Le cynisme du pays auto-proclamé défenseur du Bien !
Je relaie cette info :
Une guerre pour sauver l'économie américaine,
avec les 700 milliards offerts aux banques ?
RAND Corporation fait pression sur le Pentagone pour lancer une guerre afin de sauver l'économie étasunienne

Prison Planet, Paul Joseph Watson & Yihan Dai, 30 octobre 2008
Selon des articles issus de la meilleure presse traditionnelle chinoise, RAND Corporation a récemment présenté au Pentagone une proposition choquante faisant pression pour lancer une guerre contre une grande puissance étrangère afin de chercher à stimuler l'économie étasunienne et prévenir la récession.
Un vif débat s’en est alors suivi en Chine sur qui pourrait être la puissance étrangère, avec la Chine elle-même ainsi que la Russie et même le Japon soupçonnés d'être la cible de l'agression.
Ces articles citent des sources d’informations françaises qui auraient découvert la proposition, dans laquelle RAND a suggéré que les 700 milliards de dollars assignés au renflouage de Wall Street et des banques en faillite servent plutôt à financer une nouvelle guerre qui, à son tour, revigorera les marchés boursiers faiblissants.
RAND Corporation est une ONG notoirement puissantes avec des liens profonds au complexe militaro-industriel étasunien, ainsi que des relations imbriquées avec les fondations Ford, Rockefeller, et Carnegie.
La direction actuelle de RAND inclue Frank Charles Carlucci III, ancien Ministre de la Guerre et directeur adjoint de la CIA, Ronald L. Olson, sommité du Council on Foreign Relations et ancien Ministre du Travail, et Carl Bildt, membre supérieur des Bilderberg et ancien Premier Ministre suédois.
Carlucci fut président du Groupe Carlyle de 1989 à 2005 et supervisait les bénéfices gargantuesque des contractants de la guerre, faits suite à l'invasion de l'Afghanistan après le 11/9. Le Groupe Carlyle a aussi reçu des fonds d'investissement de la famille Ben Laden.
La proposition effrontée de RAND conseillerait vivement que puisse être lancée une nouvelle guerre qui profiterait à l'économie, mais soulignerait que le pays visé devrait être une puissance majeure influente, et non pas un petit pays de la taille de l'Afghanistan ou de l'Irak.
Les articles ont suscité une vague de débats publics et de la tension en Chine au sujet de l’éventualité d'un nouveau conflit mondial se profilant à l'horizon.
Sohu.com, le plus grand média de Chine, spécule que l'objectif de la nouvelle guerre serait probablement la Chine ou la Russie, mais qu'il pourrait aussi être l'Iran ou un autre pays du Moyen-Orient. Le Japon a aussi été mentionné comme cible potentielle car il détient la majorité de la dette des États-Unis.
La Corée du Nord a été envisagée comme cible, mais exclue parce que l'ampleur de cette guerre ne correspondrait pas aux besoins de RAND.
La proposition attribuée à RAND va de pair avec les commentaires récents de Joe Biden, Colin Powell, Madeleine Albright et d'autres, concernant la « garantie » du fait que Barack Obama sera confronté à une « crise internationale » majeure dès son entrée en fonction.
Elle arrive aussi suite à une alerte de Michael Bayer, président d'un important groupe consultatif du Pentagone, qui se fait l’écho de la déclaration selon laquelle la prochaine administration fera face à une crise internationale dans les mois de son entrée en fonction.
On pourrait espérer que des personnes sages, ou du moins saines d'esprit, qui ne souhaitent pas entamer une guerre nucléaire mondiale, comme les généraux supérieurs de l'armée qui ont menacé de démissionner si Bush ordonnait d’attaquer l'Iran, s'opposeront à la proposition de RAND. L’amiral William Fallon, le chef du commandement central étasunien, a démissionné en mars l'année dernière à cause de son opposition à la politique de l'administration Bush envers l'Iran.
