et le peuple des amuseurs publics, élu par les médias.....
http://www.marcfievet.com/article-24335913.html
Marx pas mort ?
"L'histoire de toute société jusqu'à nos jours n'a été que l'histoire de luttes de classes.
Homme libre et esclave, patricien et plébéien, baron et serf, maître de jurande et compagnon, en un mot oppresseurs et opprimés, en opposition constante, ont mené une guerre ininterrompue, tantôt ouverte, tantôt dissimulée, une guerre qui finissait toujours soit par une transformation révolutionnaire de la société tout entière, soit par la destruction des deux classes en lutte. "
Marx. Le manifeste.
Cette hypothèse, la seconde alternative, il est normal et légitime que Marx ne l'ait pas prise en compte.
Elle est cependant celle qui risque de se produire.
Les deux classes fondamentales pourrissent et se décomposent.
Le capitalisme fait place à la barbarie.
L'oligarchie se maintient désormais par le chaos
La classe dominante se métamorphose en une véritable mafia...
http://petitimmonde.blogspot.com/2008/10/pas-le-moral.html
City et FMI
Fascisme universel
Deux conceptions s’affrontent,
diamétralement opposées.
L’une est la version frelatée, celle de la City de Londres et du Fonds monétaire international, l’autre celle pour laquelle nous nous battons, avec Lyndon LaRouche. La première vise à sauver à tout prix le système existant, en constituant des holdings bancaires surplombant les Etats, comme dans l’Italie de Benito Mussolini et la politique d’Hjalmar Schacht en Allemagne nazie. Dans sa version actuelle, elle se situe, avec la tutelle du Fonds monétaire international, sous la bannière d’une « nouvelle gouvernance mondiale » imposant l’ordre des banques centrales aux peuples et aux Etats-nations. La seconde, qui est la nôtre, conçoit le Nouveau Bretton Woods comme un instrument pour changer de système économique et social face à une crise qui est systémique et non cyclique.
Le combat entre ces deux conceptions est un enjeu de civilisation
S’engager dans cette voie remettrait fatalement en cause l’indépendance des Etats-nations, pour constituer ce que Michael Ledeen appelle plus honnêtement un « fascisme universel ». Avant d’en arriver là, organisons la résistance en traçant un autre horizon
http://david.cabas.over-blog.fr/article-24359700.html
Dessin de Mariali
L'Empire :
Ajustement,
mutation,
ou effondrement ?
Les US, un monstre prédateur.
Pas de guerre maintenant !
Thierry Meyssan
Depuis l’été 2006, Thierry Meyssan pronostique l’effondrement des États-Unis à moyen terme suivi de leur dislocation.
Les sommets internationaux qui se succèdent aujourd’hui n’ont pas pour but de résoudre la crise, mais représentent une révolte des États vassaux pour réorganiser un système qui, bien qu’agonisant, continue à profiter aux États-Unis.
Les analystes s’accordent à interpréter cette période comme une crise interne du modèle impérial anglo-saxon qui provoque des convulsion dans toutes les économies sur lesquelles il exerce un leadership, voire une domination.
Pour la plupart des États, il s’agit de préserver l’économie nationale en limitant la contamination, mais pour Washington, Londres, Paris et Moscou, l’enjeu est différent. Il s’agit de savoir si le dollar restera la clé de voûte du système, ou si celui-ci sera réformé, voire abandonné car la question d’un possible effondrement des États-Unis est désormais débattue.
Les étapes de la crise... (..)
Cependant cette réorganisation du système financier mondial arrive trop tard [10]. La récession de l’économie états-unienne est trop profonde. La décision, prise en 1995, par le Congrès alors dominé par les républicains, de relancer la machine de guerre US pour dominer le monde s’est soldée par un désastre.
Dés 2004, le Fonds monétaire international constatait que la production de biens de consommation s’effondrait aux États-Unis et que ceux-ci entraient dans une « économie de guerre » [11].
Cette tendance s’accélérait sous la double pression des mesures sécuritaires étouffant le commerce et des dépenses astronomiques de la guerre globale au terrorisme.
Transformé en monstre prédateur, les États-Unis ont essayé de se nourrir en enchaînant les proies, mais ne sont pas parvenus à trouver de retour immédiat sur investissement suffisant en Irak. Ils se retrouvent très exactement dans la position de l’Union soviétique à la fin des années 80 : leur secteur militaire a vampirisé toutes leurs énergies.
Léchec du projet de remodelage du Grand-Moyen Orient sanctionné par la défaite militaire israélienne au Liban a sonné la fin de l’Empire. De même que l’Union soviétique s’est effondrée et disloquée, de même les États-Unis sont désormais menacés d’effondrement et de dislocation.
Les indices se multiplient de faillite du système.
De nombreux États fédérés devraient bientôt se retrouver dans l’incapacité de payer les traitements de leurs fonctionnaires et par voie de conséquence dans l’obligation de fermer écoles et hôpitaux [12]. Déjà la Californie est officiellement menacée de faillite, c’est pourtant l’État fédéré le plus riche.
Plus d’un quart des États-uniens sont des retraités dont les pensions dépendent de placements financiers. La plupart d’entre eux risquent de se trouver rapidement sans ressources.
On n’imagine pas que l’expulsion de centaines de milliers de familles et leur relogement dans des campings municipaux ne tourne pas à l’émeute dans un pays où les armes sont en vente libre. Craignant les conséquences sociales de cette situation, le gouvernement fédéral s’est préparé à proclamer l’état d’urgence. Cette éventualité a été évoquée au Congrès lors du vote du Plan Paulson. Des troupes d’élite, spécialisées en Irak dans le maintien de l’ordre, ont été rapatriées et se tiennent prêtes [13].
Certains commentateurs envisagent que Washington cède à la tentation des années 30, lorsque pour sortir de la crise de 1929, il encouragea la guerre en Europe. Mais une telle option serait aujourd’hui inadéquate : la guerre ne peut plus être la solution car elle est précisément à la base du problème.
C’est pourquoi tout est entrepris pour masquer l’ampleur de la crise, tout au moins jusqu’à l’élection présidentielle du 4 novembre. Au besoin, de nouvelles liquidités seront injectées et les bourses occidentales suspendront leurs cotations. Une fois cette échéance passée, il appartiendra au prochain locataire de la Maison-Blanche de procéder à la liquidation des actifs et de tenter de le faire en préservant la paix civile.
http://bridge.over-blog.org/article-24359407.html
56 | Une décision gouvernementale d'évacuer de nouveaux territoires en Judée-Samarie pourrait entraîner un conflit violent et de grande envergure avec les habitants israéliens de la région selon le chef du Shin Bet, Youval Diskin, qui précise que certains extrémistes israéliens n'hésiteront pas à ouvrir le feu, à balles réelles, contre les soldats de Tsahal. (Guysen.International.News) http://www.guysen.com/?nnid=205532 Il me reste de la place sur le précédent post, je vais ajouter des liens. Eva |