Les traductions du chinois en anglais ont été fournies par Yihan Dai.
Original : http://www.infowars.com/?p=5654
Traduction libre de Pétrus Lombard pour Alter Info
http://bridge.over-blog.org/article-24287696.html
Reçu ce témoignage d'un employé de banque.
Pour la crise, c’est parti — pour votre épargne peut-être aussi.
Comment la résoudre? Vaste chantier en perspective.
La solution envisagée à laquelle on prépare l’opinion consiste en
injection de liquidités des banques centrales, c’est-à-dire
l’argent des citoyens dans le circuit bancaire. Si c’est la seule
solution alors allons-y mais avec honnêteté et sérieux.
Considérons ces apports financiers comme des augmentations de CAPITAL et
alors l’ETAT devient actionnaire.
Comme pour toute augmentation de capital, sa part dans le capital total des
banques est calculée selon les règles habituelles, soit la valeur
intrinsèque de l’entreprise. Ou bien, comme il y a urgence et faillite,
pourquoi ne pas prendre la valeur boursière des actions au jour de
l’apport des caisses de l’Etat? Ainsi l’opération permettrait à
ce dernier de devenir actionnaire majoritaire ou le plus important selon
les cas.
Le gouvernement pourrait ainsi affecter aux postes de direction des hommes
que l’on peut penser compétents mais révocables à tout moment, sans
parachute doré en cas d’incompétence, et non pas des hommes-lige.
Les bénéfices énormes réalisés avant la crise par les banques
pourraient alors réapparaître et seraient affectés pour la part des
dividendes revenant à l’Etat dans le rétablissement des caisses de
retraites en difficultés ou autres organismes sociaux.
Je sais, on va m’arguer que les caisses sont vides comme le répètent,
depuis que les élections présidentielles sont terminées, nos
dirigeants les plus éminents.
Alors dans ce cas que vaut l’euro et en particulier l’euro de France
puisque chaque pays a son euro identifiable par un logo distinct?
Lorsque j’étais un jeune employé de banque, j’apprenais par le
professeur dispensant des cours de formation bancaire que la monnaie
était garantie par le crédit de l’Etat et en particulier le stock
d’or que devraient détenir les banques d’Etat au regard de la masse
monétaire mise sur le marché. La France a vendu beaucoup d’or ces
dernières années. Les caisses sont vides, la monnaie en circulation
n’a pas sa garantie en or ; donc on va mettre sur le marché de la
monnaie de singe.
Démonstration: le cours de la pièce 20 F Napoléon cotait au plus haut
dans les années 1980: 1 000 F ou 152 euros.
Le 2 janvier 2007: 577 F ou 88 euros. Le 2 janvier 2008: 688 F ou 105
euros. Le 3 octobre le cours était de 950 F ou 144,90 euros.
Pour terminer, en actualisant avec le coefficient d’érosion monétaire
les 1 000 F du cours de 1980 alors qu’il n’y avait pas de crise
comparable à ce qui se passe et qui va se passer bientôt, le Napoléon
pourrait s’ajuster à 2 500 F ou 381 euros minimum.
En conclusion, POUR QUI VA SONNER LE GLAS ?
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Petit conseil reçu,
je vous le livre,
j'y souscris :
En ces temps de crise où chaque sou compte, il est temps de revenir à des plaisirs sains, simples et gratuits. Profitez de la nature.
Construisez des cabanes à vos enfants,
faites de la peinture,
séances câlins avec vos amis à 4 pattes
jardinez, faites des chateaux de sable.
Les images sont issues d'ici :
http://eva-coups-de-coeur.over-blog.com/article-23346436.html
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Editorial d'un lecteur,
que je vous file,
il est pertinent :
Editorial
Un milliard d’affamés, deux milliards de pauvres sur la planète Terre et les Etats donnent ou prêtent 320 milliards € pour les banques françaises soit environ 5000 €/hab. (1200 milliards pour les banques européennes, 1700 milliards pour les banques US) ! En 1929, les banquiers se suicidaient. Aujourd’hui, ils empochent des bonus et ceux qui se suicident en 2008 c’est plutôt des pauvres, entre autre dans le monde carcéral. L’Etat qui jusqu’à avant-hier a été honni par les libéraux et par la pensée unique « moins d’Etat, moins d’impôt » devient pour les banques et les plus riches le sauveur suprême. On continue, néanmoins, à diminuer le nombre de fonctionnaires et les prestations dans le service public.
Ces milliards vont être empochés par ceux-là même qui sont à l’origine de la crise et la plupart des responsables seront toujours en place. Les banques, les assurances et les fonds de pension se voient même confortés par ce sauvetage. Leur politique future sera peut-être encore plus risquée, plus exposée et porteuse de plus d’instabilité puisqu’au final «si on se casse la gueule, c’est l’Etat qui paie». Que les petits épargnants ne se plaignent pas, ils ont voté pour des libéraux de gauche et de droite dans toute l’Europe et ceux-ci continuent à nous faire croire qu’il faut simplement réformer le système. Ah ! la bonne blague.
Sarkozy veut injecter 10 milliards d'€ dans les six plus grandes banques de notre pays et il veut intervenir dans les secteurs clés de l'industrie à l'aide d'un fonds "souverain" doté de 175 milliards d'€. Compte tenu de la crise qui frappe la deuxième économie de l'Union européenne, ces déclarations ne doivent pas surprendre. Elles incarnent le maintien d'une vieille tradition française d'interventionnisme étatique. De plus, elles n'ont pas d'alternative dans l'espace public, face à une opposition de gauche réduite au silence dans le domaine de la politique économique. Ses efforts suscitent la sympathie des Français, les derniers sondages le montrent. A la différence de Merkel en Allemagne, qui rechigne à prendre des mesures au niveau européen, le président français donne ces temps-ci l'impression d'être un homme d'action. Fidèle à lui-même, il agit seul et en toute hâte. Au lieu de vérifier si ces décisions peuvent servir les intérêts de l'économie française, voire européenne, le camp allemand suggère que le président français utilise la crise pour mettre en place une sorte de néosocialisme. Aussi utilise-t-on, pour caractériser sa politique, les termes très connotés de "nationalisation" ou de "nationalisation partielle". Peut-être les réactions de cet ordre attisent-elles les ressentiments nationaux, mais elles ne correspondent pas à la réalité. Car il est notoire que Sarkozy ne nourrit aucune intention hérétique à l'égard du dogme libéral. Ne cherche-t-il pas, par exemple, à accélérer le retrait de l'Etat des hôpitaux et autres services publics ? En fait, Sarkozy veut "soutenir" les entreprises afin de les renforcer face à la concurrence internationale. Il ne s'efforce pas d'imposer un contrôle de l'Etat sur les banques, ni d'orienter la politique des entreprises en faveur du plus grand nombre, salariés ou consommateurs. Le président français n'est pas en quête d'un New Deal ; il sert la concurrence et la maximisation des profits. C'est le capitalisme qu'il veut sauver et il colle exactement aux souhaits de la majorité des élites européennes.
Le capitalisme est sauvage par essence et son avidité est sans limite. En pliant sans condition lors de cette crise, en laissant au libéralisme les mains libres pour l’avenir, les dirigeants des pays occidentaux défendent, pour ceux qui en doutaient encore, leurs privilèges de classe – l’aristocratie financière, technocratique et politique (UMP-PS) – et qu’ils ne vont, bien évidemment, pas remettre en question un système qui justifie leur pouvoir.
C’est bien d’une autre politique, d’un autre paradigme dont nous avons besoin. Mais quand est-ce que les citoyens vont se réveiller ? Quand vont-ils comprendre qu’ils sont manipulés ? Peut-être la situation économique n’est-elle pas encore assez dramatique pour qu’il y ait une vraie prise de conscience politique ? Les citoyens se replie sur leurs acquis. L’individualisme tellement glorifié par l’idéologie capitaliste est profondément ancré dans les consciences. Sachez et faites savoir que ceux qui nous gouvernent sont des escrocs. C’est une escroquerie intellectuelle et une escroquerie tout court ! Combien de temps encore allez vous accepter cela ? Vous avez peur de quoi ?
Devenez membre du groupe monnaie : groups.google.fr/group/monnaie. Le Collectif Monnaie France (CMF) a pour objectif de trouver les moyens d’informer les citoyens sur l’escroquerie monétaire et de faire comprendre aux Français qu'il serait possible de remplacer l’argent dette par un argent service (la fonction bancaire se doit d’être une fonction régalienne).
D’autre part, je vous signale que je suis disponible pour participer à tous colloques ou conférences en France. Voici les thèmes sur lesquels j’interviens : Remplacer l’argent dette (instrument de manipulation au profit d’une très petite minorité) par un argent service (la fonction bancaire se doit d’être une fonction régalienne). Le capitalisme est une vaste escroquerie intellectuelle, qui sont les escrocs en chef et quelles sont leurs valeurs ? Une nouvelle vision pour une nouvelle civilisation, quelques pistes pour un nouveau paradigme et un autre programme politico-économique. N’hésitez pas à me contacter : mjutier@orange.fr - 06 26 44 68 29.
Bien à vous et bonne lecture.
* Il existe, malheureusement, une véritable « omerta » dans les médias officiels sur un certain nombre de sujet et en particulier sur ce sujet très particulier qu’est la création monétaire. Aujourd’hui, grâce à internet, l’information émerge et grâce à vous elle est diffusée à un nombre de plus en plus nombreux de nos concitoyens. Vous pouvez participer à la diffusion de cette lettre mais aussi à la sélection d’information pour la prochaine lettre comme le font déjà, et je les en remercie, Christian Chaufaux, Philippe Derudder, Cécile, A-J Holbecq & le Mouvement Sociétal, A. Vidal et A. Mothes & liberonslamonnaie, Pascal & desmotscratie.net
NOUVELLE CIVILISATION 2012 aux éditions Pascal. 448 pages - 10€. Format : 12 x 17.
2007, 2012, faut-il donc attendre les crises financières à répétition... ? Dans un monde miné par la destruction du "sens", où le système financier, le modèle économique, les atteintes cruelles à l'équilibre sanitaire et écologique, entraînent "une société à la dérive" : comment réfléchir à une NOUVELLE CIVILISATION basée sur un nouveau paradigme. Face à la mondialisation libérale, la lecture de ce livre de culture générale qui aborde la philosophie, l’économie, la politique, l’histoire de la monnaie, l’écologie, la santé, donne une alternative à la pensée unique. La table des matières, l’introduction et les 380 liens URL du livre. Une présentation vidéo de 3 minutes.
Dans le livre " La dette publique, une affaire rentable" qui vient de paraître nous avons voulu revenir d'abord sur le sujet de la création monétaire, ensuite expliquer l'historique, les idées fausses et les raisons de "la dette", pour finir par quelques pistes pour l'avenir.
Éditions Yves Michel, 160 pages -12 € - Format : 12 x 22.
Un peu de beauté ! http://yvette-richard-lequeau.over-blog.com/
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C'est la crise ? Prenons du bon temps !
Je chante avec toi, liberté !
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Mexique : Un tchernobyl des OGM
La contamination génétique du maїs dans la province de Chihuahua au Mexique est une nouvelle gravissime et met une fois de plus en exergue les méthodes les plus basses auxquelles sont disposées Monsanto et les multinationales de la biotech pour s’emparer de l’agriculture, de l’alimentation et de la souveraineté du Mexique.
(..)
Il s’agit d’un véritable Tchernobyl génétique puisque le Mexique est le centre historique et originel du maїs, sa contamination pourrait avoir des effets potentiellement destructeurs non seulement pour le pays et sa biodiversité mais il s’agit aussi, comme le pointe Victor Quintana de la FDCCH, « d’un coup féroce contre l’agriculture paysanne et indigène ». Le maїs est cultivé par les populations mexicaines et indigènes depuis plus de 10 000 ans, il est le coeur de leur économie, de leur autonomie et de leur culture.
Mais quel est l’intérêt de mélanger des graines transgéniques avec les semences traditionnelles alors que les graines transgéniques sont plus chères ? Cette fraude serait vraiment le pire coup économique en terme de rentabilité. Malheureusement, le but de cette fraude n’est pas de s’enrichir dans l’immédiat, non, cette fois il s’agit de la volonté délibérée de provoquer une contamination généralisée des semences de maїs pour en forcer la légalisation de fait et ouvrir un nouveau marché pour les semences transgéniques, qui sera cette fois très lucratif pour Monsanto.
La contrebande et la contamination intentionnelle font parties du répertoire de Monsanto qui, non content de contrôler 87% du marché des semences transgéniques, cherche à s’imposer par tous les moyens dans les pays récalcitrant aux OGM. C’est ainsi que le soja transgénique a déjà été introduit illégalement au Paraguay et au Brésil, pour créer une situation de fait ne laissant plus aucun choix aux gouvernements sauf celui légaliser les cultures (voir cet article).
Une fois cette formalité entérinée, Monsanto se retourne alors contre l’Etat et les producteurs pour réclamer les royalties qui lui sont dues au nom des brevets qu’elle possède. Une situation qui ne manquera pas de se reproduire au Mexique
Plutôt inquiétant non ? Et pendant ce temps que fait l'Union Européenne ?
L'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) estime que l'embargo français sur le maïs génétiquement modifié Mon 810 produit par la firme américaine Monsanto n'est pas justifié.
http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=649
La France diminue son aide pour les pays les plus pauvres
Nous sommes en crise et nous le savons, le gouvernement vient donc de tailler dans les budgets de subventions de l’AFD (Agence Française de Développement) sur demande de l’Elysée. Le budget 2009 de l’AFD va donc passer de 320 millions d’euros à 134 millions d’euros. Ces restrictions budgétaires vont diminuer les soins de santé au Mali, au Congo, en RDC, au Tchad, au bénin et à Madagascar.
Cela fait du bien d’entendre aujourd’hui notre président désavouer son propos du 28 février. Un flagrant délit de mensonge plus loin, que va t’il rester de cette décision ?
* La journée contre la faim du 16 octobre à peine terminée, les budgets sont déjà coupés, le gouvernement n’a pas eu la décence d’attendre quelques temps afin d’annoncer cette nouvelle. Il y’a actuellement 923 millions de personnes souffrant de la faim dans le monde. Action contre la faim dénonçait le 10 octobre cette situation incroyable dans laquelle se trouvent les plus démunis dans le monde. * La hausse des prix alimentaires a largement été générée par les politiques des pays riches et du FMI dans les années passées. Les causes sont connues : * - la culture de biocarburant à la place de récoltes nourricière * - la privatisation d’entreprises publiques Africaine désorganisant les coopératives et filières. * - les subventions des pays riches pour leurs agricultures (lire cet article au sujet du Mali) *
Douze jours auront été nécessaire, depuis le 16 octobre, pour que la France oublie par la voix de son président ses engagements moraux envers l’Afrique du 28 février dernier
http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=651
Les autorités israéliennes viennent de refuser à 120 universitaires, experts et professionnels de santé (des USA, Hollande, Italie, Angleterre et Canada), l’entrée à Gaza où ils devaient participer à une conférence internationale du programme de santé mentale communautaire de Gaza, à la demande de l’OMS (organisation mondiale de la santé).
http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=641
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